- Rosylia A. TorresThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : Rap'
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Points : 46
Faceclaim : Elizabeth Gillies
Crédits : Rap'
Date d'inscription : 25/10/2020
Âge : J'ai 29 ans
Situation financière : Tu es médecin et ta famille est l'une des plus fortunées de Washington. Ton futur mari, l'est aussi. Que demander de mieux ? Il paraît que l'argent ne fait pas le bonheur, tu en es la plus belle preuve.
Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
Rps en cours :
Attention à la chute !
☆ ★ ☆
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- Elliott S. CollinsClap along if you feel
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Date d'inscription : 20/10/2020
Âge : 28 ans
Situation financière : A l'abri du besoin
Situation amoureuse : Célibatard
Orientation sexuelle : Hétéro
Habitation : Un loft
Emploi/études : Comédien aux yeux de tous, médecin aux yeux de son père
Multicomptes : Tamara, Ulysse, Milan, Archie
Rps en cours :
Pas du genre à être stressé par un rendez-vous. En réalité, c’était même le contraire : lorsqu’il était ado, il s’était convaincu d’un truc dont il n’avait jamais démordu (maintenant plus par habitude que par conviction, il s’était bien vite aperçu qu’il s’était trompé, après s’être fait claquer diverses portes au nez) : Late is the new Cool pourtant, allez savoir pourquoi, il avait suffi que Rosylia lui propose de sortir, pour que, subitement, il ne devienne
Jingle :Suuuuuper Ponctuel!
Grâce à sa vision ultrasonique, Super Ponctuel peut voir l’heure à l’horloge à l’autre bout de la maison ! Et la souplesse de ses cervicales lui permet de checker l’heure environ trente fois par seconde : on est jamais trop prudent ! Sa kryptonite à lui ? Les torticolis. -Eh, quoi, on a tous nos points faibles, non ?- en revanche, doté d’un coeur plus gros que la norme et battant par conséquent plus fort, Super Ponctuel est également très endurant. Aussi, cela ne l’avait pas dérangé de courir de chez lui jusqu’à la patinoire, de peur d’être, comme à l’habitude de son Némésis : Super en retard.
Arrivé à la patinoire, Elliott regarda l’heure sur son téléphone . Il fallait dire que de telles habitudes n’étaient pas dans les siennes, et que quelques ajustements seraient à prévoir… Une demi heure d’avance. Même pour une audition de la plus haute importance, il n’avait jamais réussi un tel tour de maître !
Il souffla un coup et fit les cent pas, sentant discrètement son manteau : il n’aurait jamais du courir comme un con : l’odeur de sueur, ça n’avait jamais charmé qui que ce fut, et Rosy n’était sans doute pas (et on la comprendrait!) l’exception chelou qui aurait confirmé la règle.
En attendant l’arrivée de son amie, Elliott alla s’acheter un chocolat chaud, s’asseyant sur un banc, dégustant tranquillement sa boisson chaude. Là, il souffla dans ses gants de laine noire puis alluma une cigarette sur laquelle il tirait, pensif. Tout se bousculait, se mêlait dans son crâne. Au programme, ses quelques années de fac, leurs sorties avec Rosy. Et bien évidemment, le best seller chez lui : Charlie. Charlie, toujours Charlie. A croire qu’il n’y en avait que pour elle, dans cette boite crânienne. Ca tournait à l’obsession. Lui qui pensait que ça finirait bien par lui passer, que le deuil allait finir par se faire, commençait à perdre espoir, au bout de six ans. Malgré tout, bien qu’Elliott n’eut pas assez de recul pour le comprendre, il fallait bien admettre que l’association de ces deux femmes dans ses souvenirs n’était pas due au hasard : avec elles deux, il avait tout foiré. D’abord, il y avait eu Charlie : au départ en médecine pour lui sauver la vie, elle était partie avant. C’était pas faute de s’être battue. Elle avait été forte, Charlie. Mais Elliott refusait de croire à ce destin qui lui avait été tout tracé par la maladie, sans même réaliser que si les spécialistes eux mêmes n’y pouvaient rien, il y avait très peu de chance qu’un type sortant de la fac trouve la solution : il était peu probable son amour pour elle ne puisse la sauver. Il avait beau se le répéter, pourtant, tout comme pour Rosy et le départ inexpliqué qu’il lui avait fait subir, il était rongé par la culpabilité. Et puis, il y avait ces sentiments. Ces putains de sentiments auxquels Elliott refusait de céder. Il faisait la sourde oreille. L’amour, c’était fait pour mal tourner, son histoire avec Charlie en était la preuve parlante.
