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Lexie Cashten
Lexie Cashten
Clap along if you feel like happiness is the truth
Pseudo : Cynlis
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Faceclaim : Sharna Burgess
Crédits : Cynlis
Lexie et Amalrik - il n'y a pas de hasard il n'y a que des rendez-vous qu'on ne sait pas lire Pa2j
Date d'inscription : 14/03/2021
Âge : 27 ans
Situation financière : Tu as largement de quoi vivre décemment, tu ne roules pas sur l’or et ça te convient comme ça. Être une petite bourge te ferait bien chier, tu aimes celle que tu es et ce que tu fais pour obtenir de quoi vivre le mois d’après.
Situation amoureuse : Tu sais que le verbe aimer faut savoir le conjuguer, toi tu n’en es pas capable tu préfères largement jouer avec les cartes que tu as en main. La séduction, c’est ton passe-temps, tu aimes qu’on te regarde, toi tu veux attirer l'œil, tu veux qu’on se mette à genoux pour toi. Tu ne veux pas un amour niais qu’on retrouve dans une série télévisée non, toi tu veux que ça t’arrache les tripes, tu veux que ça te fasse suer, tu veux que ça te transperce que ça te fasse chialer, tu veux en perdre la raison.
Orientation sexuelle : Tu n’aimes pas la dentelle et les froufrous, tu aimes les bonnes poignées masculines, toi tu veux que ce soit hargneux, bestial, tu veux te sentir transporter sous les caresses d’un Alpha. Une femme n’est pas en mesure de t’apporter ce que tu recherches, tu le sais, tu as goûté à la chair féminine et ce n’est pas ta tasse de thé.
Habitation : Adams Morgan - N 54 avec Séphiros
Emploi/études : Depuis gamine-tu savais le chemin que tu allais suivre, tu as commencé par la gym pour gagner en souplesse, mais c’est la danse que tu visais. Tu as réussi à faire ce que tu voulais, tu as fait les études adéquates, tu as sué pour parvenir à être diplômé, mais tu l’as fait avec détermination. Tu es professeur de danse dans une école, tu donnes également des cours de danse de salon privée à certains particuliers et tu es une intermittente du spectacle puisque tu participes à des évènements où tu mets en avant tes talents de danseuse. Tu tentes également des auditions pour des clips vidéos et compagnie.
Multicomptes : Isabel Jimènez, Ben Turner & Aurora Fitzgerald.



Rps en cours : Je suis Full !

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Message par Lexie Cashten Jeu 18 Mar - 16:42
Tu as toujours été du genre à apprécier les sorties nocturnes déjà plus jeunes, tu faisais le mur pour rejoindre tes amis parce que ton père ne voulait pas que tu participes aux fêtes louches qui se déroulaient en ville. Mais toi Lexie, tu n'écoutais pas ce qu’on te disait, tu as toujours été ainsi déterminée jusqu’au bout et c’est bien souvent Séphiros qui est venue à ton secours ! Tu ne comptes pas le nombre de fois où il t'a empêcher de faire n’importe quoi, tu ne peux dire le total exact de fois où il a couvert t'es arrières alors que tu étais totalement ivre ! Tu sais aujourd’hui pourquoi ton père ne voulait pas que tu rejoignes ce genre de fête, pourquoi il ne voulait pas que tu y participes, tu n’étais pas assez mature à l’époque Lexie,  mais toi tu étais en train de t’épanouir et tu ne cherchais pas plus loin.
Tu as réalisé avec le temps que sans Seph, tu aurais probablement eu le droit à un traitement masculin qui te détruirait encore, mais il était là comme toujours, comment ? Tu ne sais pas, mais tu supposes qu’il était là à chaque instant tapi dans l’ombre accompagné de son regard affûté et protecteur.

Tu n’as pas beaucoup changé quand il s’agit de faire la fête sauf qu’aujourd’hui tu n’as pas besoin de demander la permission à quelqu’un ou de te faufiler par ta fenêtre avec agilité. Tu n’as pas tant changé, mais tu as grandi et tu connais tes limites, tu sais maintenant qu’il ne faut pas laisser ton verre à un endroit pour revenir le chercher quatre heures plus tard, tu sais qu’il ne faut pas laisser ta consommation sans surveillance tout comme tu as conscience aujourd’hui qu’il ne faut jamais écouter un homme quand il te dit que ce n’est qu’une dose parce que la suite tu l’as connait. Ce qui suit après la suite d’une dose, tu sais ce que sait Lexie et pour cause tu as essayer comme tout le monde, tu as recommencé plus d’une fois, mais heureusement toi tu n’as pas un mental faible, tu as su arrêter tes bêtises avant que cela ne te pourrisse totalement.

Tu es assez connue pour être une fêtarde que ce soit sur les réseaux sociaux comme auprès de tes amis, tu n’aimes pas ne rien faire, tu as besoin de bouger, de faire n’importe quelle folie qui te fait envie. Tu es épuisante, fatigante avec toi faut savoir garder le rythme où on se retrouve rapidement avec un train de retard, tu peux passer du coq à l’âne subitement, tu es spontanée et pleine de vie, mais ce n’est pas par joie que tu es comme ça. Non, toi seule le sais, mais tu as besoin d’être toujours sur ‘On’ pour ne pas laisser le feu en toi te consumer, c’est un moyen naturel de combattre ce que tu ressens, un moyen de laisser le temps de quelques secondes tes sentiments dans un coin, c’est un peu comme si tu les enfermais dans une boite quelques heures histoire de  t’épuiser pour que tu puisses t’endormir sans aucune pensée, sans aucun ressenti.
Tu dépasses tes limites à chaque fois, tu t’uses chaque minute un peu plus pourtant tu sais qu’avoir un rythme pareil va finir par t'achever. Pour le moment tu n’as que 27 ans, Lexie, mais dans quel état seras-tu dans 10 ans ? Tu préfères ne pas y penser et tu te contentes de vivre ta vie avec folie, imprévue, spontanéité, tu te contentes de faire de ta vie une partie de jeu et pas n’importe laquelle, toi ton jeu favori c’est “Jumanji”.

Ce n’est donc pas étonnant que tu te retrouves en soirée ce soir malgré le fait est que tu es de retour depuis peu, tu sais déjà comment savoir où se trouve les meilleures fêtes et puis, tu es toujours bien entourée puisque tu as retrouvé ta petite bande. Comme toujours, tu n’es pas restée discrète puisqu'à ton arrivée tu as directement attiré l’oeil masculin de 90 pour cent des hommes présent, tu es habituée à tout ça depuis le temps, mais toi tu ne t’en lasses pas au contraire, mais tu ne tombes pas dans les bras de n’importe qui, toi Lexie tu sais ce que tu veux ce que tu recherches, tu as besoin d’un regard soutenu, un regard digne d’un chef de meute pour attirer ton attention, puis après ce regard tes iris bleutés se pose sur les mains de l’individu parce que tu as besoin d’une poigne, tu as besoin de virilité, tu aimes les grandes mains puissantes, rugueuse digne de ce que tu appels être un “Mâle”.
Tout le reste, n’a pas d’importance évidemment que le trait du visage doivent te convenir puisque ton regard à bien trop de valeur pour s’arrêter sur un homme simplement laid, mais tu sais que tu pourrais t’en contenter puisque que dans la finalité ce n’est pas le visage de cet inconnu que tu verrais, imaginerais au moment où ses mains serraient sur ton corps. Il t’arrive de ne pas voir Seph, il t’arrive de ne pas penser à lui d’ailleurs c’est aussi pour cela que tu cherches toujours de quoi animer tes soirées cela te permet d’avoir une pause, mais dès que le moment est terminé les ténèbres en toi reprennent aussitôt leurs places et le feu flamboyant reprend comme si quelqu’un avait lancer de l’allume-feu… Pour le moment aucun homme, aucune femme n’a été en mesure de te faire oublier de manière permanente Séphiros alors tu acceptes ton sort et tu profites des moments de repos que tu arrives encore à t’offrir.

Quoi qu’il en soit, tu n’as pas été discrète en arrivant à cette soirée et beaucoup ont parlé de toi puisque tu n’es plus n’importe qui non, aujourd’hui tu es Lexie Cashten la danseuse coach que tout le monde à pu voir sur sa télévision puisque tu as participer à l’émission (Danse avec les stars), mais là encore tu t’en fous, tu restes la même qu’autrefois, la bonne vieille Lexie. Tu as poursuivi ta soirée comme tout le monde en dégageant un tas de mecs totalement intéressants où totalement débile d’ailleurs tu vois encore l’autre idiot mettre en avant sa Rolex pour te montrer qu’il a de l’argent. Mais ce n’est pas ce que tu recherches pour toi l’argent ce que du papier, du papier qui alimente davantage ce feu en toi autrement dit ça ne t’apportera rien. Tu as vu tes amis partir les uns après les autres soit par fatigue, soit pour se faire plaisir, tu es presque la dernière survivante de la bande puisque l’un de tes potes est toujours sur son délire de boire le plus de bière. Tu as passer un moment à le regarder en souriant, mais finalement l’ennuie ta gagner alors tu as bougé à la recherche d’un autre verre, c’est au bar que tu arrives perché sur tes hauts talons qui ont le don de te faire des jambes encore plus fines et dessinée qu’en tant normal, tu te faufiles entre la foule et tu parviens à atteindre l’espèce de bar spécialement implanter pour la soirée sous l’élan de ton arrivée tu bouscules l’homme présent également au bar << Toutes mes excuses, les gorilles derrières son de véritables brutes >> c’est un rictus qui étire tes lèvres rouge vif qui se marie parfaitement à ton maquillage et ta chevelure feu, ton regard quant à lui  ajoute encore plus de provocation à cet échange.
@Amalrik Einersson
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Re: Lexie et Amalrik - il n'y a pas de hasard il n'y a que des rendez-vous qu'on ne sait pas lire

