/HOT\ Lexie & Sephiros - There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames

there is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames

Lexie & Séphiros

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Quand elle me dit qu’elle en a toujours eu envie, je ne sais quoi penser, je me rends compte que j’aurai pu être sien bien avant, je l’aurai su, il est certain que jamais je ne l’aurai laissé partir seule, je serais parti avec elle, je serai… je ne sais pas ce que je serai mais il est sûr que beaucoup de choses seraient différentes. Peut-être pas Spehiros, n’oublie pas que je suis toujours là Oh je ne l’oublie pas, je ne peux l’oublier mais cette femme est ce qui me pousse à ne pas sombrer dans la folie, à ne pas me mettre une balle dans la tête pour le faire disparaître parce qu’au fond, je ne vis que pour elle, je ne vis que par elle et jamais je ne pourrais faire autrement. Nos corps se touchent, se frôlent, se complètent à merveille, ils sont fait l’un pour l’autre, ils sont fait pour être liés à jamais. Nos langues se cherchent pour ne plus se lâcher, elles entrent dans cette danse qu’elles seules connaissent par coeur. Mon corps s’appuie contre le sien alors que mon membre prend place contre son intimité.

“Je n’arrivais à rien sans toi, si tu savais comme c’était difficile de vivre sans toi, je ne veux plus te perdre, je ne veux plus être loin de toi, je te veux ma vie” je n’ai jamais parlé de ce que j’ai ressenti à son départ, jamais je ne me suis confié sur comment je me sentais. Personne n’est au courant que si je me perdais en d’autres jusqu’à aujourd’hui ce n’était que pour essayer de l’oublier mais il n’est pas permi de l’oublier, il ne m’est pas permis de l’oublier, je sais ce que je ressens pour elle, je sais que je la veux elle et pas une autre ou un autre. Je ne suis pas idiot pour savoir qu’elle couche avec beaucoup d’hommes, je sais qu’elle en a emmené chez moi tu aurais du le tuer quand tu l’as vu sortir de l’immeuble Oh oui j’aurai dû mais je ne l’ai pas fait, j’ai pris sur moi pour ne rien faire, mais je sais qui il est et un conseil que je ne le croise pas.

Nos visages se touchent, nos nez se frôlent et l’attraction est encore plus présente, oui je l’aime comme il n’est pas permis d’aimer une femme, je n’aime pas qu’une partie d’elle, j’ai tout, j’aime son corps, son regard, la passion qu’elle dégage quand elle danse, quand elle prend simplement la parole et rien d’autre. “Alors je serais cet homme, peu importe la façon, je le serai, je ne suis pas quelqu’un qui arrive à montrer quoi que ce soit mais toi… toi c’est différent, plus jamais quelqu’un nous séparera, plus jamais je ne laisserai quelqu’un se mettre entre nous et je… On doit faire du mal pour cela alors on le fera” Je suis sérieux, je n’ai jamais été aussi sérieux de ma vie car c’est elle qui a ma vie entre ses mains et je la perdrai le jour où elle ne sera plus à mes côtés. Je sais depuis longtemps que je n’ai besoin que d’elle, on me dirait de tout plaquer pour une chose, ça serait pour elle.

Mon corps se presse contre le sien, mes lèvres glissent dans son cou, mon corps réagit de nouveau alors que je lui demande ce qu’elle me veut à sa réponse, je viens doucement mordiller son cou alors que mon membre se fraye un passage jusqu’à son antre. Mon regard plonge dans le sien alors que ma main glisse sous sa cuisse venant doucement la surélever pour venir la pénétrer avec un peu plus de douceur que tout à l’heure tout en gardant cette fermeté qui est mienne. “Tu es mienne à jamais ma vie” Elle est ma muse, celle en qui je vais chercher ma vie, celle avec qui je ne fais qu’un pour l’éternité. Mes lèvres viennent se coller à elle alors que mes mouvements se font plus pénétrant cherchant à atteindre le fond de sa grotte humide.

Mes mains la maintiennent pour ne pas la faire chuter alors que je finis par la soulever légèrement tout en laissant nos deux intimités scellées. Je la serre contre moi alors que je bouge le bassin, une de mes mains glisse sur ses fesses serrant avec poigne l’une d’elle. “J’espère que… tu as compris… je ne te laisse plus me fuir… jamais…” c’est divin… jamais je n’ai ressenti cet effet là… jamais je n’ai ressenti ce que je ressens là maintenant.

(c) oxymort

Si tu avais eu connaissance de ce qu’il ressentait quand tu étais loin de lui, tu n’aurais pas mis deux ans pour revenir, tu aurais tout lâché du jour au lendemain laissant caméra et autre paillette pour venir le rejoindre et si tu avais su tout cela avant de signer ce contrat tu ne serais même pas partie.
Tu te rends compte que vous avez réellement fait n’importe quoi et qu’au final vous en avez souffert tous les deux ce que tu ignores c’est depuis quand il te voit plus comme une cousine parce que tu as bien compris que cela fait bien deux ans, mais est-ce plus ?
Tu redoutes la réponse alors tu ne poses pas la question parce que tu sais que serait en mesure de regretter tout ce que tu as pu faire avec d’autres…
Puis, tu te demandes si ‘Tchort’ a toujours voulu de toi également où si Seph s’occupait de le combattre sur ce terrain-là… Trop de questions perturbent ton esprit Lexie et tu sais que ce n’est pas bien parce que toi, tu as tendance à te tourmenter l’esprit.
Tu l’écoutes attentivement, tu ne perds pas une seule miette de ce qu’il te dit et tu souris heureuse d’entendre qu’il te veut parce que toi aussi tu le veux au point où tu veux être sienne, tu veux être à lui, tu veux que tout le monde puisse voir que tu lui appartiens. Tu le regardes avec intensité et tu viens lui répondre << Tu aurais dû m’en parler… Tu aurais dû me dire ce que tu ressentais parce que moi je suis partie parce que j’étais persuadé que tu ne voulais pas de moi… Il fallait que je m’éloigne pour t’oublier, mais c'était trop dur et je suis revenue à chaque fois que j’ai pu. Tu ne m’as pas perdu, tu ne m’as jamais perdu >> dis-tu en lui caressant la joue. Tu ne te doutes pas qu’il sait que tu as ramené un type ici et bien que tu penses qu’il est conscience que tu couches avec d’autres, tu ne te doutes pas de ce que Tchort soumet à Seph.

