- Elliott S. CollinsClap along if you feel
like happiness is the truth - Pseudo : Ajar
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Points : 88
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Date d'inscription : 20/10/2020
Âge : 28 ans
Situation financière : A l'abri du besoin
Situation amoureuse : Célibatard
Orientation sexuelle : Hétéro
Habitation : Un loft
Emploi/études : Comédien aux yeux de tous, médecin aux yeux de son père
Multicomptes : Tamara, Ulysse, Milan, Archie
Rps en cours :
Depuis que Charlie était partie, Elliott tenait le coup. Comme tout le monde, il avait eu des moments difficiles. Et à l’annonce de la disparition aussi soudaine que prématurée de « la femme de sa vie », sa première réaction avait été la fuite. Fini pour lui, d’être le sauveur de qui que ce fut là où il n’était finalement pas capable de sauver qui que ce soit, pas même lui. Fini de suivre des cours pour de mauvaises raisons et surtout : fini l’attachement bien trop douloureux pour décider délibérément de réitérer l’expérience. Depuis le départ de Charlie, Elliott vivait pour lui et pour lui seul. Trop fier pour admettre qu’il avait mal, lui le boutte-en-train habituellement souriant face au moindre ennui, il avait coupé les ponts avec certaines personnes, pourtant proches de lui. Pas parce qu’il ne les aimait plus ou ne les avait jamais aimées. Simplement car le silence était bien plus simple à garder que de mettre des mots sur ses névroses et ses traumatismes. Une nouvelle vie irait de pair avec de nouvelles personnes, qui ne sauraient jamais ce qu’il avait traversé.
Bien évidemment, exception était faite de sa famille. Il ne pouvait pas se résoudre à disparaître des radars du jour au lendemain. Son père restait son père. Et sa vie sans ses frère aurait probablement été le chaos le plus absolu. A eux, il avait eu le courage de leur dire la vérité. A son père, en revanche… c’était une autre histoire : Elliott n’avait jamais eu le courage de lui expliquer la vérité. Et revenait avec des témoignages extraordinaires de salles d’opération où il n’avait paradoxalement jamais mis les pieds.
La fuite, donc. Pour embrasser ses envies les plus profondes, celles qui l’avaient toujours animé, depuis gamin. Le théâtre et la scène. Ces deux amours, il s’y était accroché comme on se raccrochait à la vie. D’abord pour s’occuper et ne plus penser à rien, ils étaient vite devenus pour lui son unique condition de survie. Et lorsqu’il ne crachait pas ses émotions aux visages ébahis des spectateurs, il trouvait toujours un prétexte pour sortir. « se changer les idées », « fêter la victoire », « profiter de ses amis » ou « un pot purement professionnel » ne cachaient tous qu’une seule et même réalité : Elliott détestait la solitude et le silence des murs de son loft trop grand pour lui seul et préférait bien plus le bain de foule au showroom ikéa pourtant décoré avec goût. Le monde de la nuit l’appelait sans cesse, c’était plus fort que lui.
Il avait pourtant prévu de rester sage ce soir là. Douché et en conditions pour passer une bonne soirée (comprenez par là : un jogging et un sweat dans lesquels il adorait s’emmitoufler lorsque les soirées se faisaient fraiches et qu’il pouvait trainer chez lui) , plateau dévoré, abruti devant sa télé, il avait pris le parti d’aller se coucher tôt. Mais une fois que sa tête s’était heurtée à son oreiller, il ne trouva plus aucun moyen de retrouver ce sommeil qui lui avait pourtant tendu les bras quelques secondes plus tôt. Une fois encore, Charlie hantait ses pensées. Il tenta de lire. Rien n’y fit. La méditation. Encore pire : être conscient de ne pas arriver à débrancher son cerveau le rendait encore plus difficile à débrancher ; Et ce foutu pied, ce pied qui pourtant d’habitude n’avait rien de particulier, pourquoi diable avait il fallu qu’il se mette tout à coup à le démanger au même point qu’une aiguille l’aurait fait, venant le picoter inlassablement ; le frustrant au point de devoir se lever de guerre lasse ?
- Eh merde.