Il sursauta en entendant la voix de la brunette qu’il n’avait pas entendue arriver, et se mettant à rire, il lui lança, d’un air sûr de lui et amusé : « toujours là où on ne m’attend pas ! aujourd’hui, j’ai décidé de casser les habitudes !» préféra-t-il justifier. Après tout, c’était toujours mieux que d’avouer que depuis sa proposition, il était excité comme une puce, non ?
Lui adressant un sourire, il se leva et jeta gobelet et cigarette, hochant la tête. Il rit, pensant à la sitcom de son enfance, Malcolm, et à la réplique de Dewey, prêt à mettre le boxon dans la famille de son père avec ses frères. Même voix, même intonation, il répondit d’un ton convaincu : « j’suis prêt d’puis qu’j’suis né ! » et adressant un clin d’oeil à la jeune femme, il se dirigea vers la cahute où leur seraient prêtés les patins...
Jingle :Suuuuuper Ponctuel!
Grâce à sa vision ultrasonique, Super Ponctuel peut voir l’heure à l’horloge à l’autre bout de la maison ! Et la souplesse de ses cervicales lui permet de checker l’heure environ trente fois par seconde : on est jamais trop prudent ! Sa kryptonite à lui ? Les torticolis. -Eh, quoi, on a tous nos points faibles, non ?- en revanche, doté d’un coeur plus gros que la norme et battant par conséquent plus fort, Super Ponctuel est également très endurant. Aussi, cela ne l’avait pas dérangé de courir de chez lui jusqu’à la patinoire, de peur d’être, comme à l’habitude de son Némésis : Super en retard.
Arrivé à la patinoire, Elliott regarda l’heure sur son téléphone . Il fallait dire que de telles habitudes n’étaient pas dans les siennes, et que quelques ajustements seraient à prévoir… Une demi heure d’avance. Même pour une audition de la plus haute importance, il n’avait jamais réussi un tel tour de maître !
Il souffla un coup et fit les cent pas, sentant discrètement son manteau : il n’aurait jamais du courir comme un con : l’odeur de sueur, ça n’avait jamais charmé qui que ce fut, et Rosy n’était sans doute pas (et on la comprendrait!) l’exception chelou qui aurait confirmé la règle.
En attendant l’arrivée de son amie, Elliott alla s’acheter un chocolat chaud, s’asseyant sur un banc, dégustant tranquillement sa boisson chaude. Là, il souffla dans ses gants de laine noire puis alluma une cigarette sur laquelle il tirait, pensif. Tout se bousculait, se mêlait dans son crâne. Au programme, ses quelques années de fac, leurs sorties avec Rosy. Et bien évidemment, le best seller chez lui : Charlie. Charlie, toujours Charlie. A croire qu’il n’y en avait que pour elle, dans cette boite crânienne. Ca tournait à l’obsession. Lui qui pensait que ça finirait bien par lui passer, que le deuil allait finir par se faire, commençait à perdre espoir, au bout de six ans. Malgré tout, bien qu’Elliott n’eut pas assez de recul pour le comprendre, il fallait bien admettre que l’association de ces deux femmes dans ses souvenirs n’était pas due au hasard : avec elles deux, il avait tout foiré. D’abord, il y avait eu Charlie : au départ en médecine pour lui sauver la vie, elle était partie avant. C’était pas faute de s’être battue. Elle avait été forte, Charlie. Mais Elliott refusait de croire à ce destin qui lui avait été tout tracé par la maladie, sans même réaliser que si les spécialistes eux mêmes n’y pouvaient rien, il y avait très peu de chance qu’un type sortant de la fac trouve la solution : il était peu probable son amour pour elle ne puisse la sauver. Il avait beau se le répéter, pourtant, tout comme pour Rosy et le départ inexpliqué qu’il lui avait fait subir, il était rongé par la culpabilité. Et puis, il y avait ces sentiments. Ces putains de sentiments auxquels Elliott refusait de céder. Il faisait la sourde oreille. L’amour, c’était fait pour mal tourner, son histoire avec Charlie en était la preuve parlante.
