just gonna stand there and watch me burn (ian)

C'était tard, ce soir, que tu avais fini au Manhole. Mais bon, pour une serveuse, c'était normal de finir tard. Il y avait eu de l'animation et énormément de personne. Ils avaient été dur à renvoyer chez eux d'ailleurs, tellement ils étaient chauds pour passer le reste de la nuit dans le bar. Mais toi, tout ce que tu voulais c'était passé le reste de la nuit dans ton lit. Après avoir fait le ménage dans le bar, avoir salué ton collègue, tu prenais le chemin pour rentrer dans ton appartement. Malheureusement, tu n'avais pas pu prendre ta moto, parce que t'avais simplement oublié de faire le plein tout simplement. Quelle idiote. Tu avais un peu de marche à faire, et dans la nuit noire comme ça c’était pas ce qu’il y avait de mieux. Les écouteurs dans les oreilles, tu marchais tête baissée de peur de croiser quelqu’un. Mais manque de bol, tu croisais vraiment des gens. Deux jeunes hommes arrivaient vers toi et commencèrent à discuter entre eux. « Elle est pas mignonne celle là ? Et si tu finissais la soirée avec nous, hein ? » dis le premier homme en enlevant tes écouteurs d’un geste de la main. Tu continuais ta marche mais ils te suivaient à la trace. « Mais foutez-moi la paix » dis-tu en marmonnant dans ta barbe. Tu avais un peu peur de ce qui allait se passer. Et surtout, tu regrettais de ne pas avoir fait le plein dans ta moto. « Elle grogne en plus de ça, j’adore » ajouta le deuxième homme en lâchant un petite grognement. Tu relevais la tête et tu reconnais ces deux personnes que tu reconnaissais facilement puisqu’ils étaient accoudés au bar, il y a une demie heure de cela. « Haaaaan mais c’est la barmaid, encore mieux » continua le deuxième homme qui commençait à t’attraper par les épaules. Les larmes te montaient aux yeux. Tu étais fatiguée alors tu ne savais pas quoi faire, tu étais perdue. Tu priais tous les dieux pour que quelqu’un vienne te sauver de ces deux gros porcs qui avaient surement prévu quelque chose d’horrible pour toi ce soir. 

(c) mars.

Haley & Ian

J'en suis venu à croire que dans l'existence de chacun de nous, il existe un indéniable moment où tout change, un enchaînement de circonstances qui soudain bouleverse tout. │ Nicholas Sparks. @haley richardson

