When fate decides to meet two people feat Sean Parker

When fate decides to meet two people

Avez-vous déjà eu cette sensation de vous sentir libre ? De penser que le monde peut être à portée de main . J’aimais rêver, j’aimai pouvoir penser que la vie pouvait être la sensation d’une liberté, d’être comme un cheval sauvage galopant au gré du vent. J’aimais pouvoir me dire que durant quelques instants je n’étais plus se produit de marketing, que je n’étais plus la fille dont le visage était figé sur des catalogues, où les talons aiguillent n’était plus le calvaire d’une journée. Je m’étais levé de bonne heure ce matin, le soleil pointe discrètement le bout de son nez sur l’horizon et j’avais envie de galoper en cette journée sur ma merveilleuse monture mécanique, je voulais souffler d’une semaine de dingue et m’échapper durant quelques heures. Je m’étais donc lever de bonne heure, prenant une bonne douche, tressant mes cheveux, un maquillage léger et simple, j’enfile un haut de couleur blanche, un pantalon de cuir noir et la veste qui allait avec celui-ci. Nouant mes bottes de moto et finalement j’attrape mes papiers et mon casque avant de quitter mon domicile et de pouvoir enfin me sentir libre en enfourchant ma bécane.

Douce sensation, le soleil léger du matin, le vent caressant ma tenue de cuir, la route semble calme, du moins celle qui me fait quitter la ville. Je voulais entreprendre une journée de découverte et je m’étais donc fait un parcours, très vite la route calme fut bombardée de voiture, la douce joie de vivre dans notre belle Amérique où les gens sont pressés, où les gens oublient que parfois il faut profiter de la vie. Mais bon que voulez-vous… Le grondement de mon moteur me procure une sensation de plaisir, on pourrait limite imaginer quelque chose de sexuel, mais ce n’était guère le cas. Mon premier arrêt fut celle d’un petit village, on se serait crus dans un film historique, prenant le temps de m’arrêter dans une petite boulangerie qui propose des petits déjeuners, un jus de fruit et deux toasts de confiture feront largement l’affaire, je profitais également de ce moment pour lire les quelques activités à faire sur ce lieu, un petit musée, une visite d’une petite cascade de quoi me dépayser un peu et ce fut le cas, j'ai profité de ce court moment de matinée pour aérer mes poumons d’air naturel avant de reprendre la route pour ma prochaine destination, qui au final ne fut pas très loin, enfin deux petites heures de route tout de même. Je voulais déguster un plat typique de cette ville, mais il était encore trop tôt pour ça. J’avais donc profité de cette petite heure pour découvrir un peu la ville, rien de bien extra, beaucoup de boutiques similaires à Washington. Mon repas de midi fut copieux, mais je n’avais pas trainé dans ce lieu, je me suis reposé dans un vaste endroit naturel, le temps de bouquiner durant ce début d'après-midi, jusqu’à m’endormir contre un arbre, mon livre à la main. Une sieste en pleine nature, voilà quelque chose de rare pour moi, mais elle m’avait fait un bien fou ! Après ce petit moment agréable, il était temps que je reprenne la route pour rentrer chez moi, ce court voyage m’avait fait du bien.

Le retour était plutôt calme, certes la circulation présente, mais rien de bien alarmant, Washington était enfin présent et je pouvais rouler tranquille dans cette ville que je connaissais pratiquement sur le bout des doigts. J’étais proche de la maison et je ne m’étais pas préparé à ce qui allait m’arriver à ce moment précis. Alors que j’approchais de mon domicile, voilà que ma bécane me jouait de tour, une panne . Maintenant ? Alors que je venais de parcourir des kilomètres autour de la ville . Ma moto finit par s’arrêter net, je descends de celle-ci ôtant mon casque, ma tresse tombant le long de mon dos “ce n'est pas possible à même pas 2 minutes de la maison” je pousse un léger soupir avant de remarquer qu’un homme familier s’approche de moi, je l’avais déjà croisé par quelques reprises dans la rue, des simples signes de têtes pour nous saluer et voilà que celui-ci décide de venir à mon secours. "Mon Dieu rassurez-moi et dites-moi que vous vous y connaissez en mécanique”