Une fois de plus, il allait sortir. Pas pour se saouler d’alcool, mais de bruit. Entendre le monde se mouvoir, voilà ce dont il allait avoir besoin. Pourquoi pas rentrer en bonne compagnie, on pouvait avoir de bonnes surprises…
-----
Cela faisait maintenant quelques heures, qu’il était entré dans la boite. Un verre, puis deux, puis dix. Shots. L’avantage, lorsque l’on commençait à être éméché, c’était l’amitié que le monde entier nous portait. Les trois quarts de la boite étant devenus meilleurs potes de soirée du comédien, qui se sentait d’accoster le monde entier pour une danse, un verre, ou un simple échange salivaire en bonne et due forme…
Ses états d’âme le laissaient tranquille et enfin, Elliott était heureux, profitant totalement de l’instant qu’il était en train de vivre. Si bien qu’il remarqua cette jeune fille. Enfin. Ca, il n’en savait pas grand-chose, car il ne pouvait pas voir son visage ; elle qui lui tournait le dos. Il alla commander deux verres, observant la demoiselle danser, incapable de décoller son regard de ses boucles brunes qui se balançaient au rythme des danses de la brunette… Là, il réussit la périlleuse mission de se frayer un chemin jusqu’à elle, sans même renverser les consommations qu’il venait de récupérer…
- Salut,Moi c'est Elliott ! j’peux t’offrir un verre ? Les stroboscopes aveuglaient Elliott qui ne parvenait pas à distinguer correctement les traits de son interlocutrice alors qu’il lui tendait sa boisson. Technique de drague tout aussi minable que claquée, il ouvrit de grands yeux lorsqu’il réalisa que ce visage lui était familier. Bouche bée à s’en décrocher la mâchoire, il n’en croyait pas ses yeux, si bien qu’il en échappa son verre :
- Nom de dieu… Rosylia, c’est bien toi ??
@Rosylia A. Torres Bien évidemment, exception était faite de sa famille. Il ne pouvait pas se résoudre à disparaître des radars du jour au lendemain. Son père restait son père. Et sa vie sans ses frère aurait probablement été le chaos le plus absolu. A eux, il avait eu le courage de leur dire la vérité. A son père, en revanche… c’était une autre histoire : Elliott n’avait jamais eu le courage de lui expliquer la vérité. Et revenait avec des témoignages extraordinaires de salles d’opération où il n’avait paradoxalement jamais mis les pieds.
La fuite, donc. Pour embrasser ses envies les plus profondes, celles qui l’avaient toujours animé, depuis gamin. Le théâtre et la scène. Ces deux amours, il s’y était accroché comme on se raccrochait à la vie. D’abord pour s’occuper et ne plus penser à rien, ils étaient vite devenus pour lui son unique condition de survie. Et lorsqu’il ne crachait pas ses émotions aux visages ébahis des spectateurs, il trouvait toujours un prétexte pour sortir. « se changer les idées », « fêter la victoire », « profiter de ses amis » ou « un pot purement professionnel » ne cachaient tous qu’une seule et même réalité : Elliott détestait la solitude et le silence des murs de son loft trop grand pour lui seul et préférait bien plus le bain de foule au showroom ikéa pourtant décoré avec goût. Le monde de la nuit l’appelait sans cesse, c’était plus fort que lui.
Il avait pourtant prévu de rester sage ce soir là. Douché et en conditions pour passer une bonne soirée (comprenez par là : un jogging et un sweat dans lesquels il adorait s’emmitoufler lorsque les soirées se faisaient fraiches et qu’il pouvait trainer chez lui) , plateau dévoré, abruti devant sa télé, il avait pris le parti d’aller se coucher tôt. Mais une fois que sa tête s’était heurtée à son oreiller, il ne trouva plus aucun moyen de retrouver ce sommeil qui lui avait pourtant tendu les bras quelques secondes plus tôt. Une fois encore, Charlie hantait ses pensées. Il tenta de lire. Rien n’y fit. La méditation. Encore pire : être conscient de ne pas arriver à débrancher son cerveau le rendait encore plus difficile à débrancher ; Et ce foutu pied, ce pied qui pourtant d’habitude n’avait rien de particulier, pourquoi diable avait il fallu qu’il se mette tout à coup à le démanger au même point qu’une aiguille l’aurait fait, venant le picoter inlassablement ; le frustrant au point de devoir se lever de guerre lasse ?
- Eh merde.
Une fois de plus, il allait sortir. Pas pour se saouler d’alcool, mais de bruit. Entendre le monde se mouvoir, voilà ce dont il allait avoir besoin. Pourquoi pas rentrer en bonne compagnie, on pouvait avoir de bonnes surprises…
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Cela faisait maintenant quelques heures, qu’il était entré dans la boite. Un verre, puis deux, puis dix. Shots. L’avantage, lorsque l’on commençait à être éméché, c’était l’amitié que le monde entier nous portait. Les trois quarts de la boite étant devenus meilleurs potes de soirée du comédien, qui se sentait d’accoster le monde entier pour une danse, un verre, ou un simple échange salivaire en bonne et due forme…
Ses états d’âme le laissaient tranquille et enfin, Elliott était heureux, profitant totalement de l’instant qu’il était en train de vivre. Si bien qu’il remarqua cette jeune fille. Enfin. Ca, il n’en savait pas grand-chose, car il ne pouvait pas voir son visage ; elle qui lui tournait le dos. Il alla commander deux verres, observant la demoiselle danser, incapable de décoller son regard de ses boucles brunes qui se balançaient au rythme des danses de la brunette… Là, il réussit la périlleuse mission de se frayer un chemin jusqu’à elle, sans même renverser les consommations qu’il venait de récupérer…
- Salut,Moi c'est Elliott ! j’peux t’offrir un verre ? Les stroboscopes aveuglaient Elliott qui ne parvenait pas à distinguer correctement les traits de son interlocutrice alors qu’il lui tendait sa boisson. Technique de drague tout aussi minable que claquée, il ouvrit de grands yeux lorsqu’il réalisa que ce visage lui était familier. Bouche bée à s’en décrocher la mâchoire, il n’en croyait pas ses yeux, si bien qu’il en échappa son verre :
- Nom de dieu… Rosylia, c’est bien toi ??
