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Tayron Brennan
Tayron Brennan
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Pseudo : Sueki
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Jailynn & Tay ◘ Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur Cqo99GNV_o
Date d'inscription : 13/02/2021
Âge : 47 ans
Situation financière : L'argent est une chose qui ne lui était pas destiné mais aujourd'hui, il a largement de quoi vivre sans se soucier des fins de mois
Situation amoureuse : Marié à la plus belle femme du monde. Aujourd'hui, il est un homme comblé en devenant le mari de Charlène.
Orientation sexuelle : Les courbes avantageuse des femmes ont sa préférence depuis toujours, il n'a jamais été attiré par un homme et ne le sera jamais.
Habitation : DUPONT CIRCLE
Emploi/études : Officiellement il est Chef de la sécurité dans une boite de nuit. Officieusement, il est l'homme de main de la bratva, celui qui fait le sale boulot mais il est surtout proxénète pour la bratva
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Message par Tayron Brennan Dim 28 Mar - 15:36


Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur

Jailynn & Tayron

◊ ◊ ◊

" Tayron, on a un souci et je crois qu'une partie de ce souci et la jeune fille que tu recherches" ces mots résonnent encore en moi, sur le coup, je n'ai pas cru ce qu'il me disait. Ma fille, la chair de ma chair ne pouvait pas être cette femme et pourtant c'était une évidence. Cette femme que cet homme brutalisé, cette femme qui vendait ses charmes aux hommes c'était elle, c'était ma fille. Depuis tout ce temps, elle n'était pas loin. Je me demandais si sa mère était au courant de ce qu'il se passait, si sa mère cautionnait ça en tout cas, je n'allais pas tarder à le savoir. Un de mes gars savait où elle était aujourd'hui, il avait pris rendez-vous pour moi, se faisant passer pour un client auprès de ce type qui n'allait pas vivre longtemps. Ça il pouvait être sûr, je m'occuperai de son cas bientôt si tout ce que je sais est la vérité. Beaucoup de questions me passent en tête, beaucoup trop même, mais je ne peux dire comment j'allais réagir en la voyant devant moi. 22 ans que j'attends de pouvoir la revoir, 22 ans que j'attends de pouvoir faire connaissance avec ma fille. Je ne compte plus le nombre de fois en prison, ou j'ai pensé à elle, où mon coeur s'est serré puis brisé alors que mes recherches n'aboutissaient à rien. Était-ce la, ma sentence pour avoir cru en cet amour qui n'en n'était pas à la fin ? Je soupire alors que mon regard se pose sur l'horloge. Il est temps d'aller vérifier tout ça, il est l'heure de rencontrer mon destin à nouveau. " j'y vais, je veux que tu me surveilles ce connard, si tout ce qu'on a découvert est la vérité, on s'occupera de lui, il a commis deux erreurs, celle d'avoir cru qu'il pouvait mettre ses filles chez nous et l'autre d'avoir mis ma fille -si tel est le cas- sur le trottoir"Après avoir quitté le bar où j'étais, je grimpe sur ma moto, mon esprit vagabonde au grés du vent contre mon casque, je me pose mille et une questions, je me demande si elle m’a recherché, si elle a cherché tout simplement à savoir qui j’étais. Je me demandais ce que sa mère avait pu lui dire sur moi, la connaissant pas de très bon truc, ça j’en suis persuadé. Sa mère est une garce en puissance et rien ne me fera changer d’avis sur elle. Alors que j’arrive en bas de l’hôtel, je reste un moment à observer les lieux, mon regard se pose sur certains femmes, pas besoin d’aller chercher plus loin pour savoir ce qu’elles font ici, je quitte la moto et me présente à l’accueil pour récupérer la clé de la chambre, je précise qui j’attends et fais dire qu’il ne doit pas dire mon nom à la jeune femme qui viendra. Je connais bien l’homme, je l’arrose assez pour qu’il laisse mes filles prendre parfois une chambre ici. Dans l’ascenseur qui mène à l’étage de la chambre, je glisse une main sur mon visage, mon coeur bat à la chamade alors que je me rapproche de la vérité. A l’intérieur de la chambre, je pose mes affaires sur le petit meuble, je ne ferme pas la porte afin qu’elle puisse entrer sans frapper. Un rapide coup d’oeil à ma montre et je sais qu’elle n’est pas loin, que les minutes qui me rapprochent d’elle s’écoulent doucement pour laisser place à un stress que je n’ai que très peu eu dans ma vie. Debout la fenêtre, j’allume une cigarette, je pense à elle, je pense à son frère et une fois de plus je ressens cette douleur qui me ronge de l’intérieur, une douleur qui passera un jour, du moins je l’espère.