Message par Invité Ven 19 Mar - 16:57
Le monde de la nuit regorge de bien des trésors, tout autant que sa part de noirceur absolue. Les flashes illuminés, vacillant du rouge au bleu en passant par le vert et la magenta, ne sont là que pour tromper l’obscurité qui gronde, menaçante, à chaque coin des ruelles de Washington. Ici, tout comme ailleurs dans le monde, la criminalité flirte avec l’innocence des damoiseaux et demoiselles qui s’aventurent dehors, les yeux pétillants, le sourire franc et l’espoir naïf au cœur. Parfois, les silhouettes adolescentes se maquillent pour paraître plus âgées, dans l’idée subtile de tromper le vigile qui garde les portes du temple sacré qu’est la boîte de nuit, dont la musique assourdissante détonne avec la fraîcheur glaciale de l’extérieur. Evidemment, les videurs ne sont pas dupes : ils savent que la clientèle n’est parfois pas majeure. Pourtant, ils détournent leur regard et laissent entrer les plus jeunes, en particulier les filles habillées en jupe trop courte, en espérant que leur présence amène une publicité intéressante sur le prochain événement programmé de l’établissement. Douce injustice, n’est-ce pas, lorsqu’on sait que la plupart auront des déconvenues, tôt ou tard, suite à leur manque d’expérience, mêlée à la cécité volontaire des adultes censés s’avérer bienveillants ? Certains crieront qu’elles l’ont bien cherchées, ces petites pestes arrogantes, tandis que d’autres évoqueront l’incapacité chronique de la société à protéger les âmes les plus fragiles, celles encore à peine sorties d’une tumultueuse enfance, désormais achevée prématurément.

Ainsi, les êtres humains comportent tous plusieurs facettes d’un ensemble de morceaux de miroirs. Certains, brisés, en dévoilent les plus sombres aspects, tandis que d’autres brillent sous les lumières étincelantes. Cette constatation, tu l’as réalisée à de nombreuses reprises, Amalrik. Toi-même, lorsque tes yeux croisent ton reflet dans la glace, tu n’échappes pas à cette triste réalité. Hélas pour toi, découvrir que des membres de ton entourage, notamment ton frère, étaient dotés de côtés plus funestes, t’avait profondément affecté. Depuis l’annonce de son activité illégale parallèle ainsi que celle de sa relation avec Isabel, tout s’était bousculé à l’intérieur de toi. Le puzzle te paraissait désormais incomplet, morose et affreusement difficile à réaliser. Les pièces qui s’assemblaient parfaitement n’étaient plus qu’un souvenir lointain, qui s’effaçait lentement dans ta mémoire. Instinctivement, tu avais tenté de dissimuler les informations perçues par ton esprit, pour ne pas entacher les images de ton passé commun avec Sören. Malheureusement, ce fut une peine perdue. Telle la boîte de Pandore, les démons s’échappaient de tes songes pour te murmurer que cette trahison était ultime. Qu’elle avait brisé, inévitablement, la cohésion familiale que vous aimiez tant, jadis. Il ne te restait, en cet instant, qu’une violente amertume au fond de la gorge, que tu dissimulais derrière des faux-semblants, des conversations banales au plus haut point et un sourire bienveillant, tout cela au profit de tes patients ou de tes camarades de beuverie. Pour cette soirée-ci, la deuxième option s’invitait puisque tu n’étais plus au service des démunis ou des malchanceux.

La tenue de travail était soigneusement rangée au placard. A la place, tu t’étais vêtu sobrement d’un jean foncé, d’une chemise noire ainsi que d’un nœud papillon vert – pour le côté sympathique – agrémentant ta tenue de tes plus belles pompes blanches et noires. Quant à tes cheveux, ils demeuraient en une broussaille négligée que tu tentais de dissimuler en l’attachant avec un bête élastique, tandis que ta barbe taillée te donnait des airs d’un autre temps. Tu savais que prendre rendez-vous chez le barbier deviendrait nécessaire, incessamment sous peu. Heureusement, tes poils drus s’avéraient plus dociles que sur posés sur ton crâne. En tous cas, tu te trouvais « présentable » pour cette bête soirée entre collègues, avides de se changer les idées. D’ailleurs, c’était la proposition de l’un d’entre eux que de se rendre dans cette fête improvisée, synonyme probablement de personnages déjantés dont les hallucinations, provoquées par des psychotropes, apparaissaient aisément dès les premières minutes de déambulation dans la boîte de nuit. Tu constatas, non sans un pincement au cœur, que bien des jeunes femmes se laissaient aller dans les bras d’hommes plus vieux, la plupart ayant une allure de méchant garçon prêt à mordre, tandis que trônaient de la poudre blanche sur les tables basses du carré VIP. En voyant cette scène presque banale – mais qui t’écœurait encore – tu ne pus t’empêcher de déposer ta main sur l’épaule de ton pote, visiblement peu enjoué. « Nan mais sérieux mec, c’est quoi cette soirée? » l’interroges-tu du regard, tandis qu’un sourire malicieux illumine son visage de plaisantin. Apparemment, il était parfaitement au courant des décadences de ce lieu et il semblait s’en réjouir. Sans doute trop, à ton goût. Il ricane, le goujat, tout en haussant les épaules avec un faux-air d’innocence présumé. « Détends-toi, Am’ ! Tu vas t’amuser, tu verras. » lance-t-il avant de se retourner vers la scène principale où les plus téméraires s’aventurent en se balançant de gauche à droite et de droite à gauche au rythme du son extrêmement fort. Tu observes à ton tour la foule qui s’agglutine, dévoilant des danses langoureuses dont certaines femmes s’amusent. Ca sent la drague, voire même le sexe, à plein nez. Ainsi que la drogue, évidemment. D’ailleurs, une sympathique odeur de joint parvient à tes narines et tu constats que plusieurs jeunes se refilent le pétard, prenant de bonnes bouffées.

Lors de ta jeunesse, tu avais testé la marijuana, comme bien des adolescents. Désormais, ta déformation professionnelle te l’interdisait formellement. Pourtant, tu aurais bien envie de céder, de temps à autre. A la place, tu te contentes de t’enfiler des bières insipides ou des alcools plus corsés, selon les commandes de tes comparses. Petit à petit, tu t’enivres pour mieux oublier les nuageuses idées qui ternissent tes pensées. Les minutes défilent. Puis les heures, vraisemblablement. La musique, autrefois assourdissante, ne te paraît plus dérangeante. Des jolies demoiselles parviennent jusque vers vous et vous commencez une pseudo-discussion, sur fond de regards langoureux, de drague et de sous-entendus. L’un de tes copains, d’ailleurs, ne tarde pas avant d’emmener une des jeunes filles dans un coin reculé de la boîte de nuit, afin de satisfaire leurs basses envies respectives. Tu ricanes, en terminant ton dernier verre de whisky. Visiblement, il semblerait que ta tournée soit attendue. Tu décides de te rendre alors jusqu’au lieu magique, censé pouvoir abreuver des dromadaires tels que vous, le temps de cette soirée : le bar. Tu décides alors de braver la foule, tant bien que mal, pour remonter jusqu’à la source de tous les plaisirs alcoolisés. Ca se bouscule légèrement, par-ci par-là, car malgré l’heure tardive qui s’affiche doucement, la plupart des âmes errantes ne paraissent en rien vouloir s’émanciper de ce lieu d’interdits. C’est alors que, tandis que tu attendais patiemment le prochain jeu de regard avec la serveuse – qui pourrait donc satisfaire ta future commande – une bousculade plus importante se fit sentir sur ton côté droit. Aussitôt, ton attention se porte sur la silhouette divine de la femme en question, qui s’excuse de son indélicatesse, bien qu’elle fut elle-même malmenée par des gorilles en rut, juste derrière vous. « Pas de problème! C’est vrai que c’est un peu la jungle, ici. » réponds-tu en agrémentant tes paroles d’un rire cocasse, avouant que ce n’était pas uniquement la seule problématique de la soirée. Cela dit, en croisant son regard intense et son visage de mannequin, tu eusses l’illusion de reconnaître cette jeune femme. « Je m’excuse mais... Je crois qu’on se connaît. » lances-tu, songeur, bien que cela aurait pu passer pour une désespérante énième tentative de flirt. Non, Amalrik, tu ne voulais pas séduire – quoique – l’incroyablement sexy rousse qui se tenait à tes côtés. Et, hélas pour elle, tu ne regardais aucunement les chaînes de téléréalité, que tu trouvais trop insipides. Même les émissions censées émerveiller les plus jeunes et donner naissance à des vocations professionnelles dans l’avenir. Alors, la notoriété grandissante de la Nymphe de la Danse, ici présente, t’étais malheureusement inconnue. En réfléchissant bien, tu eus une illumination subite et tu fus surpris de cette étonnante révélation qui sonnait comme une alarme incendie dans ton esprit. « La cousine de Séphiros? Lex? » lui demandes-tu poliment, bien que tu es désormais persuadé qu’il s’agit bien d’elle. Après tout, il n’y a pas deux femmes aussi sulfureuses qu’elle dans tout Washington. Il n’était donc guère étonnant de remarquer qu’elle était autant déshabillée du regard par la plupart des hommes de l’établissement. Mais aucun ne trouvait grâce à ses yeux. D’ailleurs, d’aussi loin que remonte ta mémoire, cela a toujours semblé être le cas, à chaque fois que vous vous croisiez. Quel terrible secret pouvait-elle dissimuler pour se contenter de passades sans lendemain ou de cette violente solitude qu’était la sienne, alors qu’elle pouvait obtenir qui elle voulait – ou presque – en un claquement de doigts ? Le mystère demeurait entier.

