/HOT\ Lexie & Sephiros - There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames

Ce que tu as vécu à New York était intense, vivant, tu as appris énormément de choses que ce soit sur ta personne, sur ton endurance et sur ton travail. Tu as rencontré des personnes exceptionnelles, tu avais tout pour être une femme heureuse, la célébrité, l’argent, le style, des amis, une nouvelle vie. Tu aurais dû être une femme comblée d’autant plus que tu avais l’embarras du choix en matière d’homme. Tu étais bien, tu aurais dû être bien pourtant, tu avais cette sensation de solitude, tu traînais comme un boulet cette lourdeur chaque jour.
‘Un seul être vous manque et tout vous semble dépeupler, c’est exactement ce que tu as ressenti pendant les années que tu as vécu éloignée. Tu as essayé de t’accrocher à ton rêve, à ta réussite, tu t’es agrippée de toutes tes forces pour ne pas tout laisser en plan, mais tu n’as pas été en mesure d’accepter une nouvelle saison.

La distance, son absence était bien trop insupportable, tu n’es pas fière de toi malgré que tout le monde semble l’être parce que tu as brillé sur scène, à la télévision, toi tu sais que tu as été faible que tu n’as pas su continuer sans lui à tes côtés, toi tu sais que l’odeur de son parfum t’a manqué, toi tu sais que le souffle de sa respiration endormi ta manquer au point d’en souffrir. Est-ce que ça fait de toi une femme sans avenir ? Tu te poses chaque jour la question parce que tu sais que tu ne peux pas avoir d’avenir avec Seph, tu sais que tout cela n’est pas saint et que votre famille ne comprendrait pas, tu sais également que ce que tu ressens n’est pas obligatoirement ce que ressent Seph pourtant, tu sais que c’est étrange entre vous… Tu sais que rien n’est normal entre vous, tu sais que tu seras maudite, damnée peut-être torturé sur le buché dans les profondeurs de l’enfer, mais tu n’y peux rien il te suit malgré tout son ombre, son image t'obsèdes jour et nuit malgré les kilomètres, la distance.
Tu as pourtant tout essayé que ce soit en t’envoyant des hommes plus âgés, plus jeunes cela ne t’empêche pas de penser à lui parfois même pendant le moment… Il t’obsède, il te possède et tu ne peux rien y faire c’est contre ta volonté.

Tu as donc décliné cette nouvelle proposition qui apportait des avantages plus onéreux, tu as refusé pour le retrouver pour être à ses côtés juste pour pouvoir le regarder, le sentir. Tu as perdu ce que tout le monde rêve d’avoir, mais tu t’en moques pour toi en refusant de a tout gagner. Tu sais que c’est stupide, mais tu n’y peux rien l’argent ne le remplace pas rien ne le remplacera jamais. Ses deux ans loin de lui ne t'on pas changer pour autant, tu es toujours la même, la bonne vieille Lexie sauf que tu es bien plus sexy qu’avant et ton style vestimentaire est bien plus élaboré qu’autrefois, avoir de l’argent ça aide pour beaucoup de choses.
En revenant, tu as rapidement retrouvé toutes tes marques et tes vieux amis, tu n’as pas avoué pourquoi tu es revenue tu as simplement glisser que tu avais besoin de souffler puisque les caméras à longueur de journée ça reste compliqué à gérer. Un mensonge utile pour que les gens ne te posent pas de question, même Seph ne connaît pas réellement la raison de ton retour qu’il le sache ne changerait rien à la situation.

Tu n’es pas de retour depuis longtemps, mais tu te sens respirée, chaque bouffée d’air t’apporte un bien être que tu n’avais pas sur New York et tu sais que c’est parce qu’il est présent, tu sais qu’il fait toute la différence.
Tu prends même plaisir à sortir tardivement avec ta bande de potes qui eux n’ont plus on pas changer, on ne change pas une équipe qui gagne. D’ailleurs tu étais de sortie ce soir, tu as probablement bu un verre de trop parce que tu te sens juste bien, tu te bats avec le trousseau de clés afin d’ouvrir la porte d’entrée quand tu y parviens tu remercies le ciel d’avoir participé à la trouvaille de la bonne clef. Tu balances ton sac dans le coin du couloir et tu retires tes escarpins qui te perchent avec 10 centimètres de plus en les laissant en plein milieu du passage. Tu essaies d’attraper la tirette de ta robe Robe, mais tu n’y parviens pas, tu râles contre même et tu te cognes contre le meuble présent en bout de canapé << Aie putain >> dis-tu en en marchant vers la salle de bain avec l’intention de te démaquiller, ton rouge à lèvre rouge est encore présent sur tes lippes. Tu attrapes un coton et tu t’apprêtes à imbiber le coton quand tu entends un boucan pas possible, tu lèves un sourcil sortant dans la salle de bain marchant doucement dans le logement, tu n’as pas besoin de longtemps pour comprendre ce qu’il se passe. Tu te précipites dans la chambre où tu vois l’ombre noire de Sephiros posséder son corps. Il n’est plus lui, tu le sais, tu connais ce genre de crise ce n’est pas la première à laquelle tu assistes, mais tu n’as jamais eu peur pourtant, tu le sais il est capable du bout de ses doigts de te brisé la nuque, mais tu n’as pas peur de lui ni de l’obscurité qui le possède comme un démon pourrait le faire << SEPHIROS >> tu t’exclames en le voyant frapper violemment dans le miroir présent dans la chambre.

@Séphiros Handestan

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Une nouvelle journée qui vient de se finir, cette journée n’est en rien simple pour moi, mon coeur est lourd alors que je pense à ma famille, alors que les images me reviennent en tête mais c’est surtout qu’aujourd’hui, elle aurait du avoir 27 ans, aujourd’hui elle aurait dû souffler ses bougies et recevoir des cadeaux. Je lui aurais dit à quel point je l’aime, à quel point je n’ai besoin qu’elle mais elle n’est plus… Elle a mis fin le même jour que son anniversaire, elle a mis fin “Tu aurais du faire pareil pourquoi tu ne le fais pas, tu serais comme moi, tu viendrais me rejoindre dans mon antre” Je glisse une main dans mes cheveux alors que je regarde le cadavre sur la table. Je n’ai qu’une hâte de rentrer pour retrouver la seule femme qui a un sens à mes yeux, la seule femme qui aujourd’hui me permet d’être ‘normal’.

Son absence a été une torture, j’ai compris pourquoi elle n’était pas là, je ne suis pas idiot mais être loin d’elle, n’a pas été simple pour moi. Elle m’a manqué, son odeur m’a manqué, ses gestes, ses lèvres sur les miennes, je sais que ce n’est pas bien, je sais que je ne devrais pas penser à elle comme je le fais aujourd’hui mais je ne peux pas faire autrement. Elle m’obsède, si elle pouvait savoir qu’elle me torture à chaque fois que j’entends parler d’une autre personne, entendre qu’un homme lui a fait ce que je rêve de lui faire. Pourtant je sais qu’elle ne sera pas là ce soir, je sais qu’elle a prévu de retrouver des amis, je n’aime pas ça mais je n’ai pas le choix “Arrête de penser à elle, elle t’éloigne de moi, tu es à moi pas à elle”

Non je n’étais pas à lui, ça c’est plus que sur, je ne suis à personne, je suis libre, je suis moi, je suis… je ne sais même pas ce que je suis au fond. Je rentre à la maison, pas un bruit, pas un mouvement, rien d’autre que le néant et la solitude, mon regard se pose sur une photo de ma soeur. J’attrape la photo, je l’observe “Tu me manques mon ange” si elle pouvait être là… j’envoie un sms à ma cousine, j’ai besoin de savoir si elle va bien mais je me doute qu’elle sera bien trop occupée pour répondre. Je soupire et après une bonne douche, je me pose l’espace d’un moment sur le canapé avec un coca.

“Tu devrais chercher une victime et faire qu’elle meurt, ta sœur serait fière de toi” Oui elle pourrait être fière de moi mais je n’en suis pas sûr. La nuit est présente depuis un moment et il est temps d’aller me poser un peu sur mon lit, la fatigue me gagne et je finis par sombrer dans mes songes.

*Rêve***Elle est là entrain de sourire, son regard est perçant, sa voix est magique, son corps ondule sous un des airs qu’elle aimait tant, je suis là, je souris en la regardant, elle est divine, elle est magnifique. Soudain plus rien, le néant me gagne, j’hurle son nom, je la cherche, je cours partout.

Ma respiration est haletante, mon corps tremble et au loin je l’entends appeler, je l’entends crier à l’aide, mais je n’arrive pas à la rejoindre, je cherche avant de tomber sur son corps sans vie, il y a du sang partout. Alors que je regarde mes mains, je me rends compte qu’elle sont recouvertes de sang, mon cœur s’emballe et lui… lui il est là… regarde ce que tu as fait à ta soeur, tu l’as tué Je secoue ma tête regarde là, regarde comment elle est… aller viens rejoins moi*****

Le réveil est brutal, mon corps est trempé, je tourne la tête, mon sang boue en moi, j’ai du mal à reprendre ma respiration, mon corps tremble, je quitte la chaleur des draps Tu l’as tué “Non, je n’ai rien fait, je n’étais pas là” la colère me gagne, j’ai besoin d’évacuer, je vire tout ce qu’il y a sur la commode, mon poing s’écrase sur la porte de ma salle de bain Je n’entends pas la Lexie faire son entrée dans la chambre et à ce moment précis vaut mieux. C’est au moment où j’explose le miroir que j’entends mon prénom tue là, tue là, fais comme tu as fait avec ta soeur Mon regard est sombre “Ne reste pas là” Le ton est froid mais la crise est présente.

Mes mains passent dans mes cheveux alors que je marche dans la chambre à la recherche de quoi casser “Je l’ai tué, je ne veux pas te faire du mal… Pas toi… ma vie…” Lexie est mon tout, elle est ma vie et pourtant ce n’est pas bien...Elle m’est interdite mais bordel si elle savait comme je la désire, comme je la veux... "Pars.."

(c) oxymort

Tu es partie parce que tu avais besoin de te trouver, tu avais besoin de t’éloigner de lui parce que tu savais que ce que tu ressentais pour lui n’était pas normal, tu es partie parce que tu te devais d’essayer, mais la distance, les heures, les mois n’ont rien changé. C’est pour ça que tu es revenue parce qu'à part souffrir, excepté avoir l’impression de mourir à petit feu loin de lui être à des kilomètres n’a rien changé à ce que tu pouvais ressentir. Aujourd’hui, c’est toujours pareil ton cœur s’emballe à chaque fois que tu entends le timbre de sa voix, tu frissonnes quand son souffle caresse ta peau, bordel tu t’en veux, mais tu sais que tu n’y peux rien, tu sais que tu as essayer de l’oublier, tu t’es torturé et finalement tu préfères mourir que de continuer à être loin de lui.

Oh, tu sais que personne ne comprendra, tu n’es pas naïve non, toi tu es même particulièrement perspicace, tu l’as toujours été même quand tu étais haute comme trois pommes un trait que tu tiens de ta mère quand tu écoutes les propos de ton père. Alors, tu sais depuis toujours que personne ne comprendra ce que tu ressens à l’intérieur pourtant c’est grand, c’est intense, c’est bien plus puissant qu’une bombe nucléaire bien plus important que cette connerie de Tchernobyl ! Personne ne comprendra malgré toutes les tentatives que tu tenteras de faire pour qu’ils comprennent. La seule chose qui changera sera leurs regards sur toi, celui de ton père te détestera, la fierté le quittera pour laisser place à la honte et tout retombera sur Séphiros.

Tu crèves de l’intérieur, tu sais que cette connerie finira par te buter, mais tu luttes malgré tout pour continuer ta vie, cette vie qui te semble amère sans les bras de Séphiros autour de ta silhouette frêle. Mais tu t’accroches, tu vis ta vie à vive allure en ne réfléchissant pas à ce qui se passera demain, tu fais tout ce qui te passe par la tête pour te sentir vivante le temps d’une seconde pour apaiser cet incendie qui fait rage en toi et qui te brûle au 3ème degré depuis trop longtemps. Tu sais que tu ne peux pas relâcher, tu sais que tu ne ne peux pas simplement arrêter de lutter parce que le feu te consumera sans aucune pitié et ce n’est que poussière qu’il restera de toi.

Toi tu es jeune et tu sais que l’amour est destructeur, il est vicieux, joueur, malsain, toi l'amour tu connais et il te détruit chaque jour un peu plus, il l'étouffe à petit feu. Tu ne sais pas pourquoi ton cœur a choisi un homme comme Seph, un homme détruit et hanté par l’obscurité, tu ne sais pas pourquoi c’est vers lui que tu as toujours eu besoin d’aller alors qu’un océan de possibilité s’ouvrait devant toi, mais tu as bien compris que ce n’était pas la peine de chercher plus loin puisque tu as réalisé avec les années que le cœur a ses raisons que la raison elle-même ignore.

Revenir en ville après deux ans d’absence n’a pas été une chose facile pour toi, tu le vis un peu comme un échec ! Mais tout le monde le sait, tu n’es pas du genre à rester sur une défaite, non ce n’est pas dans ton tempérament, toi tu es de celle qui détruit tout ce qui se trouve sur son passage sans aucune pitié pour être la gagnante, mais en revenant tu as conscience que tu as perdu… Ses deux ans loin de lui t’ont fait comprendre que tu ne gagneras jamais, c’est plus fort que tout ce que tu connais alors tu as décidé d’arrêter de souffrir dans ton coin. Tu penses finalement qu’il vaut mieux mourir lentement sans douleur que mourir doucement en souffrant.
Revenir en ville n’a pas été un choix difficile malgré ce que les gens pensent eux, ils ne voient uniquement ce que tu as laissé, mais pas ce que tu as gagné en revenant. Revenir en ville te fait revoir tes amis, ses êtres que tu aimes et c’est d’ailleurs avec eux que tu étais ce soir, une fête de “Bon retour”.

Tu as hésité à sortir, mais tu n’as pas eu le choix, ils sont venus te chercher et t’ont limite tirée par la peau des fesses, mais tu ne regrettes pas puisque tu t’es amusé. Du moins, tu ne regrettais pas jusqu’au moment où tu as ouvert la porte sur l’homme qui t’apporte une souffrance inexplicable. La vision du choc de sa main sur le miroir te vole un cri qui emporte son prénom à travers la pièce. Ton cœur claque contre ta cage thoracique, tu fais un pas en avant pour aller vers lui, tu sais qu’il n’est pas dans son état normal… Tu sais qu’il est actuellement possédé par une force sombre, une personnalité que tu as baptisée ‘Tchort’ au fil des années.
Il est normal d’avoir peur, mais toi Lexie tu n’as pas peur de lui, tu n’as jamais eu peur, tu parviens toujours à trouver la lumière dans ses pupilles pires encore tu aimes la noirceur que tu lis dans son regard, tu aimes la haine qui lisse son visage, tu désires la rage qui le condamne.

Il ne veut pas de toi, il te le fait savoir, mais tu ne pars pas jamais tu n’es partie, il pourrait bien te briser, extraire le dernier souffle que tu as en réserve, mais tu ne fuis pas non, tu avances en faisant un pas de plus vers lui prête à plonger avec lui dans ses tourments. Tu n’es pas surprise d’entendre ce qu’il pense avoir faire, tu tends ta main vers lui << Seph, tu n’as rien fait >> dis-tu dans un soufflement remplit de douleur, l’entendre se rendre responsable tiraille ton cœur comme un scalpel pourrait le faire. Tu clignes des yeux et tu t’approches sans hésitation, tremblement << Tu ne me feras pas mal >> dis-tu, laissant un sourire en coin caresser l’éclat de ton visage. Ta main glisse sur son bras, tu n’es guère loin de lui, tu es si proche qu’il pourrait attraper ta gorge de sa main poignante, viril sans aucune difficulté << Je ne vais nulle part, jamais >> tu passes devant lui pour le regarder, tu cherches son regard << Regarde-moi >> dis-tu dans un soufflement presque inaudible pour ne pas l’effrayer, ta main glisse dans la sienne et tu la fais remonter doucement pour la poser sur ta poitrine pour qu’il sente les battements de ta pompe, pour que les battements de ton cœur vibrent en lui, pour qu’il communique avec le sien << Écoute >> doucement tu te mets sur la pointe des pieds pour venir lui murmurer à l’oreille d’une manière que seule toi tu es en mesure de faire puisque tu fais rouler ta langue sur tes incisives ce qui ajoute à ta voix une note que toi seule tu es en mesure de provoquer << Jamais >>. Tu sais qu’il peut te faire valser dans la pièce comme les objets qu’il a balancés à travers de la chambre, mais toi tu crois en lui, tu crois en vous, tu crois être spéciale être la clef de son âme.

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Lexie & Séphiros

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Le souvenir est douloureux, je pourrai, j’irai la rejoindre là maintenant, je me souviens de ce jour où je l’ai vu allongé sur ce lit sans vie, j’ai essayé de la réveiller, j’ai hurlé de toutes mes forces pour qu’elle me revienne mais non il était trop tard et cette douleur est toujours présente en moi, elle était ma princesse, ma moitié, c’était peut-être de trop comme je l’aimais mais je n’aime pas à moitié même en amour, je suis comme ça. Je ne peux nier que cette douleur part doucement et c’est grâce à mon ange, ma vie, elle est là, elle est revenue, cela ne fait pas longtemps mais je me sens revivre, je me sens libre. Pourtant est-ce raisonnable d’aimer un membre de sa famille comme je l’aime. J’ai besoin de la toucher, de l’embrasser et ce besoin de la posséder en devient viscéral.

laisse-là partir ou tue là jamais je ne la tuerai et même cette rage qui est présente aujourd’hui ne sera pas signe de destruction de vie. Je ne l’entends pas arriver, c’est ses mots qui me font prendre conscience qu’elle est là, elle ne doit pas rester, je cherche quoi casser, je ne vais pas arriver à me contrôler, je le sais. vire là Quand sa main s’approche vers moi, je fais un pas en arrière “Ne m’approche pas mon amour, je l’ai tué et je ne veux pas te tuer” Le mur m’empêche de reculer encore, mon regard est sur elle, ma respiration a un rythme élevé bien trop même, je n’arrive pas à me regarder “Arrête tu sais que je peux te faire du mal et je ne veux pas”

Quand elle dit qu’elle va nulle part, je glisse mes mains dans mes cheveux secouant la tête. regarde elle te cherche Je finis par poser mon regard dans le sien, j’ai l’espace d’un instant un moment de recul alors qu’elle prend ma main pour venir la poser sur sa poitrine. Je respire rapidement alors qu’elle me demande d’écouter, je sais qu’elle veut que je me fixe sur ça mais je n’y arrive pas et son jamais je change rien peut-être parce que ma respiration ne s’est pas encore calquée sur les battements de son coeur. Ne la laisse pas faire Je serre les dents alors que dans un geste rapide, je la pousse avant de l’attraper

“ Pourquoi tu as été loin de moi si longtemps, j’ai cru que tu m’avais abandonné comme elle l’a fait mais toi… toi c’est différent” Tout se mélangent en moi, je me perds dans ce que je dis, ma main glisse à côté de sa tête contre le mur, mon visage est proche du sien, je serre encore les dents Pars Séphiros, pars vite Mes mains glissent une fois de plus sur mes oreilles “Non je ne partirai pas, je veux être avec elle” Je ferme les yeux essayant de le retirer l’espace d’un moment de ma tête.

(c) oxymort

Tu n'hésites pas à faire un pas en avant vers lui, tu tentes même d’attraper sa main puisque tu veux qu’il sache que tu es là. Tu sais les risques que tu prends en restant dans la même pièce que lui, mais de toute manière tu sais les risques que tu prends en gardant un être aussi torturé que Seph dans ta vie ! Toi, tu sais que tout le monde se pisserait dessus, s’il devait ne serait-ce que resté une seconde avec lui quand il est en état de crise, tu pourrais encore aujourd’hui parler de ses états à ton paternel, mais tu ne le feras pas jamais parce que tu ne veux plus, tu ne supporterais pas qu’il soit à nouveau mis en cage ! Toi, tu n'apprécies pas comment on traite les personnes différentes, toi Lexie tu ne pourrais pas supporter le regard critique et mauvais des gens sur l’homme qui fait battre ton palpitant.