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Situation financière : Tu es médecin et ta famille est l'une des plus fortunées de Washington. Ton futur mari, l'est aussi. Que demander de mieux ? Il paraît que l'argent ne fait pas le bonheur, tu en es la plus belle preuve.
Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
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Le regard dans le vague, immobile, restant bouche bée, il maudissait le destin d’avoir mis Rosylia sur sa route. Nom de dieu, combien de chances y avait-il pour qu’il tombe sur elle ? n’aurait-il pas pu draguer sa voisine, qui semblait être la parfaite pintade de boite de nuit avec laquelle il aurait pu passer la nuit pour passer le temps ? Son regard aimanté par la jeune femme dont les mots se faisaient incompréhensibles aux oreilles d’Elliott, le brun eut un vertige. Une étrange impression de légèreté, de clarté éblouissante. Physiquement dans la boite, mentalement ailleurs, à mille lieues d’ici, avant cette rencontre dont l’ironie du sort avait le secret.
Il se revoyait là, sur les bancs de l’amphi, prêt à tout pour sauver Charlie de plus en plus faible et fragile. Si fragile que la brise aurait pu l’emporter. Ces cours suivis avec Rosylia d’abord par hasard, placé à côté d’elle comme il aurait pu s’installer au rang du dessus, devenu avec le temps un rendez-vous sacré qu’il n’avait plus jamais raté, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige… où qu’il ait eu la pire des grippes. Tout lui aurait été supportable pour venir en cours.
Pour venir en cours, oui. Bien évidemment, ça n’avait jamais trompé personne. Mais Elliott, lui, culpabilisait : Charlie était malade. Et ce petit jeu qui s’instaurait entre Rosylia et lui commençait à se rendre indispensable, composante indissociable de son cursus et de ses motivations pourtant si honorables sur le papier. Une chose était certaine, il aimait sincèrement Charlie. Et peu à peu ces sentiments naissants pour Rosy lui pesèrent de plus en plus. Incapable de lui expliquer le comment du pourquoi il partirait, il avait préféré disparaître, le coeur lourd. Charlie venait de le quitter pour toujours et malgré elle, il n’était pas prêt, Rosy méritait autre chose qu’un mec pleurant sur son sort : fin de l’histoire.
Retour à la réalité. Toujours tétanisé face à la brunette, il imaginait la vie qu’ils auraient pu avoir, s’il avait pris son courage à deux mains. Au moins rester amis. Ne pas lui laisser le loisir de penser qu’il était parti par sa faute… En réalité, c’était même le contraire : pour elle, il aurait pu rester si elle le lui avait demandé. Et dieu seul savait comme il s’en voulait d’être parti de la sorte… En toute franchise, il s’était même convaincu avec le temps qu’elle le détestait très probablement, à l’heure actuelle.
Reprenant tant bien que mal le dessus sur sa confusion, il lui adressa un sourire, gardant un regard toujours aussi surpris :
- La surprise est partagée, si je m’y étais attendu !
Il rit, mordillant nerveusement sa lèvre inférieure, se reprenant bien rapidement : - mais… pour dissiper tout malentendu… c’est une excellente surprise ! Il marqua une courte pause, jaugeant chaque geste, la moindre micro-réaction de la demoiselle , mémorisant chacun de ces traits qui pourtant lui avaient autrefois été si familiers et qui lui avaient tant manqué; Piqûre de rappel lui gonflant le coeur et lui arrachant un sourire des plus sincères.
S’éloignant légèrement de la foule qui se mouvait et chantait en rythme, tendant sa main à Rosylia, il hasarda :
- Moi non plus, j’aurais jamais cru ! j’suis trop content ! Il rit légèrement. Il avait beau tenter de calmer son enthousiasme, vous savez ce qu’on dit : chassez le naturel : il reviendra au galop. Se dirigeant vers le bar en surveillant bien que la demoiselle le suive -il n’avait pas l’intention de la perdre une fois de plus, sitôt retrouvée- , il s'accouda au zinc et commanda un autre verre, s’assurant qu’elle n’avait besoin de rien. Puis sans attendre, il poursuivit, un air amusé fiché sur le visage : Bon, comme tu peux le voir… j’suis toujours aussi maladroit, en atteste le verre éclaté au sol sur lequel au moins dix de ces meufs vont se défoncer les pieds avec leurs sandales. Mais…toi, qu’est ce que tu deviens ?