Le nez contre le sien, tu lui fais part de ce que tu veux sans pourtant autant pousser le vice parce que tu ne veux pas qu’il prenne peur alors tu ne lui dis pas que tu veux lui appartenir et que le monde sache que tu es à lui, mais tu tentes de lui faire comprendre avec des paroles dites “Subliminale’.
Tu souris en entendant qu’il sera cet homme et qu’il fera tout pour être cet homme et que personne ne nous séparera, tu le crois naïf comme tu es tu le crois, mais tu sais au plus profond de toi que personne ne sait réellement de quoi est fait demain. En entendant cette histoire de faire du mal, tu clignes des yeux en répondant << Il n’y a pas de raison de faire du mal à qui que ce soit, on est adulte tous les deux et ceux qui ne comprenne pas n’ont rien à faire dans notre vie ce n’est pas plus compliqué que ça… Personne ne peut nous interdire de vivre ce que nous voulons vivre, nous sommes libres de nos actes Seph, il ne dépend qu’à nous d’en profiter >> tu sais qu’en disant cela tu parles de ta famille parce que tu te doutes que ta belle-mère sera contre, tout comme ton père et Liam… Mais lui c’est une autre histoire, une histoire que tu te dois de raconter à l’homme qui te fait vibrer, mais pas maintenant puisque ce n’est pas le moment.

Tu sens son corps se presse contre le sien et ses lèvres sur ton cou te vole des frissons exquis qui parcours la totalité de ton corps, tu lui dégages ton coup pour qu’il puisse déposer ses baisers à sa guise tandis que tu sens son membre se frayer un passage jusqu’à ton antre. Ton regard rejoins les profondeurs du sien tandis que tu sens sa main glisser sous ta cuisse pour la relever, ton regard ne quitte pas le sien et tu le sens te pénétrer, tu entres ouvres les lèvres gardant votre contact visuel intact, tu ne clignes pas des yeux, mais tu finis par gémir sous l’intensité de sa pénétration qui n’a rien avoir avec la précédente, tu le sens entré en toi centimètre par centimètre, tu sens la chaleur de son membre écarté tes parois humides, tu n’as jamais ressenti cette puissance, cette… Tu ne sais même pas de quoi tu parles, mais tu sais que tu n’as jamais ressenti une telle sensation.

Tu coupes la connexion de vos regards en fermant les yeux sentant une bouffée de chaleur l'envahir quand il but au fond de ta grotte humide, tu t’accroches à ses épaules musclée et robuste et tu déglutis prise par cette sensation que tu ne connaissais pas jusqu’ici. C’est quand il signale que tu es sienne que tu ouvres les yeux pour retrouver son regard << A toi >> dis-tu en répondant ensuite à son baiser. Tu le sens te soulever, mais tu ne dis rien, tu ne bronches pas, toi tu lui fais confiance, tu sais qu’il ne te laissera pas tomber, ses mains s'agrippent avec poigne à tes fesses et ça te plait. Ses mouvements en toi continus et à chaque vas et viens tu ressens cette sensation que tu n’as jamais ressentie, tu balances ta tête en arrière gémissant sur son membre, tu laisses tes mains glisser sur son torse t’arrêter sur ses pectoraux et tu siffles doucement entre tes lèvres << Putain… Seph…>> tu as eu un tas d’hommes, mais tu n’as jamais ressenti ce que tu ressens maintenant << Jamais >> lâches-tu difficilement pour répondre au fait est que tu as compris ses propos. Tu es totalement déstabilisé par ce que tu ressens par cette sensation enivrante qui te frappe par tous les coins de ton corps et tu ne comprends pas ce qu’il t’arrive, tu es endurante Lexie, tu es du genre à en redemander encore et encore et surtout tu n’es pas du genre à voler en éclat pour un orgasme en quelques secondes et pourtant, tu as déjà envie de jouir, tu sens ton bouton de plaisir te titiller, il te menace de sauter dans le grand bain. Tu ne comprends pas ce qui se passe ni pourquoi ton corps réagit de cette manière-là, mais tu sais que va en devenir accro << Qu’est-ce que tu me fais >> glisses tu sur ses lippes alors que tu l’embrasses, ta remarque n’est pas désagréable elle souligne simplement le plaisir intense et ingérable que tu me fais ressentir.

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Lexie & Séphiros

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Le temps perdu ne peut être récupéré, je le sais, j’ai perdu du temps en essayant de la repousser et pourtant sa présence m’apaisait, son contact me berçait chaque nuit, comme souvent je m’étais du temps à m’endormir, l’observant quand elle était contre moi et quand elle n’était pas là, j’étais une âme perdu, complètement désorientées, malmené, j’étais en quête de quelque chose que je ne trouvais pas, j’étais en quête à un peu de chaleur humaine pensant que j’arrêterai de penser à elle, je cherchais un peu de bonheur et à la fin je me retrouvais de nouveau dans ma bulle éphémère car chaque fois elle explosait pour me ramener à la réalité. Cette réalité où elle n’était plus… cette réalité où je savais qu’elle pouvait être avec un autre, je ne compte pas le nombre de fois où par rage, j’ai brisé un objet, où par rage j’ai failli me battre pour le plaisir de faire du mal c’était bien ça Oui c’était bien, j’avoue mais je n’ai pas à être comme ça, enfin c’est pas normal pour les autres..

Ses mots défilent entre ses lèvres et je comprends que cette souffrance permanente où je croyais l’avoir perdu à jamais, elle le ressentait aussi d’une certaine façon. Mon coeur s’emballe, j’ai l’impression qu’il bat réellement pour la première fois depuis ce jour où ma vie à basculer. “Dès le premier jour où j’ai posé mes yeux sur toi, j’ai voulu de toi dans ma vie, mais nous étions jeune trop jeune. Puis après elle est morte, elle nous a laissé et j’en ai voulu à Liam mais aussi à moi, je ne voulais pas te faire du mal alors j’ai pensé que le mieux était de partir pour pas qu’il t’arrive la même chose mais une fois de plus c’était la plus grosse connerie car en fait c’était pas de moi qu’il fallait te protéger” Je me souviens de ce jour quand il m’a hurlé qu’il lui avait fait ses choses que je rêvais de lui faire, mon coeur s'était brisé mais doucement il s’est reconstruit pour elle.

Nez contre nez, je lui fais part que l’on sera l’homme qu’elle désire, je m’en fiche des on-dit, je m’en fiche de savoir ce que les gens penseront de ce que nous faisons. Je la veux et je l'aurai quitte à faire le ménage autour de nous. Un simple signe de tête et voilà que mon corps se colle à elle, mes lèvres déposent de multiples baisers dans son cou, mes mains glissent le long de son corps avant de venir la pénétrer une nouvelle fois, cette sensation de la sentir une nouvelle fois est tellement puissante, je l’informe qu’elle est à moi, ma main sur sa cuisse et mon membre entre et sort de sa cavité avant de la soulever complètement tout en étant en elle. Ses mains contre mon torse, la chaleur de son intimité autour de mon membre, me procurent une sensation que je n’ai jamais eu à part juste avant avec elle. Il n’y a qu’elle qui arrive à me faire cet effet, c’est fou comme elle m’a entièrement captivé et capturé.

Nos lèvres scellées, j’entends sa question, je ne sais quoi répondre, je n’ai pas l’impression d’avoir fait quoique ce soit. “Humm… je… sais pas… Et toi qu’as-tu fait de moi” Je sais qu’elle pourrait m’appeler à n’importe quelle heure que j’ira rapidement la rejoindre peu importe l'endroit. Mes mains serrent ses fesses un peu plus alors que j’intensifie un peu plus mes mouvements en elle, mes lèvres glissent dans son cou alors que doucement je la colle contre la paroi de la douche prenant un peu plus appui pour venir me perdre en elle. Mes gémissements s'étouffent dans son cou “Bordel.. c’est si bon” Oh oui c’était tellement bon, tellement puissant, je ne rêvais pas mieux pour ce moment qui est tout simplement magique et complètement divin.