Il sursauta en entendant la voix de la brunette qu’il n’avait pas entendue arriver, et se mettant à rire, il lui lança, d’un air sûr de lui et amusé : « toujours là où on ne m’attend pas ! aujourd’hui, j’ai décidé de casser les habitudes !» préféra-t-il justifier. Après tout, c’était toujours mieux que d’avouer que depuis sa proposition, il était excité comme une puce, non ?
Lui adressant un sourire, il se leva et jeta gobelet et cigarette, hochant la tête. Il rit, pensant à la sitcom de son enfance, Malcolm, et à la réplique de Dewey, prêt à mettre le boxon dans la famille de son père avec ses frères. Même voix, même intonation, il répondit d’un ton convaincu : « j’suis prêt d’puis qu’j’suis né ! » et adressant un clin d’oeil à la jeune femme, il se dirigea vers la cahute où leur seraient prêtés les patins...
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Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
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Depuis le retour de Rosy dans sa vie, Elliott était perturbé. Ca, c’était le moins qu’on pouvait dire. Car c’était même plus que ça. Un peu plus, et quelqu’un d’extérieur aurait peut-être pu dire qu’il avait changé du tout au tout. Encore plus inquiétant : il n’était pas si dérangé que ça par l’assignation à domicile que lui avait fait vivre Roman ces quelques derniers jours. Bien évidemment, il n’était pas du genre casanier, mais prenait cette situation comme une réelle aubaine. Il ne pouvait plus sortir ? qu’à cela ne tienne : il en profiterait pour faire du rangement dans son appartement, dans un premier temps. Ensuite, remettre sa vie en ordre, ne fut-ce que dans sa tête, serait probablement une idée qui serait loin d’être stupide. Une fois encore, il pensait à Charlie. Bon, d’accord. Vu comme ça, ça ne changeait pas vraiment de ses habitudes, loin de là. Cependant, chose inhabituelle, il avait décidé de faire un pas vers son passé. Faire la paix, conscient qu’il ne pourrait pas avancer dans sa vie comme il l’entendait tant qu’il n’aurait pas accepté cette expérience. Aussi douloureuse était-elle, elle faisait partie de son histoire. De ce qu’il était aujourd’hui et fatalement de ses choix : y’avait qu’à voir son discours de faux-jeton, concernant les relations amoureuses. Ce discours là était à dix mille lieues de celui qu’il servait à qui voulait bien l’entendre, dix ans auparavant. L’amour, le vrai, le grand, à cette époque, il était certain qu’il existait. Pire encore le fameux « jusqu’à ce que la mort nous sépare », il y croyait dur comme fer. Malheureusement pour lui, il n’avait pas pensé un seul instant que ces mots, bêtes et méchants, auraient pu prendre un tout autre sens que celui qu’ils avaient dans l’imaginaire collectif. La vie avait un sens de l’humour bien étrange. Prenant le temps de réfléchir, il s’était senti bien plus léger, pour la première fois depuis bien longtemps. C’était déjà ça de pris. Le coeur en joie, il était parti tranquille, libre, se surprenant à attendre Rosy. il y avait encore quelques temps, la pauvre aurait du poirreauter une éternité admit-il, pensif sur son banc. Elle était arrivée une demi heure plus tard, laissant à Elliott le temps de reprendre contenance et de se griller une cigarette. Arborant un large sourire en l’entendant, il se mit à rire de bon coeur « mais carrément ! Je dirais même mieux : j’pense qu’on devrait faire de cette journée un jour national ! Genre… férié pour tout le monde ! Et faut que ça soit appris aux gamins à l’école, minimum ! »
Lui adressant un clin d’oeil, il s’était relevé allant chercher les patins avec lesquels il revint presque aussitôt. Pendant sa courte attente, des tonnes de questions se bousculaient dans sa tête. Devrait-il lui donner des explications aujourd’hui ? Ou peut-être pas ? Il repensait aux sms échangés quelques jours plus tôt avec Gabriella : les gens bien avaient toujours une bonne raison de partir. Les autres étaient seulement des cons. Mais un doute étreint soudain le comédien : et s’il était un con qui s’ignorait? Il soupira, revenant vers la brunette comme si de rien n’était, affichant un grand sourire destiné à couver ses tourments, tempête intérieure qui se heurtaient contre ses os. Un peu plus, et celle-ci aurait pu le briser. Prenant sur lui, il s’était tranquillement rassis aux côtés de son amie, lui tendant sa paire de patins, et lui offrit un sourire moqueur : « bon. Y’avait plus de rose bonbon. Mais pour rester sur le p’tit côté girly, j’ai quand même réussi à négocier les petites fleurs sur le côté ! Alors ? On dit merci qui ? » et il lui adressa un clin d’oeil avant de passer ses patins, non sans galérer.