Il se revoyait là, sur les bancs de l’amphi, prêt à tout pour sauver Charlie de plus en plus faible et fragile. Si fragile que la brise aurait pu l’emporter. Ces cours suivis avec Rosylia d’abord par hasard, placé à côté d’elle comme il aurait pu s’installer au rang du dessus, devenu avec le temps un rendez-vous sacré qu’il n’avait plus jamais raté, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige… où qu’il ait eu la pire des grippes. Tout lui aurait été supportable pour venir en cours.
Pour venir en cours, oui. Bien évidemment, ça n’avait jamais trompé personne. Mais Elliott, lui, culpabilisait : Charlie était malade. Et ce petit jeu qui s’instaurait entre Rosylia et lui commençait à se rendre indispensable, composante indissociable de son cursus et de ses motivations pourtant si honorables sur le papier. Une chose était certaine, il aimait sincèrement Charlie. Et peu à peu ces sentiments naissants pour Rosy lui pesèrent de plus en plus. Incapable de lui expliquer le comment du pourquoi il partirait, il avait préféré disparaître, le coeur lourd. Charlie venait de le quitter pour toujours et malgré elle, il n’était pas prêt, Rosy méritait autre chose qu’un mec pleurant sur son sort : fin de l’histoire.
Retour à la réalité. Toujours tétanisé face à la brunette, il imaginait la vie qu’ils auraient pu avoir, s’il avait pris son courage à deux mains. Au moins rester amis. Ne pas lui laisser le loisir de penser qu’il était parti par sa faute… En réalité, c’était même le contraire : pour elle, il aurait pu rester si elle le lui avait demandé. Et dieu seul savait comme il s’en voulait d’être parti de la sorte… En toute franchise, il s’était même convaincu avec le temps qu’elle le détestait très probablement, à l’heure actuelle.
Reprenant tant bien que mal le dessus sur sa confusion, il lui adressa un sourire, gardant un regard toujours aussi surpris :
- La surprise est partagée, si je m’y étais attendu !
Il rit, mordillant nerveusement sa lèvre inférieure, se reprenant bien rapidement : - mais… pour dissiper tout malentendu… c’est une excellente surprise ! Il marqua une courte pause, jaugeant chaque geste, la moindre micro-réaction de la demoiselle , mémorisant chacun de ces traits qui pourtant lui avaient autrefois été si familiers et qui lui avaient tant manqué; Piqûre de rappel lui gonflant le coeur et lui arrachant un sourire des plus sincères.
S’éloignant légèrement de la foule qui se mouvait et chantait en rythme, tendant sa main à Rosylia, il hasarda :
- Moi non plus, j’aurais jamais cru ! j’suis trop content ! Il rit légèrement. Il avait beau tenter de calmer son enthousiasme, vous savez ce qu’on dit : chassez le naturel : il reviendra au galop. Se dirigeant vers le bar en surveillant bien que la demoiselle le suive -il n’avait pas l’intention de la perdre une fois de plus, sitôt retrouvée- , il s'accouda au zinc et commanda un autre verre, s’assurant qu’elle n’avait besoin de rien. Puis sans attendre, il poursuivit, un air amusé fiché sur le visage : Bon, comme tu peux le voir… j’suis toujours aussi maladroit, en atteste le verre éclaté au sol sur lequel au moins dix de ces meufs vont se défoncer les pieds avec leurs sandales. Mais…toi, qu’est ce que tu deviens ?
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Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
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Malgré lui, Elliott rejouait encore et encore leurs retrouvailles. Il fallait dire qu’elles avaient été étranges. Et surtout, d’une banalité sans nom. Depuis qu’il était parti, il fallait dire qu’il les avait imaginées cent fois. Dignes d’un de ces films dont pourtant il avait toujours aimé se moquer, son imagination les lui avaient faites voir, si douces, si fortes, si belles. Pourquoi pas dans le hall d’un aéroport, ou même à l’école de médecine. Là, attendant dans le froid à la grille, il attendrait qu’elle sorte, l’attrapant par les hanches. Replaçant ses cheveux sur ses épaules pour dégager son visage qu’il prendrait entre ses mains doucement, il l’embrasserait, l’haleine gelée d’avoir attendu sous la neige de décembre. Il lui promettrait monts et merveilles qu’elle refuserait sans doute : Rosy n’avait jamais été le genre pimbêche fragile à fondre devant les belles paroles d’un crétin endimanché… Ou peut-être avait elle bien caché cette facette de sa personnalité à Elliott.
Quelques fois, il la rêvait si fort qu’il sentait sa présence. Le plus souvent, il lui chantait la sérénade, sous ses fenêtres. Et c’était à chaque fois au moment de recevoir un seau d’eau ou un pot de fleurs sur la tête qu’il se réveillait en sursaut, chutant de son lit. RI.DI.CULE. C’était dans des moments comme ceux-cis, qu’Elli était heureux, que la médecine n’ait encore pas trouvé le moyen d’enregistrer les rêves sous formes d’images.