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Re: Lexie et Amalrik - il n'y a pas de hasard il n'y a que des rendez-vous qu'on ne sait pas lire

Message par Lexie Cashten Dim 21 Mar - 1:28
Tu as l’habitude de ce genre de soirée, tu as toujours baigné dedans même quand tu étais plus jeune puisque tu étais toujours la première au courant des prochains coups foireux qui se préparaient en ville. Comment ? Certainement que tu connaissais les bonnes personnes à l’époque où les organisateurs voulaient que ton cul anime la piste de danse puisque oui à l’époque déjà tu dansais, tu dansais divinement bien. Tu as donc toujours connu ce genre de soirée illégale qui prend naissance dans les quartiers reculés de la ville, le genre de quartier ou personne n’a envie de mettre les pieds surtout pas les filles comme toi, mais toi tu n’as jamais chipoté tu as toujours foncer tête baissée. Ce n’est pas ta première qualité d’être fonceuse et tu en as conscience, mais jusqu’ici tu as toujours su sortir ton épingle du jeu.

Ce genre de soirée, c’est un peu comme chez toi évidemment tu pourrais te rendre dans des soirées plus sécurisées surtout maintenant que tu es devenue une vedette, mais tu sais déjà que tu t’amuserais pas autant, tu sais que les contrôles incessants de la sécurité t’empêcheraient de faire ce qui te plait parce que toi, Lexie tu ne sais pas ce que tu es en mesure de faire puisque d’un moment à l’autre tu peux totalement dérailler. Tu es dangereuse Lexie, tu es un poison, un doux poison que tout le monde rêve de goûter, mais personne ne comprend, personne ne te comprend… Tu es un danger Lexie que ce soit pour toi comme pour les personnes qui pensent pouvoir entrer dans ta vie, tu détruis sans même le vouloir parfois d’un simple regard. Dévastatrice tu es sans même le vouloir, tu ne le fais pas exprès du moins pas la plupart du temps… Mais ce qui brûle en toi te détruit alors tu ne peux que détruire ce qui t’entoure sans même le vouloir.

Tu sais qu’en allant dans une soirée dites “surveiller” tu ne retrouverais pas la moitié du monde que tu connais, tu sais qu’il n’y aurait pas autant de liberté et toi Lexie tu fais partie des âmes qui ont besoin de se sentir libres de tout et de rien à chaque instant à chaque seconde. Que ce soit sur Washington ou sur New York tu as toujours préféré rejoindre ce genre de milieu que de suivre le mouvement, le blanc qui traîne sur les tables du carré V.I.P est limite une vision quotidienne pour toi puisque tu en retrouves à toutes tes sorties hors travail. Cette poudre blanche, elle t’a aidée à une époque, elle t’a fait voir l’arrière du ciel, elle t’a laissé toucher les nuages, mais aujourd’hui tu n’y touches plus. Tu as su te reprendre en main avant qu’il ne soit trop tard, mais cela ne veut pas dire que tu n’as pas envie d’y plonger une nouvelle fois, mais tu joues avec tes propres limites puisque tu t’obliges à regarder tes amis se faire un rail, tu joues comme toujours, tu joues à un jeu dont tu penses pouvoir tenir les ficelles, mais tu as tendance à oublier que tôt ou tard la partie se termine.

C’est sans penser à la fin de partie que tu joues avec tes limites les poussant toujours plus loin volontairement c’est d’ailleurs pour ça que tu continues à venir à ce genre de soirée ! Ici tout est permis et tout le monde veut s’amuser, tout le monde cherche quelque chose qu’ils ne peuvent pas trouver ailleurs et toi la seule chose que tu recherches c’est un peu de repos.
Tu te laisses vivre, ouais tu te laisses rouler Lexie tu suis le cours de la vie sans chercher plus loin parce que tu sais que tu es condamné à crever le coeur ensanglanté !

Tu rejoins le bar pour oublier ton ennuie, ennuie que tu ne dois qu’à toi puisque tu pourrais toi aussi faire partie des femmes qui se retrouve dans un coin discret pour partager un moment de plaisir avec un inconnu, mais aucun regard n’a su attirer ton attention pourtant ils ont essayé, mais tu es difficile et plus les années passent plus tu as du mal à trouver ce que tu recherches. Tu ne l’avoueras pas, même pas à toi-même, mais tu as peur, tu as peur de ne plus réussir à t’offrir des moments de répit parce que tu le sais, tu dois aller de plus en plus loin à chaque fois pour apaiser un minimum ce que tu ressens.
Tu sens déjà les crépitements du feu reprendre naissance en toi alors, tu as besoin d’un verre peut être même de plusieurs pour tout éteindre encore quelques temps, c’est aussi pour cela que tu te rends au bar.
Ce n’est d’ailleurs pas simple de s’y rendre, mais tu y parviens non pas sans complication puisque tu bouscules l’homme déjà présent au comptoir. Tu ne perds pas de temps et tu t’excuses avec cette touche qui passe toujours, cette touche qui te rend fragile, tu le sais que les hommes aiment les femmes qu’ils peuvent protéger, mais toi tu n’as pas besoin d’être protégé enfin c’est ce que tu t’obstines à croire.

Quand il se tourne, ton regard se pose sur les traits de son visage, traits de visage que tu trouves particulièrement attirant. Tu laisses tes iris rejoindre les sienne pour juger s’il mérite ton intéressement et tu n’es pas déçu de ce que tu découvres. Tu finis par rire à sa remarque, il n’a cependant pas tort quand on regarde bien, c’est peut-être même pire que la jungle ! Tu t’apprêtes à laisser tes yeux glisser sur ses mains quand il s’excuse pour ensuite prétendre que tu aurais déjà croisé son chemin. Tu lèves les sourcils et tu penches un peu la tête en répondant << Un peu ringard comme technique de drague non ? >> tu es habitué à ce genre de contact peut être même trop habitué. Évidemment, il est possible qu'il t'es déjà vu à la télévision, mais tu ne trouves pas important de soulever ce point maintenant puisque tu aimes mine de rien être dans l’anonymat bien que beaucoup ici savent qui tu es cela ne semble pas être son cas. Tu te laisses un temps de réflexion cherchant si oui ou non tu as déjà croisé ce visage, mais tu doutes puisque tu es certaine que tu t’en souviendrais après tout il est plutôt mignon ! Tu es sur le point de lui répondre qu’il doit te confondre avec une autre personne quand le prénom de tes tourments quitte ses lèvres, ton cœur s’arrête à l’entente de se prénom qui te hante depuis tant d’années et tu réalises qu’il te connaît autrement il ne serait pas en mesure de te mettre sur le lien de famille qui t'unit à Séphiros. Tu clignes des yeux et enfin une image te reviens, il était assis sur le canapé de l’appartement de Seph une bière à la main, il parlait de son boulot à l’hôpital une genre d'anecdotes de sa journée passée… Maintenant tu comprends pourquoi tu n’as pas posé ton regard sur lui, tu ne touches pas aux amis de Seph question de respect question de principe puisque tu ne veux pas lui faire de mal et que tu ne veux pas le mettre dans une sale position si les choses venaient à mal tourné… Tu penses à tout Lexie. Mais maintenant, tu as posé ton regard sur lui, tu as pris le temps de le regarder et tu sais que tu ne pourras pas revenir en arrière. Tu finis par sourire << C’est ça ! Tu es un pote à Seph non ? Le gars qui bosse à l’hôpital ? >> ton sourire reste sur tes lippes et tu ajoutes << Tu n'es pas le genre de gars que je pensais croisé un jour dans ce genre de soirée ! >> puis tu plisses les yeux pour regarder autour de toi cherchant Seph, mais tu ne le vois pas, tu reposes ton regard sur l’ami de ton coussin << Seph est là ?>> tu sais déjà qu’il ne doit pas être content de te savoir dans ce genre de soirée, alors tu ne serais pas surprise qu’il soit là dans l’ombre comme à son habitude. L'idée qu'il soit là quelque part chamboule ton cœur si fortement que tu as peur que ton voisin entende ses battement.
 
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Re: Lexie et Amalrik - il n'y a pas de hasard il n'y a que des rendez-vous qu'on ne sait pas lire

Message par Invité Mar 23 Mar - 19:28
La soirée bat son plein. La musique résonne si fortement que ça pourrait étourdir plus d’un fêtard, en particulier les non-alcoolisés – ou, en tous cas, ceux qui ne le sont pas suffisamment. Le rythme déchaîné de la chanson permet à tous ceux qui le désirent de se déhancher sur la piste de danse. Très rapidement, les corps endiablés s’entrelacent les uns dans les autres, formant une foule détonante d’âmes qui se désirent, se cherchent et se taquinent, notamment à jeux de regards langoureux ou de baisers volés – dont certains très explicites. Toi aussi, Amalrik, tu remarques aisément que personne n’a envie de rester sage, durant cette nuit osée où tous les êtres s’avèrent aussi brûlants que la braise. Pour peu, tes propres hormones commencent à frétiller d’amusement, alors que les boissons alcoolisées s’enchaînent et descendent à l’intérieur de ton corps, allant jusqu’à se noyer dans le flux de tes veines. Petit à petit, le brouillard de tes pensées s’épaissit et obscurcit ton jugement. Bien sûr, tu ne perds pas le contrôle. Pas encore, du moins. Parce que, contrairement à tes camarades de soirée, t’es plutôt le genre de mâle responsable qui ne tombe pas à moitié dans le coma éthylique. Pourtant, tu aimerais bien poursuivre ton enivrement jusqu’à plus soif. Jusqu’à zapper les raisons qui te tourment l’esprit.