Avec mon boulot et certains clients qui avaient des contraintes horaires un peu particulières, il m’arrivait parfois de finir de travailler relativement tard. Je n’aimais pas particulièrement cela mais heureusement cela n’arrivait qu’assez rarement. La plupart des gens pour qui je travaillais avaient des horaires de travail relativement normales, rares étaient ceux qui n’étaient disponibles que tard le soir car ils avaient dormi une bonne partie de la journée du fait qu’ils avaient travaillé la nuit précédente. Il était tard, et je venais tout juste de terminer de montrer les plans que j’avais préparé à mon client. En général ça lui plaisait, il était cependant réticent sur quelques détails que j’allais retravailler sans problème. J’aimais mettre un peu de ma personnalité dans mon travail mais je souhaitais avant tout que ça plaise à mes clients, qu’ils soient satisfaits et qu’ils n’hésitent pas à me recommander à leur entourage. Aujourd’hui, ça ne marchait que comme ça, avec le bouche à oreille, et je comptais bien ne pas ruiner cette réputation que je m’étais établie en étant simplement borné et pas à l’écoute, ce qui n’était pas du tout moi. Je n’avais pas pris ma voiture pour le travail aujourd’hui, cela m’arrivait parfois car je devais souvent me rendre dans des endroits où le stationnement était relativement compliqué alors l’option transport en commun était la plus raisonnable. Je marchais tranquillement dans la rue pour aller rejoindre l’arrêt de bus qui se trouvait un peu plus loin, quasiment à l’intersection de la rue. Alors que je m’apprêtais à mettre mes écouteurs sans fil dans mes oreilles pour écouter un peu de musique, je fus interpellé par des jeunes gens qui parlaient un peu trop fort, certainement un peu trop bourré. Je cherchais d’où le bruit provenait et j’aperçu plus loin deux gars autour d’une jeune femme. J’avais étrangement la sensation qu’elle n’était pas encline à la présence des deux hommes auprès d’elle. Ils avaient un comportement qui ne me semblait pas normal, ils hurlaient à moitié, riaient un peu trop fort, c’était étrange. Je rangeais rapidement mes écouteurs et me rendais d’un pas rapide et assuré vers la jeune femme qui semblait en détresse. Il fallait que j’intervienne en douceur pour ne pas me retrouver à devoir gérer deux idiots, et puis je serais embêté qu’ils s’en prennent à la jeune femme alors que mon but était de l’aider. Près d’eux, je m’adressais uniquement à la demoiselle. « Hey salut ! Comment vas-tu ? Ca fait un bail qu’on s’est pas vu. » Je jetais un regard noir vers les deux hommes puis regardais la jeune femme. « C’est qui eux ? » J’espérais qu’elle comprendrait que je voulais l’aider, qu’elle ne prendrait pas peur. Et surtout j’espérais que ces deux idiots allaient déguerpir et vite et ne pas aller s’en prendre à une autre jeune femme plus loin, sans doute n’avaient-ils pas que de bonnes idées en tête.

Pourquoi il fallait toujours que ce soit toi qui te retrouve dans de telle situation ? A croire que tu étais vraiment maudite et que tu ne méritais pas qu'on te foute la paix. Les deux mecs continuaient de te suivre, et tu étais totalement terrifiée. Pour autant, tu continuais de marcher, essayant de te concentrer sur ta musique et pas sur ces deux idiots qui t'encerclaient. Evidemment, c'était la nuit alors pour que quelqu'un te porte secours, la probabilité était de 1% de chance. Quelle idée de pas avoir fait d'essence et rentrer à pieds ? T'aurai du demander à ton collègue de te raccompagner jusqu'à ton immeuble pour être en sécurité. Mais non, tu n'en as fais qu'à ta tête pour faire la fière et la grande fille. Puis tu t'arrêtais, parce qu'un des garçons était devant toi et tu ne pouvais rien faire. T'allais te faire violer, encore ? Non, non, non ! T'en as pas besoin, tu pourras pas encaisser l'idée de te faire violer une fois de plus. Les larmes aux yeux, tu cherchais du regard s'il y avait des gens dans la rue. Un jeune homme, que tu voyais dans la pénombre s'approcha vers vous et tu ne pus t'empêcher de lancer des regards d'alerte pour qu'il vienne t'aider. Il avait bien compris que tu étais dans une situation qui ne t'allait pas alors il s'avança vers toi. Ses mots te firent sourire et tu séchais tes larmes d'un coup de main. « Whoa mais ouais ça fait longtemps ! Je suis trop contente de te voir » dis-tu en souriant. Tu ne le connaissais peut-être pas, mais tu étais vraiment contente de le voir te sauver la mise. « Oh c'est des mecs qui étaient au Manhole, ils ont crus qu'on se connaissaient » dis-tu en regardant le mec en face de toi droit dans les yeux. « On peut se boire un coup chez moi pour rattraper le temps perdu ! Mon appart est pas loin » proposas-tu à l'inconnu, pour qu'il voit que tu avais besoin d'aide pour rentrer chez toi. Et puis, tu pouvais vraiment lui proposer de boire un coup pour t'avoir sauvé la mise ce soir. Les deux mecs nous regardèrent tour à tour, et puis ils décidèrent de s'en aller, voyant que tu n'étais plus une proie si facile que ça. Une fois qu'ils étaient plus loin et hors de portée de voix, tu lâchais ton plus gros souffle de stress. « Whoa, je... je sais pas comment te dire merci de m'avoir aidé à me sortir de là » dis-tu en repassant ta main sous tes yeux pour essuyer les quelques larmes qui perlaient encore sur ton visage.

