- Blake RichardsThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : I@M
Messages : 47
Points : 266
Faceclaim : Chris Hemsworth
Crédits : @jenesaisoas (Bazzart)
Date d'inscription : 01/05/2021
Âge : 38 ans
Situation financière : Les méchantes langues disent au sujet de Blake qu'il est né avec une cuiller d'argent dans la bouche , pourtant ils ignorent à quel point il a du se battre pour s'affranchir de l'influence familiale et se faire une place qui soit bien à lui.
Situation amoureuse : C'est en solitaire qu'il chemine, qu'il avance, il n'a pas rencontré la personne avec qui il pourrait envisager se poser.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel, assumé, il n'y a que les charmes de la gente féminine qui puisse parvenir à lui faire perdre ses moyens.
Habitation : Un appartement situé dans Georgetown
Emploi/études : Diplômé de Harvard en finance et en économie, possédant également un masters en politique internationale, il travaille en tant qu'analyste et chargé de projet pour le FMI (Fonds Monétaire international)
Multicomptes : Aucun
Discret, rancunier et sélectif. Blake n’est pas du genre exubérant, c’est un introverti assumé. Bien qu’il soit totalement opposé à toute forme de violence il n’en demeure pas moins quelqu’un ayant une bonne mémoire et du coup il n’oublie jamais un nom ou un visage lui ayant causé du tort. Que cela lui prenne une semaine, un mois, un an ou toute une vie le jour ou l’occasion de se venger se présentera il en profitera puisqu’il n’est pas encore né le sinistre enfoiré qui pourra se payer sa tête en toute impunité. Blake, sans être froid, est quelqu’un qui ne se lie pas aisément aux gens. En parfait intellectuel qu’il est il méprise les gens qui véhiculent des imbécilités et plutôt que d’échanger avec eux il préfère s’en éloigner puisque son temps est trop précieux pour être gaspiller au près de personnes dont les facultés intellectuelles leur permettent difficilement de faire la distinction entre la gauche et la droite.
Abdiquant devant leurs responsabilités parentales, priorisant leurs vies professionnelles, les parents de Blake décidèrent de lui annoncer peu de temps après son 11e anniversaire qu’ils allaient l’envoyer dans un pensionnat histoire de lui offrir la meilleure éducation qui soit. À son oreille ça sonnait plutôt comme si l’on tentait de se débarrasser d’un rejeton gênant à l’expédiant à l’autre bout du globe. Donc du jour au lendemain il se retrouva dans un collège privé, situé à Davos en Suisse, destiné aux enfants appartenant à une élite financière. Inutile de dire que Blake ne s’y sentait pas forcément à sa place. Déjà qu’il ne possédait pas un lien étroit avec ses parents inutile de préciser qu’entre eux le fossé se creusait de plus en plus.
L’éloignement l’avait blessé, et revenir au pays pour les vacances était pour lui une torture puisqu’il savait qu’une fois celle-ci terminée il allait devoir repartir pour l’Europe … c’est donc ce qui l’avait incité à ne pas trop s’attacher aux gens.
De Davos il se retrouva à Monaco afin d’y rejoindre un lycée privé hautement coté. Cet endroit regorgeait d’adolescents dont les parents étaient soit des grands noms du milieu artistique, des milieux politiques, de la haute finance ou appartement à certaines familles bien en vue de la haute bourgeoisie européenne. Blake trouvait que ce milieu puait la superficialité et n’avait pour seul et unique but de caresser l’égo de ses parents qui devaient y voir l’aboutissement de leur réussite professionnelle. Pour sa part, bien que Blake ne niât pas leur réussite professionnelle, il y voyait néanmoins un semblant d’échec à propos de leur vie personnelle et leur performance parentale.
S’il y a eu un événement dans la vie de Blake qui fut de nature à lui faire comprendre à quel point la vie pouvait être sans la moindre pitié, c’est bien cette fameuse soirée de l’action de grâce qui avait vu cette soirée dansante organisée pour les étudiants virer au cauchemar. Il n’avait pas été sans remarquer que certains détails clochaient mais il avait préféré les ignorer. Ce n’est que trop tard qu’il réalisa que ses doutes étaient fondés lorsqu’il découvrit que ces employés d’entretiens, à l’allure plus que suspects, étaient dans les faits des terroristes. Se faire pointer une arme à feu sous le nez pourrait intimider n’importe qui alors imaginez lorsque vous vivez ce genre d’événements et que vous avez tout au plus 14 ans.
La prise d’otage survenue au lycée n’a pas été sans marquer émotionnellement Blake, pendant des années il a été contraint d’être suivi par une psychologue, encore aujourd’hui il lui arrive d’y penser mais il est mieux outillé pour affronter ce genre de tourments.
À la fin de ses études, à ce lycée Monégasque, il revint en Amérique et lorsque son père lui proposa d’aller étudier en médecine ou en droit c’est sans la moindre hésitation qu’il l’envoya balader. Il ne manquait pas d’audace le vieux débris, il avait fait de la vie de Blake un enfer en l’expédiant à l’autre bout du monde et maintenant il voulait lui imposer des rêves d’avenirs qui n’étaient pas forcément conforme à ceux du jeune homme. Ce fût la rupture définitive. Déjà qu’il en voulait à ses parents de n’avoir rien fait, de ne pas l’avoir ramené au pays à la suite de la tragédie survenue au lycée, tenter de lui imposer des études qu’il ne désirait pas était ni plus ni moins, à ses yeux, qu’ajouter l’insulte à l’injure.