Pourtant, cette fois ci, ce n’était pas un rêve. Rosylia était bien là, sous ses yeux. Et il n’était pas prêt à la laisser partir sans demander son reste. Après tout, six ans sans donner de nouvelles, ça en faisait, des gestes en retard. Des actes manqués. Des non-dis : en clair, du temps à rattraper.
Riant légèrement, il hocha la tête en signe d’approbation rassurée à ses mots, passant une main sur sa nuque, tentant de dissimuler sa gêne. Lui, qui pourtant aimait sortir et séduire la moindre pervenche effarouchée qui voudrait bien passer la nuit entre ses draps, se retrouvait sans armes face à Rosy. Déstabilisé, il s’installa au bar, écoutant la jeune femme. Il espérait rattraper son retard. Etait-elle mariée ? Avait elle des enfants ? Bien évidemment, on ne rattrapait pas autant d’années en un claquement de doigts. Lui avait raté sa chance mais elle ? Était-elle heureuse ? c’était là tout ce qu’il lui souhaitait.
Souriant, il leva son verre à son annonce : - Félicitations ! Il doit être fier, ton père. Riant, il lui adressa un clin d’oeil, soupirant légèrement à regrets : j’aurais adoré être à ta remise de diplôme tu sais… là, il prit une gorgée de son verre. Fierté de la réussite de la brunette teintée de regrets de n’avoir pas su être là pour elle ; de rancoeur envers ce père qui avait volé la vie de la jeune femme, il sourit pour se donner une contenance, reposant son cocktail, avant de demander : Je vois qu’on ne se refuse rien ! Riant, il poursuivit : ça te plait au moins ? Ca doit être épuisant… j’suis impressionné ! d’ailleurs… comment va ton père ? Toujours le même ? Il lui adressa un léger sourire, sachant combien il pouvait être exigeant avec sa fille. D’ailleurs, c’était souvent en discutant avec Rosylia, qu’il relativisait : son père savait être dur avec lui et ses rêves de planches et de gloire, pourtant, il s’estimait chanceux. Après tout, ce n’était pas lui qui avait obligé Elliott à faire médecine…
Et à l’annonce de la jeune femme, il cracha la nouvelle gorgée de son verre qu’il venait tout juste de prendre en bouche :
- attends… attends quoi ? Mais… quoi ? Et… euhm… Ta marque de papier toilettes : rassure moi, ils t’en laissent le choix, quand même ??
Ouvrant des yeux ronds comme des soucoupes, il essuya sa bouche, s’excusant de son geste : - désolé. Tu vas croire que j’suis devenu un gros crado avec le temps mais j’ai juste été pris par la surprise ! Wow ! Du coup… euhm… Qui est l’heureux élu ? Aedan… t’étais pas censée… enfin ??? Il soupira, un peu déboussolé J’suis sincèrement désolé Rosy. J’imagine pas toute la pression que tu dois subir… D’un geste bienveillant, il passa sa main sur son bras, doucement, lui adressant un sourire. Comme un vieux réflexe, contact qui lui avait tant manqué...
Un peu largué, il fronça les sourcils tentant de recoller les morceaux, répondant d’un haussement d’épaules à sa question : - Oh, tu sais… moi… je… suis un grand médecin renommé maintenant ! Chirurgien cardiaque, même ! Enfin. Tu diras ça à mon père si jamais tu le croise, hein ? mordillant sa lèvre inférieure un peu nerveux, il réfléchit, évitant soigneusement la raison de son départ, quelques années plus tôt : sinon, j’suis aussi… agent secret, magicien, prêtre, chanteur, sdf… riant légèrement, il termina son verre avant de poursuivre : en fait, l’avantage quand t’es comédien, c’est… qu’t’es un peu comme barbie : tu deviens qui tu veux !
Quelques fois, il la rêvait si fort qu’il sentait sa présence. Le plus souvent, il lui chantait la sérénade, sous ses fenêtres. Et c’était à chaque fois au moment de recevoir un seau d’eau ou un pot de fleurs sur la tête qu’il se réveillait en sursaut, chutant de son lit. RI.DI.CULE. C’était dans des moments comme ceux-cis, qu’Elli était heureux, que la médecine n’ait encore pas trouvé le moyen d’enregistrer les rêves sous formes d’images.
Pourtant, cette fois ci, ce n’était pas un rêve. Rosylia était bien là, sous ses yeux. Et il n’était pas prêt à la laisser partir sans demander son reste. Après tout, six ans sans donner de nouvelles, ça en faisait, des gestes en retard. Des actes manqués. Des non-dis : en clair, du temps à rattraper.