(c) mars.

Haley & Ian

J'en suis venu à croire que dans l'existence de chacun de nous, il existe un indéniable moment où tout change, un enchaînement de circonstances qui soudain bouleverse tout. │ Nicholas Sparks. @haley richardson

Il était assez rare pour moi que je rentre tard du boulot, cela pouvait arriver mais j’essayais au maximum d’éviter, pour la simple et bonne raison que je n’aimais pas l’idée de laisser ma femme seule à la maison avec Hayden. Depuis ce qui lui était arrivé quelques temps après notre mariage, quand elle avait été enlevée au beau milieu de notre salon alors que j’étais absent, j’avais désormais une peur bleue de la laisser seule. D’ailleurs, nous avions fait installer un système d’alarme afin qu’il soit en action même lorsqu’elle était à la maison avec Hayden et qui se déclencherait si jamais quelqu’un tentait d’entrer par effraction par une porte ou même une fenêtre. Je ne voulais prendre absolument aucun risque, il me serait insupportable qu’il puisse encore lui arriver quoi que ce soit alors que je serais à nouveau absent et que je ne pourrais la défendre. Quand il m’arrivait de finir tard, je m’empressais en général de rentrer le plus vite possible chez moi afin de ne pas laisser ma femme seule plus longtemps, mais ce soir, j’allais devoir encore repousser l’heure à laquelle j’allais rentrer. Une jeune femme était en détresse et elle avait besoin d’aide, je ne pouvais pas la laisser ainsi. Je ne saurais plus me regarder dans une glace si j’apprenais qu’une femme, que j’aurais pu aider, s’était fait agresser physiquement ou sexuellement en pleine rue alors que je passais sur le trottoir d’en face. Je me devais de lui venir en aide, pour ma conscience et aussi pour elle. Mon épouse avait vécu un évènement traumatisant et avait été abusée par un homme, jamais je ne souhaitais cela à qui que ce soit. Elle m’avait sourit en me répondant, elle avait compris que je voulais lui venir en aide et que je ne comptais pas lui faire de mal. « Moi aussi je suis content de te voir, je ne pensais pas te croiser ici à une heure si tardive… » Je fronçais un peu les sourcils, tentant de faire comprendre à la jeune femme qu’il fallait clairement qu’elle évite de se déplacer seule, si tard le soir, dans les rues de Washington car malheureusement elle était susceptible de tomber sur des personnes malintentionnées à son égard et qui pourraient lui faire du mal. Je hochais doucement la tête. C’est avec plaisir pour le verre ! » Je regardais l’heure sur mon téléphone. « J’ai un peu de temps à t’accorder, je vais juste prévenir ma femme que je vais rentrer un peu plus tard que prévu du coup, puisque je retrouve une vieille amie ! » Evidemment, dans mon message je préviendrais ma femme que je raccompagnais une jeune femme qui était embêtée par deux idiots chez elle, et que je rentrais ensuite. Les deux hommes étaient partis et j’étais soulagé à l’idée que je n’aurais pas besoin de me battre pour qu’ils dégagent. Je sentais qu’elle relâchait la pression et j’étais soulagé de me dire que, ce soir, grâce à moi il ne lui était rien arrivé. « Il n’y a pas de quoi… Franchement, je n’allais pas te laisser en galère avec deux idiots pareils qui auraient pu te faire des choses horribles… » Je posais délicatement ma main sur son épaule en guise de réconfort. « Ca va aller, ils sont partis. Je vais te raccompagner chez toi, ok ? » J’espérais qu’elle serait d’accord, et moi ça me rassurerait de savoir qu’elle était bien rentrée chez elle saine et sauve.