Tu ignores ce qu’il entend, tu ignores ce que la voix dans sa tête peut bien lui dire, mais toi tu as confiance en lui et tu es persuadée qu’il sera toujours plus fort que ses démons. Toi, tu es probablement naïve de croire en lui avec une force qui est en mesure de dépasser toute force mondiale entremêlée, alors tu t’approches avec une respiration calme et tu cherches le contacte son mouvement de recule te fait sursauter à l’intérieur, tu sais que tu ne dois pas lui montrer ta faiblesse, que jamais un soupçon de peur ne doit être visible autrement tu ne sais pas de quoi il serait capable. Tu joues avec le feu Lexie, mais tu as toujours été ainsi tu es comme ça et un jour tu sais que tu finiras par te brûler. Une fois de plus, il te fait savoir qu’il ne veut pas te faire de mal et qu’il est persuadé de l’avoir tué pourtant toi tu sais que ce n’est pas le cas, tu sais qu’il n’a jamais franchi cette frontière, tu serres les dents un instant simplement parce que le voir dans un état pareil te transperce comme un harpon pourrait transperce sa proie.

Le mur parvient à le retenir alors tu n’hésites pas à faire un pas supplémentaire en lui disant une fois de plus qu’il n’a rien fait et qu’il ne te fera rien. Son regard est sur toi, c’est ce que tu voulais, tu voulais capturer son attention et ses choses faites. La noirceur à chasser toutes lumières, tout éclat de son regard, ses pupilles semble dilatée comme un drogué en manque de sa dose. Tu sens ta peau pigmentée le long de ton dos non pas de peur, mais d'excitation, tu sais que ce n’est pas le moment, mais tu ne peux contrôler cette attraction que tu ressens face à lui… Tu sais que toi aussi, tu n’es pas tout à fait claire puisque tu ne devrais pas ressentir cette envie grimpante quand il est dans un état pareil, mais c’est ainsi tu l’aimes que ce soit dans la lumière comme dans l’ombre. Tu déglutis dégageant cette soudaine envie mal placée avec férocité et tu mordilles le coin de ta lèvre pour lui répondre << Je sais que tu ne me feras jamais de mal, je te connais >> tu ajoutes à cela que tu ne vas nulle part pourtant tu es déjà partie, mais tu es toujours revenue dès que ton planning te le permettait, tu as passer des heures à l’appeler à le regarder grâce aux webcams.

Tu te rends compte qu’il lutte, qu’il se bat contre ce mal qui le ronge de l’intérieur et qui tente de le contrôler quand il agrippe ses cheveux pour secouer la tête, maintenant tu reconnais les signes après tant d’années à partager ses états d’âme. Son regard finit par tomber dans le sien et c’est une vague de chaleur qui parcourt ton corps, ton entrejambe se fait brutalement capturer par cette chaleur qui s’engouffre en toi te forçant à déglutir d’envie. Tu prends sa main et tu la guides sur ta poitrine en lui demandant d’écouter, une fois encore ses un mouvements de recul qui le parcoure, mais tu ne lâches rien puisque tu te mets sur la pointe des pieds pour murmuré à son oreille un ‘Jamais’ comme personne ne pourrait le faire, mais cela n’a pas l’effet que tu recherches puisque tu entrevois sa tempe se contracter signe qu’il serre les dents.

Tu n’as pas le temps de dire où de faire quoi que ce soit qu’il te pousse avec une force assez intense, tu recules de quelques pas malgré l’impact que tu as tenté de mettre avec ton corps, tu te doutes qu’il a tout de même contrôler sa force puisqu’autrement tu aurais traversé la pièce pour te fracasser contre un mur ou bien même un meuble.
Plus vite qu’un battement de cils, il t’attrape au niveau des épaules, tu sens la force dans ses mains, tu sens l’intensité de sa poigne, tu sais qu’il pourrait te briser comme on brise une baguette. Tu entres ouvres les lèvres pour dire quelque chose, mais tu n’as pas le temps qu’il te colle contre le mur avec une facilité et une hargne déconcertantes, le choc du mur contre ton dos te coupe le souffle un instant alors qu’il s’emballe dans un élan de question et de ressenti que tu lui as imposés en le laissant comme tu as pu le faire en quittant la ville << Seph >> dis-tu en tentant de chasser cette folie de remords qui s’accapare de ton être, tu n’as pas le souvenir qu’il t’est déjà reprocher d’être partie, tu n’as pas le souvenir qu’il t’est déjà avouer en avoir souffert, mais tu t’en veux parce que tu aurais dû comprendre, tu aurais dû voir qu’il souffrait, tu aurais dû arrêter de te voiler la face, tu aurais simplement dû accepter ta défaite au lieu de vous laisser souffrir sans fin.

Ton regard se fige sur lui et ce n’est plus une vague d’envie qui te parcours non, c’est une inondation qui te menace puisque ton regard se remplit de perle saké << Tu sais que je n’ai jamais voulu t'abandonner >> dis-tu en tentant de le calmer, mais sa main glisse à côté de ta tête, tu sais qu’il pourrait sous peu éclater son poing à cet endroit ou le fracasser sur ton visage, mais tu ne bouges pas d’un millimètre. Tu inspires pour ne pas laisser cette tempête s'emparer de ta stabilité, il approche son visage du tien au point où tu sens son souffle chaud caresser ta peau, tu es tenté, tu es incontestablement attiré par ses lèvres, tu sens l’excès de salive s’accumuler à l’arrière de ta bouche, ton palpitant résonne si fort en toi que tu ne t’entends plus penser. Tu sais que tu as envie de coller tes lippes contre les siennes, mais tu n’en as pas l'occasion puisque le combat qu’il mène n’est pas terminé ses mains se pose une nouvelle fois que ses oreilles et il répond à cette voix, cette voix qui lui fait tant de mal cette voix que je voudrais détruire de mes propres mains. Tu ne comprends pas ce qu’il raconte, tu ne sais pas qui est la personne avec qui, il veut être bien que tu espères que tu meurs d’envie que cette personne ce soit toi, tu n’es certaine de rien, mais tu n’hésites pas à le rejoindre dans cette conversation pour l’aider à tenir tête << Il reste avec moi >> dis-tu avec une voix combattante.

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Lexie & Séphiros

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Le monde sans elle est vide, ma vision n’est plus la même lorsqu’elle n’est pas là, je sais que je ne dois pas, je sais que cela n’est pas bon pour nous mais surtout pour elle. Je suis un danger pour elle, je le sais mais je ne peux faire sans elle, mon âme est emprisonnée dans la sienne et pourtant on a nos vies. Ne la laisse pas là, elle va te faire du mal Séphiros, elle doit partir Je n’ai pas envie de l’écouter, je n’ai pas envie de l’entendre, je veux être avec elle et pourtant je sais que je peux lui faire du mal. “Je l’ai tué et je ne veux pas te tuer, je ne veux pas te perdre” Je suis dans un monde de destruction, cette crise est difficilement contrôlable, et même la main sur sa poitrine fait que je n’arrive pas à me contrôler.

Ma tête est en plein doute, cette voix me crie de la tuer et pourtant je n’ai jamais tué quelqu’un, je le sais mais il me mets dans ma tête que j’ai tué ma soeur et je finis par le croire, après tout il ne m’a jamais menti enfin je crois. regarde là, elle va nous séparer, elle va t’arracher à moi Je soupire alors que ma main est toujours là à sa place mais d’un coup, elle se retrouve contre le mur, je souffle, ma respiration est rapide, pourquoi je dis qu’elle m’a abandonné, je ne sais pas car je sais que c’est pour son travail et on se voyait de temps en temps quand elle avait le temps de rentrer alors pourquoi, pourquoi tout ça, pourquoi ses mots sont sortis de ma bouche.

Mon regard dans le sien, je remarque que ses yeux se remplissent d’eau, ça me fait mal, je suis entrain de me dire que je lui fais peur. Je tremble alors que ma main glisse contre le mur à côté de son visage. Ne l’écoute pas, elle t’a abandonné, elle ne veut pas de toi dans sa vie. je souffre de cette situation, si elle pouvait savoir qu’il est rare pour moi de rester normal, qu’il y a que très peu de personne avec qui j’y arrive et encore ce n’est pas la même chose car elle est unique. Tue la je te dis, deviens moi ou alors tues-toi Non je ne la tuerai pas, si quelqu’un doit mourir ce n’est pas elle.

Les mains sur les oreilles, j’essaie de le faire taire pars écoute moi pars Je fais non de la tête, je n’ai pas envie et quand j’entends Lexie dire que je reste avec elle, je replante mon regard dans le sien alors que je fais non de la tête. Mes mains restent sur mes oreilles, je recule, je m’accroupis et fixe le sol “Ne me laisse pas, mon amour ne me laisse pas” Je me relève et je fais face à la jeune femme, je la regarde coller contre le mur, l’attraction est bien trop forte pour lui résister, ne fais pas ça, Séphiros je t’interdis de le faire En un instant mon corps colle le sien, ma main remonte sur sa joue, mes lèvres se posent contre les siennes Non

Je me recule et refais quelques pas dans la pièce “Putin laisse moi en paix” Je reviens contre elle, ma main glisse cette fois dans ses cheveux pour venir tirer dessus en arrière “Me laisse pas” Mes lèvres reviennent contre les siennes, ma langue vient chercher sa jumelle l’espace d’un moment avant de repartir en arrière Elle va te faire souffrir je remets les mains sur mes oreilles, la chaleur m’envahit, j’ai envie d’elle, j’ai ce besoin viscéral de la posséder “ Elle ne le fera pas, je le sais elle n’est pas comme ça, Dis-lui mon amour que tu ne veux pas me faire souffrir, Dis-lui qu’il me laisse”

(c) oxymort

Tu remarques bien que tu n’arrives pas à calmer sa crise pourtant, tu n’as jamais eu de difficulté. Tu as toujours été à la hauteur, tu as toujours été celle qui pouvait le calmer subitement, celle qui a toujours été différente, mais tu constates que les choses changent… Tu te demandes, si c’est ses deux ans plus ou moins loin de lui qui a brisé cette connexion spéciale que vous aviez cette connexion qui avait le don d’étaler de la pommade sur tes doutes et des peurs qu’ils partent un jour avec une autre femme que toi.

L’idée que tu ne sois plus la seule et l’unique te serre le cœur et tu as l’impression que ton palpitant est sur le point de s’éteindre et les paroles qu’il a ajoutées face à ton départ ne font qu’augmenter cette douleur. Mais le voir combattre contre cette voix t’encourage à croire que tu es toujours celle qui est en mesure de panser ses plaies ! Il répète qu’il ne veut pas te tuer et qu’il l’a tué, mais tu sais que cela est provoqué par cette voix qui le torture sans repos en ce moment même.
Toi, tu sais qu’il n’a rien fait ! Tu sais qu’il n’a tué personne et tant bien l’aurait-il fait cela ne donnerait pas le droit à cette voix de le hanter de la sorte ! Mais toi, Lexie, tu sais que Sephiros est doté d’une poignée virile, mais qu’aucune tache de sang n’y est présente. Elles sont innocentes ses mains et sur ta peau, elle serait si douce…

Tu restes immobile contre le mur tel une proie, tu ne peux pas bouger du moins tu le souhaites pas puisque tu sais que tu es largement en mesure de te défendre, lui aussi le sait, il t’a vue grandir, il ta vue apprendre, tu as grandi, tu as évolué sous ses yeux attentifs. Sa respiration éclate contre ta peau et tu en as l’eau à la bouche, tu veux le goûter juste une fois rien qu’une fois encore.

Malgré cette envie qui te parcourt, te dévore de l’intérieur depuis des années, l'iris de tes yeux se terni à cause de cette menace qui te bouleverse, mais tu tiens le choc, tu maintiens la barque malgré la tempête que tu traverses. Tu ne peux pas être faible, tu ne peux pas laisser cette voix le conquérir, il est à toi rien qu’à toi et tu ne laisseras personne te le prendre quitte à en perdre toutes tes plumes. Toi, tu t’en fiches d’être totalement déplumé tant que c’est pour lui, tu pourrais donner ta vie contre la sienne, mais tu n’as pas encore rencontré Satan pour pactiser avec lui. Tu remarques qu’il tremble, tu penses comprendre que la voix gagne du terrain.

Il met ses mains sur ses oreilles une fois de plus, il est fort ton Séphiros tu l’as toujours su, il s’accroche comme un jedi le ferait, tu es fière de lui. Puis tu l’entends parler à cette voix qui t’est inconnue, tu ignores même le timbre de voix qu’elle peut avoir est-ce féminin ? Masculin ? Tu ne sais pas, mais tu n’as jamais cherché à savoir parce que tu ne veux pas remuer le couteau dans la plaie, toi ce que tu veux ce que tu recherches c’est qu’il soit en paix avec lui-même. Tu interviens en t’exclamant contre cette voix que tu n’entends pas qu’il reste avec toi ! Tu n’es pas prête à le laisser partir, il ne te glissera pas entre les mains. Son regard retrouve le tien et il secoue la tête, tu fronces légèrement les sourcils face à sa détermination qui semble avoir pour te rejeté, mais il doit savoir que tu n’iras nulle part parce que tu préfères te prive toi-même de ton dernier souffle que de le voir s’engouffrer dans les ténèbres.

Tu l’entends dire qu’il ne veut pas que tu le laisses, il est totalement incohérent dans ses propos, mais ce n’est pas ce qui te perturbe le plus, non ce qui te dérange Lexie, c’est ça posture… Le replie qu’il a sur lui-même, ‘Tchort' ne l'emprisonnera pas, tu refuses incontestablement << Ne le laisse pas gagné >> dis-tu alors que tu es toujours contre le mur parce que ton corps est paralysé non pas de peur, mais de douleur, tu souffres de le voir dans un état pareil, tu souffres d’avoir entendu ce qu’il te reproche, tu souffres de ne plus êtres celle qui pouvait d’un claquement de doigts le ramener vers toi ! Putain, tu as l’impression de crever de l’intérieur.

De toute manière, tu n’as pas le temps de faire un seul mouvement qu’il est subitement face à toi, ton dos est toujours contre le mur, ton regard est dans le sien et tu ressens à nouveau cette chaleur t’envahir de la tête au pied pour se loger en terminus sur ton entrejambe cette fois-ci tu souffles chaudement tellement c’est intense.
Son corps se presse contre le tien et ce contact libère cette pression de serrage sur son palpitant qui s’emballe subitement, sa main sur ta joue fait naître un doux frisson qui te caresse avec une intensité, une douceur que tu ne peux qualifier. Quand il colle ses lèvres contre les tiennes, tu ne tardes pas à réaliser ce qui se passe, mais il te torture, il joue avec toi puisque tu n’as même pas le temps de sentir le goût de ses lippes qu’il les décollent déjà. Son corps quitte le sien et tu te sens vide comme si on venait de te lâcher du 20ème étage sans parachute et que tu vois de tes propres yeux les dégâts de l'atterrissage.

Tu n’arrives pas à respirer convenablement, tu n’arrives pas à remplir tes poumons, tu perds tes sens, tu perds tes fonctions, tu crèves d’envie, de douleur… Tu le regardes faire quelques pas et tu passes ta langue sur tes lèvres en quittant d’un pas vers l’avant le mur << Seph >> à peine tu dis son surnom qu’il revient vers toi avec un pas déterminé, tu recules et le mur te stoppe, tu l’avais presque oublié ce mur. Son corps retrouve le tiens avec une pression qui permet à ton corps de retrouver un semblant de fonction, sa main dans tes cheveux te fait légèrement vaciller les paupières, mais quand il tire dessus en arrière, tu te mords le coin de la lèvre << Jamais, ma vie jamais >> parviens-tu à dire avant que ses lèvres se collent à nouveau sur les tiennes cette fois-ci tu ne perds pas une seule seconde et tu savoures le goût de ses lèvres qui sont pour toi un mélange de douceur et d'acidité.

Tu laisses sa langue rejoindre la tienne sans aucun combat au contraire, tu lui as ouvert la porte tandis que tes mains remontent doucement, l’une d’entre elles se pose sur le bras de l’homme qui te rend totalement folle et l’autre se glisse dans le creux de son cou. Ce moment dure un peu, mais pas assez longtemps pour toi puisque quand il se recule tu en as encore envie, putain non, c’est pire que ça… Tu en as besoin, tu pourrais te jeter à ses genoux pour qu’il fasse de toi sa chose. Tu fronces les sourcils plus sévèrement en voyant qu’il est toujours en plein combat, tu t’approches finalement d’un pas déterminée tel une tigresse prête à défendre son territoire, sa propriété, tu attrapes avec forces ses avant-bras pour lui faire retirer ses mains de ses oreilles, tu le fais reculer en le poussant tout en gardant cette attrape tu fais en sorte qu’il se retrouve comme l’armoire et tu plonges son regard dans le sien << Regarde-moi Seph ! Putain, regarde-moi correctement ! >> dis-tu en remontant tes mains sur son visage venant encadrer de tes mains le visage qui hante tes nuits, ta vie entière << Je ne te ferais jamais aucun mal, je ne partirais pas loin de toi, putain je vais resté à tes côtés jusqu’à la fin ma vie ! >> je lui vole un baiser rapide ajoutant << J’ai besoin de toi Seph, laisse pas cette voix prendre le dessus, j’ai besoin de toi, je t’en prie… Reste avec moi, reste pour moi >> dis-tu en collant tes lèvres contre les siennes ignorant totalement, si c’est lui où le démon qui répondra à ta provocation.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

La mort fait partie de ma vie, le démon m'entoure chaque jour, suis-je damné pour ne pas avoir su protéger mes parents, mon frère ? Suis-je responsable de leur mort ? Cette question, je l'ai toujours eu en tête, je me suis toujours demandé ce qu'il se serait passé si j'avais été plus fort. Peut-être que je serai mort avec eux, cela aurait été mieux dans un sens, il ne vivrait pas en moi. Je le sais ce n'est pas systématique, avec peu de personnes j'arrive à le contrôler, elles ne sont pas nombreuses, je les compte sur les doigts d'une main et encore on pourrait dire qu'il n'y a qu'elle, elle est la femme de ma vie, elle est mon tout, elle est l'interdit, elle est… ma cousine. Mais j'ai bien remarqué que quand je suis avec Popeye, il y a un truc de nouveau, je sais qu'il ne pourra pas contrôler cette folie, elle est unique, il n'y a qu'elle qui le pourra mais je me sens apaisé avec lui, je ne pourrai l’expliquer et c’est peut-être ce qui fait que l’on se voit régulièrement surtout pour coucher ensemble. Mon regard sur elle, j'écoute cette voix qui me dit qu'elle va m'abandonner, il me le répète encore et encore, je n'arrive pas à le croire et pourtant le doute est là.

Un jour, elle rencontrera quelqu'un, un jour elle aimera un autre et elle m'abandonnera parce qu'il ne supportera pas notre lien. Ce jour-là, je le sais, je le sens au plus profond de moi, cet homme sans le savoir, signera la fin de ma vie car sans elle, je ne pourrai vivre. Elle ne sait pas le pouvoir qu’elle a sur moi, elle ne sait pas la capacité qu’elle a à faire de moi ce qu’elle veut, bon je ne serais jamais de ceux qui obéissent mais pour elle, je ferai tout pour elle, je donnerai ma vie pour elle, après tout, je destinais à aller en enfer alors parfois, je me dis que si c’est pour elle, je n’aurai aucuns regrets. Cette voix résonne en moi, cette voix est là et je ne peux pas faire autrement que de l’écouter, il me met le doute en tête. regarde là, elle te veut du mal non elle ne me veut pas de mal, je le sais, elle est là pour moi, mon regard se pose sur elle, je m’approche, mes lèvres se pose sur les siennes mais qu’est-ce que je suis entrain de faire, je ne dois pas.

