- InvitéInvité
En ayant au préalable demandé l’accord à sa mère il envoya un mail au professeur en question, pour lui demander quelques renseignements sur les modalités du cours et comment il pourrait s’inscrire pour ce dernier.
Le week-end approchant Erwann avait pris des places pour se rendre à une convention sur le cinéma le vendredi soir, de base il avait prévu une place pour y aller avec sa mère mais cette dernière finalement ne pouvait pas venir à cause d’un rendez-vous galant de dernière minute. Une personne allait venir faire la cour à la sa mère et le jeune brun n’était pas très fan de cette idée, au final il se décida à inviter Ethan, son meilleur ami, pour qu’il vienne avec lui et histoire de l’aider à penser à autre chose plutôt que de ce qui allait bien pouvoir arriver à sa mère durant cette soirée.
En arrivant sur place les deux garçons étaient vêtus assez élégamment et avec style, du moins dans la gamme que pouvait se permettre de porter Erwann qui ne roulait pas vraiment sur l’or, contrairement à Ethan qui bénéficiait de bien plus d’argent que lui. Sur place il se rendit à un stand sur lequel on pouvait montrer et cleaner un peu ses projets de vidéastes. En attendant au niveau du stand, il entendit que le fameux passionné de théâtre était dans la salle et se disant qu’il ne serait certainement pas venu pour rien, il se dirigea vers l’endroit qu’on lui indiqua pour le trouver.
En arrivant à sa hauteur, il s’éclaircit un peu la voix et le salut avec prestance et en déclinant son identité.
Bonsoir Monsieur, je suis Erwann, je vous ai envoyé un e-mail dans la semaine car mon professeur m’a conseillé de vous contacter par rapport à mes différents projets
Erwann lui esquisse un léger sourire en se présentant et le salut de sa main, espérant ne pas paraître trop intrusif, mais il sentait que sa curiosité et son besoin de poser des questions allait rapidement se manifester, bien qu’il essaie de se contenir.
- Elliott S. CollinsClap along if you feel
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Date d'inscription : 20/10/2020
Âge : 28 ans
Situation financière : A l'abri du besoin
Situation amoureuse : Célibatard
Orientation sexuelle : Hétéro
Habitation : Un loft
Emploi/études : Comédien aux yeux de tous, médecin aux yeux de son père
Multicomptes : Tamara, Ulysse, Milan, Archie
Rps en cours :
Quand il ne jouait pas lui même dans des pièces, Elliott sortait, faisait la fête, se mettait dans tous ses états. Ne pas se souvenir le lendemain était en général synonyme d’une bonne soirée. Biensûr, il avait appris à être discret. Il avait apprit bien à ses dépends, qu’une mauvaise pub dans la presse pouvait être assassine. Pour lui, ça n’avait jamais été grave. Seulement quelques points sympathie de plus pour le public. Mais pour d’autres, il savait que cela avait signé l’arrêt de leur carrière. A combien de têtes de ses confrères l’alcool et la drogue étaient ils montés ? En réalité, bien plus que ce que l’on aurait bien voulu compter. Parfois , les visages les plus angéliques cachaient les plus sombres des addictions…
Elliott n’en était jamais arrivé à de tels extrêmes. Lorsqu’il sentait qu’il commençait à exagérer, il restait chez lui. Calmant ses ardeurs pour revenir, frais comme un gardon, quelques jours, parfois quelques semaines plus tard…
Cette fois-ci, il avait été fort. Pris en flagrant délit d’avoir embrassé Aedan dans un bar, son agent avait décidé de lui mettre un stop, un vrai. Le brun avait besoin d’un cadre avant que cela n’empire. Après tout, il avait eu de la chance cette fois-ci. Mais que ferait-il, lorsqu’un paparazzi s’emparerait de telles images ?!
- Elliott. Que tu fasse le con ne me dérange pas. Que tu voies des hommes… c’est ton problème. Mais t’as pensé à ton image ? Et à moi ??
- Non, c’est pas c’que tu crois… c’était pour faire fuir cette fille, elle me suivait depuis des jours !
- T’as pas besoin de te justifier, Elliott. J’ai rien contre un peu de gay-té. Avait lancé son agent et meilleur ami. Enfoiré. Soupirant, Elliott avait bien compris : tout ce qu’il pourrait dire serait retenu contre lui. Ne restait plus qu’à faire ce qu’il avait toujours su faire de mieux : acquiescer en silence, sans pour autant écouter un traitre mot du sermon qui lui était servi. Sauf que cette fois ci… son interlocuteur allait taper fort :
- Ok Collins. Tu m’laisse pas l’choix. Tu vas t’calmer sur la bouteille pour un temps. Et te rendre utile. T’as déjà donné des cours ?
- Non. Mais c’est pas comme si j’avais le choix, j’imagine ?