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Re: Jailynn & Tay ◘ Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur

Message par Invité Lun 29 Mar - 9:29
« S’il te plaît, Tony… Je ne veux pas y aller… » souffles-tu, visiblement à bout de nerfs, dans l’habitacle de la voiture hors de prix qu’il possède. Tes membres trembles, de part en part, et tu es devenue bien trop mince pour que ce soit complètement normale. Selon lui, les hommes apprécient les femmes aux silhouettes fines. A ce stade, tu es devenue chétive. Et ton proxénète pourrait te broyer les os rien qu’en te cognant un peu trop fort. Du moins ceux qui n’ont pas déjà été brisés à maintes reprises. « FERME-LA ! » hurle-t-il, te provoquant un sursaut inquiet. Du coin de l’œil, tu l’observes s’agiter derrière son volant. Il est en manque et cela se voit à des kilomètres. En manque d’argent, il n’a pas hésité à t’inscrire sur un listing des prostituées potentielles pour les chambres d’un hôtel, qui avait l’habitude de ce genre de pratique. Tu frémis et tu baisses la tête, tes longs cheveux venant dissimuler ton visage. « Rapporte-moi la thune dès que tu as terminé. Fais-lui la totale pour qu’il en crache un maximum. C’est clair ? » aussitôt, tu redresses tes yeux pour le dévisager. Non-seulement tu dois vendre ton corps au profit d’un vieux pervers mais, en prime, tu vas devoir le laisser te toucher comme il le souhaite, afin d’obtenir le plus possible de son porte-monnaie. Cela te dégoûte violemment. Tu t’apprêtes à répliquer mais, déjà, Tony t’attrape par la gorge de sa main droite. « Désobéis-moi encore une fois et je te jure que tu vas crever, sal*pe. » te rappelle-t-il, en souvenir des quelques rébellions que tu avais exécutées par le passé. Tu déglutis péniblement, fermant tes yeux, et tu hoches docilement la tête en signe d’entendu. Le moteur s’arrête et tu sors de la voiture de luxe, tes escarpins claquant au sol. Evidemment, tu as la digne tenue des filles de joie : jupe trop courte, haut ultramoulant, jambe dénudée et talons aiguilles. Tes longs cheveux retombent dans ton dos tandis que ton maquillage accentue tes traits de poupée. Fébrilement, tu entres à l’intérieur du bâtiment et tu t’annonces à l’accueil. On te donne le numéro de chambre avec la deuxième clef. Tu donnes alors quelques pauvres billets, de quoi t’assure que la location est convenue. C’était tout ce qu’il te restait et le réceptionniste semble s’en contenter. Telle une vache s’apprêtant à se diriger vers l’abattoir, tu pénètres dans l’ascenseur et laisse les étages défiler. Tu t’approches jusqu’à la bonne chambre. Devant la porte, tu prends une profonde inspiration et tu laisses ton « autre toi » prendre possession des lieux. Ton âme d’enfant, elle, s’envole doucement pour ne pas percevoir la scène. Tu entres, d’un pas assuré, en refermant la porte derrière. C’est alors que tu découvres un homme d’un certain âge, visiblement marié étant donné son alliance. Contrairement à bien d’autres fois, il est plutôt charmant – bien qu’effrayant avec ses tatouages. Tu sens que tu vas passer un mauvais moment. Pourtant, un sourire séducteur s’empare de tes lèvres. Il est temps de revêtir le masque. « Bonsoir. » lances-tu, en déposant ton sac à main à l’entrée et en remettant tes cheveux derrière ton visage. Tu t’approches de lui afin qu’il puisse mieux observer la marchandise qu’il a commandée. Le bout de viande qu’il s’apprête à mâcher pour mieux le recracher dans le caniveau. « Je suis Jailynn, mais tu peux m’appeler comme tu veux. Je serai ton hôtesse totalement dévouée. » lances-tu avec politesse et soumission. Tu essaies de savoir ce qu’il attend de toi mais tu ne parviens pas à le cerner, pour le moment. Cela dit, tu sais pertinemment qu’il s’est déjà fait une idée de ce qu’il désire de toi. Et, pour éviter de crever sous les coups de Tony, t’es prête à tout – ou presque. « Tu as eu le temps de regarder les tarifs, j’imagine. Alors : qu’est-ce qui te ferait plaisir, mon chou ? » demandes-tu en t’asseyant, espérant qu’il n’ait pas pris le package le plus débridé qui figure sur le listing, affiché timidement sur le site Internet où il a dû apercevoir les différentes filles proposées. Parce que, oui, vous étiez en vitrine sur différents sites, tous dédiés à des « rencontres coquines ». Et, visiblement, l’homme marié était à la recherche d’une aventure extraconjugale sans prendre le risque qu’une maîtresse s’amourache de lui.