Je me recule, je pose mes mains sur mes oreilles l’empêchant de l’entendre mais ça ne sert à rien, je le sais, de nouveau mes lèvres reviennent sur les siennes, ma langue glisse jusqu’à la sienne, mon coeur est en proie aux doutes, je recule encore. Je lui parle, je lui dis qu’elle ne me fera rien et je supplie presque Lex de lui dire, je ne sais pas quand cette crise va se finir ni comment mais j’ai peur de lui faire du mal. Contre l'armoire, j’évite son regard avant qu’elle ne m’oblige à le faire non Séphiros non!! Ma respiration est rapide, mon corps tremble, cet envie de la posséder est encore plus présente, je lutte de toutes mes forces, je lutte pour ne pas faire n’importe quoi, ce baiser, me fait prendre conscience doucement de la réalité des choses alors que ses paroles résonnent en moi, elle a besoin de moi, elle veut que je reste avec elle. Non elle ne veut pas ça, elle veut te contrôler

Je sais que c’est faux, personne ne peut me contrôler, personne même pas elle. Je réponds à son baiser avant d’inverser la position alors que nos lèvres sont toujours jointes, ma main monte sur sa joue puis dans ses cheveux que j’emprisonne avec fermeté, il est trop tard, je le sais, je suis maudit, elle me consume à chaque fois que mes yeux se posent sur elle. Non Séphiros, ne fais pas ce que je crois Je ne suis pas encore redescendu, je ne suis pas encore calme mais là maintenant est-ce bien de l’être parce que si je l’étais, je lutterai encore et encore pour ne pas succomber. Je recule l’entrainant avec moi sans quitter la douceur de ses lèvres, sans une réelle douceur mes main font glisser sa robe le long de son corps qu'est-ce que tu fais Séphiros Je la pousse sur le lit alors que je suis toujours debout face à elle, mon regard parcourt son corps tant désiré, mon regard reprend un peu plus de sa couleur d’origine mais la noirceur est toujours là en moi.

Est-ce que j’attends un signe de sa part, je ne sais pas du tout mais je reste là à l’observer un petit moment, son corps est parfait, sa poitrine est parfaite, tout est parfait en elle...Je reste là je ne sais pas combien de temps avant de me glisser au-dessus d’elle pour venir reprendre ses lèvres “Ne me quitte plus dis-je avant de réellement en prendre possession dans un baiser beaucoup plus torride que d'habitude. Tant que je ne serais pas complètement descendu, je ne serais pas doux comme j'ai pu l'être dans le passé.

(c) oxymort

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Toi mieux que personne tu sais que personne ne pourra prendre sa place, tu es la seule à savoir ce que tu ressens en toi, la seule à comprendre et pourtant tu es clairement dans l’incapacité de lui dire les choses puisque le dictionnaire aussi complet est il ne contient pas de mots assez fort, puissant pour exprimer avec des mots ce qui ne cesse de grandir en toi !

Tu as penser que l’éloignement étoufferait avec le temps ce que tu ressens, mais il s’est avéré que même la distance n’a pas été suffisante au contraire dans la finalité c’est même en pire qu’avant puisque maintenant tu as l’impression que le manque que tu t’es imposé en m'éloignant n’a qu’en réalité accentuer ton désir d’être avec lui.
Tu as pourtant mis toutes les cartes sur table quand tu étais sur New York, tu as même essayé d’avoir ce qu’on appelle une relation amoureuse, mais ça n’a pas duré puisque tu n’es pas capable de chasser Séphiros de ton esprit… Et puis, tu as eu bon essayer de faire semblant en souriant continuellement et en jouant la comédie comme tu sais si bien le faire, tu as fini par dire le prénom de l’homme qui te bouleverse au lieu de celui qui était en toi et qui cherchait à te faire rejoindre le septième ciel. Cette histoire tu l’as gardé pour toi puisqu’elle ne m’est pas ta volonté et ta détermination en avant, tu n’es pas fière d’avoir susurré son nom au creux de l’oreille de ton amant passé. Oh, il ne t’a pas quitté pour autant bien trop fier d’avoir une femme avec un physique aussi avantageux à son bras, il t’a pardonné, mais tu t’es lassé de jouer la comédie et tu l’as laissé sans te retourner.
Avoir toi, ce n’est toujours comme ça personne n’arrive à te faire sentir bien personne n’arrive à te faire oublier Séphiros sur le long terme, tu n’as pas de pause non, toi Lexie tu t'essouffle à combattre encore et encore, toi tu es continuellement armée, jamais tu ne peux relâcher les armes qui malgré tous tes efforts commencent à être lourde pour ta carcasse épuisante.

Tu ignores que l’homme de tes tourments n’est pas dans le même état que toi, tu ignores que lui parvient à trouver des moments de grâce avec d’autres, mais tu sais que l’apprendre te donnerait l’impression qu’une flèche pointue a transpercé ton cœur. Cela dit tu n’es pas idiote, tu sais qu’il voit d’autres personnes parce qu’il reste un homme avec des besoins, mais tu te consoles en pensant que ce n’est qu’une question d’hygiène, naïve tu es encore sur ce sujet Lexie. Il y a longtemps tu t’étais fait la remarque qu’en réalité rien ne vous unit excepter le mariage de son père avec sa tante, tu avais soulevé que rien n’était sale entre vous puisqu’il n’est pas du même sang que toi, mais cette éventualité plus que réelle n’a finalement pas été suffisante puisque tu sais que pour la famille c’est comme si vous étiez frère et sœur… Parfois, tu te laisses espérer que le jour où vos parents seront morts un avenir se dessinera pour vous et tu en viens même à espérer secrètement que ce jour arrive prochainement. Te rends-tu compte à quel point tu perds la raison Lexie ? Tu en as parfaitement conscience, mais tu n’y peux rien, tu ne veux pas être mauvaise, mais tu ne peux pas non plus t’en vouloir d’avoir envie de caresser le bonheur.

Oh, mais tu sais que jamais rien ne sera aussi facile puisque même la mort de votre famille ne changera pas ce que vous êtes et puis tu sais qu’il y aura toujours “Tchort” entre vous, tu auras toujours cette peur qu’il te le prenne, mais tu es prête à te battre, prête à mourir au combat pour lui. Face à lui, tu le maintiens contre l’armoire pour lui faire tête, tu prends des risques, mais toi tu fonces toujours la tête la première surtout, non toujours quand il s’agit de Sephiros ! Tu as tout laissé juste pour revenir à ses côtés, mais c’est ton secret, un secret que tu emporteras avec toi dans la tombe accompagnée de l’amour que tu ressens pour lui. Tu ne penses pas qu’un jour pourra découvrir ce que tu as fait, même pas lui, mais il te connait mine de rien mieux que personne alors tu n’es pas à l’abri.

Tu le forces à rester contre cette armoire et tu lui dis sans mensonge, sans faux semblant que tu ne lui feras jamais de mal et que tu ne partiras plus jamais loin de lui et tu n'hésites pas à ajouter que tu as besoin de lui parce que c’est vrai ! Il n’y a pas de Lexie sans Séphiros, il n’y a pas de vie sans lui à mes côtés. Tu finis par le supplier de rester avec toi, de rester avec toi ce n’est pas réellement un supplice, mais la forme dans laquelle tu lui demandes y ressemble énormément et sans qu’il ne réponde tu l’embrasses le cherchant lui et personne d’autre.

Jusqu’ici, il ne t’a jamais fait de mal , mais il n’a porté la main sur toi pourtant tu sais que cela peut arriver à tout moment, mais au lieu de prendre un coup, c’est la douceur de tes lèvres qui se meuvent sur les tiennes. Lippe contre lippe, tu entends les battements de ton cœur dans ta tête. Il ne tarde pas à reprendre le dessus en changeant la position, tu aimes quand il prend le dessus, tu as toujours aimé ça. Sa main te caresse la joue avant d'emprisonner avec fermeté tes cheveux. Tu grimaces sur ses lèvres, mais tu n’arrêtes pas le baiser au contraire tu le relances ne voulant pas qu’elles t’échappent. Quand il recule en t’entraînant tu le laisses faire, tu es à lui depuis toujours, il peut faire de toi ce qu’il voudrait ce qui lui plaira, tu sens ta robe que tu as toi-même été incapable d’enlever glisser le long de ton corps ses mains expertes ont clairement eu raison du morceau de tissus.
Toi qui n’avais pas mis de soutien-gorge tu te retrouves la poitrine découverte et à sa merci, il te pousse et tu te laisses faire venant retrouvée le confort du lit que vous partagé à chaque fois que tu es là.

Tu es presque nue devant lui, seul ton sous-vêtement inférieur cache la dernière partie de ton corps, tu as chaud comme jamais tellement que tu penses être en enfer, tu sens les flammes en toi entrée en contact avec ta chair tu ne contrôles plus rien encore moins ce besoin de le sentir en toi. Tu veux qu’il te remplisse, tu veux qu’il te possède, tu veux, putain Lexie tu veux le veut lui, lui et ses démons réunit et le mélange de nuance dans son regard te rend humide comme ce n’est pas permit. Tu le regardes, tu ne peux pas le quitter du regard, tu ne sais pas ce qu’il y en tête, mais tu sais qu’il ne peut pas faire marche arrière pas maintenant, non, il ne peut pas te laisser dans cet état, tu salives alors que ce moment te semble être interminable. Tu sens le doute apparaître et tu te demandes, si tu es à son goût, mais comment pourrais-tu ne pas l’être ? Tu es parfaite Lexie, personne n’a jamais dit l’inverse, tu cherches ta confiance, ton assurance en toi et tu souris écartant doucement les cuisses pour lui faire comprendre qu’il peut venir, ton regard l'invite non, il lui ordonne de venir sur toi.
Tu ne sais pas, si c’est ton message corporel où le feu dans ton regard qui le pousse finalement à te rejoindre, mais tu t’en cognes, a peine est-il sur toi que tu laisses tes mains caresser son dos musclé rien qu’en le touchant tu as la sensation d’être sur le bûcher comme une vulgaire catin, ça te brûle te le toucher, mais tu ne souffres pas au contraire cette brûlure est aussi intense que l’orgasme lui-même.

Tes lippes caressent les miennes quand il en reprend possession, puis tu l’entends te demander de ne plus le quitter, tu n’as pas besoin de réfléchir pour lui répondre, mais il ne te laisse pas le temps de le faire puisqu’il capture tes lèvres comme un dominant le ferait, il réduit tes lèvres à la soumission, une soumission que tu acceptes délibérément. Ce n’est pas le genre de baiser que tu as pu connaître, tu sais qu’il n’est pas dans son état normal, tu sais qu’il n’est pas seul en ce moment tu parviens à sentir les nuances de ses deux personnalités, si tu peux te permettre d’appeler cela ainsi… Mais tu n’en as rien à faire tout ce que tu veux toi, c’est qu’il te possède qu’il te soulage qu’il t’offre la rédemption… Tu as envie de lui comme tu as envie de “Tchort” c’est comme ça depuis longtemps, mais toi tu ignores si “Tchort’ te désire, mais tu penses pouvoir dire que ce n’est pas le cas après tout ce que tu as déjà pu entendre. Tu finis par attraper sa lèvre inférieure avec tes canines et tu tires dessus en disant sans un souffle << Jamais >> tu réponds à sa demande et tes mains se pose sur ses fesses que tu presses fortement pour que son entrejambe encore recouvert de tissus se colle contre ton intimité elle aussi emballer d’une dentelle, tu plantes ton regard dans le sien et tu remontes tes mains le long de sa colonne vertébrale le griffant d’une manière provocatrice et ta langue se glisse dans sa bouche pour venir fouetter la sienne.

(c) oxymort

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Pourquoi a-t-il fallu que ce soit ainsi, pourquoi a-t-il fallu que je sois ainsi, que je ne sois pas moi, que je sois lui car oui là maintenant je me battais pour reprendre ma place, pour reprendre possession de mon corps, de mon âme et surtout de ma vie. Je suis incapable de lui faire du mal et elle le sait, du moins je l’espère, jamais je ne lui ferai du mal mais je sais que je suis incontrolable, que je suis de ceux qui ne peuvent être apprivoisé et pourtant elle a réussi, elle arrive à me faire oublier tout ça. Mon regard passe sur elle puis dans la pièce avant de revenir vers elle, j’essaie de l’écouter, j’essaie de comprendre ses paroles mais je n’y arrive pas, c’est difficile, je sais que si je l'écoute la maintenant, je serai comme lui, je serai ce monstre, je serai un digne héritier de Belzébuth. Je me bats pour qu'il ne prenne pas le dessus et pourtant parfois, j'aimerais me laisser aller, j'aimerai ne plus avoir à souffrir pour rien, j'aimerai…. J'aimerai quoi au fond, je me suis habitué à être comme ça, il y a des jours où j'aime être lui, je ne peux le nier mais je ne pourrai jamais le laisser prendre le dessus surtout face à elle, surtout face à cette femme qui me maintient en vie depuis des années. La maintenant, mon esprit est en doute, il a réussi à mettre le doute dans ma tête, mon dieu s'il pouvait savoir comme parfois j'aimerai être lui, ne plus me prendre la tête, être ce que je veux mais rapidement, la raison revient en partie, je ne suis pas un meurtrier, non je ne le suis pas, mon amour a raison, je n'ai tué personne, je n'ai pas tué ma soeur, je n'ai pas l'envie de tuer Lexie, je préfèrerais mourir que de lui faire du mal.

Mes lèvres sont sur les siennes et il est toujours là, j'aimerai qu'il me laisse en paix, qu'il me laisse céder à ce feu qui me brûle de l'intérieur, je la désire, je la veux mienne au moins une fois, je sais que je ne pourrai revenir en arrière que le désir sera toujours là tu ne devrais pas Sephiros, tu vas souffrir avec elle et je ne veux pas que tu souffres pour cette femme, je suis ton ami, crois moi, les femmes sont le diable les femmes sont là tentations, je le sais, je suis faible tout comme avec certains hommes, je suis comme ça mais elle… elle c'est autre chose. J'hésite et recule pour la regarder alors qu'elle est contre cette armoire où elle m'a fait comprendre qu'elle était là, qu'elle ne me laisserait pas. Est-ce que je la crois ? J'en ai envie bien-sûr mais le doute persiste, il me met le doute, il arrivera toujours à me mettre le doute. Je me colle à elle, ma vie, mon amour, ma force… si elle pouvait se douter à quels points je la désire, à quels points ma vie n'a de sens sans elle à l'intérieur. Pourtant je sais qu’un jour, elle rencontrera quelqu’un, qu’elle aimera cette personne au point de partir de ma vie, je le sais, je sais qu’il faudra que je m’y fasse mais que cette personne ne me la retire pas parce que je ne pourrais laisser faire ça, je ne pourrai vivre sans elle et encore je sais que je ne pourrais le supporter, si tu pourras Non je ne pourrais pas, ça c’est plus que sûr, je deviendrai fous sans elle.

Je l’entraine un peu avec moi, ma main toujours agrippé dans ses cheveux, ma bouche contre la sienne, ma langue à la recherche de sa jumelle et soudain sa robe se retrouve au sol. Il est trop tard pour faire marche arrière, il est trop tard pour revenir en arrière, ça c’est plus que sûr, alors qu’elle est sur le lit, mon regard reste sur elle alors que je suis toujours debout au pied du lit. Tu as gagné, regarde ce corps, regarde Séphiros mes yeux restent sur la femme qui hantent mes pensées, je remarque ses appels et pourtant le démon en moi est toujours là mais j’arrête de réfléhir et voilà que je me glisse entre ses cuisses venant lui demander de ne pas me quitter. Je sais que c’est prétentieux de demander ça mais ça restera ainsi jusqu’à ma mort. Ses mains sur mon corps ne me font pas oublier qui je suis, qu’il est là mais bordel que j’aime ça. Mon bassin est contre son intimité recouverte de cette magnifique dentelle, elle peut sentir déjà l’effet qu’elle me fait avec la bosse naissante dans mon bas de jogging. Ses ongles dans ma peau qui me lacèrent au niveau de la colonne vertébrale me donne encore plus l’envie de la prendre là maintenant. Nos langues se cherchent et se retrouvent une fois de plus, elles dansent, elles virevoltent jusqu’à en perdre haleine.

Mon souffle est court prends-là, je veux l’entendre et après tu la tues mais est-ce qu’il va se taire, je ne veux plus l’entendre, qu’il me laisse bordel. Je me redresse sans la quitter du regard l’espace d’un moment. Est-ce que je doute de ce qu’il va se passer ? Oh non je ne doute plus, je la veux, je la veux mienne, je veux venir me perdre dans sa cavité humide, je veux découvrir son corps mais je sais que je ne peux être doux. Avant qu’elle n’est pu faire quoi que ce soit, son dessous se retrouve au sol avec violence, cette fois-ci, elle est nue. Elle est parfaite, tellement parfaite, ma main vient saisir un de ses seins le serrant légèrement, les lèvres viennent rejoindre ce mont, la langue enroule son téton avant que mes dents viennent serrer doucement celui-ci. Ma main de libre glisse entre ses cuisses pour caressant son intimité l’espace d’un moment avant de finir sa course sur sa fesse gauche que je serre avec fermeté. Après quelques secondes à malmener son sein et son fessier, ma bouche vient se poser sur la sienne venant finir sa course vers son oreille “Je t’interdis de bouger, j’espère que tu m’as bien compris mon amour” Je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit que mes lèvres prennent une fois de plus possession des siens pour éviter qu’elle prenne la parole.

Un léger regard et ma langue glisse dans son cou, venant faire une halte jusqu’aux jumeaux pour venir mordiller l’autre téton pendant quelques secondes puis je descends le long de son ventre pour finir ma course la tête entre ses cuisses ferment. ‘N’oublie pas ce que je t’ai dit” Ma langue vient chercher refuge sur son bouton d’or avec fermeté, rien n’est doux et pourtant je me délecte de sa cyprine déjà bien présente, ma main droite tient fermement sa cuisse, l’obligeant à ne pas bouger. Ma langue est intrusive et se perd rapidement, ma main de libre vient glisser à l’intérieur de ses cuisses et sans ménagement, deux doigts viennent la pénétrer venant rejoindre ma langue de l’envie de la jouir.

(c) oxymort

Tu ne sais pas, si tu as toujours été du genre à aimer la noirceur de l’âme où si tu as simplement appris à aimer cela en grandissant aux côtés de Seph, mais tu penses réellement que ça a toujours fait partie de toi puisque tu as ressenti le besoin d’aller vers lui alors que vous étiez que des ados inconnus l’un à l’autre. Tu penses vraiment que tu as toujours été ainsi et que l’arrivée de Seph dans ta vie n’a seulement réveillé en toi cette facette qui aurait probablement sombré quand tu aurais offert ton coeur à un garçon de ton lycée.

Mais toi, tu n’as jamais offert ton cœur à qui que ce soit, du moins pas officiellement puisque ton cœur est enchaîné depuis des années, mais tu as offert ton corps à un homme pour pouvoir prendre le chemin de la féminité complète, tu ne t’es cependant pas offerte à un abruti de ton lycée non toi, Lexie tu as vue les choses en grand et tu as directement tapé sur plus âgée puisque c’est un étudiant de l’université qui a eu le privilège de te déflorer alors que tu n’étais âgée que de quinze ans. Précoce tu étais, précoce tu as toujours été puisque vivre sans mère à attiser ta curiosité sur le monde des “Femmes”’. Loin d’être stupide, tu avais rapidement compris que ton père ne serait pas ne mesure de faire de toi une demoiselle digne de se nom et toi, tu n’étais pas prête à ressembler à un petit mec. Tu as donc commencé tôt à t’intéresser à la mode et autres confetti que les filles apprécient au départ, tu t’es un peu forcée et finalement, c’est devenu limite une vocation, une passion.