Comme tout vaillant héro, tu déambules jusqu’au lieu de prédilections de tous les fêtards en quête d’hydratation – même s’il s’avère que cela provoque l’effet inverse, en réalité : le bar. Parce qu’il faut bien que tu fournisses la prochaine tournée, afin de ne pas être faussement accusé de profiter de la bonne grâce de l’un ou de l’autre de tes comparses nocturnes. Cela dit, ils paraissent tous plus ou moins occupés à fricoter avec une donzelle, habillée plus ou moins selon les partenaires. Toi aussi, tu as eu quelques suggestions d’amusement. Mais, pas encore assez ivre-mort, tu t’es refusé cette satisfaction pour l’instant. Tu préfères festoyer avec tes potes, déconner entre hommes, plutôt que de te laisser séduire par une énième conquête dont tu oublieras le prénom et le visage dès demain matin. Malheureusement, tu constates que la bande se désagrège au fur et à mesure du temps qui s’écoule. Tôt ou tard, tu seras le dernier péquenaud à traîner dans le coin, sans compagnie pour réchauffer tes draps. Quelle tristesse ! Tu envisages d’y remédier, cela dit, avant que les Cendrillons ne se transforment définitivement en citrouilles mal fagotées.

Cela dit, la divine providence semble avoir eu pitié de ton âme esseulée. Alors que l’ennui allait gentiment écorner ta gaieté naturelle, tu fus surpris par une bousculade des plus intéressantes. C’est ainsi qu’une créature, sortie directement des contes de fées – mais la version pour adultes, fit sont apparition dans ton champ visuel. En y regardant de plus près et après un cordial échange sans arrière-pensée, il s’avéra que tu reconnus la jeune femme. Il s’agissait de la cousine de Séphiros, un copain à toi, qui venait quelques fois lui rendre visites lors de ses passages à Washington. Ils étaient complices, tous les deux. Tu n’avais, cependant, aucune idée du « à quel point » et il était sans doute préférable que tu l’ignores. Quoiqu’il en soit, elle eut d’abord l’impression que tu la draguais ouvertement. Cela dit, ceci n’aurait pas été étonnant : elle eut bon nombre de valeureux conquérants, ce soir. Il semblerait, toutefois, qu’ils se cassèrent tous les dents devant son visage de sirène enchanteresse. Selon ta propre expérience, mieux valait donc éviter de jouer au grand lourdaud – d’autant que tu étais fortement alcoolisé. Lorsqu’elle te reconnut enfin – ce qui t’étonna presque – tu ne pus réprimer un sourire amical, qui se dessina aussitôt sur ton minois. « C’est ça. Amalrik. Et je suis ambulancier. » rétorques-tu, en évoquant ainsi ton prénom – dont elle ne se souvenait probablement pas – ainsi que ta profession, avec plus d’exactitude. Histoire qu’elle ne daigne pas te prendre pour un grand chirurgien, par exemple : tu n’en avais pas les compétences.

Lexie fut, quant à elle, étonnée de te retrouver dans un tel endroit. Il s’avère que le lieu était des plus sulfureux et que l’ambiance, chargée en sexe, affichait clairement la tendance à la débauche. Tu souris, un rictus amusé sur les lèvres. « C’est sûr que c’est plus ton univers que le mien. » avouas-tu avec franchise, conscient qu’elle était clairement le genre de femme qui savait où elle posait les talons aiguilles en venant à une telle soirée. Telle une lionne affamée, mais qui choisissait avec délicatesse, elle devait être en quête d’un frisson quelconque. Néanmoins, tu te demandais qu’est-ce qu’elle pouvait bien attendre de cette soirée, elle qui était autant courtisée qu’une oasis en plein Sahara. Elle s’enquit alors de la présence de Séphiros, son cousin par alliance. Tu haussas les épaules, tandis qu’elle le cherchait déjà du regard. « Pas que je sache. » répondis-tu, sans te douter de la déception qui encerclera probablement son cœur suite à cette révélation.

Accoudés au bar, tous les deux, tu ne peux cependant plus détacher tes yeux de son être. Lexie est ce genre de femme envoûtante que tous les hommes désirent – toi y compris. Il t’est impossible d’être insensible à ses charmes. Ce serait contre-nature, après tout. Pourtant, tu ne doutais pas qu’elle avait également ses propres faiblesses, dissimulées dans les abysses de son âme obscure et mystérieuse. « T’es de passage à Washington ? » la questionnas-tu, puisque tu t’interrogeais sur sa présence. D’ordinaire, elle ne venait que pour traîner avec Séphiros – du moins à chaque fois que tu l’aperçus par le passé, il était également présent. Alors, tu fus étonné qu’elle soit venue ici sans lui. Ca ne ressemblait guère à une habitude. La serveuse sembla alors enfin te remarquer – ce qui n’était pas trop tôt. Tu lui fis signe de venir et tu te retournas illico-presto vers la fille à la chevelure de feu. « J’te paye un verre ? » lui demandas-tu avant de prendre une quelconque commande à celle qui devait vous octroyer vos futures acquisitions alcoolisées.

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Situation financière : Tu as largement de quoi vivre décemment, tu ne roules pas sur l’or et ça te convient comme ça. Être une petite bourge te ferait bien chier, tu aimes celle que tu es et ce que tu fais pour obtenir de quoi vivre le mois d’après.
Situation amoureuse : Tu sais que le verbe aimer faut savoir le conjuguer, toi tu n’en es pas capable tu préfères largement jouer avec les cartes que tu as en main. La séduction, c’est ton passe-temps, tu aimes qu’on te regarde, toi tu veux attirer l'œil, tu veux qu’on se mette à genoux pour toi. Tu ne veux pas un amour niais qu’on retrouve dans une série télévisée non, toi tu veux que ça t’arrache les tripes, tu veux que ça te fasse suer, tu veux que ça te transperce que ça te fasse chialer, tu veux en perdre la raison.
Orientation sexuelle : Tu n’aimes pas la dentelle et les froufrous, tu aimes les bonnes poignées masculines, toi tu veux que ce soit hargneux, bestial, tu veux te sentir transporter sous les caresses d’un Alpha. Une femme n’est pas en mesure de t’apporter ce que tu recherches, tu le sais, tu as goûté à la chair féminine et ce n’est pas ta tasse de thé.
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Emploi/études : Depuis gamine-tu savais le chemin que tu allais suivre, tu as commencé par la gym pour gagner en souplesse, mais c’est la danse que tu visais. Tu as réussi à faire ce que tu voulais, tu as fait les études adéquates, tu as sué pour parvenir à être diplômé, mais tu l’as fait avec détermination. Tu es professeur de danse dans une école, tu donnes également des cours de danse de salon privée à certains particuliers et tu es une intermittente du spectacle puisque tu participes à des évènements où tu mets en avant tes talents de danseuse. Tu tentes également des auditions pour des clips vidéos et compagnie.
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Message par Lexie Cashten Mer 24 Mar - 1:17
Tu ne dirais pas que tu es du genre maladroite, mais comme tout le monde tu as tes moments de faiblesse parfois parce que tu es épuisée de la journée qui vient de se dérouler d’autres fois parce que tu as passé une mauvaise nuit et certaines fois parce qu’on te force à l’être. C’est simplement humain pourtant tu n’aimes pas ça encore moins quand tu te retrouves à bousculer un homme, tu ne sais jamais sur quel genre d’individu tu peux tomber et les gros lourds tu connais trop bien, mais par chance ce soir ce n’est pas sur un lourdingue que tu es tombé enfin tu supposes qu’il n’en est pas un puisqu’il est l’ami de ton cousin et tu sais que Seph ne s'encombre pas de personne inutile.  Sur le moment tu n’as pas réussi à remettre son visage pourtant charmant, mais lui y est parvenue et c’est grâce à cela que tu as pu le ciblé autrement probablement que tu n’aurais pas cherché plus loin puisque tu n’aimes pas t’embêter avec des futilités, toi tu aimes les choses simples qui ne prenne pas la tête. Maintenant que tu l’as reconnu, tu n’hésites pas à lui faire part de ce que tu as retenu sur sa personne en clair… Pas grand-chose, il faut dire que tu ne l’as croisé que peu de fois et que tu n’étais pas très présente ses deux dernières années, mais tu penses pouvoir dire que tu as pu le croiser trois peut être même quatre fois en tout cas tu te souviens parfaitement de la fois où tu es arrivée petit sac de voyage sur l’épaule, il était installé dans le canapé de l’appart.  Tu souris en entendant qu’il est bel et bien dans le corps de métier qui se relie à la médecine << Amalrik, je t’avoue que je n’aurais pas su remettre trop prénom qui n’est d’ailleurs pas très commun >> la mèche de cheveux qui taquine tes cils t’oblige à passer une main dans ta tignasse rouge flamboyant et tu ajoutes << Ouais, il me semblait bien que tu étais dans le milieu médecine et compagnie >> pour toi être ambulancier ou chirurgien c’est plus ou moins pareil, ça rime avec des heures à gogo et sauver des vies comme toujours tu ne cherches pas, mais jouer au docteur et son infirmière est l’un de tes jeux de rôles préférés. Tu n'évolues cependant pas ton classement de rôle player favoris, mais tu te permets de souligner le fait que tu ne pensais pas le voir dans ce genre d’endroit en même temps il paraît si carré que cela t’étonne réellement et sa réponse qui est plus que franche te laisse au départ sceptique puisque peu d’hommes se permettent ce genre de remarque, mais finalement tu apprécies cette franchise. Tu souris à nouveau avant de pencher très légèrement la tête << Tu sembles avoir laisser ton regard un petit moment sur moi pour constater que ce genre de soirée est mon univers Amalrik >> tu constates seulement une évidence et s’il venait à te dire qu’il ne t’a pas attentivement observée alors cela voudrait dire qu’il a jugé la personne que tu es sans même te connaître à la simple apparence que tu dégages et cela pourrait réellement te décevoir parce que tu es comme ça Lexie, toi tu n’aimes pas les préjugées, tu n’as d’ailleurs jamais apprécier.   Puis, soudainement tu te laisses imaginer que Sephiros est dans le coin lui aussi ton cœur s’emballe sous l’effet que cette idée te fait, tu ne le contrôles plus comme à chaque fois qu’il s’agit de lui, tu cherches du regard le visage de celui qui te fait perdre la tête depuis des années maintenant et tu n’hésites pas à demander à son ami s’il est dans les parages, mais sa réponse te fait rapidement chuté et l'atterrissage est violent pour ton palpitant.  Tu sens maintenant le vide t’envahir, tu sens le manque t'envahir tu sais qu’il est temps pour toi d’assouvir ta soif pour endormir tous ses sentiments qui refont surface << Tu es donc tout seul ? >> tu doutes qu’il soit seul puisque tu ne trouverais pas cela normal après tout il est réellement charmant bien que totalement différent de l’homme qui te fait de l’effet juste en prononçant son prénom…