Riant légèrement, il hocha la tête en signe d’approbation rassurée à ses mots, passant une main sur sa nuque, tentant de dissimuler sa gêne. Lui, qui pourtant aimait sortir et séduire la moindre pervenche effarouchée qui voudrait bien passer la nuit entre ses draps, se retrouvait sans armes face à Rosy. Déstabilisé, il s’installa au bar, écoutant la jeune femme. Il espérait rattraper son retard. Etait-elle mariée ? Avait elle des enfants ? Bien évidemment, on ne rattrapait pas autant d’années en un claquement de doigts. Lui avait raté sa chance mais elle ? Était-elle heureuse ? c’était là tout ce qu’il lui souhaitait.
Souriant, il leva son verre à son annonce : - Félicitations ! Il doit être fier, ton père. Riant, il lui adressa un clin d’oeil, soupirant légèrement à regrets : j’aurais adoré être à ta remise de diplôme tu sais… là, il prit une gorgée de son verre. Fierté de la réussite de la brunette teintée de regrets de n’avoir pas su être là pour elle ; de rancoeur envers ce père qui avait volé la vie de la jeune femme, il sourit pour se donner une contenance, reposant son cocktail, avant de demander : Je vois qu’on ne se refuse rien ! Riant, il poursuivit : ça te plait au moins ? Ca doit être épuisant… j’suis impressionné ! d’ailleurs… comment va ton père ? Toujours le même ? Il lui adressa un léger sourire, sachant combien il pouvait être exigeant avec sa fille. D’ailleurs, c’était souvent en discutant avec Rosylia, qu’il relativisait : son père savait être dur avec lui et ses rêves de planches et de gloire, pourtant, il s’estimait chanceux. Après tout, ce n’était pas lui qui avait obligé Elliott à faire médecine…
Et à l’annonce de la jeune femme, il cracha la nouvelle gorgée de son verre qu’il venait tout juste de prendre en bouche :
- attends… attends quoi ? Mais… quoi ? Et… euhm… Ta marque de papier toilettes : rassure moi, ils t’en laissent le choix, quand même ??
Ouvrant des yeux ronds comme des soucoupes, il essuya sa bouche, s’excusant de son geste : - désolé. Tu vas croire que j’suis devenu un gros crado avec le temps mais j’ai juste été pris par la surprise ! Wow ! Du coup… euhm… Qui est l’heureux élu ? Aedan… t’étais pas censée… enfin ??? Il soupira, un peu déboussolé J’suis sincèrement désolé Rosy. J’imagine pas toute la pression que tu dois subir… D’un geste bienveillant, il passa sa main sur son bras, doucement, lui adressant un sourire. Comme un vieux réflexe, contact qui lui avait tant manqué...
Un peu largué, il fronça les sourcils tentant de recoller les morceaux, répondant d’un haussement d’épaules à sa question : - Oh, tu sais… moi… je… suis un grand médecin renommé maintenant ! Chirurgien cardiaque, même ! Enfin. Tu diras ça à mon père si jamais tu le croise, hein ? mordillant sa lèvre inférieure un peu nerveux, il réfléchit, évitant soigneusement la raison de son départ, quelques années plus tôt : sinon, j’suis aussi… agent secret, magicien, prêtre, chanteur, sdf… riant légèrement, il termina son verre avant de poursuivre : en fait, l’avantage quand t’es comédien, c’est… qu’t’es un peu comme barbie : tu deviens qui tu veux !
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Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
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Multicomptes : Tamara, Ulysse, Milan, Archie
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Tentant de ne rien laisser paraître, Elliott mordillait sa lèvre inférieure. De prime abord, c’était simplement un tic de concentration, focalisé comme il était sur les lèvres de Rosylia qui n’avaient de cesse que de se mouvoir face à ses yeux médusés, comme hypnotisé par celles-ci. Cependant, lorsque l’on connaissait bien le comédien, on pouvait donner un tout autre sens à cet auto-grignotage labial. Les plus impatients d’entre nous auraient pu le supplier : mais pourquoi tu te fais du mal ?? t’as faim ? Prends un yahourt ! cette vision les insupportant. Pourtant, ce n’était pas une question de faim, mais de nervosité : Elliott avait toujours détesté le comportement des parents de Rosylia envers leur fille. Pourtant, jamais il n’avait osé faire quoique ce soit, si ce n’était encore d’écouter la demoiselle, le coeur gros, humble pour quelques instants. A chaque fois que Rosylia expliquait sa situation et les nouvelles imbécilités de ses parents, deux choses venaient en tête du brun : la première, elle devrait sans doute leur faire un fuck. D’ailleurs, il l’y aiderait avec grand plaisir, si elle le lui demandait. Et la seconde, plus personnelle, le rendait honteux. Lui, à qui son père n’avait jamais trop rien dit ni demandé, se sentait pourri gâté. Pire encore. A réaliser qu’il y avait pire que sa famille, il se sentait monstrueux de raconter toutes ces histoires plus grosses que lui de médecin, de réussite dans un petit patelin proche de Washington. Son père n’avait jamais compris pourquoi pas à Washington même, et pourquoi son fils refusait de le soigner. Pourtant, c’était aussi simple que ça : Elliott n’était pas plus en mesure que le boucher du coin de soigner qui que ce fut. Mais comment lui dire ? Dans le but de se donner une quelconque contenance, il prit quelques gorgées de son verre, soupirant, et manqua de s’étouffer à l’observation de la brunette :
- Ben… j’espère que ça n’arrivera jamais parce que… ce serait pas très légal tout ça… rassure moi : il n’a pas de cave au moins ? Lui adressant un clin d’oeil, il l’écouta de plus belle. Et lorsqu’elle évoqua sa remise de diplôme, il ne put pas faire autrement que de lui faire part de ce qui l’avait rongé depuis longtemps déjà. Cette absence. Il aurait aimé faire autrement. Mais il n’en avait pas eu la force, s’étant même convaincu qu’il ne manquerait pas tant que ça. Après tout, quoi de plus important que les bras d’une famille fière et aimante, même exigeante ? Ceux d’un ami proche ? Peut-être. Mais il ne l’avait compris que trop tard.