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Les petits plaisirs les plus simple sont souvent les meilleurs, sincèrement, mettez moi avec mon bolide sur la route et je n’avais besoin de rien d’autre. Si, peut-être quelques bières et une charmante compagnie histoire d’atteindre le paroxysme du plaisir. Je savais qu’il y avait tellement de voiture bien mieux que la mienne, ce n’était pas la plus compétente sur route mais quel bonheur à conduire, une voiture avec une sacrée avance dans son temps. Cette boite de vitesse powerglide était magnifiquement synchrone avec ce bon gros v8 et le tout pour un résultat qui me donner toujours un grand sourire aux lèvres. La matinée commençant parfaitement bien, entre un petit déjeuner avec les parents, avant de prendre une petite douche et m’habillait d’un jean légèrement déchiré et d’un t-shirt noir assez moulant à l’effigie de groupe de rock en tout genre des années 80. Un petit coup de déo, un petit coup de parfum, gardant pour aujourd’hui une barbe de trois jours histoire d’avoir un certain charme. Lorsque je me mettais sur mon impala, c’était tellement plaisant mais aussi tellement rapide que je ne voyais jamais le temps, après lui avoir fait une petite santé côté moteur, voir si tout était parfait, un petit lavage s’imposer.

Prenant donc mon courage à deux mains pour garder l’éclat de mon bolide, après avoir frotté l’extérieur, de faire l’intérieur il ne rester que la tâche la plus ingrate et la plus longue. Le polissage, polir sa voiture, surtout une surface aussi grande que l’impala était un sacré boulot et surtout n’ayant pas de machine, c’était à la main, à l’ancienne pour une voiture ancienne. Ma mère, dans sa bienveillance et surtout qu’elle savait qu’une fois sur ma voiture je ne ferais rien d’autre, m’avait apporté un sandwich ainsi qu’une bière fraiche histoire que je m’hydrate et que je mange un bout entre deux, trois coups de polish. Après quasiment deux bonnes heures à polir l’impala, un bruit sourd mais pas dénué de charme, le son d’une moto venait de briser ma concentration, pour me faire tourner la tête dans la direction du son de cette dernière. A en croire la silhouette sur la moto, c’était une nana, me laissant la scruté durant quelques secondes tandis qu’une panne venait sans doute de la faire s’arrêter d’après son arrêt soudain et le bruit du moteur de sa moto. En y regardant de plus près, c’était la nana que je voyais de temps à autres sans jamais avoir vraiment pris la peine de faire une discussion, bien qu’elle soit très attirante.

Je l’entends rouspéter du garage en souriant légèrement même si ce n’était pas marrant pour elle de tomber en panne non loin de chez elle, de tomber en panne c’est jamais cool, non. Posant le morceau de tissu qui me servait à polir ma voiture pour me rendre nonchalamment vers la jolie demoiselle en détresse. Sa remarque me faisait sourire, la fixant du regardant durant quelques secondes avant de poser mon regard sur la moto avant de revenir sur elle avec un sourire en coin. « Ah y a erreur, mon nom c’est Sean, pas dieu ! ». Dis-je en riant légèrement de ma connerie, l’humour, la base de ma vie et pourquoi ne pas détendre l’atmosphère avec ça. « Ouais je m’y connais bien en moteur, surtout les voitures. ». Dis-je d’un air assez sérieux, il y avait qu’a voir mon véhicule pour le savoir. Les motos c’était similaire même si c’était différent malgré tout, mais d’après ce que j’avais entendu avant la panne, c’était surement au niveau du filtre à air que cela poser problème, comme si le moteur était en manque d’air. Me baissant donc pour regarder le moteur quelques instants avant de visionner le fonctionnement de son moteur. Me relevant pour me mettre au guidon de la moto tout en la fixant du regard avant de lui dire. « Je peux surement t’aider, mais ça serait mieux vers mon garage ? Ça te dérange pas que je la pousse là-bas ? ». Dis-je sans attendre vraiment sa décision car si elle voulait que je l’aide, il me fallait de la place et des outils. Il ne fallait pas longtemps pour arriver au garage devant ma Chevrolet impala.