Amalrik reste un homme agréable à regarder.   Tu ne le quittes pas du regard non pas parce qu’il te plaît ou parce qu’il t'intrigue, mais parce qu’il te regarde et que tu aimes ça, tu aimes qu’on fasse attention à toi, tu aimes qu’on te donne le sentiment d’être la seule et l’unique même si cela n’est que pour quelques heures ! Tu sais qu’il n’est pas le seul à te regarder, mais il est le seul qui a réussi à être un minimum intéressant pour que tu lui prêtes attention et ce n’est pas uniquement parce qu’il est l’ami de Séphiros non, il a ce quelque chose que tu recherches chez un homme, il a ce regard…  Oh, tu ne te fais pas d'illusion, tu sais parfaitement qu’il ne remplacera pas l’homme de tes tourments, personne ne pourrait arriver à la cheville de Séphiros; mais il t’intrigue et c’est déjà un bon point pour lui bien qu’il n’en soit pas conscient. Il semble vouloir faire la discussion constatation qui te plait << Je suis de retour mon contrat à New York est terminé du coup, je suis de retour en ville >> tu passes le bout de ta langue sur tes lippes pour les lissés << Je crèche chez Seph pour le moment, il ne t’a rien dit ? >> tu avais cru comprendre dans le passé qu’il était assez proche, mais peut être que ce n’est finalement pas le cas où alors Seph n’a pas eu le temps d’en parler après tout tu ignores où il passe son temps quand il n’est pas à l’appart et au boulot… Tu supposais simplement qu’il était avec ses potes, mais tu te rends compte que tu te bernais probablement alors… Où est-il quand il n’est pas à la maison ? Tu sais maintenant que cette question va te trotter dans la tête un moment et que tôt ou tard tu vas la poser à la personne concernée.   Tu tournes la tête quand la serveuse se pointe suite au signe qu’Am’ vient de lui faire et tu apprécies fortement la proposition avec qui tu vas passer un petit moment puisque tu te décides à accepter cette proposition à ta manière << Et si tu m’en offrais deux >> tu souris en coin plongeant ton regard dans le sien disant alors << Gin Kiss s'il te plait >> tu mordilles le coin de ta lèvre inférieure en le regardant tu connais parfaitement la réputation de ce cocktail, mais tu l’adores véritablement alors tu ne le commandes pas parce qu’il est réputé pour stimuler délicieusement le désir non, tu le veux parce que tu l’apprécies vraiment bien que te doutes de l'ambiguïté que ta commande peut laisser flotter entre vous, mais ça ne te dérange pas non, toi ça te plait, ça t’amuse, ça te fait vibrée.


 
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Message par Invité Ven 26 Mar - 14:22
« J’avoue que mes parents ont été plutôt inspirés. » admets-tu, haussant les épaules tout en riant doucement à cette délicieuse remarque. Il est vrai qu’il n’était pas rare qu’on te regarde avec étonnement, lorsque tu dévoilais ton prénom. Bien souvent, notamment dans le cadre de l’administratif, tu te permettais de l’épeler sans même qu’on ne te le préconise. Question d’habitude, sans nul doute. Ainsi, tu économisais du temps et de la personne en face, elle, se réservait un peu plus de salive. D’autant que, dans les rares cas où tu n’exécutais pas cette tâche ingrate, tu te retrouvais avec ton identité écrite de drôles de manières. La plus courante étant « Almarik » plutôt que « Amalrik ». Durant ton enfance, cela te fâchait grossièrement. Désormais, tu t’en amusais. Comme lorsque, ce soir, on te soulignait à quel point ce n’était pas typique. En même temps, il faut admettre que « Sören » n’était pas non plus répandu, en particulier dans la région. Cela dit, tu ne tenais guère à t’épancher sur vos origines scandinaves. Ce n’était pas le lieu ni le moment de s’effaroucher. Après un rapide commentaire sur le fait que la sulfureuse demoiselle n’avais point songé à te rencontrer ici, tu ne peux t’empêcher de rétorquer que ce n’est pas le cas inverse. Elle ne s’en offusque pas, bien au contraire : cela paraît l’enjouer. Séductrice dans l’âme, elle ne joue pas à la douce et fragile biche. Au contraire : elle en joue. Tu l’admires, tes yeux se baladant avec avidité sur son divin corps. Puis, tu les remontes jusqu’à ses propres mirettes. « En même temps, quel homme ne t’aurait pas regardée, Lex? Mise à part les homosexuels, évidemment. Mais même là, je ne suis pas certain. Donc, à part les rares aveugles du coin… » réponds-tu, empreint d’une honnêteté sans limite. Qui serait assez délicat pour ne pas la déshabiller du regard ni la dévorer dans son imaginaire ? Qui ne rêverait pas de repartir en sa charmante compagnie, dévoilant là la promesse certaine d’une nuit endiablée ? En tous cas, de ton côté, tu n’étais pas homme à prétendre ce que tu n’étais point. C’est donc naturellement que tu admis, sans détour, que Lexie était affreusement désirable. Pourquoi s’en cacher, après tout ? Elle n’en rougirait certainement pas puisqu’elle était adorablement sûre de ses atouts – qu’elle mettait magnifiquement en valeur. Chacun de ses gestes t’enviraient d’un parfum délectable et tu appréciais les remarquer. Puis, vint la question inexorable de la présence – en l’occurrence de l’absence plutôt – de ce cher Séphiros, son cousin. A cet instant, tu lui fis part qu’il n’était pas dans les parages à ta connaissance et la jeune femme parut presque déçue – ce que tu ne vis pas forcément. Elle s’interrogea cependant sur ton manquement de compagnie féminine. Tu haussas les épaules, rieur à nouveau. « Eh oui ! Je suis une pauvre âme esseulée. » fis-tu, sur un air pseudo-dramatique, en prenant un air de chien battu totalement faux. Ton sourire, qui vint percuter ensuite ton visage, démontra que tu n’en tenais pas rigueur à la gente du sexe opposé. Pour toi, tu préférais rentrer bredouille à la maison plutôt que de t’adonner à des galipettes avec la première inconnue qui daignait encore te désirer ou qui s’avérait insatisfait de ses précédents compagnons de fortune. Vous vîntes alors à évoquer la raison de sa fulgurante présence. La Renarde t’expliqua que son contrat s’étant terminé, elle était de retour. Du moins jusqu’à ce que d’autres horizons s’ouvrent à elle. Tu souris, en hochant docilement la tête. « Je vois. » répondis-tu sans t’épancher à ce sujet. Après tout, vous n’étiez pas suffisamment intimes pour que tu aies envie de t’immiscer dans sa carrière ou ses aspirations. Aussitôt, elle te précisa vivre auprès de Séphiros. Tu haussas les sourcils, tandis qu’elle te questionnait sur cette information qui, semble-t-il, avait échappé à ton oreille. En réfléchissant, tu étais persuadé que son cousin ne t’avait pas pipé mot à ce sujet. « Non, il ne m’a rien dit. J’imagine qu’il n’en a pas vraiment eu le temps. Et puis, tu sais, Séphiros est assez discret sur sa vie privée. » admets-tu alors volontiers, tout en continuant d’observer les magnifiques traits de son visage, tandis que les lumières de la boîte de nuit continuaient de danser sur son corps de braises. Tu lui souris alors davantage. « Il voulait peut-être te garder pour lui tout seul, vas savoir. » lances-tu, sur le ton de la plaisanterie, loin de te douter que tu avais peut-être touché dans le mile concernant cette douce problématique. Comment aurais-tu pu deviner que leur relation n’était pas si « familiale » qu’elle le sous-entendait à l’appellation de simples « cousins ». Certes, tu n’ignorais pas qu’ils ne partageaient pas le même sang. Par contre, tu n’étais pas dans la confidence quant au fait qu’ils s’adonnaient à des plaisirs fugaces dans le même lit. Tu proposas alors un verre à Lexie, qui ne se fit pas prier pour en réclamer aussitôt un deuxième directement. Tu ricanas, amusé. Enjoué qu’elle daigne accepter ta petite compagnie, toi qui n’étais pas de son « gabarit » à en juger par les yeux envieux qui se posaient sur toi. « Alors, deux « gin kiss » pour la jolie demoiselle. C’est parti ! » lanças-tu dans les airs, semant un air de bonne ambiance qui s’invitait volontiers entre vos deux âmes en peine. A cet instant, la serveuse se joignit à votre duo pour entreprendre d’exécuter le travail pour lequel elle était rémunérée. Tu t’approchas davantage d’elle, afin qu’elle daigne tendre l’oreille, couvrant par ta voix le son qui s’échappait trop fortement des enceintes. « Mettez-nous deux « gin kiss » et deux « tequila boom-boom » s’il vous plaît. » ordonnas-tu avec politesse. Elle ne tarda guère, cela dit, avant de revenir avec vos boissons respectives, qu’elle déposa sur le comptoir tandis qu’elle te rendait la monnaie de ton dernier billet tendu à son encontre. Tu lui laissas un petit pourboire, en guise de gentillesse. Cela dit, tu oublias complètement de prendre la commande pour tes camarades de boissons. Mais ils ne t’en tiendraient nullement rigueur, en découvrant pour quelle raison ton esprit fut frappé d’Alzheimer subitement. « A cette fin de soirée en si charmante compagnie ! » fis-tu, en levant ton premier verre. Aussitôt, tu attrapas le sel, que tu glissas sur le revers de ta main, avant de le lécher. Puis, tu bus le shot de téquila, avant de mordre dans le cartier de citron qui trônait sur une petite assiette. Ca piquait plutôt fortement, mais tant pis ! Tu avais besoin d’un bon remontant.