Moqueur, il arqua un sourcil, lui adressant un clin d’oeil : - Ingrate et impertinente ? Je vois que tu n’as pas changé, dis moi ! Mais tu sais quoi ? Ça tombe bien. Paraît que j’suis assez infernal dans mon genre moi aussi… je crois qu’on est faits pour s’entendre ! Et riant de bon coeur, il reposa son verre, vide.
Il adressa un sourire à la jeune femme. Il était sincèrement désolé pour elle. S’il avait pu d’ailleurs, il aurait très possiblement fait en sorte de mettre fin à tout ça. Après tout, les parents de Rosy ne le connaissaient que de loin, il n’avait pas grand-chose à faire d’un éventuel accrochage avec eux. Seulement voilà : Rosylia n’avait pas besoin de lui. Elle avait Aedan pour ça. Impuissant, il ne pouvait rester que spectateur de cette situation merdique. Alors plutôt que de se lamenter, il fit ce qu’il savait faire de mieux : chercher à désamorcer la situation, prendre la fuite grâce à l’humour.
- Bon… eh bien… dans ce cas… tu sais ce qui te reste à faire… fais toi kiffer. Triple épaisseur sinon rien !
Il lui adressa un clin d’oeil, avant de se lever, lui montrant son paquet de cigarettes :
- J’vais pas tarder à m’en griller une… tu m’accompagnes ? Et à son affirmation, il lui adressa un sourire, reprenant de plus belle : ça, je sais bien, qu’t’es têtue. Ca nous a valu quelques chamailleries, toi et moi, hm ? riant légèrement, il récupéra son téléphone qu’il mit dans sa poche, puis haussa une épaule à la conclusion de Rosylia, grimaçant, ses yeux étaient rivés sur son blouson qu’il récupérait :
- Hm… c’que j’fais… c’est pas franchement courageux, tu sais. J’le défie pas. Je l’évite. Il ne sait pas pour tout ça. Lui adressant un sourire vague, la volonté de faire passer la pilule un peu plus facilement grâce à celui-ci, il enfila sa veste qu’il ferma aussitôt avant de reprendre : -Mais… j’adorerais que tu vienne un de ces quatre ! Ce serait un honneur, de te voir parmi le public !
Se frayant un passage parmi la foule indifférente qui peuplait la boite pleine à craquer, il sourit. En réalité, il mourait d’envie de rire franchement, mais garda son sérieux le plus possible : jeu d’acteur, pokerface mode : activé.
- Oh moi tu sais… j’suis marié, j’ai quatre enfants. Mais ma femme est une mégère alors… j’passe ma vie à la tromper. Lui dis pas hein ?
Ne pouvant tenir plus longtemps, il se mit à rire, prêt à répondre cette fois-ci sérieusement à Rosy. Bien sûr, il masquait certains aspects de la réalité. Comment lui dire qu’il n’avait jamais cessé de penser à elle ? Poussant la porte du club pour en sortir quelques minutes, il marqua une courte pause, cherchant comment éviter le dossier Charlie, encore douloureux, malgré ces années qui étaient passées…
- Sans blague… rien de sérieux. Il alluma sa cigarette, et lui tendit son paquet quelques histoires passagères, mais ça s’arrête là. Il lui adressa un sourire : ho et si tu lis quelque part que je suis gay, ne crois pas ces conneries. Tu l’aurais su depuis belle lurette, si c’avait été le cas ! riant, il marqua une pause, lui adressant un sourire en coin : cependant… j’peux quand même demander à mes collègues, comment elles font, rapport à leurs cheveux, tout ça… et il se mit à rire, rangeant tranquillement son paquet de clopes dans sa poche...