Rentrer tard, c’était une habitude pour toi mais d’habitude tu rentrais sur ta moto, peinarde et personne ne venait t’emmerder pour un oui ou pour un non. Ce n’était pas le cas ce soir. Ta tête en l’air t’avait fait oublié de mettre de l’essence dans ton engin, alors tu avais du marcher. Malheureusement, tu n’avais pas marcher seule. Deux personne qui étaient au bar avec toi t’avait suivi, à ton plus grand désarroi. Et en plus, il ne voulait pas te lâcher. Tu as eu peur, très peur. C’était surtout la peur de revivre un viol, parce que c’était bien parti pour. Les larmes aux yeux, tu avais entendu la voix d’un homme qui semblait vouloir venir à ton secours et t’aider. Sous les larmes, se dessinait un sourire de soulagement. Il faisait semblant de te connaitre, comme quoi ça faisait longtemps que vous ne vous étiez pas vu. Heureusement qu’il était là. « Oh je rentre du boulot, tu te souviens j’bosse au Manhole » dis-tu souriant toujours autant. Ca pourrait paraitre étrange mais tu semblais tellement soulagée que quelqu’un soit venu à ton secours que tu ne pouvais pas être plus heureuse. « Pas de soucis ! » répondis-tu lorsqu’il avoua devoir prévenir sa femme. Les deux mecs qui t’avaient suivi jusque là commencèrent à partir, voyant que tu étais finalement avec quelqu’un et qu’ils n’avaient rien à gagner à part peut-être une baston. De soulagement, tu soufflais une fois qu’ils s’étaient réellement éloignée et tu remerciais ton interlocuteur. « Tout le monde n’aurai pas fais ça, j’ai croisé des gens tout à l’heure qui m’ont vu dans la galère et qui n’ont rien fait, tu sais » avouas-tu au jeune homme. Vous repreniez la route vers ton appartement. « Merci, merci beaucoup » dis-tu pour la énième fois. « Au fait, j’m’appelle Haley » dis-tu au jeune homme en essuyant les dernières larmes qui avaient coulés le long de tes joues.

(c) mars.

Haley & Ian

J'en suis venu à croire que dans l'existence de chacun de nous, il existe un indéniable moment où tout change, un enchaînement de circonstances qui soudain bouleverse tout. │ Nicholas Sparks. @haley richardson