(c) oxymort

Entendre qu’il a toujours voulu de toi te pince le coeur Lexie parce que tu réalises que vous avez toujours voulu la même chose et que vous auriez pu vous empêcher de souffrir, vous évitez de vous faire du mal, mais d’un autre côté tu te demandes, si tout serait aussi bon et beau en ce moment si vous aviez depuis le départ cédez à vos envies mutuelles ? Tu sais que le timing n’a jamais été bon entre vous, l’âge, la famille et la disparition de sa sœur.. Tout était continuellement présent pour vous emmerder cependant quand tu l’entends dire qu’il ne voulait pas te faire de mal et qu’il a pensé à un moment qu’il était pour le mieux de partir pour pas qu’il t’arrive quelque chose, tu comprends de quoi il parle comme si tu comprenais tout de lui… Tu sais parfaitement de quelle période il parle… Et toi tout comme lui tu l’as mal vécue cette période probablement même que ce soir-là tu aurais sauté sans l’intervention de Liam, mais toi tu ignores que Seph est au courant puisque toi tu n’as jamais parlé de cette soirée, jamais tu n’as parlé de ce que Liam à tenter de faire pourquoi ? Parce que tu ne voulais pas créer un fossé plus grand encore entre Seph et Liam puisqu’il est sa dernière famille dans un sens << Qu’est-ce que tu racontes >> dis-tu doucement ne comprenant pas cette allusion de protection…

Nez contre le sien, tu le regardes, tu ne le quittes pas des yeux, tu sens son corps se coller au tien tandis que ses mains glissent le long de ton corps avant de le sentir entrer en toi. Ta réaction corporelle et vocale est immédiate, tu lui réponds que tu es à lui quand il affirme que tu lui appartiens. Ton corps réagit au sien, il communique avec le sien tandis qu’il s'emboîte avec le sien à la perfection. Tes mains caressent son torse, tu parcours chaque muscle, tu découvres la carte qu’est son torse cette carte que tu veux connaître sur le bout des doigts. Lippe contre lippe, tu lui demandes ce qu’il t’a fait et sa réponse te fait sourire, tu aimes savoir qu’il perd le nord pour toi à cause de toi.

Il ne tarde pas à accentuer ses mouvements pour les rendre plus intenses et toi qui es déjà faible face à l’orgasme qui te menace tu t’en rapproches de plus en plus. La tête en arrière tes cheveux mouillés collés contre ton dos recouvrant ainsi ton tatouage. Il te colle doucement contre la paroi tandis qu’il t’embrasse le cou, tu poses ta main sur la paroi de la cabine de douche et tu gémis sous une fois de plus. Tu as toujours été bruyante Lexie, mais jamais à ce point-là ! Aucun homme n’a réussi jusqu'à aujourd'hui à te voler autant de gémissement .
Tu as de nombreuses fois simulé le plaisir, mais avec lui ce n’est pas la peine d’ailleurs tu n’as même pas le temps de réfléchir tellement c’est bon, intense, puissant, délicieux… Quand il gémit, tu souris satisfaite, tu aimes entendre que tu es bonne pour lui et tu lâches dans un souffle << Trop bon >> ! Tu pourrais mourir maintenant que cela t’irait tellement c’est délicieux de le sentir en toi, tellement tu aimes ce qui se passe en ce moment.
Tu pourrais… Tu ne contrôles plus ton corps ni ton plaisir, il se multiplie parcourant ton corps tel une vague puissante, tu te retrouves submergé et ton bouton de chair explose tandis que ton corps se crispe dessinant tes muscles voyants d’origine, les lèvres entrouvertes ta voix vole en éclat tandis que tu sens son sexe continuer ses mouvements. Tu déglutis, tu te sens légère, si légère que tu as l’impression d’être une plume tandis qu’une sensation de plaisir, de bonheur, de douceur, doux comme le paradis caresse tes tripes.
Tu viens de jouir, tes parois vaginale ce sont crisper autour de son membre nu de toutes tenu, chair contre chair pour la première fois de ta vie, tu viens d’atteindre ce que tout le monde prénomme ‘Septième ciel’.
La montée est intense et la descente est directe voir fatale puisque tu as l’impression d’être vidée pourtant tu souris, tu souris comme une femme conquise, une femme comblée << Putain, tu es parfait mon Amour >> lâches-tu laissant tes mains venir caresser son dos meurtri, mais toi ses cicatrices ne te gênent pas, elle ne te dégoute pas c’est même tout l’inverse. Tu ouvres les yeux en le regardant avec un regard doux, tendre et lumineux comme jamais alors que tu cherches encore ton souffle.

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Lexie & Séphiros

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Cette femme, elle est la femme parfaite, elle a beau être de ma famille, à mes yeux elle est la femme parfaite, elle est celle qu’il me faut, je le sais, je sais que ce que je ressens est présent, je sais que rien ne sera simple, je ne suis pas simple, elle ne l’est pas non plus mais je sais que je suis un fou, je suis le fou de la famille. L’homme qu’il ne faut pas côtoyer et je ne m’en porte pas plus mal. J’ai toujours ressenti des choses pour elle, j’ai toujours su qu’elle était différente, j’ai eu mal à cause d’elle, elle ne peut pas savoir comme j’ai pu souffrir en la sachant avec un autre, comme j’ai pu avoir mal quand il m’a dit ses choses sur elle, je n’en ai jamais parlé, je n’en ai jamais tenu rigueur et pourtant, cela m’a blessé au plus au point. Pourquoi lui ai-je dit que ce n’était pas de moi qu’il aurait fallu la protéger, je sais que c’est mon frère, mon double mais je ne peux pas faire autrement, je le déteste pour ce qu’il a fait, je le déteste pour ce qu’il est, je le déteste parce qu’il est normal alors que moi… moi je suis un monstre.

“Rien..laisse tomber, on en parlera plus tard” nez contre nez, mes mains glissent sur son corps avant de venir me perdre en elle alors que mon membre entre doucement en elle. Je n’ai pas envie de parler de ça maintenant, je ne veux pas gâcher ce moment entre nous. Je l’aime plus que tout, je l’aime d’un amour infini, c’est passionnel mais ça je n’arrive pas à le dire et je ne suis pas sûr qu’un jour je puisse le faire. Cependant, il y a des gestes qui ne trompent pas, des gestes qui vont lui prouver que mon coeur est à elle tout comme le reste. Qu'avait-elle fait de moi, elle m’avait à sa merci, elle m’avait pour elle seule, je lui appartenais, elle pouvait me demander de tuer que je le ferai. Mes mouvements de bassin en elle se font plus rapides et plus profonds dans son intimité alors que je la sers dans mes bras. Bordel que c’est bon, elle va me faire craquer bien avant la fin, mes gémissements se font de plus en plus profond alors que je les étouffe dans son cou où mes lèvres ont trouvé refuge.