@Chelsea Macmillan

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When fate decides to meet two people

feat. @Sean Parker ☾

On se demande parfois ce que le destin nous réserve et puis quand on y pense, parfois il aime jouer avec nous. J'avais cette vague impression que celui-ci voulait à tout prit que je finisse par discuter avec cet homme. Pourquoi avoir choisi ce moment et cet endroit pour tomber en panne ? Vous y croyez vous au destin . Parce que parfois j'ai cette vague impression de n'être que son pitoyable pantin. Il est vrai qu'à ce moment précis mon désespoir s'était estompé lorsque de loin dans sa démarche nonchalante, ce séduisant jeune homme s'avança pour venir en aide. Son sourire s'était dessiné à travers sa barbe de trois jours, j'avais très bien compris que ma remarque venait de le faire rire. Son regard se pose directement sur ma moto, étrange habituellement les hommes prennent plus de temps à me mater en premier plutôt que ma bécane. Il se présenta de manière humoristique sous le prénom de Sean, je devais avouer que pour le coup il savait y faire pour détendre l'atmosphère, je n'avais pas eu le temps de lui répondre qu'il ajouta qu'il s'y connaissait en mécanique, mais surtout dans l'automobile. "On peut dire que le bon Dieu a mis sur mon chemin un sauveur alors" je glissais délicatement ma main pour venir faire passer ma tresse sur le devant " mince veuillez m'excuser, je ne me suis pas présentée, Chelsea" ajoutai-je.

Je le regarde faire, après tous des deux roues ou des quatre roues ça devrait rester identique non . Je ne m'y connaissais pas vraiment en mécanique, mais on pouvait retrouver certaines similitudes entre les deux engins, du moins je l'espérais. "Du coup vous pouvez faire quelques choses pour mon bébé ?"Oui c'tait un peu mon enfant, j'avais parcouru de nombreux kilomètres sur son dos et même si ça pouvait sembler étrange, j'avais du mal à me séparer de mon petit bonheur. Je continue à le regarder faire, ouvrant ma veste par le coup de chaud qui venait de monter. Son regard finit par se relever vers moi, je pouvais contempler à cet instant qu'il avait des yeux magnifiques, je devais sûrement rougir à ce moment précis, non suis-je bête, c'tait le cas en réalité. Lorsque l'homme se redressait et que ses mains se posaient sur le guidon de mon véhicule, je l'écoutais me demander s'il pouvait l'emmener jusque dans son garage, qu'il pouvait m'aider, mais il devait sûrement avoir besoin de quelques matériaux. En réalité je n'avais même pas eu besoin de lui répondre, puisque celui-ci avait déjà pris les devants. "Je vous suis" lui dis-je bêtement.

Arrivée à son garage, je ne pu m'empêcher d'être émerveillé devant la voiture qui se présenter devant moi “ Je rêve” Je m’avance de plus près “une Chevrolet Impala de 1967 si je ne me trompe” Je me retourne vers lui tout en ajoutant “Elle est à vous ? “ Et oui mon petit gars, je m’y connais aussi en voiture, mais une merveille comme celle-ci on en voit tellement peu qu’elle ne pouvait pas passer inaperçu que j’en avais limité oublier ma moto. “Puis-je ?” lui demandant la permission de faire le tour du véhicule et quand celui-ci m'autorise, je ne pouvais m'empêcher d’être émerveillé par la bête devant moi “ une véritable merveille, je vous envie pour le coup”