A la question de Rosylia, il réprima un rire « non. C’était même facile. En même temps… j’ai fait profil bas toute la semaine. Il a du baisser sa garde ! » et lui adressant un clin d’oeil, il haussa les épaules avant de répondre non sans amusement : « disons que… j’me souviens plus vraiment. Mais son portefeuilles, lui, se souvient de la caution pour exhibitionnisme. Apparemment, j’ai peut-êêêêêêtre confondu « baignoire » et « fontaine ». Et j’ai peut-êêêêêtre pris un bain de minuit totalement bourré en plein centre-ville, juste pour faire marrer la galerie. J’avoue que j’y suis allé un peu fort. » il se mit à rire un peu gêné, avant de finir d’attacher ses patins, grattant nerveusement sa nuque. Regardant la jeune femme avancer, il se mit à la suivre malhabile, prenant garde de ne pas se vautrer lamentablement. Tout, mais pas la honte. Ou du moins pas avec elle. A entendre ses mots, il s’exécuta, et lâcha, sans même comprendre immédiatement la portée réelle de ses mots « non ! Pas encore. »
Surpris par sa phrase qui pourrait porter à confusion, bien qu’elle fut limpide pour lui qui se mit à rougir sans qu’il ne puisse rien y faire, il laissa passer un court moment de flottement, avant de se rattraper : « tu… tu crois quand même pas que j’vais te laisser te défiler aussi facilement ! Et puis, entre nous, tu crois vraiment que j’ai besoin d’aide ? » à l’idée qu’elle ait pu comprendre ses mots pourtant si anodins, il lâcha un petit rire nerveux. Bordel, ça relevait presque de la paranoïa, là.
Lui adressant un clin d’oeil, il s’était relevé allant chercher les patins avec lesquels il revint presque aussitôt. Pendant sa courte attente, des tonnes de questions se bousculaient dans sa tête. Devrait-il lui donner des explications aujourd’hui ? Ou peut-être pas ? Il repensait aux sms échangés quelques jours plus tôt avec Gabriella : les gens bien avaient toujours une bonne raison de partir. Les autres étaient seulement des cons. Mais un doute étreint soudain le comédien : et s’il était un con qui s’ignorait? Il soupira, revenant vers la brunette comme si de rien n’était, affichant un grand sourire destiné à couver ses tourments, tempête intérieure qui se heurtaient contre ses os. Un peu plus, et celle-ci aurait pu le briser. Prenant sur lui, il s’était tranquillement rassis aux côtés de son amie, lui tendant sa paire de patins, et lui offrit un sourire moqueur : « bon. Y’avait plus de rose bonbon. Mais pour rester sur le p’tit côté girly, j’ai quand même réussi à négocier les petites fleurs sur le côté ! Alors ? On dit merci qui ? » et il lui adressa un clin d’oeil avant de passer ses patins, non sans galérer.