Quand elle jouit, un sourire s’affiche sur mes lèvres alors qu’elles viennent rejoindre les siennes pour un baiser alors que mes coups de reins viennent se durcir sous la contraction de son vagin. Mes coups continuent encore avant de venir jouir à mon tour en elle dans un dernier râle “C’est toi qui me rend comme ça ma vie” dis-je alors que je reprends mon souffle alors que je finis par ralentir mes mouvements. Au bout d’un moment, je la pose au sol alors que je me retire doucement d’elle sans pour autant la lâcher, ne voulant pas qu’elle s’écroule ou que sais-je. “Tu es divine ma vie, tu es parfaite, tout simplement parfaite et je refuse d’être loin de toi une nouvelle fois” Je suis sérieux, je n’ai jamais été aussi sérieux que là maintenant et je sais qu’elle le sait, je sais qu’elle sait qu’elle a qu’un mot à dire et je suis à elle jusqu’à la fin des temps et encore… je le suis déjà à elle en entière, elle n’a rien à dire sauf peut-être d’arrêter d’aller voir ailleurs mais ça c’est une autre histoire.

Je glisse mon visage sous l’eau reprenant mon souffle doucement avant de la regarder “J’ai faim, on se fait un truc à manger même si j’ai déjà envie de regoûter à ton corps” Je ne mens pas, bordel elle m’a rendu accro à son corps, elle m’a rendu accro à elle en entier, j’ai du mal à comprendre ce qu’il m’arrive mais je n’ai pas envie de chercher plus en fait. Je l’embrasse et quitte la douche venant attraper une serviette pour m’essuyer avant de me retourner vers elle “Je t’interdis de t’habiller ma vie, je veux pouvoir t’observer, je veux pouvoir t’admirer et venir glisser mes doigts sur ta peau si délicate quand j’en ai envie” quand on en a envie oui quand on en a envie, quand on veut lui faire du bien aussi. Doucement je m’approche d’elle venant tirer ses cheveux pour venir plonger mon regard dans le sien.

“J’espère que tu as compris sinon j’ai une bonne façon de te punir” dis-je alors que mes lèvres frôlent les siennes avant de me reculer légèrement en souriant. L’idée de jouer encore avec elle mais surtout de cette façon est plutôt pas mal. Je ne la quitte pas du regard alors que mes mains glissent dans mes cheveux pour venir les remettre en ordre “j’aime te regarder” dis-je alors que j’enroule la serviette autour de ma taille.

(c) oxymort

Tu es du genre endurante Lexie puisque ton métier te force à toujours aller plus loin, tu es endurante parce que tu es entraînée et tes nuits passées dans les bras d’autres t’ont permis d’apprendre à contrôler ton orgasme pour savourer ses instants plus longtemps… Mais là ? Tu n’as pas pu contrôler quoi que ce soit tellement c'était intense et c’est la première fois que tu te laisses dépasser par tes sentiments, est-ce que c’est Séphiros ? Tu sais parfaitement que c’est le cas, mais tu sais aussi que le manque de protection est pour quelque chose. Tu n’as jamais eu de rapport non protégé, c’est une première pour toi d’ailleurs malgré ton expérience, il n’y a pas mal de choses que tu n’as jamais faites… Bien entendu certains ont déjà essayé de coucher avec toi sans protection, mais tu ne t’es jamais laissé faire pourtant avec lui, tu n’as rien dit… Mais Seph, c’est Seph.

Tu n’as donc pas été endurante, tu n’as rien contrôlé, tu t’es contracté autour de son sexe en gémissant sans restriction, tu sais qu’avec lui tu peux être toi-même alors tu ne te caches pas jamais tu le feras.
Tu le sens continuer malgré la contraction de ton vagin, tes lèvres sur les siennes tu l’embrasses avec fougue sentant se que tu présumes être sa verge gonfler en toi, c’est la contraction de son corps qui te fait comprendre qu’il vient tout juste de te remplir de sa substance divine, tu souris sur ses lèvres en pensant qu’il est le premier à te remplir de la sorte puis quand vos lèvres se relâche pour s’offrir un moment de libération tu lui fais part qu’il est parfait et sa réponse te fait sourire << J’aime >> dis-je en respirant fortement puisque je suis à la recherche de mon rythme régulier. Ses mouvements en moi s'arrêtent et il me repose au sol pour se retirer à peine est-il sorti que je sens une substance chaude couler de mon vagin sur mon intimité. Il me garde contre lui malgré le fait qu'il m’est déposé et j’apprécie cette intention puisque mes jambes sont frêles suite au tremblement que mon corps a subi quelques secondes plutôt. Mon sourire s'agrandit en entendant qu’il refuse d’être loin de moi et je dis d’une voix sincère et douce << ça tombe bien je n’ai pas l’intention de m’éloigner de toi >> je suis sérieuse, j’ai tout lâché pour revenir à ses côtés sans savoir que tout cela serait possible, je suis revenue juste pour savourer ses bras alors maintenant que j’ai plus que je l’ai lui… Je ne compte pas partir, jamais.
Je le veux pour moi rien que pour moi, je ne veux plus qu’une seule femme le touche, je ne veux plus qu’une seule femme le regarde et je ne veux plus qu’il en regarde une autre… Maintenant, il est à moi rien qu’à moi et je compte bien lui faire comprendre.

Tu le laisses se rincer le visage avant de l’entendre qu’il a faim, mais qu’il a déjà envie de ragoûter à ton corps << Tu as accro ? >> tu souris en coin le regardant avec ce regard provocateur, tu sais que tu peux l’avoir quand tu veux que tu n’as pas besoin de jouer avec lui, mais ça fait partie de toi et le provoquer, le séduire fera partie d'un quotidien qui te correspond << J’ai faim aussi, tu veux que je prépare quelque chose sur le pouce ou un vrai repas ? >> tu passes sous l’eau laissant celle-ci réchauffer ta peau qui malgré ce moment chaud est fraîche. Tu réponds rapidement à son baiser puisqu’il ne t’en laisse pas le temps et tu savoures l’eau sentant cette texture glisser entre tes cuisses, tu le regardes ne perdant pas une miette de ce que tu vois il est encore mieux que dans tes rêves… Putain, tu as passé des années à fantasmer sur son corps à te toucher en l’imaginant, mais le voir en vrai te fait un effet… Tu pourrais ne te toucher là maintenant rien qu’en le regardant tellement il te fait de l’effet.
Mais tu ne le fais pas, tu décides de rester sage pour le moment alors tu attrapes le gel douche le tien exactement et tu en mets un peu dans la paume de ta main pour venir te frotter rapidement avec surtout sur ton entrejambe qui dégouline encore, tu te rinces rapidement et tu sors de la douche en attrapant une serviette, c’est à ce moment-là que tu l'entends t'interdire de t’habiller, tu plisses doucement les yeux puisque tu n’es pas genre à obéir et il le sait parfaitement, mais peut-être que ce soir, pour lui tu pourrais faire un effort.
Tu t’apprêtes à lui répondre, mais il t’attrape pas les cheveux venant à les tirés tu grimaces doucement plongeant ton regard dans le sien, malgré ta surprise tu ne parviens pas à retenir un rictus << Une punition ? >> toi les punitions tu peux les appréciés tu le sais, mais tout dépend quel genre puisque tu n’aimes pas la torture qu’elle soit physique ou non.