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Parfois la vie nous met des gens auquel on ne s’attend pas, dans ma vie il y avait eu quelques personnes comme ça. Il y avait Aspen, la veuve de mon meilleur pote décédé, il y avait aussi la jolie Lexie qui avait été une rencontre totalement inattendu mais pas dénué de plaisir pour autant. Il est vrai que pour cette jolie motarde devant moi, on s’était vu plusieurs fois dans le coin sans réellement prendre le temps ou l’occasion de se parler. Il avait fallu le coup du destin, le coup de main de celui d’en haut peut-être, pour que l’on puisse enfin se rencontrer et se parler. Je lui souris en l’écoutant me dire après ma petite plaisanterie sur dieu, comme quoi je ne m’appelais pas de la sorte. Elle avait de la répartie pour mon plus grand bonheur, un léger rire venait se faire entendre de ma part avant de prendre la parole en plantant mon regard dans le siens. « Je suis donc l’envoyé de dieu alors Chelsea, enchanté ! ». Dis-je sur un ton taquin, comme à mon habitude et je lui tendais donc la main pour faire les présentations comme ils se doivent. Elle était totalement mon type de fille, elle devait d’ailleurs l’être de tous hommes foulant cette terre non ? Elle était ravissante, une silhouette de rêve, des yeux magnifiques et en plus elle aimait faire de la moto.

Quoi demander de plus sérieusement, pour l’heure j’avais pour mission de sauver la demoiselle, même si elle ne courrait pas de réel danger, mais j’étais son sauveur comme elle l’avait dit elle-même il y a quelques minutes. Scrutant rapidement la moto afin de voir d’un œil rapide ce que je pourrais faire. Je vois qu’il n’y avait pas que moi qui appelle sa voiture, bébé, un léger sourire avant de reprendre la parole tout en prenant un air taquin mais saupoudré de sérieux. « Je vois que je ne suis pas seul à donner des petits noms à nos engins ! Je pense que je pourrais faire quelques choses. ». Dis-je la fixant avant de prendre la moto tandis qu’elle était d’accord pour que je m’occupe de son bébé en prenant la direction de mon garage. Il ne fallut pas longtemps pour arriver devant le garage, devant MON bébé à moi, cette voiture que j’avais mis plus de huit ans à refaire de A à Z. Elle était un peu ma fierté, non elle l’était c’était littéralement ce que j’avais de plus cher. Chelsea était réellement en train de m’intéressais, elle s’y connaissait en voiture en voyant mon bolide, enfin une fille qui sait apprécier les sensations qu’un moteur et que les courbes d’une voiture peuvent transmettre. La regardant avec un regard surpris durant quelques secondes avant de lui sourire tout en plantant une nouvelle fois mon regard dans le siens. « Ouaip c'est la mienne. Je vois que j’ai à faire à une connaisseuse, ça fait plaisir à entendre ! ». Dis-je tandis qu’elle me demander de faire le tour de la voiture, elle était propre comme un sou neuf après l’avoir nettoyé durant plusieurs heures.

La laissant donc faire son tour tranquillement, tandis que je démontais avec précaution le filtre à air de sa moto. Me relevant avec le filtre dans les mains, le pollen, surement qu’elle avait mis cap sur un endroit où il y avait beaucoup de pollen pour que le filtre soit légèrement bouché et qui fait que la moto refuse de démarré correctement. Me tournant ensuite vers la jolie brune se tenant en admiration devant mon impala avant de prendre la parole. « Merci ! J’ai mis huit ans pour la terminer, c’était une épave, je lui ai redonné une seconde vie… ». Dis-je d’un ton amusé mais réellement sincère, elle pouvait voir à quel point j’étais fier de mon boulot, parce que c’était du boulot pour arriver à ce résultat. « Concernant ta bécane, c'est simplement le filtre, je le nettoie rapidement et ça devrait repartir, il était un peu bouché par du pollen, ça arrive parfois surtout si on ne prend pas le temps de bien nettoyer le filtre de temps en temps. ». Dis-je en nettoyant rapidement le filtre pour ensuite le remettre en place avec autant de précaution qu’au départ pour enfin essayer de la redémarré. Au quart de tour, cela faisait tellement de temps que je n’avais pas monté une bécane, va vraiment falloir qu’un jour je m’en rachète une. « Et voilà ! ». Tandis que je mettais deux petits coups d’accélérateur avant d’éteindre la bête. Descendant donc de la moto pour me mettre à la hauteur de Chelsea et de prendre la parole. « Alors comme ça, tu t’intéresse aux voitures ? Ou c'est juste que tu connais la mienne ? Si tu veux on peut faire un tour avec. Si tu veux l'essayer c'est avec plaisir. ». Dis-je l’air amusé.