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Message par Lexie Cashten Sam 27 Mar - 22:50
En entendant que ses parents ont été inspirés concernant tu ne peux t’empêcher de rire et de dire << Inspirés ou complètement bourrée ? >> évidemment en disant cela tu ne penses qu’à l’humour qui roule sur tes cordes vocales tu es loin d’imaginer que tu pourrais le toucher plus sentimentalement puisque tu ne connais pas son histoire, tu ignores tout de lui. À dire vrai, tu ne sais réellement pas grand chose sur sa personne excepté qu’il est un pote à Seph et qu’il est ambulancier. Tu souris en ajoutant sur son prénom << L’avantage c’est que tu as un prénom qu’on n’oublie pas >> tu lui fais un petit clin d’oeil en souriant en coin, tu sais que ta phrase est lourde en sens et cela est voulu simplement parce que tu es comme ça, c’est juste naturel.

À la suite de ses paroles sur le fait est que ce genre de soirée te sciait particulièrement, tu n’hésites pas à relever le sens de son observation sur ta propre personne, Le regard sur sa personne tu remarques parfaitement que son regard se balade sur ton corps avec avidité, tu aimes qu’on te regarde alors sentir son regard sur tes courbes te plait particulièrement, mais cela il a dû le remarquer également puisqu’il semble avoir pris le temps de te regarder. Tu mordilles ta lèvre en souriant doucement quand tu entends ses propos qui te flattes << Dois-je comprendre que tes mains ont envie de faire à mon corps ce que tes yeux viennent de lui faire ? >> tu connais déjà la réponse, tu la connais sa réponse, mais tu as envie de l’entendre, tu veux qu’il caresse ton égo un peu plus et surtout tu veux avoir pleinement conscience qu’en un claquement de doigts l’homme viril qu’il est peut devenir ta marionnette. Une marionnette qui te ferait ce dont tu as envie sans limites et inversement. Ne cachant pas le fait est que tu es une séductrice puisque tu t’assumes totalement tu ajoutes << Le parfum, c’est pour attirer les rares aveugles >> tu ris délicieusement en laissant tes iris bleutés sur sa personne puis, tu réagis sur la possible présence de Séphiros. Tu déchantes rapidement quand tu entends qu’il n’est pas ici du moins pas à sa présence, mais tu le savais dans le fond ton instinct te l’aurait signalé autrement, tu aurais cherché à le faire craquer en jouant avec un homme objet où en te déhanchant de manière désabusée, tu es donc déçu d’avoir dans un sens confirmation de son absence, mais tu ne te laisses pas abattre puisque tu rebondis que l’absence de compagnie féminine accrocher à son bras, tu penches un peu la tête quand il commence à parler pour te dire qu’il est une pauvre âme esseulée, tu fais une petite moue << Oh allez Am’ je suis certaine qu’il y a un tas de demoiselles qui aimerait être accrochées à ton bras >> tu le sais parce qu’il n’est pas vilain loin de là même, il a un petit quelque chose qui t’attire est-ce ses cheveux longs ? Tu ne sais pas, mais c' est plaisant à regarder. Finalement, c’est un sourire qui percute son visage ce qui te vole un nouveau sourire des plus radieux et tu lui précises que tu es de retour en ville sans signaler qu’un départ aura lieu dans les mois à venir puisque tu sais que tu ne partiras plus… Tu sais que tu ne peux pas rester trop loin de Seph sans mourir en étant torturé parce que c’est ça d’être loin de Séphiros, c’est exactement la même chose qu’avoir un couteau planté dans le coeur et chaque jour qui passe loin de lui ce couteau bouge pour te rappeler, pour t’empêcher d’oublier << Tu vois ? >> tu demandes ce qu’il veut dire par là << Je vais traîner un bon moment dans le coin et chez Seph du coup on va se croiser quelques fois je suppose >> l’idée de le croiser ne te déplait pas bien entendu tu sais que tu Seph n'apprécierait pas que son pote te regarde, mais c’est une autre histoire. Tu soulèves ensuite le fait est qu’il ne soit pas au courant de ton retour en lui demandant simplement si Speh ne lui a rien dit, mais cette question est stupide puisqu’autrement il aurait su que tu étais de retour alors maintenant, tu te demandes si Seph parle de toi… S’il pensait à toi comme tu pensais à lui à chaque fois que tu étais loin de lui et tu te demandes, si ton retour le rend aussi heureux que toi… Tu hoches la tête en souriant cachant toutes ses questions qui te traverse l’esprit << Ouais, Seph et la confidence ce n’est pas trop sa spécialité >> tu sais qu’il n’est pas du genre à parler à s’ouvrir, mais bon tu pensais qu’il parlait un minimum de toi, mais apparemment ce n’est pas le cas << Après tu sais avec toutes les filles qui vois c’est logique qu’il n’est pas le temps pour ses potes >> c’est mal ce que tu fais Lexie, tu sais que c’est mal puisque tu pêches le faux pour savoir le vrai, maintenant tu veux savoir si l’homme qui te fait fantasmer voit beaucoup de monde ou voyait beaucoup de monde pendant ton absence. Tu sais que cette information te fera mal, mais tu as envie de savoir, tu as besoin de savoir comme pour te prendre une gifle qui te permettra de t’enfoncer dans ce que tu sais faire… T'étouffer dans les bras d’un autre.

Tu le vois te regarder encore, il observe ton visage et tu éclates de rire quand tu l’entends dire que Seph voulait peut-être te garder pour lui tout seul, oh toi tu ne dirais pas non au contraire, mais ce n’est pas le cas tu le sais autrement, il serait là avec toi, il ne te laisserait pas en compagnie de l’ennemi puisque oui un homme attirant peut devenir l’ennemi de l’homme qui me fait fantasmer après tout personne ne sait quand l’amour frappe << Si tel est le cas, il a mal géré puisque je suis en ta compagnie >> ton regard cherche le sien comme tu sais le faire et il te propose un verre directement tu en demandes deux histoire que la soirée dure un peu plus longtemps. Tu souris ravie d’apprendre qu’il est bien décidé à t’offrir les deux verres que tu désires, mais tu sais que si lui n’avait pas voulu répondre à ton exigence c’est un autre qui aurait comblé ton attente. Tu sais que vous êtes observé, tu sens les regards des désireux qui voudrait être à sa place. Tu le laisses passer la commande en regardant les traits de son profil et ce n’est réellement pas vilain !