Les années ont finalement fini par te dessiner une silhouette de mannequin magnifiquement musclé par le nombre d'heures que tes activités sportives telles qu’elle soit ont fini par te créer. Accumulant physique avantageux, gueule d’ange aux allures de jeune rebelle, tu avais déjà tout pour plaire perché sur tes quinze années. Tu n’as donc eu aucune difficulté à trouver un volontaire quand il t’a fallu passer du statut d’ado à celui de femme, mais déjà à cette époque tu désirais secrètement que l’homme qui fera de toi une femme à venir soit Séphiros. Trop jeune pour comprendre le fond de tes sentiments, tu n’as pas su à l’époque comprendre que tu étais amoureuse de lui alors tu as essayer comme toutes les filles de ton âge d’être la petite copine de quelqu’un, mais comparée à tes amies tu as vite remarqué que toi, tu n’avais pas le profil d’être la petite amie de qui que ce soit ! Tu n’as donc pas connu ce que tes amies ont pu connaître, toi tu étais la demoiselle qui changeait de partenaire tandis que tes amis eux préféraient se câliner, finalement tu t’es simplement éloigné de beaucoup simplement parce que tu as suivi ton chemin et tu as fait de nouvelles connaissances, tu as rencontrer des personnes comme toi.

En grandissant, tu es devenue explosive Lexie toujours en quête d’aventure, une aventure, un tempo que tu t’imposes encore, ta vie est tout aussi intense qu’une bande son Rock ‘n’ Roll, mais attention toi tu ne parles pas du Rock ‘N’ Roll de ta génération ! Non, toi tu parles du bon vieux Rock, celui qui entraîne même les plus introvertis sur la piste de danse pour vibrer jusqu’au petit matin. Tu sais que personne n'arrive à comprendre pourquoi tu es toujours seule alors que tu es aujourd’hui âgée de vingt-sept ans, ton père particulièrement ne comprend pas ton choix de vie. Il te rappelle même que ton horloge hormonale tourne au même rythme des années qui défile, tu entends sous cette forme qu’il souhaite être grand-père, mais toi ? Tu ne sais même pas, si un jour tu veux des enfants ! Tu t’obstines à dire encore et encore à ton père que tu es mieux seule que tu es une femme indépendante et qu’il ne doit pas s’en faire pour tes hormones puisqu’il y a de nos jours un tas de moyens autre pour avoir un enfant, mais cela ne semble pas suffisant à soulager ses craintes.
Tu sais de quoi il a peur, tu n’es pas bête Lexie, tu sais qu’il ne veut pas que tu termines seule comme lui à pu l’être de tes 5 ans jusqu'à tes 11 ans finalement, il veut ton bonheur et la promesse que tu sois en sécurité sauf que toi, tu ne te sens en sécurité avec personne, personne sauf lui.

Lui, ce n’est pas une simple idée passagère tu le sais maintenant depuis le temps que tu sens ton palpitant s'emballer à chaque fois que tu es avec lui, tu le sais puisque tu as toujours envie d’être avec lui et que tu as la sensation de mourir quand il n’est pas proche de toi… Tu ne sais pas ce que tu as fait de mal pour mériter ce genre de torture, mais il est certain que dans une autre vie, tu as dû être la pire des garces et que le karma te tombe dessus . On t’a déjà dit que les vies sont décroissantes pour faire simple, ta première vie tu es riches et tu diminues encore et encore et de ce fait en suivant l’évolution il est évident qu'à ta dernière vie tu es pauvre et bien toi, Lexie tu penses que c’est pareil pour l’amour et au point ou tu en es… Tu dois probablement être en train de jouer ta dernière vie puisque tu souffres comme ce n’est pas permis. Tu ne mentiras pas, si un jour on te demande, si tu as déjà voulu être normale, car oui, toi aussi tu as voulu l’être, mais finalement à quoi bon ? Tu es celle que tu es et tu aimerais que les gens t’acceptent tel quel sans te juger, ainsi tu pourrais peut-être prétendre au paradis que sont ses bras à tes yeux.

Bras qui viennent de te pousser sur le lit, bras muni de mains qui viennent de te défaire de ta robe. Tu es presque nue devant lui et c’est bien la première fois que cela se produit malgré toute cette attraction qui a eu entre vous toutes ses années, jamais oh non jamais vous n’aviez dépassé cette frontière. Tu ne sais pas qui te désire actuellement, est-ce Séphiros. Tchort ? Ou bien les deux en même temps ? Tu te poses la question un court instant avant de te rendre compte que finalement ça n’a pas d’importance puisque toi, Lexie, tu désires les deux.
Tu l’invites d’une manière qui te ressemble particulièrement à te rejoindre puisque tu écartes tes cuisses avec une lenteur qui attiserait un feu éteint. Il tarde un peu à se glisser entre tes cuisses, mais le plus important est bel et bien qu’il ai cédé. Sa demande, tu l’entends et tu y réponds tout en laissant tes ongles lacérer la courbe centrale de son dos tandis que tu sens cette bosse naissante, tu souris satisfaite de sentir l’effet que tu lui fais alors que tu ne l’as pas véritablement toucher. Ta langue virevolte contre la sienne, ce n’est pas une danse que vous partagez, mais un véritable combat et pourtant ça t'excite comme jamais.

Il finit par se redresser et tu ne le lâches pas du regard, tu cherches à comprendre ce qui lui passe par la tête, mais tu ne dis rien par peur de le faire fuir. Tu sais déjà que tu ne pourras pas survivre, s’il te laisse ainsi.
Tu n’as le temps de rien que subitement ta dentelle quitte ton corps avec une violence qui te vole un petit gémissement, tu te retrouves nue, tu ne regrettes pas l’épilation que tu t’es faite ce matin même.

Tu ignores ce qu’il pense, tu ne sais pas comment il te trouve et tu aimerais le savoir, toi tu aimes entendre que tu es divine, tu aimes entendre les hommes perdre la tête en te voyant dans ta tenue d’Eve, mais tu sais que l’entendre de sa bouche te fera l’effet d’une jouissance, pourtant il ne te le dit pas et toi, tu ne demandes pas.

Tu te contentes de vibrer aux mêmes rythmes que lui, tu le laisses parcourir ton corps du regard et quand il saisit ton sein pour le serrer, tu te mords la lèvre tout en déglutissant puisque ses mains sur son corps te font un effet infernal. Ses lèvres viennent rejoindre sa main et sans te contrôler tu bascules la tête en arrière, putain tu pourrais jouir maintenant tellement ce contact te bouleverse alors qu’il ne fait rien de bien phénoménal. Mais ce que tu ressens dépasse toutes les baises que tu as pu connaître ! Sa morsure te vole un gémissement aigu et tu n’as pas le temps de te reprendre que tu sens sa main sur ton intimité mouillée, tu souffles quand sa main quitte ton entrejambe pour rejoindre ta fesse, tu gémis une nouvelle fois sous la poigne qu’il s'acharne à mettre sur ton fessier, mais tu n’as pas mal, non toi tu en veux plus, tu as besoin de plus, toi tu sens l’effet qu’il te fait puisque ta cyprine glisse entre tes fesses.

Ses lèvres sur les tiennes, tu tentes de répondre à son baiser, mais il va une fois de plus trop vite pour toi et ses lèvres rejoignent ton oreille. Sa demande, non son ordre te fait froncer légèrement les sourcils tu sais déjà que tu ne pourras pas obéir puisque tu meurs d’envie de parcourir son corps, de le dessiner avec tes mains pour le mémoriser comme un appareil photo pourrait le faire, mais sa voix semble plus que sérieuse et elle te vole un frisson. Tu n’as de nouveau pas le temps de répondre que ses lèvres sont sur les tiennes, tu comprends qu’il ne veut pas que tu parles alors toi, tu vas te taire parce que tu veux être sa chose, tu t’offres à lui.

Un léger regard il te lance avant de laisser sa langue glisser dans ton cou, tu fermes les yeux sous cette douceur que tu ressens. Il ne le sait pas, mais le cou est l’un de tes points sensibles ! Si un homme te veut, il a juste à savoir y faire en soufflant, léchant, embrassant ton coup et tu te dérailles rapidement. Il prend soin de satisfaire ton téton jaloux avant de reprendre sa course descendante, tu sens comme des picotements remonter de ton bouton de plaisir jusqu’à ta gorge, tu sais parfaitement où sa langue va stopper sa course et ça te transcende. Il prend cependant le temps de te rappeler sa règle, cette règle que tu as déjà oubliée à moitié, toi tu n’es pas en mesure de réfléchir à quoi que ce soit pas maintenant. Tu avales ta salive d’une manière sexy sans même le vouloir ton corps entier est en alerte rouge alors quand sa langue se réfugie sur ton bouton de plaisir avec une fermeté inégal, tu ne parviens plus à retenir cette rage sauvage qui ne demandait à quitter sa cage depuis si longtemps, ton corps réagit directement puisqu’il se contracte, tu en rentres même le ventre et tu te cambres en soufflant chaudement. Tu as l'impression d’être une vierge qui n’a jamais eu le plaisir de connaître le sexe, pire encore tu as le sentiment de n’avoir jamais été satisfaite. Il ne se rend pas compte de ce que tu ressens d’ailleurs qui pourrait ? Toi même tu n’arrives pas à faire le point puisque tout ce mélange en toi sans te laisser de repos. La fermeté qu’il met dans sa main en te tenant la cuisse te fait perdre l'ouïe tandis que sa langue sur ton bouton de plaisir te fait perdre la vue et le souffle chaud qu’il dégage sur ta fleur te fait perdre la voix. Mais tu l’as retrouve bien vite quand sa langue se fait intrusive pour ensuite laisser place à ses doigts, tu gémis son prénom avec une voix chaude, suave qu’il ne te connaît pas, pas encore. Tu perds ton souffle, tu perds la notion de la réalité et tout ce qui compte maintenant c’est ce moment et ce que tu ressens, putain ce que tu ressens c’est plus fort que tout, c’est bon, c’est intense, c’est gourmand ! Tu as l’impression de naître << Encore >> c’est hors de contrôle tu ne parviens pas à suivre sa demande, tu n’y penses même plus pour dire vrai tu as oublié, il te bouffe de l’intérieur et ce que tu ressens en ce moment présent cette intensité de bonheur, de plaisir, d’intensité et de férocité te chamboule au point ou tu n’arrives même plus à pensée. Ta main glisse sans tes cheveux pour l’inciter à continuer cette prouesse.

there is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames

Lexie & Séphiros

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Chaque jour, chaque nuit il est présent en moi, je sais qu’il me surveille, qu’il m’empêche d’être celui que j’aurai dû être. Il m’est déjà arrivé de me demander ce que je serais devenu, s’il n’était pas rentré dans ma tête, s’il ne dictait pas parfois ma vie, mes gestes et même mes mots. Je sais que je ne pourrais pour plus vivre sans lui mais il n’est pas celui que je veux, c’est la femme que j’observe alors qu’elle est allongé sur ce lit, ce lit qui pourtant connait ses moindre courbes, ce lit qui nous a vu dans les bras l’un de l’autre et pourtant jamais, jamais juqu’à aujourd’hui, je n’ai cédé à cette envie de faire d’elle, la mienne, de faire d’elle, celle qui sera mienne l’espace d’un moment. Mon regard est toujours sur elle, je repense à toutes ses fois où j’ai repoussé mon envie bestial de prendre possession de son corps, de venir la remplir de mon membre, de la faire jouir sous mes coups, sous mes doigts intrusifs en elle.

Je ne compte plus le nombre de fois où je l’ai suivi quitte à me brûler les ailes juste pour la protéger, juste pour l’observer dans sa vie de tous les jours. Je suis loin d’être un pervers narcissique, non mais je suis un homme qui désire sa cousine, qui frôle avec l’interdiction depuis des années. Depuis quand on embrasse sa cousine sur la bouche, depuis quand on désire autant sa cousine, depuis quand on l’aime à en crever. Est-ce de l’amour, comme on est censé aimer une femme ou un homme, j’en sais strictement rien parce qu’au fond je ne sais pas ce que ce mot veut dire, s’il a bien une chose que l’on ne m’entendra jamais de ma bouche pourtant je pourrai dire certains mots qui auront un jour la même signification. Pendants les deux ans qu’elle a été loin de moi, je me suis amusé, j’ai pris mon pied parfois au détour d’une rue, histoire de me vider, j’ai tenté de l’oublier mais je n’y suis pas arrivé, je n’ai pas pu.

Elle est ancrée en moi, bordel que ferai-je sans elle, que serait ma vie sans elle, je ne serai qu’un zombie en proie au désarroi cherchant la meilleure façon de disparaître à jamais. Parce que oui, si elle n’est plus alors ma vie n’aura plus de sens et elle prendra fin de la pire des manières. Oui tu viendras me rejoindre et on fera un magnifique duo Je sais qu’un jour ça arrivera, je sais qu’un jour, elle partira sans se retourner et ce jour-là, mon voyage se terminera en enfer aux côtés de Lucifer prêt à satisfaire bon nombre de vierge, en fait non je serai là à souffrir de l’absence de celle pour qui j’aurai quitté le monde. Quand elle écarte ses cuisses, m’invitant à la rejoindre, mes pupilles glissent sur son corps si parfait, si beau, je l’observe un petit moment avant de venir me glisser en elle. Mon corps frôle le sien, il le caresse sans réellement de douceur, je suis encore trop avec lui pour que je puisse montrer de la douceur.

Mes lèvres viennent se délecter des siennes avant de partir à la découverte de son corps, ma langue glisse lentement le long de son cou puis sur ses seins venant les malmener avec ma main pour l’un et l’autre avec mes dents sur son tétons. Bordel, j’ai tellement envie d’elle que je pourrai là maintenant la prendre sans préliminaires, sans amour, sans profiter de chaque moment avec elle. Avant de m’arrêter vers son intimité, j’observe doucement celui-ci avant de venir glisser ma langue sur son bouton de plaisir. Ma langue est intrusive parfois avant que mes doigts ne viennent entrer dans sa cavité faisant des mouvements en elle alors que ma langue se délecte un peu plus à chaque seconde qu’elle joue avec son bouton d’or. Je lève le regard vers elle alors qu’elle en demande encore, ma langue vient accélérer sa cadence alors qu’un nouveau doigt vient rejoindre les deux autres dans sa cavité plus qu’humide accélérant également la cadence et cherchant du bout des doigts son point G.

L’entendre gémir comme elle le fait, me donne encore plus envie de la satisfaire, de la faire jouir entre mes doigts, mais si elle pouvait savoir l’envie que j’ai de la posséder, de sceller nos corps. Je me redresse passant une main sur mon visage avant de poser mes mains autour de son visage pour venir l’embrasser avec passion alors que ma main serre avec fermeté sa fesse droite. Mon regard dans le sien, non non pas ça “Si tu savais à quel point on a besoin de toi dans nos vies” Oui je parle nous, de lui et moi parce que là c’est bel et bien le cas. Ma main revient rapidement sur son intimité caressant avec férocité son bouton d’or et venant pénétrer affichant un sourire de satisfaction tout en la regardant.

(c) oxymort

Ce moment tu en as rêvé plus d’un million de fois ce moment tu l’attends depuis longtemps et tu ne pensais pas qu’un jour cela pourrait se produire puisqu’il n’a jamais dépassé la limite que le temps et votre lien vous a imposé. Évidemment, vous avez votre rituel calin, bisous, mais jamais les choses ont été aussi loin, jamais il ne t’avait embrassé comme il a pu le faire quelques minutes plus tôt alors quand tu te retrouves sur le lit puisqu’il t’y a poussé, tu ne peux t’empêcher de l’appeler en écartant les cuisses. Tu te doutes que ce mouvement te fait passer pour une fille facile, mais dans le fond c’est un peu ce que tu es puisque tu ne pourrais dire combien d’hommes ont eu le privilège de te prendre, mais tu sais que le seul qui a su capturer ton cœur c’est lui et personnes d’autres. Actuellement, tu ne souhaites qu’une seule et unique chose qu’il te prenne sans faire dans la dentelle oh, tu aimes la dentelle tu es même une experte dans tout ce qui est préparation, mais ça fait tellement longtemps, tellement d’années que tu as envie de ce moment que maintenant tu en perds patience. Tu t’es longuement demandé, si tu lui plaisais réellement puisqu’il n’a jamais cherché à te toucher malgré les moments câlins du soir, mais maintenant tu connais la réponse oh oui, tu la connais et bon sang elle te plait. Tu te doutes qu’après ce moment les choses pourront être plus compliquées, mais tu t’en balances puisque maintenant en ce moment même rien n’a d’importance. Tu le laisses partir à la découverte plus intense de ton corps avec ses lèvres, ses mains et le bout de sa langue, toi tu veux qu’il te connaisse sur le bout des doigts qu’il caresse chaque millimètre de ta peau. Tu veux le sentir pour le reste de ta vie sur toi, tu pourrais recouvrir ton corps de son visage juste pour le voir sur toi jusqu’à la fin de ta vie. Tu n’as pas envie de dentelle et de froufrou non, tu aimerais aller à l'essentiel pourtant quand il t’offre un préliminaire, tu ne peux t’empêcher de savourer ce que tu ressens ! Tu as l’impression qu’il vient de libérer la lionne en toi et tu ne parviens pas longtemps à résister à le toucher. Tu auras au moins essayé de l’écouter de lui obéir c’est déjà beaucoup pour une femme comme toi.

Tu ne retiens pas tes gémissements puisque tu n’es pas du genre discrète, tu ne l’as jamais été, mais tu veux également qu’il entende l’effet qu’il te fait putain, tu veux qu’il entende à quel point tu aimes ce qu’il te fait ! Ta main est dans ses cheveux que tu serres entre tes doigts et tu lui demandes de continuer et tu n’as pas besoin de le demander une deuxième fois puisqu’il s’apprête directement à répondre à ta demande. Sous ta demande, il n’a pas seulement continuer il a également accentuer la cadence et cela te fait gémir son prénom dans un souffle de plaisir. Ton bas ventre se crispe sous le plaisir que tu ressens, le plaisir qu’il t’offre, tu ne sais pas si c’est l’attente de toutes ses années où simplement parce que c’est lui, mais tu ressens tout en fois mille ! Personne ne t’a jamais touché de cette manière-là est-ce une putain d’illusion où le résultat de toutes ses années d’interdiction putain tu n’en sais rien, mais tu sais que tu voudrais que ce moment ne s’arrête pour rien au monde, jamais ! Quand il arrête, il te permet de reprendre ton souffle qui s’était égaré dans la folie de tes ressentis. Sa caresse faciale te fait sourire tandis que sa main sur ta fesse te fait vibrer quand il colle ses lippes sur les tiennes, tu réponds directement à son baiser suivant parfaitement la passion qui en dégouline. Il serre sa prise qu’est ta déesse et tu gémis alors que ta bouche est toujours contre la sienne, le baiser dure un petit instant avant qu’il ne recule pour laisser son rejoint rejoindre le tien et ce qu’il vient à dire, tu ne t’y attendais pas ! Tu souris apaiser d’entendre cette phrase qui pour toi veux tout dire qui pour toi à un sens que personne ne peut comprendre. Tu clignes des yeux gardant ton sourire sur ton visage, tu te sens bien horriblement bien tu crois même pouvoir dire que tu n’as jamais été aussi bien pourtant tu sais qu’il n’est pas seul, tu sais que ‘Tchort’ est là également et il vient de te le confirmer en parlant d’eux et non de lui, mais tu t’en cognes puisque tu aimes les deux oui, toi Lexie tu aimes ses deux facettes, tu as appris à les connaître tu as appris à les apprivoiser et tu es tombée sous leurs charmes. Tu sens à nouveau sa main se perdre sur ton intimité qui est inondé par l’excitation que tu ressens qu’il te provoque, cette fois-ci il ne traîne pas et ses doigts te pénètre tandis que tes mains se pose sur ses épaules imposantes, tu te redresses pour venir coller tes lèvres sur les siennes et tu murmures << Vous êtes mon tout >> ce que tu viens de dire tu le penses, ils sont ton tout sans eux tu n’es plus rien et tu ne vois même plus l’utilité à rester dans ce monde. Tu lui mords la lèvre sans douceur parce que tu es ainsi, tu lui montres de cette manière-là ce que tu ressens, tu finis par te laisser tomber sur le lit pour laisser tes mains venir caresser tes seins alors que ton souffle et tes gémissements s'accélèrent sous ses mouvements de doigts. Après quelques instants, tu attrapes le poignet de sa main qui pourrait te faire jouir. Tu le tires pour qu'ils viennent sur toi et tu laisses tes mains s’attaquer à son jogging, tu mords le lobe de son oreille et tu murmures d’une voix sensuelle et réclamante << Prend-moi Seph >> Tu lui griffes volontairement le bas du dos et tu lui murmures << Baise-moi Tchort >> tu sais parfaitement faire la comparaison entre les deux, tu sais parfaitement qui est qui, mais toi c’est les deux que tu veux !

there is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames

Lexie & Séphiros

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Je sais qu’il m’est interdit de l’aimer mais je l’aime plus que de raison, je l’aime à en crever, si elle pouvait savoir le pouvoir qu’elle a sur moi, je sais que grâce à elle j’arrive à contrôler que ce soit cette colère qui gronde en moi que lui, celui qu’elle appelle ‘Tchort’. Je n’ai jamais compris pourquoi elle lui avait donné ce nom et pourquoi elle l’aimait tant. Je sais qu’un jour où l’autre, je n’aurai plus de place dans ce monde, je n’aurai plus ma place dans mon corps et il sera lui libre de tout. Je n’ai pas peur de cela parce qu’elle est là avec moi, elle est la femme que j’ai choisi, elle est mon tout, elle est ma vie, elle est celle dont je ne pourrai me passer. Je sais que je vais ailleurs parce que j’ai besoin de ça pour le moment et je sais qu’elle fait de même, je ne suis pas stupide, je l’ai suivi à plusieurs reprises mais si seulement…. Séphiros arrête de penser à ça, elle ne te fera que du mal

Au-dessus d’elle, mon corps est collé contre le sien, ma langue cherche la sienne alors que ma main glisse entre ses cuisses pour venir finir sa course en elle. Mes doigts viennent chercher son point G alors qu’ils vont en elle à une vitesse un peu plus soutenu avant de venir l’embrasser après avoir pris la parole. On a besoin d’elle, oh oui ON et pas que moi. Je souris alors qu’elle dit que nous sommes son tout. je dépose mes lèvres contre les siennes alors qu’elle se redresse mais rapidement, je reviens en elle avec ma main glissant sur son bouton de plaisir parfois. Quand elle retire ma main, mon regard se pose sur elle, rapidement mon bas de jogging rejoint le sol et voilà que je me retrouve complètement nu sous ses yeux. Mes pupilles se posent dans les siennes, mon corps se colle contre le sien “Agapē” *

Ses ongles dans ma chaire et je sens ‘lui’ prendre un peu plus place en moi juste après qu’elle est prononcée ces quelques mots à son égard “szeretlek”** Cette voix, ce n’est pas la mienne, c’est lui, l’espace d’un moment il a pris possession de mon corps, de mon âme pour lui dire ses mots que je n’ose moi-même dire même si c’est dans sa langue maternelle. On est présent là tous les deux pour la satisfaire, pour lui donner du plaisir. Mon membre est là au bord de sa cavité, il ne demande qu’à la pénétrer, qu’à lui donner ce qu’elle veut tant et que je désire tant depuis des années. Je me penche pour attraper un préservatif que j’enfile rapidement sans la quitter du regard.