@Chelsea Macmillan

CODAGE PAR AMATIS

When fate decides to meet two people

feat. @Sean Parker ☾

J’avais rencontré toutes sortes de personnes durant les quelques bouts de ma vie, déjà par mon nom, j’avais pu faire des rencontres de personne venant tout droit d’un monde que j’avais tellement fui, celui de la bourgeoisie, vous savez ce genre de personne qui lève le petit doigt en prenant son thé ou bien encore ses hommes qui après le repas se retrouver autour d’un verre d’un whisky coûtant un organe en fumant un cigare de luxe. J’avais pu également rencontrer bon nombre de prétendant croyant que je finirais par me tenir à leurs bras… Mais j’étais loin d’être fait pour cette vie. Mais ce n’est pas toute ma carrière de mannequin m’avait également appris que dans le monde on pouvait tomber sur énormément de personne étrange et beaucoup d’entre eux étaient de beaux parleurs et puis dans la vie il ne fallait pas chercher plus loin que dans le voisinage pour tomber sur un homme plus que charmant, un sourire renverseur, un regard de tombeur et surtout un sens de l’humour qui me plaisait énormément. Sean de son prénom avait une repartie qui me plaisait énormément et je ne pouvais qu'apprécier sa taquinerie lorsque j’avais sollicité l’aide de Dieu. J’avais accompagné son léger rire, lorsqu’il m’avait dit qu’il était envoyé par celui-ci, son regard planté dans le mien, je m’étais sûrement surprise à mordiller légèrement ma lèvre à la suite de sa phrase. J’avais répondu à son geste de la main après nos courtes présentations.

Sean était pile poil tombée au bon moment, comment ne pas croire que quelqu’un le haut avait manigancé cet instant. Moi qui prenais soin de faire contrôler souvent ma bécane, voilà qu'après une longue balade, elle me fait le coup d’une panne. Je ne pouvais pas me plaindre de la compagnie que j’avais actuellement même si j’étais inquiète pour mon bébé et j’avais tellement l’habitude de lui donner un petit surnom que je n’avais pas pu m'empêcher de la sorte devant l’homme, qui ne pouvait s'empêcher de sourire à nouveau, sa phrase me fit un peu rire, il fallait avouer que quand un homme nous sort le mot engin accompagné de surnom on ne pouvait s'empêcher de penser à autres choses. “Heureusement que je sais que vous parlez de mécanique" Choses auxquelles j’étais obligé de rétorquer de manière taquine également. Oui Sean, j’étais peut-être une femme, mais je n’avais pas la langue de ma poche… “En tout cas je vous remercie” Oui ça aussi je me devais de lui dire. Je me voyais mal pousser ma moto jusqu’au garage qui accompagnait l’immeuble où je vivais. Je l’avais donc suivis jusqu’à son garage qui était non loin de l’endroit ou ma panne était survenue, il ne fallut pas longtemps pour y découvrir un véritable bijou en ce lieu, une voiture de datant de 1967 en parfait état, une brillance parfaite, oui j’étais fasciné par les véhicules dits de collection comme cette merveilleuse Chevrolet. Sean semblait surpris de voir que je m’y connaissais, certainement pas autant que lui, mais j’avais quelques cordes à mon arc pour certaines choses. Son regard se plantait une nouvelle fois dans le mien lorsqu’il prit la parole, il était content d’entendre que quelques-uns s'y connaissaient. “J’ai toujours eu une fascination pour les voitures de collection et surtout pour les anciennes voitures et je dois avouer que je suis d’autant plus surprise de voir que non loin de chez moi un véritable bijou y dort” tout en lui demandant si je pouvais me permettre de faire le tour de celle-ci, choses qu’il accepta rapidement, j’avais pris le temps de faire le tour de sa voiture, remarquant à quel point il avait pris soin de celle-ci, elle était parfaite, une carrosserie parfaitement brillante, pas une tâche, pas un grain de poussière.