A la question de Rosylia, il réprima un rire « non. C’était même facile. En même temps… j’ai fait profil bas toute la semaine. Il a du baisser sa garde ! » et lui adressant un clin d’oeil, il haussa les épaules avant de répondre non sans amusement : « disons que… j’me souviens plus vraiment. Mais son portefeuilles, lui, se souvient de la caution pour exhibitionnisme. Apparemment, j’ai peut-êêêêêêtre confondu « baignoire » et « fontaine ». Et j’ai peut-êêêêêtre pris un bain de minuit totalement bourré en plein centre-ville, juste pour faire marrer la galerie. J’avoue que j’y suis allé un peu fort. » il se mit à rire un peu gêné, avant de finir d’attacher ses patins, grattant nerveusement sa nuque. Regardant la jeune femme avancer, il se mit à la suivre malhabile, prenant garde de ne pas se vautrer lamentablement. Tout, mais pas la honte. Ou du moins pas avec elle. A entendre ses mots, il s’exécuta, et lâcha, sans même comprendre immédiatement la portée réelle de ses mots « non ! Pas encore. »
Surpris par sa phrase qui pourrait porter à confusion, bien qu’elle fut limpide pour lui qui se mit à rougir sans qu’il ne puisse rien y faire, il laissa passer un court moment de flottement, avant de se rattraper : « tu… tu crois quand même pas que j’vais te laisser te défiler aussi facilement ! Et puis, entre nous, tu crois vraiment que j’ai besoin d’aide ? » à l’idée qu’elle ait pu comprendre ses mots pourtant si anodins, il lâcha un petit rire nerveux. Bordel, ça relevait presque de la paranoïa, là.
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Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
Rps en cours :
Attention à la chute !
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Elliott adressa un sourire à Rosy. Taquin, il l’avait plaisantée sur son éventuel côté girly. En réalité, il connaissait assez la jeune femme pour savoir que ces mots là pourraient presque sonner comme une insulte, pour elle. Seulement voilà, il n’avait pas pu s’en empêcher ; aussi avait-il eu un petit sourire amusé, attendant sa réaction, en lui tendant les patins, en réalité, l’une des rares paires restantes dans la pointure de la jeune femme. Lui adressant un clin d’oeil, il rit légèrement tandis qu’elle prenait la paire. Et mettant lui aussi la sienne, il répondit « oh, c’est trop mignon ! Toi ? Vouloir me faire plaisir ? j’pourrais presque en verser une larmichette ! » et lui adressant un clin d’oeil il se mit à rire « non. Si ça peut te rassurer… j’sais qu’c’est pas ton truc. J’voulais juste t’embêter. Qu’est ce que tu veux, y’a des choses qui changent pas, on dirait, n’est ce pas ? »
Question fatidique. Il ne s’y était pas préparé, et pourtant. Il aurait du se douter, que la raison de son confinement serait évoquée, à un moment ou un autre. Lui qui faisait tout pour montrer son meilleur jour, voilà qu’il était confronté à un énorme dilemme : dire la vérité et passer pour un imbécile, peut-être même un fou furieux, ou mentir ? Impossible de se résoudre à user de mensonge face à Rosy, il prit le parti de la sincérité. Tant pis. Son masque de type relativement bien allait voler en éclat. C’était un risque à prendre.