Le papier, jeté au sol et je me penche pour aller l’embrasser mais ce baiser est plus bestial, ma main glisse dans ses cheveux que je tire en arrière, on est là tous les deux, on est là pour là, elle n’a qu’à demander celui qu’elle veut. “On va te montrer à quel point on t’a toujours désiré, toujours voulu pour nous” A peine avais-je fini ces quelques mots que ma verge venait d’entrer en elle dans un mouvement sec et rapide atteignant en un rien de temps, le fond de sa grotte d’amour. Mes lèvres se scellent une fois de plus aux siennes alors que je quitte sa cavité humide laissant juste mon gland à son entrée.

“Dis-nous que tu nous veux, dis-nous que tu es sûr” A peine ai-je fini qu’une fois de plus je la pénètre d’un coup tirant un peu plus sur ses cheveux pour mettre sa tête en arrière alors que mes lèvres viennent la marquer dans le cou, elle est à moi, oh oui elle est à moi. Doucement, j’entame mes mouvements en elle avant d'accélérer mes mouvements en claquant mes bourses contre ses fesses musclées. Là elle a affaire à Séphiros, je suis doux sans l’être parce que je suis comme ça. Mes mouvements en elle continue avant que je ne me retire, sans lui laisser le choix, je la fais bousculer sur le ventre, ma main glisse une fois de plus dans ses cheveux, la faisant se redresser un peu.

Mon regard se pose sur ses fesses avant que ma main ne vienne les caresser avant de venir embrasser le bas de son dos, laissant ma langue remonter le long de sa colonne vertébrale pour finir sa course contre son lobe d’oreille. “Maintenant tu vas voir ce que c’est d’être baisée et après je te veux sur nous, je veux te voir ondulé tel une déesse” Une nouvelle fois ‘Tchort’ vient de prendre la parole. Un baiser sur son épaule et voilà que ma verge pénètre en elle avec force sans la motiver, mes mouvements se font rapides et profonds en elle, mes mains maintiennent ses fesses avec fermeté alors que mes râles se font de plus en plus entendre. Bordel qu’elle est bonne Si elle savait que je la désire bien plus aujourd’hui...

*Amour divin et inconditionnel en Grec (Séphiros ne dira jamais je t’aime car il ne sait pas le dire mais il utilise ce mot qui remplace à ses yeux cette phrase)
** Je t’aime en hongrois . ‘Tchort’ prend réellement la parole à ce moment précis.

(c) oxymort

Tu aurais pu comme la plupart des filles qui se sont intéressées à Séphiros prendre peur ou simplement le traiter de fou comme beaucoup ont pu le faire, mais toi tu n’as pas fait cela non… Tu as fait ce que personne d’autre n’a jugé bon de faire, tu as appris à aimer ses deux facettes ! Tu as appris à distinguer ses deux personnalités puisque pour toi c’est un peu ça… Il est schizophrène sur les bords, du moins c’est le terme médical qui le qualifie, mais pour toi il est juste différent des autres… Il est juste unique et c’est ce qui le rend beau.
Oh, il est évident que son physique est plaisant ! Il a tout pour lui, des muscles, une gueule à couper le souffle et des mains… Bordel ses mains son un cadeau du ciel, mais toi tu n’as pas craqué sentimentalement sur son enveloppe charnelle non, c’est plus profond.

Tu t’es déjà demandé si c’est parce qu’il est interdit de l’aimer que tu as craqué pour lui, mais cette question tu y as répondu il y a bien longtemps et tu sais que ce n’est pas pour cela puisque des interdits tu en as eu plein et que tu aurais pu tomber amoureuse de son jumeau, mais non c’est lui que tu as choisis avec ses qualités comme ses défauts.
Tu n’es aujourd’hui pas capable de dire qui tu préfères entre Seph et Tchort puisque pour toi, ils ne font qu’une seule et unique personne… C’est deux versions de lui-même qui t'apportent tout ce dont tu as besoin.

Un besoin contre lequel tu te bats sans répit depuis des années maintenant plus d’une fois tu as été tentée de caresser son corps alors que tu étais blottis dans ses bras, mais tu n’as jamais dépassé la limite et lui non plus… Jamais jusqu'à maintenant. Les choses avec Seph ont toujours été étrange déjà quand vous étiez gamin d’ailleurs vos parents ont directement remit les choses à leurs places et tu penses que c’est pour ça qu’aucun de vous deux n’a osé franchir cette frontière qu’on vous a imposée sans se soucier de ce que vous pouviez ressentir. Toutes ses années vous avez marché tel des robots pour convenir aux normes que vos parents ont décidées pour vous, mais ce soir alors que tu ne pensais plus cela possible… Tout change.

Tu ne supportes plus sa main sur ton intimité parce que tu as besoin de plus, tu as besoin de les sentir en toi et tu leur dis sans hésitation. Tu souris quand tu le vois retirer son bas de jogging et directement ton regard se pose sur son membre que tu désires plus que n’importe quoi dans ce monde. Tu n’es pas déçu de ce que tu vois, il est exactement comme tu as pu l’imaginer ! Ce n’est pas la première fois que tu le vois enfin tu as déjà eu la chance d’entrevoir quelques images, mais jamais tu n’as eu le plaisir de le contempler comme tu le fais maintenant ! Il est réellement bien monté, tu ne penses pas pouvoir dire qu’il a la plus grosse que tu aies pu voir… Mais c'est parfait ! Elle n’est ni trop longue, ni trop grosse… C’est juste une perfection tout comme lui.
Tu le laisses venir sur toi tandis que ton regard est à nouveau dans le sien, la pression de son corps contre le tien te fait l’effet d’une caresse divine. Sans que tu t’y attendes, tu entends un mot sortir de sa bouche ce mot, tu l’as déjà entendu lorsqu’il était sur la tombe de sa sœur… Et tu lui avais demandé ce que cela signifiait alors tu es surprise de l’entendre te le dire.
Tu sens une vague de chaleur parcourir ton corps tandis que tu as l’impression qu’une foule de papillons parcourt ton ventre, ton cœur lui s’emballe et ton regard s’illumine d’une brillance que personne n’a eu l'occasion de faire naître en toi. Ce que tu ressens en ce moment même tu ne l’as jamais ressenti, c’est fort tellement que tu en as la gorge nouée. Un rictus des plus radieux se dessine sur ton visage et tu colles ton front contre le sien en murmurant << *Je t’extraime>> tu aurais pu lui dire je t’aime, mais ce n’est pas assez puissant ce n’est pas assez profond et ça ne te ressemble pas. Toi, tu ne fais pas comme les autres, tu n’as jamais fait comme le monde alors là encore tu le fais à ta manière.

Tu laisses volontairement tes ongles griffer le bas du dos de l’homme qui te comble de bonheur comme jamais tu n’as pu l'être, puis tu t’adresses à ton autre moitié, tu sais que sans lui tu ne te sentirais pas complète… C’est dans son regard que tu remarques que Seph passe en arrière-plan, mais ça ne te dérange pas puisque tu désires aussi bien Tchort que Séphiros… Seulement, tu restes surprise quand tu entends sa noirceur te parler, tu ne comprends pas ce qu’il te dit puisque c’est la première fois que tu entends ses paroles, mais tu te doutes que cela a un sens autrement il n’aurait pas pris la peine de te faire connaître ce mot. Tu souris la peau hérissée par le timbre de voix que Tchort vient d'utiliser, tu ne sais pas quoi lui répondre parce que tu ignores ce que ça veut dire, mais le regard que tu plonges dans le sien dévoile ce que tu ne dis pas, lui aussi tu l’extraimes ! Putain, tu les aimes ! On t’a pourtant toujours dit qu’on ne pouvait aimer qu’une seule personne à la fois, mais toi tu les aimes tous les deux bien qu'ils ne font qu’un en finalité tu sais qu’ils sont deux et tu n’as pas de préférence non, ils sont au même niveau, tu les aimes d’un amour infernal.

Tu ne le quittes pas du regard même quand il se recule pour attraper un morceau de plastique, tu sais parfaitement que tu n’es pas la première qu’il va prendre, qu’ils vont prendre sur ce lit… La boîte de préservatif signale bien ce fait, mais ça n’a pas d’importance du moins pas maintenant. Tu mordilles tu as lèvre tandis que l’iris de tes pupilles s’enflamme d’envie, d’excitation, tu les désires comme tu n’as jamais désiré. Tu ne quittes pas son regard alors qu’il déroule le condom sur son membre et quand il revient vers toi pour coller ses lippes contre les siennes tu réponds à son baiser qui est bien plus sauvage que ceux qu’ils t’ont offerts plutôt, tu sens sa main glisser dans tes cheveux et quand il les tire en arrière un petit son aigu quitte tes lèvres et la cambrure de ton dos rejoint celle de ta nuque due à la force qu’ils mettent la poigne qui maintient tes cheveux.

Tu l’entends, tu sais que c'est Sephiros qui te parle sa voix ne trompe pas, mais tu l’entends te parler pour deux, tu ne peux t’empêcher de sourire avec satisfaction quand tu entends qu’ils t’ont toujours désiré, maintenant tu sais que Tchort te désire, tu sais qu’il te veut autant que tu le veux << Montrer m >> tu n’as pas le temps de terminer ta phrase aussi courte soit-elle qu’un nouveau crie quitte tes lippes sous la sensation de son/leurs intrusions en toi. Ce n’est avec aucune douceur qu’ils sont entrés en toi pour la première fois, c’est sans dentelle qu’ils ont frayé un chemin dans ta grotte jusqu'à rejoindre le fond de celle-ci et pourtant, tu ne souffres pas. Non, ce n’est pas de la souffrance que tu ressens, c’est un putain de soulagement, un délice béni par les dieux !

Quand ses lèvres se collent sur les tiennes, tu réponds à se baiser laissant même ta langue chercher la sienne ce moment est de courte durée puisque tu te sens vide et pour cause il ne te visite plus. Tu le regardes, tu l’écoutes, mais tu n’as pas le temps de répondre qu’il entre en toi une nouvelle fois avec une brutalité si tu peux dire cela ainsi. La poigne qu’il a dans tes cheveux se fait encore plus coriace puisqu’il tire d’avantage dessus laissant ton cou à sa merci et il en profite. Tu fermes les yeux soufflants de plaisir, soufflant de désir, tu as chaud, chaud comme jamais tu n’as eu, tu ne ressens plus ce feu dans ta poitrine, tu ne sens même plus une seule étincelle, c’est comme si tu es enfin en paix avec toi-même comme si son intrusion à éteint le fées qui te rongeait… Tu te sens légère, libre c’est une première puisque jusqu’ici tu n’as jamais ressenti cette liberté, peu importe tout ce que tu as pu faire…

Tes mains glissent sur ses fesses, ses fesses que tu as tant observé ses fesses qui t’ont fait fantasmer toutes ses années, tu ouvres les yeux et tu agrippes ses fesses en disant d’une voix éraillée par l’émotion que tu ressens puisque cette sensation de liberté te soulage et te donne la sensation de voler << C’est vous que je veux, ça a toujours été vous >> tu relâches la pression que tu as mise sur ses fesses et tu tentes d’onduler malgré que tu sois en dessous de lui << Je suis su…>> tu gémis doucement remontant tes mains dans ses cheveux et tu reprends << Putain… je suis sûre >> tu les veux, tu ne veux pas que ce moment se termine. Ce moment tu en a rêvé toute ta misérable vie. Tu le sens entamer des mouvements en toi, tu sais que Seph a repris le dessus tu le sens dans ses gestes dans sa façon de faire c’est plus doux sans l’être pour autant ses délicats à expliquer, mais toi tu le sens. Il accélère et tu gémis laissant ta voix résonner comme un écho dans la pièce, Ta pression sanguine augmente, ton cœur s’emballe sous la rapidité de ses coups tes hanches encaissent à la perfection et toi tu gémis son prénom d’une manière que tu ne te connaissais pas.

Tu savoures l'extase de ce moment alors quand il s’arrête tu ne comprends pas, mais il te retourne pour te mettre sur le ventre sa main glisse une fois de plus dans tes cheveux te forçant à te redresser quelque peu. Tu es à sa merci à leurs mercis, tu ne cherches pas à dire quoi que ce soit ni même à te débattre sa main sur tes fesses te fait souffler puisque même cette caresse est un délice, tu sens ses lèvres sur le bas de ton dos avant que sa langue remonte le long de ta colonne vertébrale, tu frissonnes, tu en trembles même tellement c’est intense la sensation qu’il te fait, qu’ils te font. Puis, tu l’entends lui ‘Tchort’ il est de retour, il te parle et sa voix te fait mouillée au point au tu sens ta cyprine débordée. Le baiser qu’il te pose que ton épaule signe la fin d’un instant et tu sais que maintenant tu es à lui et qu’il fera de toi ce qu’il voudra.

Il entre en toi avec force, il ne te ménage pas, il n’est pas tendre loin de là, tu agrippes le drap tirant dessus tout en gémissant de plaisir parce que oui malgré sa férocité à te prendre comme un vulgaire trou, tu prends du plaisir, tu aimes ce qu’il te fait pire encore tu en réclames encore dans tes gémissements. Le visage dans le matelas jusqu’ici tu redresses la tête mordant tu as lèvre inférieure sans douceur, tes ongles raclent le drap et tu murmures dans un souffle essoufflé << hmm… c’est bon >>, mais ce n’est pas le cas… Ce n’est pas bon, c’est plus que ça, c’est succulent, délicieux… Existe-t-il un mot pour exprimer à quel point tu aimes ce que tu ressens ?

* Je t'extraime : Je t'aime à l'extrème.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

J’ai beau jusqu’à aujourd’hui couché avec d’autres, hommes, femmes et encore dernièrement avec Popeye, avec Lexie c’est totalement différent, avec Lexie, ce n’est pas que de la baise non c’est bien plus que ça, c’est plus puissant que ça, la passion me consume à chaque fois que je la vois, à chaque fois que mes bras l’entourent, que mes lèvres se posent sur les siennes pour un baiser qui jusqu’à aujourd’hui était chaste. Je me mettais toujours des barrières pour ne pas lui faire de mal, pour ne pas la blesser et surtout pour ne pas qu’elle est encore plus sa famille sur le dos parce qu’au fond sa famille, n’est plus la mienne depuis longtemps, elle est ma famille, elle est la seule qui compte à mes yeux et même encore plus, je ne suis même pas capable de dire ce qu’elle est parce qu’au fond si je devais lui dire ce qu’elle est à mes yeux, elle prendrait la fuite parce que je la veux elle, je la veux mienne et pas qu’une nuit.

Je sais qu’elle a couché, il y a pas longtemps avec un mec dans mon appartement, j’ai entendu son prénom, je l’ai vu partir, son visage est ancré en moi. Si elle pouvait savoir à quel point je hais chaque homme qui l’approche. Je ne compte pas le nombre de fois où j’ai rêvé de les tuer et pour le moment j’ai réussi à faire taire cette envie mais je sais qu’un jour où l’autre ça arrivera et personne ne pourra arrêter cette haine que j’ai le plus au plus profond de moi. Une fois le bout de plastique sur mon membre, mon regard se pose sur elle, mon coeur s’emballe, mon sang boue en moi un peu plus alors que je m’approche de ce moment où nos corps ne feront plus qu’un. C’est à l’entrée de sa grotte que je lui dis à ma façon que je l’aime, bordel oui je l’aime, je ne l’aime pas comme on aime une cousine non, c’est bien plus que ça, c’est beaucoup plus profond que ça, beaucoup plus fort aussi.

Pour elle, je pourrai crever, pour elle je donnerai ma vie, si elle devait m’échapper à jamais, ma vie n’aurait plus de sens et c’est ma mort qui rendra sa liberté et la mienne. Puis quand elle prononce ces mots, je sens mon coeur prendre un nouveau rythme, un rythme qui n’est pas normal mais bordel que c’est bon de ressentir ça, c’est tellement bon. C’est à ce moment que ‘lui’ prend place pour lui dire qu’il l’aime aussi, je sais, j’ai compris qu’il la voulait aussi, j’ai compris tellement chose en un instant. Elle n’a pas le temps de dire de lui montrer que mon membre la pénètre allant au plus profond de sa cavité, la chaleur m’envahit alors que mes lèvres se posent sur les siennes, que ma langue cherche la sienne pour rentrer dans une danse endiablée.

Mes mouvements de bassin sont de plus en plus rapides, bordel que j’aime la sentir en moi, que j’aime la prendre comme ça, mes mains glissent sur son corps, il est parfait, il est divin, chaque zone est pour moi parfaite, Tu as raison Séphiros, elle est parfaite, elle est celle qu’il nous faut pour montrer à ce monde qu’il faut nous respecter Je soupire intérieurement avant de sortir et de revenir en elle, mon corps lui appartient, mon âme, mon coeur également mais ça elle ne peut pas le savoir mais elle sait que je l’aime, elle sait que… Ses paroles pour me dire qu’elle est sûre me font sourire et d’un coup, je commence encore mes mouvements en elle sentant ses mains sur moi font monter la pression en moi “Bordel ma vie, je te veux tellement…” Oh oui je la veux.