Il finit par te relâcher et tu t’essuies doucement en disant << Je vais essayer de rester sage >> tu souris en précisant bien que tu vas essayer puisque tu n’es pas du tout du genre obéissante. Tu le laisses te caresser les cheveux pour les remettre en ordre et tu souris en entendant qu’il aime te regarder alors tu ajoutes << Regarde-moi >> Tu lui balances ta serviette quittant la salle de bain en attrapant un élastique pour tes cheveux que tu remontes dans un chignon rapide, c’est totalement nue comme il a pu te le demander que tu vas dans la cuisine et que tu ouvres le frigo frottant ton mollet avec ton pied en regardant la contenue du frigo << Tu as une idée de quoi manger ? On peut commander autrement non ? >>

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Lexie & Séphiros

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Mon regard sur Lexie et je sais que je la veux plus que tout, je sais que sans elle, je ne peux vivre, que sans elle ma vie n’a aucun sens, ma vie sans elle ne pourra être une vie et je préfèrerai perdre la vie que d'être sans elle. Mes coups de rein se font puissants, se font profonds en elle, mon membre cherche à atteindre le fond de sa cavité alors qu’elle arrive à la jouissance extrême, mes coups de rein s’accélèrent avant de jouir en elle à mon tour alors que nos lèvres se joignent. Doucement je la pose au sol sans la lâcher, je souris alors qu’elle dit aimer, cela me fait plaisir, si elle pouvait savoir que j’aime ça. Puis voilà que je lui dis que je ne veux pas ou plus qu’elle parte, j’ai peur de la perdre, oui voilà j’ai peur de la perdre, peur qu’elle ne veuille plus de moi, qu’elle ne veuille plus que je sois là dans sa vie.

“Je suis heureux alors que tu n’es plus l’intention de partir” Je souris alors que mes lèvres se posent sur les siennes avant de lui dire que j’ai faim car oui j’ai faim mais si je regarde bien, j’ai aussi faim de nourriture que d’elle. Putin, oui je pourrai la reprendre. Son regard en dit long, je sais qu’elle est fière d’elle, je sais qu’elle aime savoir ça mais je ne compte pas non plus lui faciliter la tâche. Elle peut être sûr de ça “Accro est un bien grand mot ma vie, je n’irai pas jusque là” Et pourtant elle a raison oui, je suis accro à son corps, à ses seins, son cul rebondit, son intimité humide entre mes doigts, accro à elle mais je ne lui donnerai pas raison ça c’est plus que sur.

Une fois la douche quittée, je m’essuie tout en la regardant mais très vite, je me rapproche d’elle, tirant doucement sur ses cheveux, lui disant que je la veux nue, je ne veux pas qu’elle s’habille, je veux la voir nue et profiter du spectacle qu’elle m’offre “Oui ma vie, une punition mais ne t’en fais pas, je ne te ferai jamais de mal” Oh non jamais je ne lui ferai de mal, j’en suis incapable et pourtant je sais qu’il m’arrive d’être brûtal, de ne pas être quelqu’un de doux mais elle, elle me connait, elle sait comme je suis. Je me recule glissant la serviette autour de ma taille, mon regard ne la quitte pas. “Essayer seulement ?”

Je rigole avant de venir glisser mes doigts dans ses cheveux pour les remettre puis, je l’observe encore alors qu’elle quitte la salle de bain entièrement nue. Ma langue glisse sur mes lèvres avant que je n’aille la rejoindre dans la cuisine, mon regard glisse sur son corps parfait, je me rapproche venant me coller à elle. Ma bouche glisse sur son épaule alors que je regarde dans le frigo. “Franchement j’en sais rien, comme tu as envie” Je me redresse venant attraper un coca dans le frigo, comme toujours, je ne bois pas une goutte d’alcool, je ne le supporte pas “Y’a des trucs plus fort pour toi dans le placard au-dessus où tu as de la bière en bas du frigo”

Je m’appuie contre le comptoir de la cuisine regarde là, elle est la femme parfaite Oh oui elle est la femme parfaite, celle que tout homme voudrait dans sa vie mais jamais elle ne sera à un autre. Mon regard l’espace d’un instant change, il est plus sombre mais en rien contre elle. Je ferme un court instant les yeux tout en ouvrant la canette de soda, puis je reviens vers elle “Tu sais que parfois j’ai des idées con ? et là maintenant j’viens d’en avoir une” J’avoue que l’idée que je viens d’avoir est pire que con mais cela permettrait de manger et de profiter de son corps aussi. “Tu sais que manger des sushi sur ton corps ça peut-être une bonne idée ? et finir par de la glace” Je lève les épaules avant de rire tout en buvant une gorgée de mon coca. Cela fait bien longtemps qu’après une crise comme celle-là, je ne m’étais pas senti aussi bien et serein et pourtant je sais qu’il gronde encore en moi et qu’il ne demande qu’à sortir.

(c) oxymort

Tu lui dis que tu essayeras d’être sage parce que tu sais que ce n’est pas dans tes gènes, tu n’as jamais été sage et il doit le savoir autant que toi puisqu’il est celui qui a souvent été puni à cause de toi, celui qui t’a souvent servit de couverture, alors tu ne mens pas et tu signales que tu essayeras et il soulève cela chose qui te fait sourire << Tu sais aussi bien que moi que je ne brille pas dans cette matière >> tu laisses ta langue glisser sur tes lèvres de manière à le faire perdre la tête puisque maintenant tu n’as qu’une envie ! Tu as envie qu’il avoue être accro à toi, tu n’as rien dit quand il a signalé ne pas aller jusque là, mais cela à réveiller en toi une volonté et une détermination et comme toujours tu sais que tu auras ce que tu veux Lexie, tu sais que tôt ou tard tu obtiendras victoire parce que toi Lexie tu arrives toujours à tes fins.