Rapidement, la commande arrive et c’est avec un sourire toujours accroché sur ton visage angélique que tu le remercies << Merci >> tu poses ta main sur ton verre alors qu’il porte un toast, tu lèves un sourcil en reprenant << À ce début de soirée en si charmante compagnie >> il est certain que pour toi ce n’est pas la fin de soirée, non toi Lexie tu es du genre à quitter les lieux quand les rayons du soleil apparaissent quand tout le monde dort dans un coin, tu es toujours la dernière survivante si tu ne pars pas en charmante compagnie en milieu de soirée. Tu lèves ton verre et tu en bois une gorgée le regardant faire avec le sel<< Ne me dis pas que tu comptes partir bientôt >> tu poses ensuite ton verre sur le comptoir du bar et tu prends le sel présent sur le comptoir, tu attrapes sa main et tu en verses dessus en souriant en coin le regardant du coin de l’œil et sans permission tu viens à lécher le coin de sa main ou se trouve le sel que tu viens de versé, tu es comme ça tu es spontanée. Tu relèves la tête pour plonger ton regard dans le sien que tu ne quittes pas tu prends son deuxième shooter et tu le bois d’un coup le reposant sur le comptoir avant de mordre dans un morceau de citron, tu passes ensuite ta langue sur tes lèvres en disant << Tu m’as donné envie >> tu mordilles une nouvelle fois ta lèvre, tu cherches Lexie comme tu sais si bien le faire, tu joues tu le sais, tu as lancé les dés… Tu es dans une partie et malheureusement pour lui, il est ta proie.
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Re: Lexie et Amalrik - il n'y a pas de hasard il n'y a que des rendez-vous qu'on ne sait pas lire

Message par Invité Mer 31 Mar - 14:15
Tu te sens étrangement bien, Amalrik, malgré les sujets de conversation abordés par la divine sirène, celle à la chevelure flamboyante et au corps de diablesse. Car lorsqu’elle évoque les origines de ton prénom « nordique », tu ne peux t’empêcher de songer à celui qui fut ton géniteur et qui fut la raison de votre départ précipité, avec Sören et votre mère, tandis que tu n’étais qu’un nourrisson. De ce que tu savais, il avait la main lourde et la boisson facile. Alors, lorsque tu entends les mots prononcés par la jeune femme, tu te crispes légèrement. Cela dit, il n’est pas question de t’apitoyer sur ton début de vie. Il y a des années que tu avais tourné la page – en partie du moins. « Sans doute un peu les deux. » admets-tu toutefois, essayant de rire même si le cœur n’y est pas forcément. Parce que tu es comme ça, Amalrik : tu dissimules souvent ce qui te blesse derrière un sourire. Un trait de caractère qui te provient directement de ta douce maman, envolée trop tôt, aux côtés de son second époux qui fut ton seul père, jusqu’à ce que Sören prenne le relai. Heureusement, la conversation se détourne rapidement sur des éléments plus intrigants. Lorsque tu admets, sans rougir, que Lexie est totalement désirable, elle te paraît plutôt flattée et n’hésite pas à te questionner sur tes propres envies masculines. Ton sourire se détend et s’élargit alors, tandis que tes yeux s’enfoncent dans les siens. Ta langue vient lécher ta lèvre inférieure, tandis que tu continues de l’admirer de haut en bas et de bas en haut. « Pas seulement mes mains, Lex. » renchéris-tu, la confortant dans l’idée qu’elle ne t’était pas du tout indifférente. Evidemment, elle aime ça. Elle semble adorer attirer l’attention sur ses courbes délicieuses et féminines. Elle est ce genre de créature qui peut emmener les hommes dans les abysses, juste en clignant des yeux. Elle joue avec le feu et cela l’éclate, tu le sens. Telle une prédatrice, elle poursuit son jeu en évoquant son parfum. A cette distance, tu ne le sens pas. Tu l’imagines, ceci dit, et de façon peu catholique. « Ca donnerait presque envie d’être aveugle. Mais je préfère garder la vue, histoire de continuer à t’admirer. » rétorques-tu, visiblement dans l’optique de la draguer en quelques mots. Bien sûr, des hommes comme toi, elle doit en connaître des dizaines par semaine. Lexie, elle les mange tous au petit-déjeuner. Pourtant, son cœur gelé semble renfermé un lourd fardeau, tel que personne ne peut y avoir accès. A défaut de t’offrir son palpitant en pâture, elle daigne laisser son corps s’enivrer des plaisirs fugaces. Toutefois, elle flatte ton égo dès qu’elle avoue ne pas être dupe sur tes propres capacités à ramener une fille dans tes bras. « Tu n’as pas totalement tort. Malheureusement, je n’avais encore jeté mon dévolu sur aucune femme… jusqu’à ce que tu daignes pointer le bout de ton nez. » lances-tu, en sous-entendant qu’elle est la seule – ou une des rares – capable de te détourner de ton objectif d’ivresse jusqu’à plus soif. Toutefois, tu ne veux pas l’effrayer et tu restes évasif. Docile. Si tu te jettes à ses pieds, tu es certain qu’elle se lassera de toi. Pourtant, une force invisible t’attire vers elle. Peut-être le défi ? Ou l’interdit ? Quoiqu’il en soit, tu te demandes bien pour quelle obscure raison elle a posé ses yeux magnifiques sur toi. La facilité, potentiellement. Vous évoquez alors son retour dans la ville de Washington. « Eh bien, j’imaginais que tu finirais par repartir tantôt. Pour ton prochain contrat. Cela m’attristerait tellement ! » expliques-tu, en feignant un air de « drama-queen » blessée par la disparition subite de sa très chère compagne de soirée. Tu ris, juste derrière, bien qu’il y ait une semi-vérité là-derrière : tu rêverais de la découvrir davantage, avant qu’elle ne reparte pour d’autres horizons. Bien que ce soit sans doute une pensée éphémère. Vous bifurquez sur le sujet de son cousin par alliance, notamment ses propres conquêtes nocturnes. Tu hausses les épaules. « Oh, tu sais, je ne suis pas trop au courant des histoires de cœur de Séphiros. Comme je te l’ai dit, il est plutôt discret sur sa vie privée. Mais j’imagine qu’il doit avoir du succès, oui. » répondis-tu en toute sincérité, loin de te douter des attentes de la demoiselle derrière sa question indirecte. Pour toi, elle est de la même famille que le brun et il n’y a aucune ambiguïté entre eux. Si tu savais, pauvre idiot, dans quel foutoir tu vas encore t’immiscer. L’absence de ton ami, cela dit, te permet de découvrir la Nymphe de feu. Et tu en es ravi. « Tant mieux pour moi, dans ce cas ! » soulignes-tu, tandis qu’elle évoque qu’elle est en ta compagnie et pas avec son cousin. Tu souris, visiblement amusé. Puis, vous commandez des boissons alcoolisées. Lorsque la tienne arrive, par lot de deux, tu en prends une que tu laisses glisser le long de ta gorge enflammée. D’une traite. Parce que c’est ainsi que ce boit la tequila. Cet air précipité donne la sensation que tu es pressé de partir et Lexie ne peut s’empêcher de le remarquer. Tu souris. « On verra si j’ai des raisons de m’éterniser ici. » la taquines-tu, tout en continuant d’observer ses magnifiques traits et ses courbes à tomber. La demoiselle, véritable joueuse, se permet alors de t’exciter légèrement en venant lécher du sel sur ta main – préalablement versé par ses soins – avant de te piquer ta boisson alcoolisée et de mordre dans le citron amer. Tu es médusé de son côté tentatrice et cela se ressent fortement dans différents endroits de ton corps. Pauvre homme. « Lex, je crois que tu ne t’imagines pas à quel point j’ai eu envie d’être ce pauvre morceau de citron. » souffles-tu, en répondant à sa folle « envie », comme elle le mentionnait si bien. Tu es plus explicite que tu aimerais, Amalrik, mais tu ne peux décemment pas feindre l’indifférence avec elle. Pas lorsque ton désir se fait si puissant, après quelques pauvres minutes passées en sa compagnie. « D’ailleurs, tu en as encore un peu juste ici. » renchéris-tu, en voyant du jus de citron au coin de ses lèvres pulpeuses. Tu t’approches alors de son visage, dans une proximité loin d’être amicale, et tu laisses ton pouce se glisser sur le liquide encore perceptible. Tu approches alors ce dernier de ta bouche et tu en suces le bout, de manière suggestive. « Mmmh… délicieux… » retorques-tu dans un soupire, le visage toujours proche du sien. Tu te recules doucement et tu attrapes son deuxième verre, délaissé sur le comptoir, pour en prendre une gorgée. Ta curiosité t’enchante : c’est plutôt bon. Et ce cocktail est réputé pour son pouvoir aphrodisiaque. Tu le reposes alors où il trônait et tu observes la Sirène. « Je comprends pourquoi tu as choisi cette boisson. Elle te ressemble… » sous-entends-tu avec aplomb, laissant tes pupilles dilatées se perdre dans son regard. Quelle est belle, Lexie. Et elle le sait. C’est presque dommage qu’elle le sache autant, n’est-ce pas ? Toi qui n’es qu’un petit numéro parmi tant d’autres. Mais, Amalrik, tu restes un homme et tu prendras ce qu’elle daignera bien t’offrir – si tant est qu’elle ne disparaisse pas aussi subitement qu’elle t’est apparue. « Encore une tournée ? » la questionnes-tu, afin de savoir ce qu’elle désirait pour la suite de ces « retrouvailles » dans ce lieu de perdition.

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Situation financière : Tu as largement de quoi vivre décemment, tu ne roules pas sur l’or et ça te convient comme ça. Être une petite bourge te ferait bien chier, tu aimes celle que tu es et ce que tu fais pour obtenir de quoi vivre le mois d’après.
Situation amoureuse : Tu sais que le verbe aimer faut savoir le conjuguer, toi tu n’en es pas capable tu préfères largement jouer avec les cartes que tu as en main. La séduction, c’est ton passe-temps, tu aimes qu’on te regarde, toi tu veux attirer l'œil, tu veux qu’on se mette à genoux pour toi. Tu ne veux pas un amour niais qu’on retrouve dans une série télévisée non, toi tu veux que ça t’arrache les tripes, tu veux que ça te fasse suer, tu veux que ça te transperce que ça te fasse chialer, tu veux en perdre la raison.
Orientation sexuelle : Tu n’aimes pas la dentelle et les froufrous, tu aimes les bonnes poignées masculines, toi tu veux que ce soit hargneux, bestial, tu veux te sentir transporter sous les caresses d’un Alpha. Une femme n’est pas en mesure de t’apporter ce que tu recherches, tu le sais, tu as goûté à la chair féminine et ce n’est pas ta tasse de thé.
Habitation : Adams Morgan - N 54 avec Séphiros
Emploi/études : Depuis gamine-tu savais le chemin que tu allais suivre, tu as commencé par la gym pour gagner en souplesse, mais c’est la danse que tu visais. Tu as réussi à faire ce que tu voulais, tu as fait les études adéquates, tu as sué pour parvenir à être diplômé, mais tu l’as fait avec détermination. Tu es professeur de danse dans une école, tu donnes également des cours de danse de salon privée à certains particuliers et tu es une intermittente du spectacle puisque tu participes à des évènements où tu mets en avant tes talents de danseuse. Tu tentes également des auditions pour des clips vidéos et compagnie.
Multicomptes : Isabel Jimènez, Ben Turner & Aurora Fitzgerald.