- Ben… j’espère que ça n’arrivera jamais parce que… ce serait pas très légal tout ça… rassure moi : il n’a pas de cave au moins ? Lui adressant un clin d’oeil, il l’écouta de plus belle. Et lorsqu’elle évoqua sa remise de diplôme, il ne put pas faire autrement que de lui faire part de ce qui l’avait rongé depuis longtemps déjà. Cette absence. Il aurait aimé faire autrement. Mais il n’en avait pas eu la force, s’étant même convaincu qu’il ne manquerait pas tant que ça. Après tout, quoi de plus important que les bras d’une famille fière et aimante, même exigeante ? Ceux d’un ami proche ? Peut-être. Mais il ne l’avait compris que trop tard.
Moqueur, il arqua un sourcil, lui adressant un clin d’oeil : - Ingrate et impertinente ? Je vois que tu n’as pas changé, dis moi ! Mais tu sais quoi ? Ça tombe bien. Paraît que j’suis assez infernal dans mon genre moi aussi… je crois qu’on est faits pour s’entendre ! Et riant de bon coeur, il reposa son verre, vide.
Il adressa un sourire à la jeune femme. Il était sincèrement désolé pour elle. S’il avait pu d’ailleurs, il aurait très possiblement fait en sorte de mettre fin à tout ça. Après tout, les parents de Rosy ne le connaissaient que de loin, il n’avait pas grand-chose à faire d’un éventuel accrochage avec eux. Seulement voilà : Rosylia n’avait pas besoin de lui. Elle avait Aedan pour ça. Impuissant, il ne pouvait rester que spectateur de cette situation merdique. Alors plutôt que de se lamenter, il fit ce qu’il savait faire de mieux : chercher à désamorcer la situation, prendre la fuite grâce à l’humour.
- Bon… eh bien… dans ce cas… tu sais ce qui te reste à faire… fais toi kiffer. Triple épaisseur sinon rien !
Il lui adressa un clin d’oeil, avant de se lever, lui montrant son paquet de cigarettes :
- J’vais pas tarder à m’en griller une… tu m’accompagnes ? Et à son affirmation, il lui adressa un sourire, reprenant de plus belle : ça, je sais bien, qu’t’es têtue. Ca nous a valu quelques chamailleries, toi et moi, hm ? riant légèrement, il récupéra son téléphone qu’il mit dans sa poche, puis haussa une épaule à la conclusion de Rosylia, grimaçant, ses yeux étaient rivés sur son blouson qu’il récupérait :
- Hm… c’que j’fais… c’est pas franchement courageux, tu sais. J’le défie pas. Je l’évite. Il ne sait pas pour tout ça. Lui adressant un sourire vague, la volonté de faire passer la pilule un peu plus facilement grâce à celui-ci, il enfila sa veste qu’il ferma aussitôt avant de reprendre : -Mais… j’adorerais que tu vienne un de ces quatre ! Ce serait un honneur, de te voir parmi le public !
Se frayant un passage parmi la foule indifférente qui peuplait la boite pleine à craquer, il sourit. En réalité, il mourait d’envie de rire franchement, mais garda son sérieux le plus possible : jeu d’acteur, pokerface mode : activé.
- Oh moi tu sais… j’suis marié, j’ai quatre enfants. Mais ma femme est une mégère alors… j’passe ma vie à la tromper. Lui dis pas hein ?
Ne pouvant tenir plus longtemps, il se mit à rire, prêt à répondre cette fois-ci sérieusement à Rosy. Bien sûr, il masquait certains aspects de la réalité. Comment lui dire qu’il n’avait jamais cessé de penser à elle ? Poussant la porte du club pour en sortir quelques minutes, il marqua une courte pause, cherchant comment éviter le dossier Charlie, encore douloureux, malgré ces années qui étaient passées…
- Sans blague… rien de sérieux. Il alluma sa cigarette, et lui tendit son paquet quelques histoires passagères, mais ça s’arrête là. Il lui adressa un sourire : ho et si tu lis quelque part que je suis gay, ne crois pas ces conneries. Tu l’aurais su depuis belle lurette, si c’avait été le cas ! riant, il marqua une pause, lui adressant un sourire en coin : cependant… j’peux quand même demander à mes collègues, comment elles font, rapport à leurs cheveux, tout ça… et il se mit à rire, rangeant tranquillement son paquet de clopes dans sa poche...
- Rosylia A. TorresThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : Rap'
Messages : 639
Points : 46
Faceclaim : Elizabeth Gillies
Crédits : Rap'
Date d'inscription : 25/10/2020
Âge : J'ai 29 ans
Situation financière : Tu es médecin et ta famille est l'une des plus fortunées de Washington. Ton futur mari, l'est aussi. Que demander de mieux ? Il paraît que l'argent ne fait pas le bonheur, tu en es la plus belle preuve.
Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
Rps en cours :
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