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Re: Jailynn & Tay ◘ Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur

Message par Tayron Brennan Mar 30 Mar - 18:11


Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur

Jailynn & Tayron

◊ ◊ ◊

Le regard dehors , j'attends tout en fumant ma cigarette, je ne sais pas ce que je vais découvrir en étant ici, je ne sais pas comment je vais la découvrir. Sera-t-elle meurtrie par les coups de cet homme ? Je ne sais rien. Je me demande si elle me ressemble, si elle a en grandissant eu une belle vie ou si au contraire sa mère est restée fidèle à elle même. Quand on m'a dit ce qu'elle faisait, je n'y ai pas cru sur le coup mais je sais qu'on ne m'aurait pas menti surtout pas sur ça. Mon coeur est pris de doutes, j'ai l'impression que tout va s'effondrer en un claquement de doigts, tout va s'arrêter net comme ça et voilà qu'un claquement se fait entendre, le moment fatidique est là. Doucement je me retourne pour la regarder, mon regard la parcourt rapidement, mon coeur se sert dans ma poitrine, jamais je n'aurais imaginé voir ma propre fille dans cette tenue et encore moins entrain de faire la pute. Ironie du sort quand on sait ce que je fais dans la vie mais contrairement à son connard de mec, je ne suis pas du genre à malmener "mes filles". "Bonsoir Jailynn" mon regard reste sur elle, j'observe le moindre trait de son visage, elle ressemble beaucoup à sa mère, elle est… je ne sais pas ce qu'elle est, je crois que tout se mélange dans ma tête alors que je glisse les mains dans les poches de mon pantalon. " J'ai regardé ça" dis-je alors sans pour autant bouger, je déteste sa façon d'être, je sais que c'est la logique quand on fait ce genre de métier mais venant d'elle, j'ai énormément de mal à m'y habituer. Je me souviens de la dernière journée que j'ai passé avec elle, elle était si petite, elle ne marchait pas encore. Nous étions dans le jardin en bas de l'appartement, on rigolait, on s'amusait, elle était câline, toujours collée à moi. Je me souviens de ses hurlements quand les flics sont arrivés pour m'emmener loin d'elle, je me souviens de ses bras qu'elle tendait vers moi, je n'ai même pas pu l'embrasser que sa mère l'avait déjà emmenée loin de moi. Rapidement je reviens à la réalité, à cette vision qui n'est en rien le reflet de ce que j'aurais aimé pour elle. Je soupire venant glisser une main dans ma barbe "Je vais payer le maximum mais… je cherche mes mots, je ne veux surtout pas la faire fuir " mais je ne compte pas faire quoique ce soit, tu n'es pas là pour ça Jailynn" mes pupilles restent planter dans les siennes. Je me doute qu'elle doit se poser des questions, peut-être pense-t-elle que je vais faire d'elle mon punching-ball, je ne sais pas mais en rien je ferai ce genre de choses, elle est ma fille… du moins normalement. C'est à ce moment précis que l'on téléphone sonne, un rapide coup d'œil et je fronce les yeux " Ouai ?.... mon regard se pose sur la jeune femme devant alors que j'écoute mon interlocuteur "Très bien, continuer de le surveiller. Je vous tiens au courant" je raccroche et range mon téléphone dans la poche. " Ton nom de famille est bien Brennan et ton vrai prénom Aisling ? Peut-être trop direct je le sais mais je ne vais pas faire des détours pour savoir si j'ai réellement en face de moi ma fille ou non même si je n'ai aucuns doutes la dessus.