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Message par Lexie Cashten Ven 2 Avr - 3:04
Toi, tu n’as pas imaginé une seule seconde avoir dit quelque chose qui ne fallait pas parce que tu ne pensais pas a mal au contraire tu as simplement voulu faire de l’humour et comme tu ne remarques pas que ta remarque sur ses parents a pu lui faire du mal, tu seras fortement ne mesure d’en refaire dans l’avenir sans forcément vouloir être désagréable. De toute manière, tu n’es pas le genre de personne qu’on peut qualifier de désagréable, tu es simple à vivre Lexie, toi tu aimes les choses simples les choses sans prise de tête alors, non tu n’es pas du genre désagréable au contraire avec toi la vie est belle parce que tu brilles continuellement, mais en réalité ce n’est qu’une illusion que tu donnes puisqu’au fond de toi tu es limite éteinte. Alors quand il soumet l’hypothèse même qu’il doit son prénom sans doute à cause des deux situations que tu as exposées, tu le regardes, mais tu ne dis rien puisque tu n’es personne pour chercher à savoir ce qui se cache derrière le sourire qu’il t’expose. Toi, tu respectes l’intimité de chaque personne, tu n’aimes pas qu’on creuse et qu’on tente de transpercer t’as carapace alors tu ne le fais avec les autres et tu te dis qu’un jour prochain peut être il s’ouvrira à toi, mais pour le moment tu n’es rien d’autre qu’une créature qui attire son regard parce que ça tu le vois, tu l’as compris à l’instant même où tu l’as bousculé sans le vouloir.

Tu ne t'attardes pas sur la conversation familiale qui pourrait réduire ce moment au néant, toi tu n’es pas ici pour rendre les gens malheureux non, toi Lexie tu cherches à oublier, tu cherches à profiter d’un moment et tu supposes que toutes les personnes présentes à ce genre de soirée recherche la même chose que toi. D’ailleurs; tu te fais franche en lui disant ce que tu supposes, mais tu ne t’es pas attendu à sa franchise alors il te surprend, mais tu es agréablement surprise et le regard qu’il engage sur ta silhouette ne te laisse pas indifférente << Tu éveilles ma curiosité >> la manière dont il prononce ton surnom te chatouille délicieusement le bas du ventre et tu sais parfaitement ce que ça signifie parce que tu connais ce sentiment.

Tu sais que tu es belle, tu sais que tu attires tu as toujours été comme ça du moins dès que tu t’es transformé en jeune fille/femme, mais tu ne cherches pas a attiré le regard de n’importe qui malgré ce que les gens peuvent pensé, tu choisis dans un sens et puis tu as les mecs qui te surprenne ceux auquel tu n’aurais même pas imaginé cela possible comme par exemple Amalrik et bien souvent c’est eux qui sont les meilleurs.
Tu lui glisses gentiment à quoi sert ton parfum et ce qu’il te répond te surprend une fois de plus, mais tu remarques aussi qu’il sait parler aux femmes. À présent tu n’as plus de doutes, tu sais qu’il sait faire craquer les filles, tu sais qu’il sait comment leur parler et tu es certaine que sa langue n'excelle pas uniquement dans la forme de compliment.
Tu t’approches un peu venant doucement tendre ton cou pour qu’il puisse sentir les vapeurs de ton parfum qui est te ressemble c’est un mélange de fruits et d’explosion en même temps, c’est un parfum qui réveille les sens de l’odorat et qui envoûte. Alors que tu fais en sorte d’être assez proche pour qu’il te hume tu ajoutes << Tu n’as pas besoin d’être aveugle tu sais et entre nous, il serait dommage que tu sois aveugle puisque j’aime l’idée que tu m’admires >> dis-tu sans te cacher, sans faux semblant comme toujours tu es fidèle à toi-même comme si tu n’avais pas de gêne ni même peur du ridicule. Tu finis par reculer d’un pas tout en laissant ton regard sur lui, tu n’avais jamais pris le temps de le regarder correctement avant ce soir probablement parce que quand Seph est dans le coin personne n’arrive à sa cheville non en faite même quand il n’est pas dans le coin-personne n’arrive à sa cheville, mais ce soir tu prends le temps de le regarder correctement et tu ne le trouves réellement pas moche, tu te retrouves même à apprécier ses cheveux longs tirés en arrière, mais ce qui te plait davantage c’est la forme de sa mâchoire… Tu n’as pas de style quand il s’agit d’homme, tu n’en as jamais eu puisque pour toi le seul homme que tu trouves réellement et totalement à ton goût c’est… Tu te refuses de penser à lui et tu ajoutes qu’il doit attirer les demoiselles et tu l’écoutes quand il te répond, tu le fixes un moment en entendant la fin de sa phrase et tu te pinces les lèvres sans même qu’il le sache, il vient de te toucher… C’est probablement absurde toi-même tu ne comprends pas pourquoi cette phrase de tombeur qu’il doit dire à toutes les nanas te touche, mais c’est ainsi le temps d’une seconde tu en es déstabilisé et il aurait pu te faire rougir s’il avait continué avec un compliment. Mais tu te reprends en ajoutant << C’est une phrase toute préparée que tu balances à toutes les demoiselles ? >> tu te sers de cette remarque simplement pour te laisser le temps de reprendre l’équilibre complet, mais lui ? L’ignore ou du moins tu penses qu’il n’a rien remarqué.


Tu rebondis sur la conversation de ton retour et tu secoues doucement la tête << Je n’ai pas l’intention de partir à nouveau >> tu souris en coin venant décaler tes cheveux pour les mettre en arrière et tu ajoutes << Tu n’as donc aucune raison d’être attristé, je serais dans le coin >> tu lui fais un clin d’oeil qui veut dire long, tu l’entends rire et tu souris grandement puisque tu le trouves adorable quand il rit. La conversation bifurque sur Seph puisque tu veux en savoir plus, mais il ne semble rien savoir… Dommage pour toi parce que tu aurais voulu en savoir plus, tu aurais voulu tout savoir, mais tu supposes que ce n’est pas encore le moment et que le jour où le moment arrivera tu découvriras bien plus de choses. Puis, tu répliques qu’il a mal géré s’il avait voulu te garder pour lui et Am trouves quelque chose à ajouter << C’est vrai qu’avec Seph dans les parages je ne suis pas certaine que tu pourrais m'adresser la parole comme tu le fais >> de nature très protecteurs Seph l’est encore plus quand cela me concerne, mais il ne doit pas le savoir enfin tu n’en sais rien peut-être que Seph a déjà signalé à ses potes de ne pas te regarde après tout tu n’en sais rien.

Il finit par commander les boissons et tu diriges le toast sur une autre trajectoire, tu le regardes le défiant limite du regard << Je crois que la raison tu l’as juste à côté de toi >> il faudrait être fou pour la laisser vagabonder ailleurs et les hommes qui vous fixent par envie d’être à la place d’Am le prouve parfaitement << Ah moins que je ne sois pas suffisante ? >> tu le regardes boire son verre et tu te décides à faire la même chose en mettant du sel sur sa main que tu viens lécher ensuite avant de boire le shooter et de croquer dans le citron en le regardant. Tu poses la peau du citron dans la petite coupelle avant de sourire satisfaite d’entendre ses paroles << Peut-être que tu pourrais me montrer puisque, je n’imagine pas >>, lâches-tu en le fixant attentivement attendant de voir quel genre d’homme il est. Quand il souligne que tu en as juste ici, tu le laisses faire voyant parfaitement que son pouce s’approche de tes lèvres, tu le laisses essuyer la goutte de citron restante sur le coin de tes lèvres pour ensuite le regarder sucer le bout de son propre pouce, OK il te fait de l’effet c’est officiel tu sens les tiraillements de ton bas ventre rejoindre ton intimité signalant ainsi une envie, une envie de lui, mais tu continues ton petit manège venant à léché tes lèvres pour le provoquer et tu viens à lui dire << Avoue, tu as envie de plus >>. Pourquoi ? Pourquoi fais-tu ça ? Tu sais qu’il est une limite, une limite à la connerie et Am en est une ! Il est l’ami de Sephiros…

Il finit par reculer doucement et il attrape ton deuxième verre tu le laisses boire dedans puisque cela n’est que partie remise quand il le repose sur le comptoir tu le regardes et ce qui te dit te fait lever un sourcil, il vient d’attiser ta curiosité << ça me ressemble ? Développe, s’il te plait >> maintenant tu es intriguée et tu veux savoir ce qu’il veut dire par ce genre de paroles. Puis quand il te propose une nouvelle tournée tu souris << Avec grand plaisir, mais je te préviens j’ai une très bonne descente >> tu le regardes ne le quittant pas du regard cherchant à jouer, à le provoquer à le faire craquer.
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