Coupant les ponts avec ses parents, il décida de quitter la Californie pour se diriger vers la côte est américaine. S’installant dans la région de Boston il se trouva un boulot en tant que serveur dans un café et fut accepté à Harvard grâce à un programme de bourse d’étude. Il y amorça donc un cursus en finance qu’il allait ensuite assortir d’un autre en économie pour ultimement combiner à un master en politique internationale. Évidemment son parcours universitaire s'est fait par alternance avec le travail puisqu'il fallait répondre à certains impératifs d'ordre financier.
Alors que la plupart de ses amis, il s’en était fait quelques-uns, avaient opté pour des postes dans des banques prestigieuses de Wall Street, Blake avait plutôt écouté son côté humanitaire afin d’aller travailler pour amnistie international. Bien que financièrement ce n’était pas aussi bien que de bosser pour Goldman Sachs, il n’en retirait pas moins énormément de gratification. Il savait que ce qu’il faisait pouvait changer la vie de certaines personnes.
Suite à son mandat au sein d’Amnistie international il fut approché par Unicef, une autre ONG qu’il appréciait et c’est ce mandat qui lui permit de se faire bien voir par certaines personnes influentes à l’ONU. Sa position actuelle, au sein du FMI, se voulant la consécration de tout ses efforts. Blake était surtout fier de savoir qu’il s’y trouvait par son propre mérite et non grâce au réseau d’influence de ses parents. Enfin cette certitude est peut-être qu’un tissu d’illusions après tout.
Depuis qu’il est en poste au FMI il fait la navette entre cette résidence qu’il habite à Washington et son pied à terre situé près du centre-ville de New York.
Son job n’est pas un emploi de bureau typique. Plus souvent qu’à son tour il doit prendre l’avion afin de se diriger vers les endroits concernés par certains projets auxquels l’organisation qu’il représente participe. Il doit bien faire au minimum deux voyages par mois ce qui fait de lui un excellent client des compagnies d’aviation.
Il n’ambitionne pas d’avoir des enfants, il est conscient que son mode de vie actuel ne se prête pas à ce genre d’aspiration et il ne veut surtout pas reproduire les erreurs commises par ses parents.
Bien que fortement occupé par son travail il n’en demeure pas moins quelqu’un de physiquement actif, le sport fait totalement partie de sa vie.
Bien qu’il ne soit pas superficiel et aveuglé par le matérialisme il n’est pas sans admettre qu’il est fortement attaché à certains trucs dont cette Mercedes qu’il s’est acheté et cette Rolex de laquelle il ne se sépare pratiquement jamais.
Blake est par moment empreint à un tempérament téméraire, voir suicidaire. Un jour alors qu’il avait rendez-vous à la banque, il se retrouva pris au beau milieu d’un Hold Up. Les voleurs avaient eu la brillante idée de s’accoutrer en portant des masques de Teletubbies. Blake avait peiné à garder son sérieux mais lorsqu’il vit l’un des braqueurs s’emparer d’une jolie femme, aux longues boucles blondes et aux yeux aussi cristallins que l’eau du pacifique, il négocia afin que la belle soit libre s’offrant ainsi en otage. Leur expliquant qu’il serait plus facile de faire valoir leur revendication en détenant une personne influente il était soulagé de voir que sa négociation avait fonctionné. Puis de toute façon elle était bien trop belle pour finir avec une balle dans la tête.
Bien que son père et sa mère ont tenté de le recontacter, pour sa part il leur a servi une fin de non-recevoir, sa vie va très bien et il ne ressent pas le besoin de les côtoyer de nouveau. Rancunier que l’on vous disait.
Bien entendu il sait qu’un jour il devra cesser de travailler, que ce jour ou il devra prendre davantage de temps pour lui arrivera plus tôt que tard, c’est afin de se préparer à ce jour qu’il investi le fric qu’il économise dans certaines transactions boursières. Bien qu’il soit occupé par son travail il se réserve néanmoins une heure par jour afin de gérer ses actifs et pour en maximiser le rendement.
Dans la vie très peu de choses sont de nature à le contrarier, et à le mettre en colère, Blake est quelqu'un de nature conciliante mais s'il y a un truc qui se veut de nature à le faire sortir de ses gonds c'est bien les gens qui n'assument le poids de leurs fautes ou la portée de leurs actes. Pour Blake l'imputabilité fait foi de tout.
Ces mandats à l’étranger l’ont emmené à réaliser l’ampleur de la pauvreté mais il est également conscient que ce fléau est tout aussi présent dans son pays natal c’est pourquoi il essaie de faire une différence dans la vie des gens un geste à la fois. Il n’hésite pas à offrir des repas aux itinérants qu’il croise même à offrir à quelques uns d’entre eux des manteaux afin d’affronter la saison froide.
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