J’étais content d’avoir pu venir en aide à une jeune femme ce soir et de lui avoir épargné le pire. Au moins, cela me rassurait de voir que je n’avais pas fini tard pour rien et perdu du temps auprès de mon épouse. Finalement c’était pour le travail et j’avais permis à ce que la vie de cette jeune femme ne soit pas détruite. Je voyais ses yeux brillants, je ne doutais pas qu’elle avait presque été à devoir se résoudre que ces deux hommes allaient abuser d’elle sans que personne ne puisse lui venir en aide. Ce petit sourire de soulagement qu’elle affichait me ravissait beaucoup, cela faisait plaisir tout de même de voir que l’on n’était pas totalement inutile dans ce monde de fous. Puis, j’entendais parfois des cas d’agressions, sexuelles ou non, en présence de témoins où les gens ne bougeaient même pas le petit doigt. Clairement cela me mettait hors de moi. Comment pouvait-on laisser une personne se faire agresser devant nos yeux sans rien faire ? Clairement, il m’aurait été impossible ce soir de ne pas agir, même au risque que ces deux-là me tombent dessus. J’étais seul alors ils auraient très bien pu me maîtriser à eux deux. Quoi que compte tenu de la quantité d’alcool qu’ils devaient avoir dans le sang ils n’auraient peut-être pas eu la force de me faire quoi que ce soit sans que je parvienne à en mettre un part terre avant de casser la figure de l’autre. Je n’étais pas du genre violent, mais je n’allais pas me laisser taper dessus sans me défendre ni même laisser deux abrutis toucher à une jeune femme qui n’avait rien demander à personne si ce n’était de rentrer chez elle tranquillement après son boulot. « Ah oui c’est vrai ! » répondis-je en souriant. Puis une fois que les deux idiots s’étaient suffisamment éloignés de nous je pouvais parler plus franchement. « En fait non je ne me souviens pas, puisque je ne le savais pas ! » dis-je en riant histoire de détendre un peu l’atmosphère afin que la jeune femme puisse se détendre un peu. Je voulais qu’elle comprenne qu’elle était en sécurité et que je n’avais pas l’intention que quiconque la touche d’ici à ce qu’elle rentre chez elle. Alors qu’elle me répondait que cela ne posait aucun souci que je prévienne ma femme, et encore heureux pensais-je dans ma tête en esquissant un sourire, je prenais mon téléphone pour envoyer un message à mon épouse et lui expliquer la situation. Je tapais très vite sur mon téléphone alors il ne me fallut que peu de temps pour rédiger mon message et l’envoyer, sans oublier d’y ajouter beaucoup d’amour et de cœurs partout. Je soupirais à ce que dit la jeune femme. J’avais conscience que peu de gens serait intervenu comme moi, c’était un fléau et j’avais espoir que ça change un jour… « Je sais bien oui… Mais je ne suis pas tout le monde. » répondis-je calmement alors que je bouillais de l’intérieur de savoir que la jeune femme avait croisé plusieurs personnes sur sa route et que personne n’ait eu la présence d’esprit de l’aider. « Les gens sont vraiment complètement stupides… » dis-je en pestant un peu et shootant dans un déchet qui était au sol. « Et dégueulasses en prime… » Puis quelque peu calmé je tournais la tête vers la jeune femme qui me remerciais, ce qui me fit sourire. « Je n’ai fait qu’aider mon prochain. » Elle avait un très joli prénom. « Enchanté Haley, moi c’est Ian. » J’étais rassuré de voir qu’elle séchait ses larmes et qu’elle semblait aller mieux.

Ca faisait du bien de voir que certains hommes n’étaient pas devenu des porcs en grandissant mais plus des héros. Et heureusement que tu étais tombé sur ce héros ce soir, parce que sinon, tu serais surement entrain de te faire violer au coin de la rue. Ils avaient vite été déstabilisés, les idiots saouls et vils, pendant que tu étais entrain de faire semblant de connaître cet homme qui t’avait accosté quelques minutes plus tôt. Il avait fait semblant de te connaître, d’être dans ton cercle d’ami et ça t’avait sauvé la vie. Heureuse de voir ça, tu avais séché tes larmes de peur d’un coup de manche rapide. « Et bien maintenant tu le sais » dis-tu en riant légèrement. La sympathie entre vous se sentait alors les hommes qui t’avaient accostés avaient décampés sans crier garde. Vous vous retrouviez enfin seul avec ce jeune homme qui venait de te sauver d’un avenir incertain mais horrible. Tu l’avais rapidement remercié de t’avoir sauvé. Parce que tout le monde ne faisait pas ça. Ils jetaient un regard vers toi, vers ces hommes qui te parlaient et qui t’agressaient et puis ils passaient leurs chemins. C’était déplorable de voir ça. Et tu n’avais pas tarder à le dire à ton interlocuteur, à lui signaler. « Les gens sont stupides » répétas-tu en silence. Il avait raison, personne n’avait volé à ton secours alors que pourtant tu avais fais tout ce que tu pouvais pour leur signaler que tu étais en danger et surtout sans défense. « Très, ça faisait longtemps que je n’avais pas croisé des gars aussi dégueulasse » ajoutas-tu en levant les yeux au ciel. Pourtant, des gens impolis, tu en croisais souvent au bar où tu travaillais. « Enchanté Ian » dis-tu en souriant à ton nouvel ami en souriant. « Le verre tient toujours ? » demandas-tu ensuite, en souriant légèrement.

(c) mars.