Je lui avais fait part des compliments sur son bolide et savoir qu’il avait pris huit ans pour la rénover me fascinait encore plus. On voyait que Sean prenait soin d’elle et on m’avait toujours dit qu’un homme qui prenait soin de sa voiture, prenait également soin d’une femme. Il est vrai que je n’avais pas pensé à ça, il était peut-être en couple ? Voir marié ? Que dirait sa femme en me découvrant dans le garage de celui-ci ? J’étais en train de m’imaginer un tas de scénario quand Sean venait me sortir de mes pensées, le filtre de ma moto en main.“Pourtant je peux vous rassurer que je la fais contrôler souvent, peut-être même trop parfois” Levant les yeux vers le haut avant d’ajouter “surement à cause de ma balade d’aujourd’hui, mais je suis tout de même rassuré de savoir que ce n’est rien de grave”f Je le regarde faire et son nettoyage fut assez rapide, il était littéralement séduisant et encore plus quand je l'admirais faire gronder ma moto. Lorsqu’il se rapproche de moi en prenant parole, je le regarde de manière admirative tout en buvant ses paroles. Je lui adresse un sourire avant de prendre à mon tour la parole “ comme je vous l’ai dit, oui j’ai une petite passion pour les anciennes voitures. Il est vrai qu’on ne s’attend pas à ce qu’une fille comme moi s'intéresse à la mécanique.” Oui on s’attend à ce que je sois une enticher de la mode, des bijoux et tout le bagage des filles “Je ne connais pas votre bébé personnellement, mais je serais ravie de la connaitre” lui dis-je de manière taquine. ”Après j’espère que ça ne dérangerait pas votre femme.” Voilà, au moins je serais fixée de savoir si mon sauveur avait quelqu’un dans sa vie “ Je ne voudrais pas vous causer de soucis” lentement je retire l'élastique qui retenait mon tressage et je laisse alors ma crinière se défaire, laissant place à des ondulations. “Alors on part quand ?”

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Ce que j’aimais dans les rencontres comme celle-ci, celle avec la jolie brune motarde se tenant devant moi, c’était tout bonnement le feeling qu’il y avait entre deux inconnues. Le feeling c’est la base principal dans ma vie, car si y a des blancs, si on n’est pas nous même autant ne pas continuer à dialoguer avec la personne. Avec la jolie Chelsea, c’était simple, efficace et elle savait me surprendre en utilisant elle aussi de la taquinerie, en plus d’être jolie et intéressante, elle avait de la repartie. « Faut juste ne pas avoir l’esprit mal placé pour me comprendre, ce qui est votre cas fort heureusement pour moi ! ». Dis-je en lui adressant un clin d’œil taquin et en lui adressant un léger sourire. Une fois dans le garage, elle avait d’ailleurs tenue à me dire merci tandis que je poussais sa bécane jusqu’à mon garage, enfin celui de mon paternel pour le coup. Ma voiture faisait toujours son petite effet, même chez les gens qui n’aiment pas forcement les vieilles caisses ou les voitures en générale, alors ça me faisait toujours plaisir d’avoir l’émerveillement des gens devant une telle beauté, devant une voiture aussi propre alors qu’elle va sur ces soixante ans. Elle venait de me dire qu’elle avait toujours eu une fascination pour les vielle voiture, comme quoi les filles aussi jolie pouvait aimer autre chose que la mode, les bijoux et tous ces clichés bidon. Un regard charmeur pour venir prendre la parole encore en mêlant sérieux mais taquinerie, on ne me referait pas. « Hum d’accord, ça vous rends d’autant plus intéressante... C’est bien la première fois qu’on me qualifie de bijou... ». Dis-je en arborant un visage taquin durant quelques instants en relâchant un petit rire pour venir reprendre aussitôt un brin de sérieux. « Non mais ouais, elle fait son petit effet cette voiture, pour mon plus grand plaisir d’ailleurs. ». J’aimais jouer le charmeur taquin, j’étais comme cela puis cela n’avait pas l’air de déranger ma comparse aussi ravissante que ma voiture.