- Effectivement. J’ai passé un accord avec un lycée. Tu commence la semaine prochaine.
- Fait chier.
Furieux n’était pas le mot. En réalité, Elliott était plutôt dépité. Il regarda son téléphone qui vibra, à peine sorti du bureau de son agent :
sans rancune, mon frère. C’est pour ton bien.
- Mon cul, ouais. Il pesta et s’appretait à ranger son téléphone, lorsqu’il vibra de nouveau. Visiblement, son agent n’en avait pas termi… Non. Ce n’était pas lui. Mais un mail d’un adolescent. Visiblement, le monde entier avait été mis au courant du sort qui l’attendait, avant même que lui soit mis au courant… grognon, il avait rangé une bonne fois pour toutes son téléphone. Et il avait passé quelques jours dans cet état, jusqu’à se décider à aller dans ce festival sur le cinéma où il avait pour habitude de venir, avec Charlie. Et depuis… il continuait d’y aller. D’abord, par habitude : sorte de pélerinage, il avait tenté de ramener tout ce qu’il pourrait ramener, qui pourrait lui faire penser à sa blonde, qui lui manquait atrocement. Pourtant, à mesure que le temps passait, le manque devenait moins douloureux. Et ce n’était plus tant par pélerinage que par goût personnel, qu’il avait décidé de passer les portes du festival, cette année. Et puis, sa troupe y était représentée, et il avait promis de venir, au moins quelques heures. Donner envie aux autres de faire du théâtre, telle était sa mission de la journée.
Assis à son stand, riant avec les autres, il se retourna un peu surpris lorsqu’il entendit la jeune voix d’un adolescent qui s’adressait à lui.
- Oh… alors, tu dois être Erwann ? Appelle moi Elliott, j’t’en prie, j’suis pas si vieux que ça ! Riant, il passa de l’autre côté du stand, faisant signe à ses amis de continuer sans lui :
- Oh… oui. Les cours. Eh bien … dis moi tout ? On pourrait peut-être trouver un endroit un peu plus calme pour en discuter ? qu’en dis tu ?
Elliott n’en était jamais arrivé à de tels extrêmes. Lorsqu’il sentait qu’il commençait à exagérer, il restait chez lui. Calmant ses ardeurs pour revenir, frais comme un gardon, quelques jours, parfois quelques semaines plus tard…
Cette fois-ci, il avait été fort. Pris en flagrant délit d’avoir embrassé Aedan dans un bar, son agent avait décidé de lui mettre un stop, un vrai. Le brun avait besoin d’un cadre avant que cela n’empire. Après tout, il avait eu de la chance cette fois-ci. Mais que ferait-il, lorsqu’un paparazzi s’emparerait de telles images ?!
- Elliott. Que tu fasse le con ne me dérange pas. Que tu voies des hommes… c’est ton problème. Mais t’as pensé à ton image ? Et à moi ??
- Non, c’est pas c’que tu crois… c’était pour faire fuir cette fille, elle me suivait depuis des jours !
- T’as pas besoin de te justifier, Elliott. J’ai rien contre un peu de gay-té. Avait lancé son agent et meilleur ami. Enfoiré. Soupirant, Elliott avait bien compris : tout ce qu’il pourrait dire serait retenu contre lui. Ne restait plus qu’à faire ce qu’il avait toujours su faire de mieux : acquiescer en silence, sans pour autant écouter un traitre mot du sermon qui lui était servi. Sauf que cette fois ci… son interlocuteur allait taper fort :
- Ok Collins. Tu m’laisse pas l’choix. Tu vas t’calmer sur la bouteille pour un temps. Et te rendre utile. T’as déjà donné des cours ?
- Non. Mais c’est pas comme si j’avais le choix, j’imagine ?
- Effectivement. J’ai passé un accord avec un lycée. Tu commence la semaine prochaine.
- Fait chier.
Furieux n’était pas le mot. En réalité, Elliott était plutôt dépité. Il regarda son téléphone qui vibra, à peine sorti du bureau de son agent :
sans rancune, mon frère. C’est pour ton bien.
- Mon cul, ouais. Il pesta et s’appretait à ranger son téléphone, lorsqu’il vibra de nouveau. Visiblement, son agent n’en avait pas termi… Non. Ce n’était pas lui. Mais un mail d’un adolescent. Visiblement, le monde entier avait été mis au courant du sort qui l’attendait, avant même que lui soit mis au courant… grognon, il avait rangé une bonne fois pour toutes son téléphone. Et il avait passé quelques jours dans cet état, jusqu’à se décider à aller dans ce festival sur le cinéma où il avait pour habitude de venir, avec Charlie. Et depuis… il continuait d’y aller. D’abord, par habitude : sorte de pélerinage, il avait tenté de ramener tout ce qu’il pourrait ramener, qui pourrait lui faire penser à sa blonde, qui lui manquait atrocement. Pourtant, à mesure que le temps passait, le manque devenait moins douloureux. Et ce n’était plus tant par pélerinage que par goût personnel, qu’il avait décidé de passer les portes du festival, cette année. Et puis, sa troupe y était représentée, et il avait promis de venir, au moins quelques heures. Donner envie aux autres de faire du théâtre, telle était sa mission de la journée.