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Re: Jailynn & Tay ◘ Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur

Message par Invité Mer 31 Mar - 14:31


Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur

Jailynn & Tayron

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Tu n’as pas envie d’être là, jolie Jailynn. Comment le pourrais-tu ? Qui aimerait se prostituer pour son « petit-ami » violent, en manque de drogue et capable du pire ? Personne. Jamais tu n’aurais cru en arriver à ce stade. Les premières fois que tu avais dû vendre ton corps, tu n’étais qu’une môme et tu le fis pour tes « parents ». Désormais, c’était pour un autre homme mais le résultat était pire car il t’en demandait toujours davantage. Cela te dégoûtant. Hélas, si tu refusais… Tu savais qu’il n’hésiterait pas à s’en prendre à toi. Ou à ta petite sœur. Rien que d’y penser, cela te donnait la nausée. Alors, docilement, tu t’étais rendue sur le lieu du rendez-vous où, une fois encore, un morceau de ton âme serait arraché par un énième mâle en rut. En le voyant, d’ailleurs, tu tressailles. Il n’a nullement l’air d’un gentil et doux amant. Pourtant, tu essaies de ne pas laisser transparaître ton angoisse : les clients ne sont pas là pour trouver une frêle et chétive demoiselle. Sans rechigner, après avoir ôté ta veste, tu t’assieds sur le lit et tu l’observes. Il t’explique qu’il payera le prix fort et tu sens ton cœur exploser dans ta poitrine. Merde. Cela dit, il ajoute des paroles qui te surprennent. Aussitôt, une explication naît dans ton esprit et sort de ta bouche. « Pourquoi ? Vous êtes un flic ?! » l’interroges-tu tandis que son téléphone vibre dans sa poche. Il t’intimide et tu te tais. Tu pourrais évidemment songer à partir en courant, mais ce ne serait pas une bonne idée de revenir sans argent auprès de Tony. Lorsqu’il daigne enfin terminer son « appel » de quelques secondes, il te questionne sur ta véritable identité. Tu angoisses. « Je… putain… » souffles-tu, en proie à une panique qui se ressent dans tout ton être. Tu t’imagines déjà le pire, puisqu’il connait ton identité. Tu soupires, de ce fait, espérant trouver une porte de sortie en étant honnête. « Oui. C’est ça. Aisling Jailynn Brennan. Mais personne ne m’appelle Aisling. » admis-tu, en détournant le regard légèrement. La seule personne qui t’appelait ainsi, c’était ton géniteur. De ce que tu en sais, puisque tu ne t’en souviens pas. C’est ta génitrice qui te l’avait expliqué, lorsque tu étais plus jeune. Un détail qui avait une profonde important pour toi. C’est pour cela que tu n’avais pas cherché à le reprendre, étant donné ton activité. Tu ne voulais pas le salir. « Vous allez… me faire quoi… ? » finis-tu par demander, la tête baissée, attendant le jugement de celui que tu penses être un « agent de police » ou un membre d’un réseau rival qui allait – forcément – t’infliger d’autre sévices corporels.

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Message par Tayron Brennan Jeu 1 Avr - 20:25