Voilà que je me retire doucement avant de laisser place à l’autre, je la retourne avant de la faire se redresser, ma langue glisse le long de sa colonne vertébrale venant vers son oreille prenant la parole, l’espace d’un moment avant que je ne rentre en elle avec force, mes mains agrippent ses hanches alors que les coups de reins sont plus fort plus intense, mes boules claquent contre elle, le plaisir est décuplé, putin elle me rend fou, elle nous rend fou. Me perdre en elle voilà ce que je veux pour le restant de ma vie façon de parler, putin elle va me rendre encore plus fou que je ne le suis déjà. “Ma vie, c’est tellement bon” Je continue comme ça avant de ralentir la cadence et de quitter sa grotte d’amour. Mes lèvres viennent se poser sur ses fesses pour venir les embrasser avant de venir me glisser sur le dos.

“Viens ma vie” Je la laisse prendre place, mes mains glissent autour de ses joues alors que je me redresse pour venir l’embrasser avec fougue et passion. Elles glissent doucement dans son dos puis sur ses fesses venant les serrer, mon membre est une nouvelle fois à l’entrée de sa grotte et dans un coup voilà que je scelle une nouvelle fois nos deux corps “Je… plus jamais je ne les laisserai nous séparer” Plus jamais je ne laisserai ses parents se mettre entre elle et moi. Bordel mon âme est en perdition pour et avec elle. Je bouge doucement laissant une de mes mains rejoindre son sein et ma langue faire de même venant parfois prendre son téton entre mes dents.

(c) oxymort

Tu sais que ce qui est en train de se produire ne sera jamais accepté dans ta famille, tu sais que ton père n’arrivera probablement jamais à le comprendre tout comme tu vois déjà le regard des gens sur ça ta personne, mais tu t’en cognes ! Tu n’en as toujours eu rien à foutre puisque toi tu te moques de ce que les gens pensent… C’est probablement égoïste, mais le seul qui compte c’est Séphiros ça a toujours été lui rien que lui !

Dans le passé tu t’es déjà battue pour lui telle une tigresse enragée simplement parce que des petites pétasses s'étaient permis de dire qu’il était dingue et qu’il ferait mieux de se faire interner. Tu n’as pas pu retenir tes pulsions impulsives ce jour-là et tu t’es battue avec rage ! Oh, tu te souviens du savon que tu as pris ensuite quand cette histoire s’est fait apprendre… Ce jour-là tu as déçu ton père qui n’a pas compris que tu te battes pour un garçon, tu n’as jamais donné l’identité de ce garçon, mais toi tu sais que ce garçon était Séphiros, toi tu sais que tu n’es pas devenue rouge de colère uniquement pour les mirettes d’un imbécile et aujourd’hui tu ferais la même chose ! Probablement que ta hargne est en mesure de te faire dépasser des limites que personne ne devrait dépasser, mais toi tu n'acceptes pas qu’on touche à la personne que tu aimes… À la personne qui est réellement importante pour toi.

Tu ne te fais pas d'illusion Lexie, non tu sais que cette histoire entre Seph et toi ne sera pas appréciée, tu sais que cela risque d’ouvrir une guerre, mais toi tu es préparer ! Tu as passé des années à t’armer ! Alors aujourd’hui, tu es prête à te battre sans relâche pour lui, pour ce que tu ressens, pour ce que vous êtes et ce que vous pouvez devenir. Si tu n’as jamais dépassé la limite de chasteté avec lui, c’est parce que tu ne voulais pas qu’il souffre encore d’être exclu, tu ne voulais pas être celle qui allait le mettre dans une mauvaise situation, toi Lexie tu ne voulais pas lui faire du mal… Alors, tu as pris sur toi en gardant le silence même si cela signifiait que tu te détruisais.

Mais maintenant, tu sais que rien ne pourrait faire en sorte que tu reviennes en arrière, tu sais que rien ne pourrait te faire oublier ce moment.
Jamais, tu n’aurais pensé ressentir autant de choses, c’est tellement bon que tous les hommes réunis que tu as pu avoir dans ta misérable vie ne lui arrivent pas à la cheville. Est-ce parce que ta pompe bat au rythme de la sienne, est-ce parce que ton âme chante une mélodie dont tu ignorais l’existence ? Est-ce parce que tu l’aimes comme cela n’est pas autorisé ? Tu es certaine que si quelqu’un pouvait voir à quel point tu l’aimes, à quel point tes sentiments sont grands et violents tu te retrouverais transformer en expérience puisque tu ne penses pas que cela soit humain d’aimer comme tu le fais depuis toutes ses années.

Seph, tu l’as dans la peau, il te hante à chaque instant quoi que tu fasses quoi que tu dises c’est inévitable et maintenant qu’il te touche, que vous avez dépassé cette limite que vous vous étiez tous les deux fixée, tu sais que cela sera encore pire.
Pourtant, tu te sens apaisé pour la première fois de ta vie ! La douceur que tu ressens en toi face à l’extinction du feu qui t’a consumé toutes ses années te donne l'illusion d’avoir été toutes ses années une camée en manque de sa marchandise…

Tu gémis à en perdre la tête tellement tu aimes, tellement tu te sens vivante en ce moment même. Tu as le sentiment de prendre naissance entre ses mains tandis que ses râles ressemblent à ton sens à des prières divines. Tu cries son prénom malgré que tu tentes de l’étouffer pour ne pas non plus interpeller les voisins ou l'immeuble entier ! Pourtant, tu n’es pas du genre à te faire discrète, mais pour le coup tu gémis bien plus fortement qu’ordinaire, ton corps lui-même hurle de plaisir. Quand tu l’entends utilisé le surnom que tu lui donnes depuis des années ‘Ma vie’ tu souris comblée de l’entendre de sa bouche puisque tu sais ce qu’il représente pour toi, tu sais l’intensité que ce mot porte quand tu le laisses quitter tes lèvres alors l’entendre te fait penser que c’est pareil pour lui. Savoir qu’il te veut te plait, te réjouit de joie, te comble au plus haut point.

Il ne perd pas de temps puisqu’il te retourne rapidement pour te mettre sur le ventre et toi, tu redresses tes fesses de manière à lui tendre, tu es loin d’être une petite coincée tu aimes le sexe et l’odeur qui s’en dégage. Tu lui offres une vue imprenable dans cette position, mais il ne s’y attarde pas puisque tu le sens te prendre avec moins de douceur, tu sais immédiatement à qui tu as affaires et bon sang ce mélange d’intensité, de personnalité te rend folle. Tu t’agrippe aux draps, tu gémis enfonçant ton visage sans le matelas pour exprimer le plaisir qui te parcours, putain c’est si bon que ça te bousille de partout, ton sang est bouillant, ta tête est brûlante, tu chauffes Lexie, tu chauffes comme une bombe à retardement.

Tu lui fais part que ce moment est bon et quand il te le fait également savoir tu retrouves le timbre de voix de Seph… Tu imagines que tu devrais être pertubé qu’il passe d’une version à une autre, mais ce n’est pas le cas non, toi tu aimes ça c’est comme des putains de montagne russe, tu ne sais pas à quoi t’attendre et c’est ce qui t’excite. Tu es trempée Lexie, tu dégoulines d’envie tu sens ta cyprine glisser entre tes cuisses, ils peuvent être fière de te mettre dans un état pareil puisque jamais personne ne t’a poussé aussi loin. Il s’arrête pile au moment où tu es sur le point d’exploser tel l’etna ! Tu cherches ton souffle qui s’est perdu entre tes gémissements et tes supplices, ton bouton de plaisir est gonflé comme jamais et ton corps est si électrisant de désir qu’il serait en mesure d’alimenter à lui seul un immeuble de 40 étages. Tu le regardes s’allonger sur le lit et tu te souviens de ce que Tchort voulait de toi pour la suite, il te laisse prendre les commandes, sourire sur les lèvres tu passes une main dans tes cheveux pour les mettre en arrière avant de grimper doucement sur lui plaçant sa verge à l’entrée de ta grotte sans pour autant le laisser entrer, tu plonges ton regard dans le sien laissant tes mains parcourir son torse musclé << Je rêve de ce moment depuis l’instant même où nos regards se sont croisé >> dis-tu dans un souffle avant que se mains se pose sur ton visage. À l’époque tu étais jeune Lexie et pourtant déjà à ce moment-là tu savais que c'était lui que tu voulais, il t’est apparu comme une évidence, une providence.
Quand il t’embrasse, tu réponds à son baiser sans attendre ses lèvres, tu ne veux plus t’en passer. Alors que tu es lèvre caresse les siennes avec passion et fougue et que ta main se glisse derrière sa nuque, tu le sens entré en toi d’un coup cette intrusion te vole un gémissement et ses sûres ses lèvres que tu gémis de plaisir face à cette entrée. Quand il quitte tes lèvres, tu avales ta salive sentant le bout de sa verge effleurer ce qu’on appelle le col… Il ne pourrait pas être plus profond et toi, tu as toujours aimé te sentir pleine. Il tente de dire quelque chose avec un “Je”, mais il se reprend en signalant qu’il ne les laissera plus nous séparer, tu sais de qui il parle, tu n’es pas bête, tu sais parfaitement qu’il parle de ta famille, de ton père et de tous les autres. Tu descends tes mains sur ses épaules commençant doucement à onduler sur lui telle une cavalière d’exception, tu balances ta tête en arrière passant ta langue sur tes lèvres, tu prends appuies sur ses épaules solide et tu accélères le laissant malmené ton sein <<Je veux vous entendre me le promette>> dis-tu en ralentissant la cadence laissant tes iris bleutés rejoindre la noirceur des siennes, tu as besoin d’entendre leurs promesses fasse aux paroles qu’il vient d’avoir. Son membre toujours en toi, tu ne le chevauches plus, tu passes ta main sur son visage pour la laisser glisser dans ses cheveux tandis que ta langue glisse sur son menton avant de glisser le long de sa mâchoire terminant sa course à son oreille tu murmures << Promet mon amour >> subitement tes mains se pose sur son torse et tu le pousses contre le lit de manière ce que son dos soit sur le matelas et tu commences à le chevaucher comme une jockey. Ta cadence est rapide tandis que tes mouvements ne laissent rien au hasard ondulant sur lui de manière à le faire entrer et sortir presque entièrement de ta grotte pour à chaque fois venir frôler sa profondeur exquise. Tes mains sur ses pectoraux tu siffles entre tes dents << Tu… Tu es parf... Ait >> tu perds tes mots et des perles de sueur teinte ton front d’une brillance, tu te mords la lèvre inférieure si fortement qu’elle en gonfle tout comme ton bouton de plaisir qui frotte à chacun de tes mouvements sur le haut de son intimité << Mon am...our... Seph...Tch..>> tu n'es pas loin de l'explosion, tu sens la lave en toi menacé ton corps d'une éruption dévastatrice.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Ma tante est la pire des garces, elle ne comprend pas que ce que je ressens depuis des dizaines d’années pour Lex, n’a rien d’anondin, cela n’est en rien passager. Cette femme est une déesse, ma déesse, elle est de celle que l’on ne peut se passer, je sais qu’elle attire et jusqu’à aujourd’hui je me suis tû sur ce que je peux ressentir quand je sais qu’elle est avec l’un de ses hommes mais je ne peux nier que l’envie de les enterrer après les avoir torturé est présent chaque jour, je me bats pour ne rien faire, je me bats pour ne pas aller les retrouver et les buter, je sais qu’un jour ça arrivera, je sais que je ne pourrais pas rester calme, ça c’est plus que sûr. Je ne compte pas le nombre de fois, où j’ai essayé de faire comprendre que non je n’étais pas l’homme qu’ils pensaient que j’étais, que si je restais avec elle, je serais celui que j’avais été avant mais non elle m’a éloigné d’elle une fois de plus, elle m’a détruit sans le savoir mais aujourd’hui, j’étais avec elle, jusqu’à aujourd’hui je profitais de la chair pour oublier mais là… alors que je suis avec elle.

Je la désire bien plus que je ne pourrai désirer quelqu’un, je la désire et l’aime au point où je sais que si elle n’est plus, ma vie prendrait fin à la minute même où je serai au courant. Je ne peux pas vivre sans elle, je ne peux pas être sans elle mais comment lui faire comprendre tout ça sans la faire fuir. Elle n’a qu’une chose à dire pour…. enfin je ne suis pas là. Pour le moment, c’est venir la posséder que je désire, c’est être avec elle sans plus aucunes barrières, je veux qu’elle comprenne que jamais je ne pourrais être un homme qui lui ferait du mal. Je ne compte pas le nombre de fois où j’ai laissé de côté mes sentiments pour pouvoir juste l’espace d’un moment l’avoir avec moi, elle était là, toujours à mes côtés et moi… Moi je brûlais de l’intérieur, mon coeur s’emballait à peine je sentais sa main frôler ma peau, mon souffle devenait court alors que ses lèvres se posaient contre les miennes.

Deux ans loin d’elle m’a détruit à petit feu et quand elle passait me voir, j’avais l’impression de revivre, l’impression d’être de nouveau dans notre monde, dans notre paradis et puis elle partait et là c’était la chute libre jusqu’aux enfers où il m’attendait, où il me disait ses mots pour me mener encore plus dans la folie. Mon membre en elle, je serre ses hanches alors que mes mouvements ou plutôt les siens, ceux de mon double sont puissants et rapides, ce surnom que je lui donne, elle est la seule à qui je le donne, jamais personne n’aura ce surnom, elle est ma vie, elle est mon tout, elle pénètre mon âme à chaque instant et encore plus quand elle est présente. Au bout d’un moment, je me retire doucement, venant m’allonger sur le lit tout en l’entrainant sur moi. Ma verge reste à l’entrée de sa grotte alors que ses caresses me font l’effet d’une douceur mais aussi d’une délicieuse déchirure par la chaleur qui envahit mon corps et mon âme.

Quand elle est sur moi mes mains glissent le long de son dos avant que mes lèvres prennent possession des siennes venant d’un mouvement entrer en elle allant au plus profond de sa grotte. Ses ondulations sur mon membre me font vibrer de plus en plus, en elle, il prend toute sa place en elle. Mon regard plonge dans le sien alors qu’elle nous demande de lui promettre, si elle savait que cette promesse je peux lui faire et même bien d’autres. Je sais qu’après cette nuit entre ses cuisses, dans ses bras, je ne pourrai me délecter d’un autre corps, je ne pourrais goûter à rien d’autre qu’elle parce que je lui en demanderai encore et encore. Sa langue sur ma mâchoire me fait vibrer, mon sang boue encore plus en moi alors que ses mouvements sont plus lents. “Je te le promets ma vie personne ne nous séparera j’en crèverai si tel est le cas” La langue glisse sur mes lèvres alors qu’elle me pousse complètement sur le lit, mes râles de plaisir se font de plus en plus entendre, bordel alla va me faire exploser, mes mains serrent de ses fesses venant suivre la cadence qu’elle impose avec ses mouvements sur mon membre.

“Ma vie, conti...nue c’est bon..” mes yeux se ferment venant me mordiller la lèvre alors que mes boules frottent sur ses fesses à chaque mouvement de bassin qu’elle fait sur moi. Si elle continue comme ça, je ne tiendrai plus longtemps bordel, elle va me faire éclater mais que c’est bon, oh oui que c’est bon “Continue ma vie… Agapē” Mes mains relâchent la pression sur ses fesses pour venir sur ses seins “Tu es… divine...ma vie…” Oh oui elle est un mélange de la déesse de l’amour mais aussi de la guerre, elle est la femme parfaite, elle est l’abîme où j’ai envie de me perdre, elle est ce mystère que j’ai envie de découvrir, elle est cette rose qu’il faut prendre soin en prenant garde de ne pas abimer ses épines parce qu’elles font partie d’elle et j’aime tout d’elle.

Mes mains malmènent ses seins avant de revenir dans son dos venant l’attirer contre moi “Embrasse-moi… Ma vie... Hummmm” Ses mouvements me font frissonner de plaisir, les perles salées jonchent sur nos corps parfaitement en harmonie. “On est à toi…. à jamais…. ma vie” Oh oui on était à elle, j’étais à elle, elle pouvait me demander de tuer quelqu’un que je le ferai sans rechigner… Oh oui… et là…. Elle était libre de demander à la prendre autrement, à revenir au-dessus d’elle, elle pouvait redemander de recommencer que je lui ‘obéirai’ oh oui on est un tout, on ne forme plus qu’un.

(c) oxymort

Tu ignores si tout ce qui se passe en ce moment est dû à ton départ sur New York, tu ignores si ton retour a fait en sorte que les événements tournent ainsi, mais si c’est le cas tu ne regrettes pas ! Tu ne pourras jamais regretter… Seph c’est ce que tu as de plus beau, ce que tu as de plus grand tu es prêt à tout pour lui et tu es certaine qu’il n’en a pas conscience… En réalité je crois que personne n’en a conscience puisque personne ne t’a pris au sérieux même quand tu le tapais le cul de ta fourchette sur la table lors des dîners en famille enfin ‘famille” ce n’était pas réellement le cas puisque Seph n’était pas présent non, il était interné sous les ordres de la garce qui s’accroche au bras de ton père.

Personne ne t’a jamais pris au sérieux quand tu disais haut et fort que tu prendrais soin de lui et que tu l’aimais… Tu étais jeune et tout le monde a penser que tu l’aimais comme un membre de ta famille d’ailleurs ce jour-là quand tu t’es levé d’un coup pour crier qu’il te manquait et que tu voulais qu’il revienne tout le monde ta expliquer qu’il reviendrait quand son état le permettra… Quand tu as dit que tu l'aimais, tout le monde a répondu qu’eux aussi l’aiment et que tu dois prendre ton mal en patience… Personne n’a jamais rien compris et toi tu ne peux t’empêcher de penser qu’il a été interné pour qu’il se retrouve éloigné de toi parce que vous étiez proche trop proche. Tu en as souffert tout comme tu es certaine que lui a souffert de cet éloignement et au lieu de vous séparer ce n’est que vous rapprochez qu’ils ont fait seulement vous avez été plus discret comme deux personnes qui ont appris leurs leçons.

Tu n'oublieras jamais ce que tu as ressenti quand ils l’ont emmené dans ce fameux centre et tu n'oublieras jamais ce que tu ressentais quand tu attendais que jour des visites soit arrivé pour aller le voir… Tu comptais chaque jour loin de lui comme une prisonnière enfermée dans un donjon, tu gravais les jours sur le bois de ton lit. Personne n’a jamais fait attention à ça toute manière-personne n’a jamais réellement fait attention à toi et à ce que tu pouvais ressentir… Mais tu sais que tu n’étais pas la seule à souffrir puisque tu entendais ta cousine pleurer tous les soirs à cause de son absence, tu ne pouvais dire le nombre de fois ou tu es allé te coucher avec elle pour la consoler en lui promettant que tout irait bien. Dans un sens tu as ravalé ton mal pour consoler et adoucir celui des autres, mais il t’arrivait de craquer et pour ça tu cherchais toujours à être seule, tu te planquais limite pour laisser couler tes larmes ravagées ton visage.

C’est Liam, le frère jumeau de Seph’ qui t’a découvert en train de pleurer, tu n’avais jamais réellement été proche de lui et pourtant le soir où il t’a trouvé, il s'est assis à côté de toi et il a soupiré en te prenant dans des bras, tu te souviendras toujours de ce moment, ce moment ou tu as eu le sentiment l’illusion d’être avec Seph, mais le physique si ressemblant n’a pas berné ton coeur. C’est finalement Liam qui à assurer ta protection et tu t’es rapproché de lui d’une certaine manière vous êtes devenu ce que ton père voulait le plus au monde “Une famille” bien que pour toi une partie du puzzle était manquant. Quand enfin, il est revenu à la maison, tu penses pouvoir dire que le bonheur caressait la famille.