Assis à son stand, riant avec les autres, il se retourna un peu surpris lorsqu’il entendit la jeune voix d’un adolescent qui s’adressait à lui.
- Oh… alors, tu dois être Erwann ? Appelle moi Elliott, j’t’en prie, j’suis pas si vieux que ça ! Riant, il passa de l’autre côté du stand, faisant signe à ses amis de continuer sans lui :
- Oh… oui. Les cours. Eh bien … dis moi tout ? On pourrait peut-être trouver un endroit un peu plus calme pour en discuter ? qu’en dis tu ?
- InvitéInvité
Décochant à l’homme son meilleur sourire, bien qu’il n’ai pas de raison particulière d’user de son charme il ne pouvait pas vraiment s’empêcher de le faire, il devait bien faire usage de tous les artifices possibles pour ne pas montrer son inquiétude quand au fait que sa mère, la sienne, passe sa soirée avec un autre homme.
Oui bien sûr Monsieur...pardon Elliot je pense que ça pourrait être mieux en effet Cherchant du regard un endroit propice à la discussion, notamment assez intimiste, la moindre distraction extérieur pouvant te faire perdre la concentration et penser à autre chose. La discussion allait être centré sur un projet cinématographique, un projet lui tenant fortement à cœur, ayant eu bien souvent l’occasion d’assister à des projections cinématographiques, cette discipline qu’il commence à parfaitement comprendre. Mais l’envie d’en connaître plus sur les rouages profonds et les codes de la scénographie était bien présente.
Son regard se portant finalement sur un alcôve dans un coin de l’une des grandes salles de la pièce, se prenant une boisson gazeuse au niveau du coin dédié à la vente de la boisson avant de venir prendre place dans l’un des fauteuils de la pièce, prenant une grande inspiration et en regardant les allés et venus.
Il se devait de rester concentrer sur son idée de projet avant tout chose, sentant son esprit bouillonner alors qu’il admire l’élégance de celui qui allait devenir dans l’idéal son professeur de projet.
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Points : 88
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Crédits : javajunkie ♥ (gifs Tumblr, pas de crédit)
Date d'inscription : 20/10/2020
Âge : 28 ans
Situation financière : A l'abri du besoin
Situation amoureuse : Célibatard
Orientation sexuelle : Hétéro
Habitation : Un loft
Emploi/études : Comédien aux yeux de tous, médecin aux yeux de son père
Multicomptes : Tamara, Ulysse, Milan, Archie
Rps en cours :
Elliott était surpris. En temps normal, c’était plutôt pour discuter de sa dernière représentation, ou encore pour leur demander de bien vouloir accepter une interview pour tel ou tel journal. Mais cette fois-ci, ce n’était rien de tout ça. Un gamin. L’idée de son agent avait marché. Bon dieu, pensa le comédien : il a quand même de la chance que j’l’aime, ce con. A ma place, d’autres l’auraient viré. mais on ne se refaisait pas. Elliott ne le savait que trop bien. Ce grand dadet avait beau être son agent, il n’en restait pas moins son meilleur pote, et ce depuis des années maintenant. La famille restait la famille, même lorsqu’elle prenait des décisions franchement douteuses à votre égard. Elliott avait beau bouillir intérieurement, il affichait pourtant un énorme sourire bienveillant à cet ado auquel il pouvait donner seize ans, tout au plus. Et soupirant légèrement, il se promit d’envoyer un message bien senti à son pote pour lui rappeler à quel point il pouvait être un connard, quand il s’y mettait. Pourtant, il le savait pertinemment : la décision de celui-ci était totalement justifiée et avec un peu de chance, peut-être qu’Elliott pourrait se calmer sur la boisson, en repensant à tout ça !
En observant le jeune homme prendre une boisson, il l’imita, prenant à son tour une bouteille et de quoi grignoter : il était resté toute la matinée à son stand, et n’avait pas encore eu le temps de manger. Puis il suivit l’adolescent dans un coin au calme, où des familles en profitaient, tout comme eux pour faire une pause ou se restaurer… Installé confortablement, il adressa un sourire à son interlocuteur, ouvrant la discussion et sa bouteille qu’il porta à sa bouche, avant de se décider :
- Alors… Erwan, c’est bien ça ? qu’est ce que je peux faire pour toi ?
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