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Jailynn & Tayron

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Debout devant ma propre fille, mon regard se perd sur elle, je ne peux nier que cela me brise le coeur, je ne m’attendais à tout sauf à ça. Je me demande si sa mère est au courant, je soupire avant de froncer les yeux quand elle demande si je suis flic, c’est sur que j’ai la gueule d’être un flic, je ne réponds pas immédiatement avant de lui demander si son prénom est bien Aisling, quand elle me répond, je fais un simple signe de tête, je me doute bien que personne ne l’appelle comme ça, ce prénom, je l’avais choisi parce qu’il reflétait mes origines, nos origines. Quand elle demande ce que je vais lui faire mon regard se fronce l’espace d’un moment avant de passer une main dans ma barbe. "Rassure-toi, il ne va rien t’arriver et non je ne suis flic ou un vieux pervers comme tu dois connaître.” Je tourne la tête, l’espace d’un court instant puis je reviens sur ma fille “Il y avait une personne qui t’appelait par ce prénom, une personne qui t’a toujours aimé et recherché malgré qu’il n’était pas présent dans ta vie à cause de ta mère et de ton oncle” Je suis persuadé qu’elle est entrain de se demander comment je peux savoir tout ça, comment je peux connaître autant de détail sur son prénom quand mon téléphone ressonne. “Quoi ? Bordel Mike, vous vous débrouillez, vous le retrouvez ce fumier. Oui c’est confirmé, elle est celle que je recherche. Ouai.. Ok à tout” Je range de nouveau mon téléphone pour venir planter mon regard dans le sien. “Que sais-tu sur ton père et de ce qu’il s’est passé pour qu’il se retrouve en prison alors que tu avais un an ? Ta mère a dû te donner sa propre version comme elle l’a fait lors du procés.” Je ne confirme pas que je suis cet homme, que je suis son père, celui qui a toujours cherché à la retrouver, je crois que j’ai besoin de savoir avant, au fond elle me déteste peut-être et pense que je l’ai abandonné alors qu’il n’en est rien. j’avoue que j’ai besoin de savoir, j’ai besoin de comprendre aussi pourquoi elle en est arrivé là, pourquoi avoir laissé cet homme lui faire autant de mal, je me doute bien qu’elle n’a pas cherché à se défendre. Mais aujourd’hui, les choses allaient changer, aujourd’hui, j’étais présent et je comptais bien prendre ma place de père et lui offrir une place dans ce qui est aujourd’hui ma famille. “Bon je vois que tu te poses énormément de questions sur qui je suis et ce que je te veux. Alors c’est simple Aisling, je m’appelle Tayron Brennan et je suis ton père, ça fait sept ans que je te cherche” Voilà c’était dit et maintenant, on allait avoir cette conversation où elle répondra à mes questions et où je répondrai aux siennes.

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Message par Invité Sam 3 Avr - 10:24


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Jailynn & Tayron

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Etrangement, en posant ton regard meurtri sur le corps de cet homme qui avoisine la cinquantaine, tu ne te sens pas aussi effrayée que tu le devrais. Bien sûr, les nombreux tatouages parsemés sur sa chair sont les témoins de ses actes passés. Il avait, sans nul doute, le look du parfait taulard. Du mafieux en recherche de sensations extrêmes. Il n’avait ni l’air d’un père de famille aimant, ni d’un de ses nombreux pervers qui économisait des semaines pour se payer de malsains services plutôt que de s’adonner à des plaisirs solitaires derrière un film pour adulte. De ce fait, lorsqu’il t’annonce « la couleur » en prétendant qu’il n’est ni un vicelard, ni un homme de loi, tes sourcils se froncent et tu effectues une moue incertaine, en croisant les bras contre ta poitrine. « Mouais… » siffles-tu entre tes dents, visiblement peu enclin à le croire sur de douces paroles. Parce que tu n’étais pas totalement dupe, Jailynn : dans ce monde, les beaux parleurs étaient une monnaie courante. Alors tu ne baissais pas ta garde, par peur de subir le courroux de sa colère, engendrée par une dispute quelconque avec une tierce personne. Il affirma, toutefois, qu’il y avait bien un être sur cette fichue planète qui te prénommait « Aisling ». Et, contre toute attente, tu eus un pincement au cœur de surprise. Tes yeux s’écarquillèrent légèrement et ta bouche forma un « O » d’étonnement. « Je… comment tu sais ça? » balbutias-tu, en proie à des doutes et des suppositions. Qui était donc ce quarantenaire à la chevelure grise et au style de « bad boy » ? Tu savais pertinemment de qui il parlait : ton père biologique. Serait-il possible que cet homme l’ait rencontré, en prison, et qu’ils soient devenus des camarades de galère ? Ou alors, c’était l’inverse et tu allais te retrouver avec une énième dette à payer. Cette pensée te fit tressaillir. L’inconnu reprit alors sa conversation téléphonique avec un prénommé « Mike ». Lorsqu’il affirma que tu étais bien celle qu’il recherchait, tu sentis l’étau se resserrer sur ton âme et tu commenças à trembler. Dans l’angoisse, tu portas ton annulaire droit à ta bouche, que tu mâchouillas au niveau de l’ongle. Tu attendis alors la sentence. A la place, il te questionna sur ce que tu n’ignorais pas de ton paternel. Sur la défensive, tu en devins agressive. « Qu’est-ce que ça peut te foutre exactement? » grognas-tu, en plantant tes yeux dans les siens, arrêtant au passage de ronger tes peaux mortes vers ton ongle. Pourtant, en croisant ton regard dans le sien, l’espace d’un fugace instant, tu eus le sentiment de le connaître. Depuis toujours. Cette émotion te parut indescriptible. Presque inexistante. Elle s’envola aussitôt qu’elle était apparue dans ton palpitant, pour ne laisser que le néant à la place. Lorsqu’il réouvrit la bouche, cependant, tu fus décontenancée. Perdue. Ton père, lui ? « Hahaha! La bonne blague! » explosas-tu de rire, sans doute nerveusement cela dit. Néanmoins, ton état d’euphorie ne dura guère longtemps. En voyant l’expression qu’arborait son visage, tu compris qu’il ne plaisantait pas forcément. Les bras t’en tombèrent et tes yeux s’écarquillèrent d’autant plus. « Tu… t’es sérieux? » soufflas-tu, cette fois-ci, les nerfs reprenant leur place sur ta peau et tes yeux s’humidifiant presque aussitôt, tandis que ton cœur frappait ta poitrine de l’intérieur comme s’il allait s’en extirper.