Concernant la punition tu n’as pas pris le temps de soulever non plus puisque tu sais qu’il ne te fera pas de mal, tu le sais et tu lui as déjà dit plus d’une fois alors tu ne veux pas encore te répéter d’autant plus que tu as une confiance en lui absolu. Tu quittes la salle de bain pour rejoindre le frigo que tu ouvres en laissant ton pied frotté ton mollet et tu lui demandes ce qu’il souhaite manger proposant même de passer commande, tu souris en le sentant contre toi et tu vibres doucement quand sa bouche se pose que ton épaule << Je ne sais pas >> dis-tu doucement et tu te penches quand tu l’entends te dire qu’il y a de la bière dans le frigo, tu te retournes la bouteille en main tandis qu’un sourire illumine ton visage << Tu as acheté ma préférée ! Tu es un amour >> tu affectionnes particulièrement la bière depuis toujours, mais la marque que tu as en main est de loin ta préférée. Tu t’approches du coin du plan de travail et tu tapes avec celui-ci ta capsule qui se décapsule, tu es douée pour ce genre de chose, il faut dire que les soirées t’ont au moins appris certaines choses… Bien que cela est loin d’être utile. Tu portes ensuite le goulot de la bouteille à tes lèvres et tu bois deux gorgées à la suite avant d’entendre Seph signalé une idée à la con << Explique >> dis-tu en souriant posant la bouteille sur la table marchant vers ta veste à l’entrée ou tu prends ton paquet de clopes et tu reviens dans la cuisine et tu en sors une du placard… Pour une danseuse tu as bien des vices, tu sais que ce rythme de vie ne pourra pas convenir éternellement à ton métier puisque tu vieillis et qu’il faudra que tu vives une vie saine pour entretenir ton corps, mais pour le moment tu gères plutôt parfaitement. Tu écoutes Seph et tu ris en entendant son idée à la con << Tes lèvres sur mon corps me semblent être une bonne idée peu importe le pourquoi du comment elles s’y retrouvent >> dis-tu en t’approchant de lui embrassant alors son épaule gauche << Je commande des sushis, mais je te préviens je veux en manger en sur toi aussi >> dis-tu en mordillant le lobe de son oreille, tu recules doucement marchant pour chercher son portable sur la table basse du salon et tu reviens dans la cuisine << Sushi box ou Sushi’s ? >> demandes-tu pour savoir où il souhaite commander, tu sais qu’il est tard ou du moins tôt, mais c’est l’avantage dans les grandes villes les livraisons se font à toute heure.

Tu tires sur ta clope et tu appelles après avoir entendu son choix, tu commandes une box pour trois afin qu’il y soit assez pour tout le monde et tu précises bien qu’en dessert c’est de la glace. Tu finis par raccrocher << 35 minutes >> dis-tu en souriant en coin en le regardant, ne le quittant pas des yeux tirant sur ta clope pour venir lui cracher la fumée au visage signalant ainsi que tu as envie de lui… Tu sais pourtant que ce n’est pas normal d’avoir encore envie puisque vous venez d’effectuer deux rounds, mais tu n’y peux rien tu le désires encore et encore peut-être que la peur que tout cela prenne fin au petit matin te pousse à vouloir consommer encore et encore un instant charnel… << Oup’s >> dis-tu doucement en souriant en coin le feu dans les iris.
C’est la sonnerie de ton portable qui brise ce moment, tu fronces les sourcils et tu regardes le numéro voyant que ses le numéro des sushis tu décroches et tu confirmes ton adresse puisqu’il ne semblait pas avoir fait cela d'où le pourquoi ils ont rappelé, tu raccroches et demandes << Pour ouvrir la porte j’ai le droit de m’habiller ? >> Évidemment tu le cherches, tu le test comme tu pourrais testé les hommes avec qui tu t’es amusé dans le passé… Mais toi ce que tu veux maintenant, c’est le découvrir en profondeur tu veux savoir si c’est un homme jaloux, un homme possessif, tu veux voir ses limites et pourtant tu es certaine qu’il n’en a pas << Non parce que si j’ouvre comme ça je crois que livreur ne va pas vouloir partir >> ta bouche est vilaine, tu le sais elle pique, elle titille, chercherais-tu la punition Lex ? Il semblerait bien que oui.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Je laisse mon regard sur elle, je ne peux nier que j’ai du mal à laisser mon regard ailleurs que sur elle, je me doute qu’elle le sait et qu’elle en joue. Quand elle répond concernant la punition, je souris, je sais très bien comment elle est, je sais très bien qu’elle restera ainsi jusqu’à la fin des temps. Elle aime jouer, provoquer cependant… je n’aime pas quand elle le fait avec d’autres. Elle n’a pas tort quand elle dit que je suis accro, il est même vrai que je le suis mais le dire c’est au-dessus de mes forces pour le moment, c’est une des choses que je ne peux dire, que je ne peux avouer aujourd’hui. Pourquoi ? je ne sais pas mais c’est comme ça, je ne peux pas faire autrement. Jamais je ne ferai de mal à Lexie, jamais je ne pourrais la frapper ou même la tuer cependant, je sais que j’en suis capable sur d’autres encore plus si elle vient à me le demander.

Alors que mon corps se colle au sien, mes lèvres se posent sur son épaule alors que j’attrape un soda, je ne bois jamais d’alcool, je ne me souviens même pas si j’en ai déjà bu mais j’en ai quand même chez moi. “Je sais ce que tu aimes, même si je bois pas, ça n’empêche pas que tu puisses en boire si tu en as envie” Après avoir bu une gorgée de mon soda, mon regard revient sur la jeune femme alors qu’elle ouvre la bouteille de bière sur le coin du plan de travail. Avant que je ne parle d’une idée à la con que j’ai, mon regard la suit alors qu’elle quitte la pièce pour aller chercher son paquet de cigarettes, quand elle revient, je lui explique rapidement avant de l’écouter me répondre. Je souris en coin alors que ses lèvres se posent à son tour sur mon épaule.

Mon regard plonge dans le sien “Si tu veux, tu sais bien que j’aime sentir tes lèvres sur mon corps également.” La voir nue me fait sourire et je finis par me perdre en la regardant Sephiros, Arrête c’est bon là Oh oui c’est bon alors pourquoi j’arrêterai “Comme tu préfères” J’avoue que pour moi c’est pareil, un sushi c’est un sushi “Mais si faut vraiment choisir un nom, J’dirai le premier” Va savoir pourquoi lui plutôt que l’autre j’en sais strictement rien. Je bois doucement mon soda la laissant passer commande avant qu’elle ne dise dans combien de temps, il sera là. Un léger signe de tête avant de recevoir sa fumée au visage.

Je souris et me redresse avant d’être embêté par le téléphone, je soupire et la laisse répondre. Je pose le soda sur le comptoir avant de tourner la tête vers elle, je soupire, je n’ai pas pensé à ça sur le coup “J’peux ouvrir moi” dis-je rapidement, c’est une solution aussi mais il y a un risque qu’elle se montre et il est hors de question qu’un homme la regarde. Pas quand je suis là, pas maintenant “Je viens de te dire que j’irai ouvrir” rapidement mon corps se colle contre le sien, mon regard plonge dans ses iris, elle me chercher et à force de me chercher elle va finir par me trouver. “Il est hors de question qu’un autre que moi te regarde et crois que s’il le fait, ça risque de mal se finir”

Est-ce que je dis que je pourrai me montrer méchant c’est plus que sur oui mais pas avec elle, c’est avec lui que je risque de l’être “Si vraiment tu ouvres la porte, tu t’habilles mais t’as intérêt à te refoutre à poil juste après” C’est bien ça, c’est bien Je peux faire une exception pour ce moment mais il est hors de questions qu’il puisse mater celle qui est mienne. Mes lèvres viennent se poser sur les siennes l’espace d’un moment avant que je ne décolle mon corps du sien. Si elle continue comme ça, elle va finir par me pousser à bout jusqu’à ce que la “punition” soit faite.