Soulagé par la réaction de Rosy qui semblait plus s’en amuser qu’autre chose, il se mit à son tour à rire, avant d’hausser les épaules « quelle idée, tu dis ? Ben… celle d’un mec à trois grammes, visiblement ! » il éclata de rire avant de grimacer. En temps normal, se faire reprendre comme un gosse par son agent était déjà dégradant, mais allez savoir pourquoi, il se sentait particulièrement honteux, écoutant les paroles de Rosy, pourtant bienveillante. A cet instant, Elliott n’était plus rouge. Il était cramoisi. Et ce n’était pas à cause du froid. Il sentait battre son coeur dans ses oreilles. Perturbant, comme sensation : ça le renvoyait des années plus tôt, lorsqu’il avait commencé le théâtre, un peu par hasard, pour battre cette timidité de gosse introverti…
Pour ne pas perdre la face, Elliott se mit à rire « je n’ai jamais dit que je ne comprenais pas pourquoi il l’avait fait… mais tu as raison. J’y suis allé un peu fort, cette fois-ci. J’vais… éviter les bars pendant quelques temps. » et lui adressant un clin d’oeil, il désigna le stand de boissons chaudes d’un mouvement de tête « un chocolat… c’est très bien, aussi. Et… carrément moins dangereux ! » ricanant, il termina de lasser ses patins, et suivit Rosylia, malhabile sur ses patins… il sourit, voulant lui donner l’illusion de contrôler son moindre fait ou geste. Spoiler alert, intérieurement, il commençait à se demander ce qu’il foutait là… Mais hors de question de se séparer de Rosy. Continuant à jouer les durs, il s’élança sur la glace, essayant par la même occasion de prendre de l’assurance. Attrapant la main que Rosy lui avait tendu, il lui adressa un sourire :
« Bien sûr, que j’le sais. Et d’ailleurs, ça nous fait un point commun. J’suis pas du genre à me défiler » mauvaise fois, quand tu nous tiens. Il semblait oublier son départ précipité, le même qui l’avait fait rester loin de son ancienne vie, loin de ses souvenirs, de peur de les affronter. Et surtout, loin de Rosy. Aujourd’hui, il s’en mordait les doigts. Lui adressant un sourire, il continua « bon, d’accord, mais c’est bien parce que c’est toi ! Pfff ! Moi ? Me tenir aux barrières ? c’est mal me connaître Mlle Torres !» et riant légèrement, il serra doucement sa main « on essaye de faire un tour ? »
Question fatidique. Il ne s’y était pas préparé, et pourtant. Il aurait du se douter, que la raison de son confinement serait évoquée, à un moment ou un autre. Lui qui faisait tout pour montrer son meilleur jour, voilà qu’il était confronté à un énorme dilemme : dire la vérité et passer pour un imbécile, peut-être même un fou furieux, ou mentir ? Impossible de se résoudre à user de mensonge face à Rosy, il prit le parti de la sincérité. Tant pis. Son masque de type relativement bien allait voler en éclat. C’était un risque à prendre.
Soulagé par la réaction de Rosy qui semblait plus s’en amuser qu’autre chose, il se mit à son tour à rire, avant d’hausser les épaules « quelle idée, tu dis ? Ben… celle d’un mec à trois grammes, visiblement ! » il éclata de rire avant de grimacer. En temps normal, se faire reprendre comme un gosse par son agent était déjà dégradant, mais allez savoir pourquoi, il se sentait particulièrement honteux, écoutant les paroles de Rosy, pourtant bienveillante. A cet instant, Elliott n’était plus rouge. Il était cramoisi. Et ce n’était pas à cause du froid. Il sentait battre son coeur dans ses oreilles. Perturbant, comme sensation : ça le renvoyait des années plus tôt, lorsqu’il avait commencé le théâtre, un peu par hasard, pour battre cette timidité de gosse introverti…
Pour ne pas perdre la face, Elliott se mit à rire « je n’ai jamais dit que je ne comprenais pas pourquoi il l’avait fait… mais tu as raison. J’y suis allé un peu fort, cette fois-ci. J’vais… éviter les bars pendant quelques temps. » et lui adressant un clin d’oeil, il désigna le stand de boissons chaudes d’un mouvement de tête « un chocolat… c’est très bien, aussi. Et… carrément moins dangereux ! » ricanant, il termina de lasser ses patins, et suivit Rosylia, malhabile sur ses patins… il sourit, voulant lui donner l’illusion de contrôler son moindre fait ou geste. Spoiler alert, intérieurement, il commençait à se demander ce qu’il foutait là… Mais hors de question de se séparer de Rosy. Continuant à jouer les durs, il s’élança sur la glace, essayant par la même occasion de prendre de l’assurance. Attrapant la main que Rosy lui avait tendu, il lui adressa un sourire :
« Bien sûr, que j’le sais. Et d’ailleurs, ça nous fait un point commun. J’suis pas du genre à me défiler » mauvaise fois, quand tu nous tiens. Il semblait oublier son départ précipité, le même qui l’avait fait rester loin de son ancienne vie, loin de ses souvenirs, de peur de les affronter. Et surtout, loin de Rosy. Aujourd’hui, il s’en mordait les doigts. Lui adressant un sourire, il continua « bon, d’accord, mais c’est bien parce que c’est toi ! Pfff ! Moi ? Me tenir aux barrières ? c’est mal me connaître Mlle Torres !» et riant légèrement, il serra doucement sa main « on essaye de faire un tour ? »
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Situation financière : Tu es médecin et ta famille est l'une des plus fortunées de Washington. Ton futur mari, l'est aussi. Que demander de mieux ? Il paraît que l'argent ne fait pas le bonheur, tu en es la plus belle preuve.