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Message par Tayron Brennan Mar 13 Avr - 22:40


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Jailynn & Tayron

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Face à ma fille, je ne sais pas trop ce qu’il va se passer, je ne sais pas si elle va comprendre que je ne suis pas là pour lui faire du mal ou quoi que ce soit. Mon regard reste sur elle alors qu’elle répond un simple mouais après avoir dit que je n’étais pas flic ou un vieux pervers. Je lève les yeux au ciel avant de reprendre la parole sur le fait que je sais des choses, et il faut dire que oui je connais des choses sur la personne qui la cherche parce que je suis cette personne. Elle a l’air étonné que j’en sache autant, j’allais lui répondre quand le téléphone sonna une nouvelle fois, je confirme qu’elle est là, que c’est celle que je recherche avant de raccrocher “Je sais beaucoup de choses” Quand elle s’énerve, mon regard reste sur elle et je soupire, elle a un sacré caractère, elle me fait penser à sa mère à cette époque mais aussi au caractère que j’ai actuellement. Je finis par lui dire que je suis son père et quand elle se met à rire, je croise les bras sur mon torse alors que je la toise du regard attendant qu’elle se calme avant qu’elle ne demande si je suis sérieux. Mon regard se fait plus pesant sur elle, il est plus que sûr mais s’il a bien une chose sur laquelle je ne vais pas rire c’est bien ça. Jamais je ne pourrais dire que je suis son père si ce n’était pas vrai, elle a confirmé qui elle était et je n’avais pas pu dire autre chose. Je n’avais pas pu attendre avant de lui dire et puis au moins c’était fait peu importe le reste. “S’il a bien une chose à laquelle je n’ai pas envie de rire c’est bien ça Aisling.” J’attends un peu avant de faire quelques pas dans la chambre la quittant du regard, je réfléchis à beaucoup de choses avant de regarder par la fenêtre l’espace d’un instant. Puis je finis par me retourner pour venir lui faire face “Quand je suis parti, enfin si je peux dire ça comme ça, tu avais à peine un an, ils m’ont embarqué sans que je puisse faire quoi que ce soit, je n’ai même pas pu te dire au revoir que ta mère t’a enlevé à moi sans que je puisse dire quoi que ce soit.” je me souviens encore de ce jour où elle s’est mise à pleurer tendant les bras vers moi et sa mère m’insultant alors qu’elle savait déjà que je n’étais pas pour rien dans cette histoire de meurtre. Et ce type, qui se disait mon ami en fait il n’était qu’un traître et rien de plus “Même en prison, j’ai tout fait pour garder contact mais ta mère t’a bien caché”

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Jailynn & Tay ◘ Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur Empty (#)

Re: Jailynn & Tay ◘ Perdre un enfant... c'est un tourment qui ne finit pas, un poids qui n'écrase pas les épaules mais, plus insidieusement, pèse à l'intérieur de nous-même et enserre le coeur

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