(c) oxymort

Tu es contente de voir qu’il a pensé à toi en prenant la marque de bière que tu préfères, mais dans un sens tu n’es pas surprise puisqu’il a toujours fait attention à toi du moins quand il était proche de toi… Quoi qu’il en soit, tu es contente d’être proche de lui en ce moment, tu es heureuse comme tu ne l’as jamais été et tu sais que tout cela est grâce à lui… Dans un sens tout ce que tu as, tu l’as grâce à lui puisque tu t’accroches à lui depuis des années pour preuves tu aurais pu prendre un appartement à ton retour, tu le sais et tu es certaine qu’il le sait aussi, mais tu as trouver une excuse… Tu es comme ça Lex’ tu trouves toujours des excuses pour être proche de lui et maintenant tu ne sais pas vraiment, si tu vas encore avoir besoin d’excuse, mais dans un sens tu te dis que tu n’en auras plus besoin.

Tu souris portant la bière à tes lèvres et tu penches légèrement la tête sur le côté << Merci >> ce n’est qu’un mot, mais pour toi c’est un mot aussi grand qu’un “Je t’aime” puisqu’on ne remercie pas une personne sans réellement être sincère du moins toi tu vois les choses ainsi et pas autrement.
Tu fais ce que tu dois faire et tu reviens pour entendre son idée à la con, une idée qui te plait parfaitement, mais tu soumets ton envie puisque toi aussi tu as envie de manger sur son corps alors quand il te dit que tu pourras, tu souris comme une enfant qui vient d’obtenir ce qu’elle veut.
Puis quand il te répond sur le nom de l’entreprise pour la livraison, tu appelles et tu commandes ce qu’il faut avant de raccrocher et de cracher ta fumée de cigarette sur lui en souriant en coin feignant une petite erreur de ta part avec un “Oup’s” totalement dérisoire puisque toi comme lui vous savez que c’était voulu.
Tu le vois répondre à ton envie puisqu’il se redresse et tu mordilles ta joue avant d’entendre ton téléphone celui-ci brise ce moment, tu ne dis rien pour autant et tu décroches venant répondre au livreur pour ensuite reposer ton téléphone à l’endroit ou il était plutôt.

Puis, tu soulèves le fait est que tu es nue pour ouvrir la porte sa réponse te fait lever un sourcil tu sais qu’il a raison, il pourrait ouvrir lui c’est vrai, mais là maintenant tu as envie de le chercher c’est plus fort que toi pourquoi ? Tu ne sais pas, probablement que tu es juste faite ainsi… Tu as envie de voir sa punition en même temps, il te l’a tendu un peu comme on pourrait tendre une surprise pour finalement ne rien donner… Toi tu ne supportes pas ce genre de chose, ça te ronge et tu as besoin de savoir.
Tu souris en coin de manière joueuse, ton visage est clairement un plateau de jeu et malheureusement pour lui il est le pion que tu utilises à ta guise, il ne sait pas dans quoi il s’est embarqué avec toi tout comme toi Lex’ tu ne sais pas réellement dans quelle situation tu t’es embarquée avec lui, mais tu sais ouais tu sais que tu vas kiffer chaque moment, tu vas vibrer à chaque instant << Tu pourrais >> dis-tu en gardant ton regard dans le sien laissant tes iris nagés dans les siennes << Hors de question ? Dites-moi Monsieur Handestan avez-vous fait de mon corps votre propriété privée ? >> l’idée te plait, c’est ce que tu veux Lexie, tu le sais que tu veux qu’il te dise que tu es à lui et vises versa, tu attends juste le moment ou la polygamie ou autre merde qui ne fait pas de toi l’exclusive soit totalement retiré de l’échiquier.

Tu lèves un sourcil en entendant le nouvel ordre qu’il vient de te donner, tu n’es réellement pas douée pour suivre les ordres tu ne l’as jamais été même quand tu essaies en tant normal tu arrives toujours par échoué et il le sait parfaitement, il t’a vu transgresser un tas d’ordre, de règles tout au long de ta vie, mais il ne te laisse pas le temps de répondre qu’il t’embrasse et évidemment tu réponds à ce baisé parce que tu es incapable de résister et que tu n’en as pas envie, mais quand il recule et que vos lippes se séparent tu lui dis << Intérêt ? >> tu t’avances venant poser ton index sur son torse << Il y a un mot révolutionnaire, tu sais… “S’il te plait“ >>, le bout de ton doigt le pousse légèrement et tu souris puisque tu aimes qu’il soit comme ça, tu vibres Lex.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Ce moment est parfait, ce moment est inattendu, je me demande encore ce que j’ai pu faire pour mériter ce qu’elle est entrain de m’offrir et de me faire comprendre par ce qu’elle est. Ce que je ressens pour elle, je sais que c’est là, je sais que je l’aime même si je n’arrive pas à lui. Elle est la femme parfaite, elle est la femme que j’ai besoin dans ma vie pour exister. Si elle pouvait savoir comme pour elle je suis prêt à soulever des montagnes, que pour elle, je prendrai la vie du premier qui lui ferait du mal. Je ne sais pas faire sans elle et je m’en rends compte aujourd’hui, je me rends compte de beaucoup de choses, je me rends compte que j’ai jamais eu autant besoin de quelqu’un dans ma vie qu’elle. La savoir loin de moi est une chose que je ne veux plus, j’ai trop souffert pour ça. Je n’ai jamais dit que j’ai souffert sans elle, je n’ai jamais rien montré aux autres étant moi tout simplement, enfin moi c’est un bien grand mot.

Je n’ai jamais pu être moi réellement, je ne suis pas un homme qui n’a qu’une seule facette Tu es unique Séphiros. Ca c’est plus que sûr, je n’ai jamais pu être un homme normal et puis est-ce vraiment ce qu’il faut pour être heureux ? Je ne pense pas vraiment, je pense qu’il faut rester soit, je pense qu’il n’y a rien de mieux que d’être celui que nous sommes aujourd’hui. Alors qu’elle parle d’aller ouvrir la porte nue, j’avoue que je n’aime pas ça. J’avoue que je ne suis pas de ceux qui ne font rien et accepte facilement que la femme qui m’est cher se montre nue devant des inconnus. Je me mordille la lèvre alors qu’elle dit qu’elle pourrait, elle joue un jeu dangereux et pourtant, je sais qu’elle est en joue, je sais qu’elle teste aussi mais il n’en reste pas moins que j’ai le même niveau qu’elle. Même si c’est sur un autre registre. mes pupilles glissent dans les siennes alors que je me redresse venant m’avancer vers elle. “A ton avis, Pas que de ton corps, tu es à moi en entière”

Mon corps se colle au sien, ma main glisse le long de ses hanches, alors que dans un sens je lui redonne un nouvel ordre. Oh oui je veux qu’elle soit nue mais je ne veux pas qu’un autre la voit ainsi. Je lui fais part de ce que je veux et mes lèvres finissent par se poser contre les siennes pour éviter qu’elle ne prenne la parole parce que je la connais, parce que je sais qu’elle va jouer à ce jeu de me provoquer, de me contredire. Quand le baiser prend fin, mon regard se pose sur elle alors qu’elle pose son doigt contre mon torse. Je l’écoute et je finis par fronçais les yeux, je n’aime pas ça du tout surtout quand elle vient me pousser, j’attrape rapidement sa main avant de la pousser contre le mur. Ma main glisse sur ses côtes avant de finir sa course à sa gorge, je ne sers pas, je la maintiens seulement.