Il était temps de mettre le nez dans le moteur de la moto de la jolie brune, ce n’était pas grand-chose, le filtre sur ces modèles, bien que fiable, parfois n’arriver pas à filtré comme il le faut le trop plein de pollen qui pouvait y avoir dans l’air et forcement il finissait par ce boucher. Elle était entretenue, cela se voyait sans l’ombre d’un doute, je m’y connaissais assez pour voir si une moto ou une voiture était entretenue, c’était le cas, un sourire avant de revenir rapidement lui dire quelques mots pour lui faire comprendre rapidement que je la croyais. « Oui j’en doute pas ! ». Dis-je en plantant mon regard dans le sien pour revenir vers le filtre afin de finir le boulot. Remontant le tout pour faire vrombir sa moto, qui ne mit pas longtemps à rugir. L’écoutant parler, lui souriant tandis qu’elle et moi on ne faisait que se planter du regard depuis tout à l’heure, elle était ravissante, des yeux envoutant et tellement intéressante. « Tu sais que tu peux me tutoyé ? Je me suis permis alors tu peux le faire également, je ne mords pas promis ! ». Enfin parfois si, mais pour le coup, pas là maintenant dis-je en arborant une nouvelle fois un ton taquin. L’entendant me dire que j’avais une femme, que cela pourrait la déranger de nous voir ici, dans le garage et pourquoi pas en balade dans l’impala, un rire venait s’afficher sur mon minois durant quelques instants. « Ahah, le soucis que tu me cause, c’est que tu crois que j’ai une femme... ». Dis-je en souriant avant de reprendre sur le ton de la taquinerie, bien évidemment. « La seule femme dans cette maison, c’est ma mère… Même si je n’avais pas envie de dévoilé que je crèche chez mes parents pour le moment. ». Dis-je en détournant mon regard d’elle quelques instants pour cacher une certaine gêne, ce n’est pas trop ça de dire à une nana, à mon âge, que j’étais encore chez les parents même si j’avais une très bonne raison. Je n'avais pas trouver l'envie d'acheter un bien alors que je n'y serais jamais en tant que militaire de carrière, alors j'avais de temps à autre besoin d'une chambre chez mes parents tout simplement lors de mes quelques retours ici. « Donc ne t’en fais pas tu causeras aucun soucis Chelsea. ». Dis-je en m’avançant vers elle, laissant l'effluve de mon parfum dans ses narines, la frôlant au passage en lui plantant mon regard dans le sien avant de lui ouvrir la porte pour qu’elle puisse rentrer dans mon bolide. « Si madame veut bien se donner la peine. ». Dis-je tandis qu’elle venait de prendre place à la place du conducteur tout en prenant soin de fermer délicatement la porte conducteur avant de grimper également à ses côtés pour la petite balade. Les clés étaient sur le contact, elle pouvait partir quand elle le voulait.

@Chelsea Macmillan

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