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Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
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Situation amoureuse : Célibatard
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Rps en cours :
« j’te reconnais bien là ! » avais-tu lancé, moqueur à Rosylia qui t’avouait vouloir se faire payer un chocolat. Si ça t’avait dérangé ? Absolument pas : tu savais que c’était sur le ton de la vanne. Aussi avais-tu haussé les épaules, un air détaché sur le visage : « de toutes façons, j’comptais bien te l’offrir. Un mec bien ne laisse pas payer une jolie fille, selon mon papa ! » Tu t’étais mis à rire, lui adressant un clin d’oeil et tout comme elle, tu t’étais enfin décidé à faire le grand saut : il n’aurait plus manqué que de passer pour une mauviette, en plus d’un fuyard ; tu ne pouvais tout de même pas avoir tous les travers du monde, c’était ta fierté personnelle qui était en jeu !
Premier pas sur la glace qui semblait bien se passer. Puis deuxième. Là, tu te forçais à prendre confiance. Ou plutôt : donner l’impression que t’étais en confiance. Parce qu’intérieurement, tu commençait à compter les secondes sans risquer de te casser la gueule. Volontiers, t’avais attrapé la main de Rosy. Visiblement, tu ne la dupais pas une seule seconde. Et pour cause ! Si on t’avait demandé vous pouvez m’la r’faire sans trembler des g’noux, celle-là ? tu serais très probablement parti en courant. Toi qui voulais jouer les braves, t’avais bien raté ton coup ! Soupirant légèrement, t’avais adressé un énorme sourire à Rosy. Finalement, au bout de quelques secondes d’adaptation, glisser sur tes patins t’était même plutôt agréable. T’en étais pas encore au point d’aller faire des triples axels, mais tu te sentais déjà un peu plus à l’aise. Assez, du moins, pour pouvoir parler à Rosy sans rester concentré sur tes moindres faits et gestes pour éviter la chute. Et finalement, c’était peut-être pas un mal, d’être aussi concentré. Au moins, ça t’empêchait de lui parler justement. Et donc de risquer cette pique gratuite, mais justifiée, que la jeune femme venait tout juste de t’asséner. « Ok. Elle était justifiée celle-là. » t’étais tu contenté de répondre, résigné. Inutile de remuer des couteaux dans des plaies bien trop profondes pour toi, et visiblement pour elle. Bon, ok, t’étais loin de te douter de l’ampleur des dégâts chez elle, mais visiblement, ils étaient assez présents pour qu’elle puisse te balancer ce genre de trucs… à sa place, t’aurais probablement été pire. T’as soupiré. eh merde. tu crevais d’envie de lui dire que t’avais changé, qu’tu voulais plus te barrer, qu’t’étais prêt à tout lui dire. Mais au fond, cette vérité, étais-tu bien certain de vouloir l’entendre sortir de ta bouche. Mais tu n’en avais pas réellement eu le temps. Car avant que tu puisse ouvrir le bouche, elle s’était élancée sur la glace, toi accroché à elle comme on se raccroche à la vie. Surpris t’avais lancé « Rosyyyyy naaaaon ! » manquant de tomber lourdement, tu ne savais pas toi même comment tu t’étais rattrapé, et mort de rire, t’avais fini par lancer : « prévient la prochaine fois que tu veux nous faire un démarrage en trombes à la Mario Kart ! » Quelques tours supplémentaires, t’avais fini par prendre réellement tes aises ; assez pour tenter des trucs sans manquer de te vautrer sauvagement. De temps à autre, ton regard croisait celui de Rosy, ce qui faisait renaître, malgré toi, un énorme sourire jusqu’à tes oreilles. « eh, faut dire que j’ai sur qui prendre exemple ! » lui avais-tu répondu dans un clin d’oeil avant de t’adosser à la barrière et tu t’étais mis à rire « grave ! On se débrouille plutôt bien finalement ! Pas que je doutais de toi, hein ? » tu t’étais mis à rire avant de clarifier « en fait… j’m’étonne assez. J’étais convaincu que j’aurais fini en grand écart assez douloureux en moins de trentes secondes » et riant légèrement, tu t’étais lancé de nouveau : « on y retourne ? »