Tu n’oublieras jamais ce que sait de vivre sans Seph, tu as encore essayé il y a quelque temps puisque tu es partie pendant deux ans, tu sais avec certitude que vivre sans lui c’est comme mourir à petit feu. Alors quand il a été enfermé à nouveau après le décès de ta cousine parce qu’il a voulu mettre fin à sa vie, tu t’es écroulé comme jamais, tu as sur le moment été égoïste et tu as pensé qu’il s’en moquait de toi puisqu’en voulant mettre fin à sa vie, il n’a pas pensé à toi… C’est Liam qui va l' aider, Liam qui t'a donné des coups de pied au cul pour que tu te reprennes, heureusement qu’il était là ! Heureusement qu’il ne t’a pas laissé comme Seph a pu le faire en tentant de mettre fin à sa vie… parce que oui tu as réellement pensé à ce genre de chose au départ. C’est Liam qui t’a empêché de faire une connerie, tu étais sur le toit de la maison, tu ne sais pas réellement si tu étais sur le point de faire une connerie ou pas, mais tu sais que tu y étais sur le toit avec la sensation que rien ne s’arrangerait… C’est la main de Liam qui t’a tiré contre lui pour te ramener vers le centre, vers lui. Contre lui, tu as murmuré “Séphiros” et tu te souviens de ce qu’il t'a répondu << Je peux être qui tu veux Lexie >> tu as levé les yeux pour les glisser dans ses mirettes, c’est à ce moment-là que votre relation à changer. C’est ses lippes sur les tiennes qui ont brisé le lien de confiance que tu avais envers lui. Ta réaction n’a pas été hésitante puisque tu l’as repoussé directement en le giflant avec violence et depuis ce jour-là bien que tu aies gardé ça pour toi, tu ne vois plus Liam comme une personne de confiance, tu n’as que très peu de contact avec lui et puis tu n'oublies pas ce qu'il a pu te dire ensuite.

Cette décision-personne non plus ne l’a jamais comprise, mais tu es comme ça Lexie tu es une éternelle incomprise, mais ça te va parce que toi, tu n’as besoin de personne d’autre que l’homme qui trouve actuellement domicile entre tes cuisses. Sephiros ce n’est pas un passage, ce n’est pas une amourette non, Seph c’est ta meilleure vie. Ce n’est pas un chemin que tu veux prendre avec lui non, toi tu veux faire une balade à deux/trois pour le reste de ta vie avec lui.

À califourchon sur lui, tu ne faiblis pas non, tu ondules telle une déesse, tu le chevauches sans retenu, le rythme est rapide soutenu au point ou la sueur perle sur ton front. Tes mains parcourent le torse de l’homme que tu désires depuis que tu es en âge de le comprendre, chacun de tes coups de reins, de tes mouvements raconte, dévoile ce que tu ressens et tout ce que tu as pu retenir en toi toute ses années.
Ton corps est en feu, ton souffle est court, tes ongles griffent les pectoraux de Sephiros sans douceur et pourtant tu ne lui fais pas de mal, tu gémis comme aucun homme n’a pu te faire gémir, tu ne reconnais même pas ta propre voix qui éclate sur les murs de la chambre. Ses propos, ses paroles ne cessent d’accroître ton plaisir et quand il te demande de l’embrasser tu ne te fais pas prier puisque tu colles tes lèvres sur les siennes avec envie, tu l’embrasses comme personne ne t’a jamais embrasser tu lui transmets le temps d’un instant le feu qui te parcours à travers ce baiser chaud, intense. Tu as parfaitement entendu sa promesse, putain tu l’as entendu et tu sais qu’il n’a pas intérêt à la brisée parce qu’il te réduirait au néant.

Tu continues tes mouvements, tu ondules laissant son engin te remplir à chaque fois comme s’il était fait pour toi. Tu passes tes mains sur la naissance de ses cheveux à l’arrière de sa nuque, tu souris en entendant qu’ils sont à toi, c’est si bon d’entendre ses paroles. Tu plonges tes iris bleus dans les siennes et tu murmures << J’ai toujours été à toi >> tu lui appartiens depuis le départ… Tu lui appartiens depuis longtemps même s’il ne semblait pas te vouloir tu étais déjà à lui. La sensation grimpe en toi et tu fermes les yeux continuant tes mouvements sur son membre, tu frissonnes tu sais que tu vas exploser, tu sais que tu vas entrer en éruption, ça monte, ton corps entier tremble et tu finis par te raidir subitement. Une vague non, un tsunami de plaisir multiplié au plaisir divin explose au niveau de ton bouton de plaisir et cette vague se répand en toi dévastant sur son passage tout ce qui s’y trouve. Tu cries, tu gémis, tu roucoules sous la sensation que tu ressens tandis que tu te mords la lèvre inférieure jusqu’au sang.
Tu as déjà eu l'occasion de jouir, tu as déjà pris ton pied, mais ce qui te parcourt en ce moment même est aussi puissant qu’une apocalypse. Le temps de quelques secondes, tu n’es plus c’est le plaisir qui te possède et telle de la lave tu sens ton volcan intime humidifié les parties intimes de l’homme qui t’apporte autant de plaisir.

Quand enfin tu parviens à reprendre possession de ton corps, tu ouvres les yeux ils sont brillants, putain tu as envie de pleurer sous l’intensité, ton corps est à bout de force, tu trembles comme une feuille qui est sur le point de tomber de son arbre. Tu es vide, vide de tout, légère de l’intérieur comme de l’extérieur. Le souffle saccadé comme jamais malgré ton endurance de haut niveau, tu colles ton front contre celui de ton amant.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Quand elle est rentrée dans ma vie après la mort de ma famille, jamais je n'aurais pensé que le lien que nous avions à l’époque change à ce point, elle était toujours avec nous, elle était proche de ma sœur et à force des choses, je me suis rapproché d’elle. Rapidement, j’ai commencé à ressentir des choses pour elle, des choses qui n’étaient pas normales, des choses qui faisaient que mon coeur s’emballait à chaque fois que je la voyais. Mon coeur lui appartenait bien avant que je comprenne que je la voulais. Quand ma soeur est morte, j’ai cru que personne ne pourrait me consoler, que personne ne me comprendrait et pourtant, elle était là et aujourd’hui elle est encore là. Chaque fois que j’ai essayé de ne plus penser à elle de la façon dont je pense à elle, mon âme était vide, je marchais tels un zombie qui n’avait plus aucuns buts et c’était le cas, ma vie n’avait de sens et pourtant j’ai essayé d’en trouver, j’ai essayé de trouver autre chose, je me suis perdu dans les méandres du sexe, j’ai cherché à ma trouver quelqu’un qui aurait pu comprendre qui j’étais mais en fait… Chaque fois que je me trouvais dans leur drap, cela ne faisait rien de bon. C’était souvent pire…

Je ne sais pas ce qu’il a pu se passer pour elle alors qu’elle n’était pas avec moi, je me souviens d’une chose que mon jumeau avait dit, mais je sais que c’est faux, je sais que c’est faux, je le sens. Je n’ai jamais cherché à connaître la vérité pour le moment mais il est vrai que si cela est vrai, cela me donnera une raison de plus de détester mon jumeau et de ressentir ce besoin de le tuer. Je sais que ce que je ressens pour ma cousine n’aurait jamais dû être possible, cela n’aurait jamais dû se faire mais je ne peux plus nier l’évidence ou faire semblant de ne pas la vouloir. Pendant longtemps, notre relation était étrange, mais bordel que je l’aimais et j’aime encore plus ce qu’il y a maintenant, les mots que je lui prononce, sont pensés, sont réfléchis, ils sont dit avec sincérité, je l’aime à en crever mais je n’arrive pas à prononcer ses mots, je n’arrive pas à les dire simplement parce qu’on ne m’a jamais appris à les dire. Alors je trouve une parade et les mots que je prononce ont cette signification.

Elle est mon ange, ma vie, mon âme, ma raison d’être. Elle est la femme parfaite, elle est de celle que l’on ne peut oublier, elle est divine, sensuelle. Certains pourront me dire qu’elle n’est pas la femme parfaite, qu’elle a un caractère bien trempé avec des défauts, des blessures parfois mais elle a un coeur magnifique, elle est ma force, mon inspiration. Elle est ma raison d’être, celle qui me donne le courage de me battre contre tous les aléas de la vie. Souvent j’ai cherché à comment lui dire à quel point je l’aime, j’ai longtemps cherché les mots adéquats pour lui révéler que je la voulais et aujourd’hui elle le savait, elle savait que ma vie n’avait de sens sans elle, du moins je pense qu’elle l’a compris. Oui Séphiros, elle est notre vie, elle est notre futur Jamais je ne pourrais la laisser, jamais je ne pourrai vivre sans elle.

Ses ondulations sur mon membre ne vont pas tarder à me faire exploser, nos lèvres ne se quittent plus, elles sont unies pour notre plus grand bonheur, nos langues s’amusent et se cherchent, mes mains explorent son corps puis ses seins qu’elles malmènent un peu plus. Je lui informe que nous sommes à elle, oh oui on est à elle mais surtout JE suis à elle, mon âme entière lui appartient, tout lui appartient, si seulement elle pouvait le comprendre. Je sais qu’après ça rien ne sera comme avant mais pas en mal parce que je sais ce que je veux et que je ne veux plus. Je souris alors qu’elle me dit qu’elle est à moi, jusqu’à aujourd’hui, je le sais, aujourd’hui je sais qu’elle m’appartient, je sais que rien ne nous séparera. Je serre ses fesses l’accompagnant dans ses mouvements et d’un coup, je la vois atteindre le point de non retour, j’en suis pas loin je le sais alors qu’elle continue c’est à mon tour que j’atteint l’orgasme venant jouir en elle ou plutôt dans le préservatif qui jonche sur mon membre. Je me sens bien, je me sens tellement bien.

Son front contre le mien et je laisse mon regard sur elle avant de voir le sang perler sur sa lèvre, mon regard reste un moment fixé sur la goutte rougeâtre, mon cœur s’emballe encore plus. “Tu saignes…..” Mon pouce passe sur ses lèvres, je regarde le sang sur mon doigts avant de le glisser dans ma bouche, mes lèvres viennent se poser contre les siennes, ma langue glisse sur ses lèvres, Bordel, si elle savait que voir le peu de sang sur ses lèvres m’excitent encore, la sentir encore sur moi, me donne encore envie de la posséder, l’envie de la faire mienne. Putin, je suis complètement dingue d’elle. Je l’embrasse, mes mains glissent jusqu’à ses fesses que je serre doucement. “Tu sais que je pourrais recommencer toute la nuit mais je crois qu’une petite douche s’impose et je compte bien la prendre avec toi” Je l’embrasse tout en la gardant dans mes bras.

Est-ce que j’ai une arrière pensée, peut-être non sûrement Le sang était bon mais on ne lui fait pas de mal, non elle est notre reine Je souris et pourtant je suis étonné de ce qu’il vient de dire. Pour le moment, je sais qu’il l’accepte et qu’elle n’est plus un danger pour elle, pour nous mais je le connais aussi il pourrait changer de nouveau d’avis si elle venait à faire quelque chose de mal. Je me redresse venant l’aider à se lever, je quitte le moelleux de notre lit car oui je considère ce lit comme le nôtre. Je lui attrape la main pour venir l’emmener dans la salle de bain avec l'immense douche à l’italienne. Le plastique remplis de ma semence rejoint la poubelle, mon regard se perd une fois de plus sur son corps si parfait. “Je t’ai déjà dit à quel point tu étais magnifique ?” Je l’attire contre moi, l’emmenant sous la douche que j’allume tout en prenant soin que ce soit assez chaud pour nous y glisser. Mes lèvres viennent reprendre les siennes alors que l’eau coule sur nos corps parfaitement unis.

(c) oxymort

Tu sais que tu aurais pu avoir Liam, tu sais qu’il était prêt à affronter la famille en te tenant la main, tu sais qu’il l’aurait fait sans hésitation puisque Liam est comme ça, il ne se laisse pas dicter sa conduite, mais toi tu ne l’as pas choisi lui non, toi Lexie tu n’as pas voulu d’une simple copie…
Tu n'es pas tombée amoureuse du charme de Seph autrement oui tu aurais pu craquer pour Liam et te laisser aller dans ses bras puisque les traits de visage sont les mêmes, mais tu ne l’as pas fait puisque toi tu es tombée sous le charme de sa personnalité, son enveloppe physique n’est qu’un plus… Et Liam aurait pu faire tous les efforts du monde, jamais il n’aurait pu égaler Séphiros. Aussi gentil et charmant qu’il ait pu être avec toi, tu n’as jamais craqué sur lui, il faut dire que ton cœur était déjà piqué par Séphiros qui lui ne te voulait pas… Tu sais qu’il aurait joué la comédie, qu’il se serait fait passer pour Séphiros puisqu’il t'a dit sur le toit qu’il peut être qui tu voulais, mais cela n’aurait rimé à rien puisque son regard n'égalait pas celui de Séph.

Ne voulant pas te contenter d’une copie ne voulant même pas qu’il te touche c’est une main dans sa tronche qu’il a eu le droit de se prendre, tu sais qu’il n’a pas apprécié, tu le sais parce que tu t’en souviens comme si c’était hier.

Il y a plusieurs années en arrière “Flashback/Souvenir”.

Tu essuies tes lèvres alors que ta main vient de se poser sur son visage et tu hausses la voix << Non, mais tu es complètement malade ! >> il n’a pas mis longtemps à attraper tes mains pour te plaquer contre la cheminé en te disant << Ne joue pas l'innocente avec moi >> ses mains glissent sur tes cuisses et tu le repousses en fronçant les sourcils << Putain, Liam arrête tu me fais peur ! >> dis-tu en redescendant ta jupe et tu commences à marcher vers la trappe pour quitter le toit quand il t’attrape pour te coller contre lui << Pourquoi lui et pas moi ? >> tu as directement su de quoi il parlait, mais tu as jouer la blonde écervelée << Qu’est-ce que tu racontes, je crois que le chagrin te monte à la tête >> ses mains sur tes hanches tu empêches de reculer et il ajoute << Ne me prends pas pour un con Lex, pourquoi Séphiros pourquoi c’est lui que tu choisis, il n’est même pas là, il a voulu t’abandonner >> tu le regardes un moment sans bouger, sans rien dire, tu sais qu’il a raison, mais tu ne peux pas t’empêcher de ressentir ce que tu ressens pour Séphiros, tu finis par le repousser en disant << Tu ferais mieux d’aller te coucher Liam la journée a été longue >> il te regarde te laissant rejoindre la trappe finalement et avant que tu descendes il ajoute << Un jour je t’aurais Lexie Cashten, je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais tôt ou tard je t’aurais >>. Tu le regardes avant de quitter le toit pour rejoindre ta chambre le cœur battant à cause de la peur qui t’a précédemment envahie.

Fin du “Flashback/Souvenir”

Après cette soirée ta relation avec Liam n’a plus jamais été la même et tu n’as jamais reparler de cette soirée tout comme lui n’en a jamais parlé peut être par respect tu ne sais pas, mais tu gardes dans l’idée qu’il était simplement perdu face à la perte de sa soeur et qu’il a déraillé… Pourtant bien que tu es certaine que son comportement était dû à cette perte, tu n’as jamais voulu te retrouver à nouveau seule dans une pièce avec lui-même lors des repas de famille et au fil du temps, vous vous êtes perdus de vue.
Il t’arrive parfois d’avoir de ses nouvelles, mais c’est bien rare et tu t’en portes bien pourtant tu ne lui en veux pas non, il a été plus rapide que Séphiros si jamais cela été pensé à l’époque… Mais toi tu n’étais pas prête d’ailleurs tu ne l’as toujours pas puisqu’à tes yeux ça à toujours été Séphiros.

Tu respires Séphiros, ta vie est liée à la sienne c’est ainsi tu ne peux pas faire autrement et tu ne peux pas l’expliquer ! Tu n’es même certaines que personne ne pourrait comprendre même pas un médecin spécialisé dans le mental… Ce que tu ressens pour Seph n’a pas de définition, n’a pas de sens, n’a pas d’ordre et surtout n’a pas de limite ! Tu le savais déjà, mais maintenant c’est voyant, maintenant que vous venez de partager ce moment.

Tu es encore sur lui alors que tu viens d’exploser de jouissance tel un volcan assassin. Tu en as le souffle perdu, le corps trempé de sueur et l’âme en ébullition. Le front contre le sien, tu sens la pression sanguine de ton corps parcourir chacune de tes veines. Tu plisses légèrement les yeux quand il signale que tu saignes puisque tu n’as pas mal, non tu n’as mal nulle part au contraire tu te sens bien horriblement bien, si c’est cela ta punition pour avoir goûté à l’interdit alors tu l'acceptes et tu es prête à recommencer sans fin. Son pouce passe sur tes lèvres et tu regardes le sang présent sur son doigt, tu comprends que tu t’es probablement mordu avec trop d’intensité, tu suis son doigt et quand il le glisse dans sa bouche tu souris appréciant qu’il se délecte de ton sang est-ce normal ? Bordel, tu sais que non ! Mais tu lui appartiens, tu le sais tu es la sienne et il peut faire ce qu’il veut de toi, il ait le maître de ta destinée. Quand ses lèvres rejoignent les tiennes, tu sens sa langue venir caresser tes lèvres à la recherche probable d’une autre goutte de sang, tu le laisses faire, il pourrait bien boire ton sang en plantant ses crocs dans tes veines que tu le laisserais faire. Tu n’es pas tout à fait normal non plus Lexie, tu le sais depuis longtemps tu le sais depuis le jour ou tu as mouillée ta dentelle sous le regard menaçant de ‘Tchort’.

Tu réponds à son baiser le laissant te toucher, te découvrir encore et tu inspires de plaisir quand il te serre les fesses doucement rien que ce contact te fait plaisir << ça tombe bien parce que je suis du genre insatiable >> dis-tu en retirant son membre de ta grotte, mais en restant contre lui profitant de ses bras << Je ne suis pas contre une bonne douche avec toi >> oh, non tu n’es pas contre tu en meurs d’envie, tu souris plongeant ton regard dans le sien en demandant doucement << Dis-moi que tu as aimé comme j’ai aimé >> tu as besoin de savoir, si lui aussi à ressenti ce que tu as ressenti ou si tu as eu qu’une simple illusion.
Tu le laisses se redresser et tu acceptes son aide quand il t’aide à te lever, tu serres sa main et tu le suis dans la salle de bain en souriant comme une adolescente qui découvre la vie, tu le laisses faire ce qu’il doit faire du morceau de plastique et tu relèves tes cheveux en te regardant dans le miroir ton visage est rougit par le feu qui vous a consumé quelques minutes plutôt, tu tournes la tête pour le regarder quand tu entends sa question et tu souris << Jamais sous cet angle >> tu le laisses tu attirée contre toi, tu ne fais pas ta difficile oh non, tu as attendu ce moment, tu en as rêvé, tu as limite priée que cela arrive.
Tu sens l’eau et tu souris restant contre lui, laissant tes lippes contre les siennes tu sens l’eau couler sur ta silhouette tandis que ton corps épouse parfaitement le sien, tu finis par briser ce baiser et dire << J’aimerais que ce moment ne prenne jamais fin >> tu laisses tes mains rejoindre ses fesses que tu empoignes en ajoutant << Si tu savais depuis quand j’attends ce moment >> les yeux dans les siens, tu ne lui mens pas non, tu es sincère.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Ma main qui parcourt sa peau et se balade ne fait pas que la flatter, elle l’embellit, la caresse est essentielle à une certaine qualité de sexualité car elle sculpte son corps. Là où les secousse du coït ne font qu’évacuer le besoin de jouir, la caresse métamorphose son corps; là où l’orgasme n’accouche que de l’épuisement du désire, la caresse retouche, gomme, redessine, façonne chaque partie de son corps alors qu’elle est contre moi. Alors que mon regard se perd dans le sien laissant ma main se balader sur son corps, je me dis que nous sommes destinés l’un à l’autre. Je sais que jusqu’à aujourd’hui, je n’ai pas vu tous les appels de mon corps, de mon âme, de mon coeur mais aujourd’hui je viens de lui chuchoter une promesse, une promesse de vie… je crois qu’il y a des êtres que tout réunit, au délà des apparences, des jugements, des idées reçues, je sais que c’est comme ça pour nous, je ne doute pas que nos âmes sont destinées à s’aimer, que nos âmes se souviendront l’une de l’autre quoi qu’il puisse arriver, elles se retrouveront et finiront par s’unir pour le meilleur mais surtout pour le pire car oui nous ça ne sera pas de ceux qui vivent reclus chez eux, on a besoin d’adrénaline, on a besoin de tellement de chose elle n’a qu’une chose à dire et tout sera pour elle…

Le sang qui coule doucement de sa lèvre est tellement agréable à voir, je sais que ce n’est pas bon, que je ne devrais pas mais pourtant j’aime la couleur écarlate du sang, autant il peut me faire vriller et que je pourrai en demander encore et encore que pour elle cela m'excite encore en encore. Elle est ancrée en moi, elle est mon cœur, c’est elle qui me maintient en vie, je regrette juste de ne pas l’avoir vu avant. Oh si elle savait à quel point elle avait le pouvoir de faire de moi, un homme à son merci, oh il est vrai que je ne serais pas de ceux qui lui obéisse sur certaines choses mais si elle me demandait là maintenant de tuer, je le ferai sans aucune hésitation, si elle venait à me dire qu’elle a besoin de mon coeur pour vivre alors je me tuerai pour lui offrir, elle pourrait tellement être si seulement j’arrivais à dire tout ce que j’ai au plus profond de mon âme.