Premier pas sur la glace qui semblait bien se passer. Puis deuxième. Là, tu te forçais à prendre confiance. Ou plutôt : donner l’impression que t’étais en confiance. Parce qu’intérieurement, tu commençait à compter les secondes sans risquer de te casser la gueule. Volontiers, t’avais attrapé la main de Rosy. Visiblement, tu ne la dupais pas une seule seconde. Et pour cause ! Si on t’avait demandé vous pouvez m’la r’faire sans trembler des g’noux, celle-là ? tu serais très probablement parti en courant. Toi qui voulais jouer les braves, t’avais bien raté ton coup ! Soupirant légèrement, t’avais adressé un énorme sourire à Rosy. Finalement, au bout de quelques secondes d’adaptation, glisser sur tes patins t’était même plutôt agréable. T’en étais pas encore au point d’aller faire des triples axels, mais tu te sentais déjà un peu plus à l’aise. Assez, du moins, pour pouvoir parler à Rosy sans rester concentré sur tes moindres faits et gestes pour éviter la chute. Et finalement, c’était peut-être pas un mal, d’être aussi concentré. Au moins, ça t’empêchait de lui parler justement. Et donc de risquer cette pique gratuite, mais justifiée, que la jeune femme venait tout juste de t’asséner. « Ok. Elle était justifiée celle-là. » t’étais tu contenté de répondre, résigné. Inutile de remuer des couteaux dans des plaies bien trop profondes pour toi, et visiblement pour elle. Bon, ok, t’étais loin de te douter de l’ampleur des dégâts chez elle, mais visiblement, ils étaient assez présents pour qu’elle puisse te balancer ce genre de trucs… à sa place, t’aurais probablement été pire. T’as soupiré. eh merde. tu crevais d’envie de lui dire que t’avais changé, qu’tu voulais plus te barrer, qu’t’étais prêt à tout lui dire. Mais au fond, cette vérité, étais-tu bien certain de vouloir l’entendre sortir de ta bouche. Mais tu n’en avais pas réellement eu le temps. Car avant que tu puisse ouvrir le bouche, elle s’était élancée sur la glace, toi accroché à elle comme on se raccroche à la vie. Surpris t’avais lancé « Rosyyyyy naaaaon ! » manquant de tomber lourdement, tu ne savais pas toi même comment tu t’étais rattrapé, et mort de rire, t’avais fini par lancer : « prévient la prochaine fois que tu veux nous faire un démarrage en trombes à la Mario Kart ! » Quelques tours supplémentaires, t’avais fini par prendre réellement tes aises ; assez pour tenter des trucs sans manquer de te vautrer sauvagement. De temps à autre, ton regard croisait celui de Rosy, ce qui faisait renaître, malgré toi, un énorme sourire jusqu’à tes oreilles. « eh, faut dire que j’ai sur qui prendre exemple ! » lui avais-tu répondu dans un clin d’oeil avant de t’adosser à la barrière et tu t’étais mis à rire « grave ! On se débrouille plutôt bien finalement ! Pas que je doutais de toi, hein ? » tu t’étais mis à rire avant de clarifier « en fait… j’m’étonne assez. J’étais convaincu que j’aurais fini en grand écart assez douloureux en moins de trentes secondes » et riant légèrement, tu t’étais lancé de nouveau : « on y retourne ? »
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