“Alors c’est parfait parce que cette nuit, tu es à moi et je compte bien en profiter” Murmurai-je contre ses lèvres avant de l’embrasser une nouvelle fois, je me perds contre elle, mon corps l’appelle encore et encore, mon coeur essaie de nouveau de s’unir au sien “J’aimé bien plus que je ne l’avais imaginé” Oh oui, elle m’avait montré que l’on peut faire l’amour d’une façon bestial tout en éprouvant de l’amour pour quelqu’un, elle m’a appris que tout est possible quand on le veut. Je finis par quitter le lit venant l’aider à faire de même pour l’emmener dans la salle de bain . Après m’être débarrassé du bout de plastique, mon regard se pose sur elle, pour la première fois, j’ose lui dire qu’elle est magnifique et encore ce mot n’est pas assez fort, ce mot n’a pas le même pouvoir que si c’était quelqu’un d’autre.

Sous la douche, nos corps ne se quittent pas, je pourrai de nouveau les sceller pour venir me perdre en elle, nos lèvres s’embrassent encore, nos langues se cherchent. Quand elle prend la parole tout en venant serrer mes fesses entre ses mains si délicate, je souris “J’ai toujours rêvé de ce moment mais je ne pensais pas que tu… en avais envie, je ne compte plus le nombre de fois où je t’ai regardé dormir, où j’ai laissé glisser mes mains au-dessus de ton corps sans oser les poser par peur que tu me rejettes.” Je ne compte pas le nombre de fois où quand je la savais avec un homme, je ressentais ce mélange de tristesse, de dégoût, de colère, de haine de ne pas être celui avec qui elle faisait cela. Je déteste savoir que quelqu’un a pu… Je sais que je ne suis pas en droit mais je ne supporterai pas de savoir qu’une personne que je connaisse a posé ses mains sur elle même s’il ne peut savoir ce que je ressens pour elle, ça sera de la trahison et rien de plus.

Sous cette douche mes mains glissent sur ses fesses, mes lèvres viennent dans son cou, mes dents viennent mordiller cet endroit avant de remonter mes lèvres jusqu’à son oreille, mes dents viennent mordiller son lobe avec douceur et fermeté en même temps. Lexis est une créature divine qu’il faut honorer et encourager, j’ai compris aujourd’hui, que ce que nous venons de faire est quelque chose de puissant, un échange énergétique que jamais je n’ai pu avoir avec une autre personne. “Ma vie, je suis désolé pour cette crise, j’aurai pu te blesser..” je m’excuse parce que je sais que j’aurai pu lui faire du mal, je m’en veux tellement… Je la plaque contre la paroi de la douche, mon corps fait appuie contre le sien, mon membre se frotte contre son intimité, ma main caresse doucement sa cuisse. “Embrasse-moi” ma main libre vient se loger sur son cou alors que mes pupilles glissent dans les siennes.

(c) oxymort

Le pire dans l’amour, c’est d’aimer une personne qui ne nous aime pas en retour et le pire dans la tentation c’est d’avoir envie d’une personne qui ne nous désire pas, c’est que tu as pensé ses dernières années pourtant tu n’es pas du genre à penser au négatif, mais après tant d’années à le regarder dormir, à rêver qu’il te touche, il a bien fallu que tu tentes de te faire une raison… L’idée qu’il soit un gay refoulé ta traversé l’esprit le temps de quelques semaines et puis tu as simplement admis qu’il était possible que tu ne sois pas son genre et là, tu as compris que le destin était une pute particulièrement bien mesquine et camoufler puisque la vie avait décider de te mettre Liam sur ton chemin… Mais toi tu n’as pas voulu de lui et en contrepartie tu as pensé toutes ses années que Seph ne voulait pas de toi.

Il paraît que la communication est la base d’une relation quelques qu'elle soit, mais tu n’as jamais réussi à aborder le sujet avec Seph probablement par peur de perdre ce qu’il t’offrait puisque vivre sans lui à tes côtés t’aurait achevé et tu n’étais pas capable de te faire autant de mal toi même ! Tu as souffert à New York, mais tu savais que tu pouvais revenir quand tu le souhaitais alors que le perdre aurait signifié ne plus jamais le revoir et ça ? Tu ne pouvais pas, tu ne peux toujours pas l'envisager.

Mais maintenant, tu sais qu’il te désire comme toi tu le désires, tu sais que tout ce qui va se passer à partir de maintenant aura forcément un impact sur le regard que tu as sur lui… Vos corps, vos âmes se sont unis le temps d’un instant et d’une certaine manière c’est un pacte que vous vous êtes fait. C’est probablement incompréhensible puisque toi même tu as du mal à comprendre le langage de ton âme, mais elle te parle non elle te caresse pour la première fois de ta vie vous vous comprenez. Tu souris en entendant qu’il a des projets pour le reste de la nuit cette idée, tu passes tes bras autour de sa nuque venant dire << J’espère que cette nuit ne prendra pas fin alors >> tu le sens se coller contre toi et cette sensation te fait un effet monstre, il est comme la glace qui coupe racine au feu qui t’enflamme et te consume, il te permet d’avoir ce temps de repos que tu tentes d’avoir depuis des années sans jamais y parvenir…

Tu finis malgré tout par lui demander de te dire qu’il a aimé tout comme toi tu as pu aimer ce qui s’est produit entre vous, tu as besoin de l’entendre parce qu’il n’est pas une vulgaire marionnette que tu as pu pomper à ta guise jusqu’à la sécheresse, non lui… C’est… Ton univers tout entier. Tu pourrais te faire coudre le vagin si tel était son souhait pour lui tu te priverais des délices de la vie, pour lui… Pour lui tu irais décrocher la lune, ils disent que la limite c’est le ciel, mais toi tu sais que tu traverseras le ciel pour le retrouver.

Sourire accroché à tes lèvres, tu finis par le suivre dans la salle de bain et pour la première fois tu l’entends te faire se complimenter, il t’a déjà dit que tu étais jolie, mais jamais tu n’as remarqué le regard qu’il a actuellement sur toi. Ce regard te vole des battements de cœur. Sous la douche ton corps cherche le sien comme un détecteur de métaux chercherait son morceau de métal… C’est dingue, tu ne contrôles rien, toi qui as l’habitude d’être plus ou moins aux commandes, toi qui as pour habitude d’être la séductrice, toi qui lances les règles du jeu, tu te retrouves sans contrôle face à lui. Tu laisses tes mains venir presser ses fesses parfaites que tu as relookées de loin toutes ses années et tu lui avoues que tu attends ce moment et sa réponse te surprend puisque tu as toujours su quand un homme de désir, tu as toujours su… Enfin presque toujours autrefois tu étais jeune donc tu n’as pas vu Liam, mais autrement tu as toujours compris ce qu’un homme voulait, mais Seph ? Tu n’as rien vu absolument rien ou alors ta peur ne te laissait pas le constater. Tu cherches ses mains pour venir les poser sur ton corps et tu dis << Ne glisse plus jamais tes mains sans me toucher, jamais >> tu n’es sérieuse en disant cela, peu importe ce qui se passe dans votre vie, dans ta vie tu ne veux plus qu’il se bloque tu veux qu’il te touche dès qu’il en a envie, tu veux qu’il te possède << C’est toi depuis le début Seph depuis l’instant ou tu as posé ton regard sur moi alors que je descendais les escaliers et que tu étais dans le hall d’entrée avec ta valise >> comparer à lui, toi tu as toujours su, mais tu as mit du temps à l’admettre et tu as passé tout le reste du temps à le combattre. Tu lâches finalement ses mains pour venir lui caresser le visage << Quoi qu’il se passe ça sera toujours toi uniquement toi >> tu ne sais pas de quoi demain peut-être fait, mais tu sais qu'au fond de toi, ton choix sera toujours ‘Sephiros’.

Tu sens ses mains sur tes fesses et tu souffles doucement appréciant ce contact et les lèvres dans ton cou t’allument un peu plus. Ses dents contre le lobe de ton oreille te font frissonner, le cou et les oreilles c’est ton point faible tu frisonnes tellement que tes lèvres en tremblent qu’un petit courant d’air parcoure tout ton corps hérissant ainsi ton corps. Tu fermes les yeux en savourant ce que tu ressens avant de l’entendre te demander pardon, tu ouvres les yeux et tu poses doucement ton index sur ses lippes << Chut ne t’excuse pas, c’est comme ça que je t'extraime, c’est tout de toi qui me fait vibrer >> dis-tu pour qu’il comprenne que tu aimes ce qu’il est même si cela signifie devoir le calmer pendant ses crises et toi tu sais, tu es certaine qu’il ne te fera jamais de mal. Tu entres ouvres la bouche quand il te plaque contre la paroi de la douche et tu souris en sentant son corps contre le tien, mais ce qui te plait davantage c’est ce que tu ressens entre tes cuisses, sa caresse accentue ton désir grimpant et sa demande attise une flamme dans le fond de ton regard << Toi embrasse-moi >> dis-tu avec ardeur, tu plonges ton regard dans le sien et tu franchis les centimètres qui sépare vos lèvres malgré ta demande, tu cèdes face à lui, tu cèdes pour lui. Tes lèvres caressent les siennes tandis que tes mains se logent doucement dans le cou de ton amant rendant ce baiser rempli de passion, ta langue s'immisce dans la danse et elle glisse sur tes lèvres demandant la permission de rejoindre la tienne.

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Lexie & Séphiros

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L’amour n’est pas dans mon vocabulaire, l’amour est une chose que je n’arrive à comprendre et pourtant quand je regarde la femme qui se trouve dans mes bras, je sais que je l’aime, je sais qu’elle est et sera toujours la femme de ma vie, je suis peut-être stupide de croire cela, je suis peut-être… bref je ne sais pas ce que je suis mais en tout cas, que face à elle, je suis l’homme le plus heureux, l’homme le plus chanceux… regarde là Séphiros, cette femme est parfaite pour toi, pour nous Oui je sais qu’elle l’est, je sais que si elle disparaît, je ne pourrai vivre. Mon coeur est à elle, mon âme ne sera jamais perdue tant qu’elle sera à mes côtés. Jamais je ne tomberai dans les abîmes de la folie tant qu’elle sera là pour me montrer la voix de la sagesse. Elle est autant mon enfer que mon paradis, je sais que je vais à ma perte, un jour oui, si elle n’est plus, je finirai mon voyage dans les flammes de l’enfer.

Sous cette douche où nos corps sont joint, je lui parle de ce que j’ai rêvé, de ce que je fais parfois quand elle est à mes côtés, cette envie de la toucher à toujours été présente mais jamais jusqu’à aujourd’hui, je n’ai réussi à faire le premier pas, peut-être parce que la peur a toujours pris le dessus de ma raison. Oh ce n’est pas la peur de mal faire ou la peur de cette famille qui au fond n’est plus la mienne. non mais la peur de la faire fuir, la peur que ce que je désire n’est qu’illusion. Pourtant, j’ai toujours voulu qu’elle soit mienne, qu’elle devienne cette femme qui arriverait à me faire comprendre que l’amour peut-être doux et puissant et pas comme souvent, juste pour baiser et oublier l’espace d’un instant que je ne pouvais pas l’avoir.

“Plus jamais ne n’hésiterai, je sais aujourd’hui que tu en as autant envie que moi” Je sais qu’aujourd’hui, je ne reviendrai plus en arrière, je sais que n’ai plus de barrière à me mettre, je sais que cette peur n’a pas lieu d’être reste quand même sur tes gardes Sephiros, même si on l’aime, elle peut en décider autrement Non, elle me l’a dit, elle m’a dit ses mots, elle ne peut pas changer d’avis, je ne le crois pas. Je l’écoute et je comprends que j’ai été idiot depuis le début, que ce que j’ai toujours voulu, elle le voulait aussi et ses dernières paroles sur le fait que ça serait moi me fait tellement de bien. “Ma vie, si tu savais à quel point j’ai toujours voulu l’entendre de ta bouche. Tu es l’unique, tu es la seule. Agapē ma vie et ça sera ainsi jusqu’à mon dernier souffle”

C’est à ce moment précis que je m’excuse, je sais que je ne peux rien contrôler mais je me dois de m’excuser, j’allais encore prendre la parole alors que je finis par me taire en sentant son doigt sur mes lèvres, je souris et rapidement je la plaque contre la parois de la douche tout en venant lui demandant de m’embrasser mais rapidement c’est l’inverse qu’elle me demande, j’aime la voir ainsi, j’aime la sentir si direct, je suis complètement fou d’elle, je suis… rien sans elle. Elle est divine, elle est ma déesse, celle que je pourrai satisfaire jour et nuit jusqu’à ne plus avoir de souffle pour le faire. Ce baiser que nous sommes entrain d’échanger est puissant, passionné, bestial, mon corps se colle un peu plus contre le sien alors que ma jambe glisse entre ses cuisses.

Ma langue cherche la sienne et finit par la retrouver encore et encore. Mes mains glissent le long de ses cuisses bordel mon membre est déjà entrain de réagir à cette volonté de faire d’elle encore la mienne, mon membre caresse doucement l’entrée de sa zone sensible. Mon regard finit par chercher le sien, le feu brûle en moi “Je ne suis rien sans toi, si tu savais comme je suis perdu quand tu n’es pas là, je sais que je ne suis pas le meilleur des hommes, mais avec toi, je sais que j’ai le droit d’être moi, j’ai le droit d’être l’homme aux multi facettes pour satisfaire le moindre de tes désirs. Enfin presque parce que tu me connais ma vie mais bordel… Il te suffit de demander…”

Mon corps se fait plus pressant contre le sien, mes lèvres viennent une fois de plus se loger dans son cou, elle sera ma perte, je le sais mais je ne pourrais lui en vouloir parce que je veux qu’elle le soit à jamais, je veux… je la veux, oh oui je la veux pourtant je sais qu’elle profite de la chair d’autres tout comme je le fais ou le faisais jusqu’à aujourd’hui car aujourd'hui… aujourd’hui… Non séphiros ne dis pas ça maintenant, on verra plus tard il n’a pas tort.. “Dis-moi ce que tu veux là maintenant”

(c) oxymort

Tu ne comprends pas pourquoi ce monde est aussi coincé sur des personnes différentes, tu ne comprends pas pourquoi il faut toujours entrer dans des moules pour faire partie de la société, toi tu n’as jamais fait partie de ces gens qui suivent les règles qui entrent dans le moule parfait… Toi, Lexie, tu n’es du genre à rentrer dans le moule, non toi tu débordes de tous les côtés et ton apparence le montre parfaitement surtout ta couleur de cheveux, mais quand on te regarde de plus près ton corps entier ne rentre pas dans le moule puisque tu as des tatouages, des piercings. Tu as toujours été différente, tu as toujours attiré les regards de ta différence, mais toi on ne t’a jamais mis à l’écart ! Au contraire, ta différence a fait ta force.

Alors tu ne comprends pas pourquoi les gens ont du mal avec les personnes qui ne rentrent pas dans les moules, tu ne comprends pas probablement parce que tu as toi aussi été différente… Toi tu aimes la différence et c’est ce qui te plait chez Seph autrement peut-être tu aurais craqué pour Liam ou pour un autre tu ne sais pas.
Quand il te parle de ce qu’il faisait quand tu dormais, tu lui dis de ne plus jamais hésiter à te toucher et tu te rends compte que les choses auraient pu être différentes s’il avait eu le courage de te toucher plutôt… Si tu avais eu le courage de le toucher… << J’en ai toujours eu envie, je pensais que tu le savais >> toi tu pensais qu’il savait que tu craquais pour lui, tu pensais simplement qu’il n’était pas intéressé.

Tu n'hésites pas à lui faire part de ce que tu penses concernant le fait qu'il sera toujours le seul puisque ça a toujours été lui et rien que lui… À l’époque tu voulais qu’il soit ton premier malheureusement la vie à fait qu’il ne l’est pas, mais tu veux qu’il soit ton dernier. Tu souris en entendant que tu es l’unique que tu es la seule, il n’imagine pas la joie qu’il te procure en te disant tout cela, tu n’as pas le temps de prolonger ce moment émotion qu’il enchaîne avec des excuses, des excuses qui pour toi n’ont pas leurs places puisque toi tu l’aimes comme il est et ses crises font partie de lui. Tu poses ton index sur ses lèvres pour qu’il se toise ses paroles et tu lui fais part une fois de plus de ta façon de voir les choses, tu te retrouves rapidement plaquer contre le mur et tu l’entends te demander de l’embrasser, mais tu ne peux t’empêcher d’être toi même et tu inverses la demande, mais tu ne résistes pas c’est toi qui colle tes lippes contre les siennes pour partager un baisé puissant, passionné, bestial tu n’as jamais été embrasser de cette manière-là puisque tu n’as jamais eu de passion à partager avec un autre. Son corps se colle davantage au tien et tu sens sa jambe glisser entre tes cuisses, nos langues finissent pas se retrouver pour ne plus se lâcher. Tes bras autour de sa nuque tu lui caresses la naissance de ses cheveux, sa jambe quitte l’entre de tes cuisses et c’est son membre dur que tu ressens devant la porte d’entrée de ton intimité, ton regard aide la recherche du sien puisque tu plonges tes iris bleutés dans les siennes, tu clignes des yeux en l’écoutant, tu colles l’arrière de ta tête sur le carrelage et tu viens à lui dire << J’ai cru que j’allais crevé sans toi a New York >> tu ne rentres pas dans les détails simplement parce que tu penses qu’il y aura un autre moment pour lui avouer que tu as tout laissé pour être à ses côtés. Tu ris légèrement et doucement quand tu l’entends dire qu’il va satisfaire tes moindres désirs et qu’il se reprend avec un “Enfin Bref”, tu avances ton visage et tu colles ton nez contre le sien << Tout ce que je veux, c’est que tu sois toi dans l’ombre comme dans la lumière, je n’ai besoin de rien d’autre >> tu sembles être une femme superficielle, tu donnes l’impression d’être une femme qui ne se satisfait pas de ce qu’elle a et pourtant c’est tout l’inverse, le luxe et autre connerie c’est pour toi des gadgets il suffit de voir comment tu balances tes Louboutin dans le couloir quand tu rentres le soir. Toi, tu n’as pas besoin de plus tout ce dont tu as toujours eu besoin, c’est lui.

Son corps se presse un peu plus sur le tien tandis que ses lèvres se loge dans ton coup, tu reposes la tête contre la paroi de douche et tu fermes les yeux, c’est bon tellement bon cette sensation que tu ressens que tu ne peux pas l’expliquer pourtant tu aimerais, mais tu ne peux pas. Les paupières closent tu ne penses à rien, rien d’autre qu'à vous. Quand il te demande ce que tu veux là maintenant, tu souris en coin ouvrant les yeux pour les plongés dans les siens << Je te veux en moi encore et encore, je veux que tu me remplisses, je veux que fasse de moi tienne >> tes doigts caressent ses épaules doucement à chaque fois que tu annonces ce que tu veux.

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