Je ne lui ferai jamais de mal et elle le sait très bien. “Rien à faire de ce mot, je t’ai dit que tu veux que tu sois nue; je veux manger sur ton corps et profiter de toi” Je finis par lâcher ma prise faisant un pas en arrière et laissant mon regard dans le sien. Elle sait que je suis sérieux et pourtant j’aime la voir ainsi, elle est loin d’être une bimbo qui n’a rien dans sa tête au contraire, elle en a beaucoup, elle en a bien plus que beaucoup et j’avoue que cela me plait de plus en plus. “Alors soit tu t’habilles juste le temps d’ouvrir soit je vais ouvrir et puis qui te dis que ça ne sera pas une femme qui va livrer. Si c’est le cas, je suis sûr qu’elle va préférer voir un homme nu lui ouvrir à moins que l’homme préfère les hommes.”

Est-ce que je la cherche, j’avoue un peu, je veux voir si elle va dire quelque chose ou si elle va faire quelque chose. Je reste à la regarder avant de venir faire demi-tour la laissant là [color=darkcyan] “Tiens ça serait réellement bien que ce soit une femme”[/ color] dis-je ce que je pense à haute voix même si j’en ai strictement rien à foutre car une fois les plats pris, la porte se refermera directement.

(c) oxymort

C’est probablement con, mais tu as besoin d’entendre que tu es à lui, tu as besoin d’entendre toutes les formes de possessivité qui font que tu lui appartiens pourquoi ? Peut-être pour te rassurer face à la possibilité qu’il décide de ne plus vouloir de toi ! Après tout, il sait mieux que personne qui tu es et comment tu es alors il pourrait ne pas vouloir d’une femme comme toi… Tu souris en entendant que tu es à lui entièrement cette idée te plait et elle te laisse croire qu’il veut l’exclusivité, mais toi tu parviendrais à être la femme que d’un seul homme ? Tu connais déjà la réponse et quand on y pense tu ne serais pas la femme d’un homme, mais bel et bien de deux ! Toi, Lexie, tu connais la réponse à cette question, mais ce que tu ignores c’est bien ce que lui est capable de faire… Tu sais parfaitement que sa queue à jouer de la flûte à droite et à gauche pendant des années probablement même qu’elle à jouer des notes aujourd’hui même alors est-ce que lui serait en mesure de jouer qu’une seule et unique partition ? C’est une question que tu devras poser tôt ou tard pour savoir sur quelle danse vous allez danser. Peu importe la danse, tu sais que tu vas gérer et tu prendras ce qu’il voudra bien t’offrir après tout, tu es une excellente danseuse. Son corps contre le tien, tu gardes ton sourire alors que tu sens sa main glisser sur tes hanches et voilà qu’il te donne un nouvel ordre. Pourtant Seph est la personne qui te connaît le mieux sur cette terre, dans ce monde alors il sait oui tu sais qu’il sait que tu n’es pas douée pour exécuter les ordres du coup, tu es un peu surprise de voir l'acharnement qu’il emploie en était autoritaire. Quand il scelle ses lèvres contre les tiennes, tu réponds à ce baiser bien que tu es parfaitement compris qu’il tente de te faire taire et là encore, tu es surprise de sa cette tentative puisque rien et personne n’est en mesure de te faire fermer ton clapet surtout pas dans ce genre de situation ! De ce fait, tu n’hésites pas à poser le bout de ton doigt sur son torse dès que le baiser est terminé et tu lui fais part du fond de ta pensée… Le froncement de sourcils que tu perçois sur son visage t’annonce déjà la couleur de son émotion actuelle, il n’est pas content tu le sais, tu en as conscience, mais tu ne peux pas t’empêcher de vibrer intérieurement sous l’excitation que tu ressens. Ton doigt le pousse en arrière et sans que tu ne comprennes quoi que ce soit, tu te retrouves contre le mur de la cuisine tandis que ta maison parcourt tes côtés. Ton regard se fixe sur lui et ton souffle s'accélère sous la sensation qui te parcourt, c’est nouveau, c’est aussi prenant qu’un courant d’eau lors d’une tempête. Ça remonte le long de ton ventre et avant que cela n’arrive à ta gorge probablement pour te faire gémir un bruit que tu ne connais pas encore sa main enroule ta gorge. Ton regard est dans le sien, tu sais tout comme lui que tu peux te défaire de cette prise parce que tu n’es pas une demoiselle en détresse, mais tu n’as pas envie de te défendre, la vague de chaleur qui enroule ton intimité ne te donne pas intérêt à te défendre d’autant plus que tu sais qu’il ne te fera jamais de mal. Est-ce normal de ressentir ce genre de picotement entre ces cuisses alors qu’un homme a entre ses mains un moyen de mettre fin à votre vie facilement ? Après tout un cou, une nuque c’est fragile. Est-ce parce que tu aimes que tu ressentes cette excitation te parcourir ? Pauvre Lexie, tu ne sais pas, mais tu aimes ce que tu ressens, ça te fait vivre, ça t'excite. Il finit par lâcher ta prise et tu l’ouvres comme tu comptais le faire alors qu’il tenait ta gorge. << Et moi, je te dis que le mot s’il te plait est appréciable >> tu ne te dégonfles pas, jamais tu ne te dégonfles parce que ça ne te ressemble pas << Cela ne veut pas dire que tu n’as pas le droit de manger sur mon corps et de profiter de moi >> tu retires l’élastique de tes cheveux puisqu’un tas de mèches sont tombés du chignon rapide que tu avais pris le temps de te faire quelques minutes plus tôt et tu passes une main dans le feu qu’est la couleur de tes cheveux tout en écoutant ses paroles qui te font doucement plissé les yeux se doutant parfaitement la conclusion. Tu restes contre le mur alors qu’il fait demi-tour te laissant ici, s’il cherche à te faire du mal, il se pourrait qu’il y parvienne. L’idée qu’il ouvre nu et que ce soit une femme ou bien un homme qui apprécie les hommes ne t’enchante pas pire encore ça pique ta jalousie d’une manière inconnue. Tu quittes le mur de la cuisine et tu regardes l’homme qui joue avec tes sentiments de la même manière que toi tu as pu le faire plutôt, mais évidemment tu trouves cela moins drôle. Simplement sur un ton bien moins agréable tu lui réponds << Si tu ne veux pas que je termine en combinaison orange pour meurtre sur la ou le livreur je te conseille vivement de ne pas ouvrir cette porte dans ta tenue d’ Adam >> un regard aussi noir que le fond des ténèbres s’emparre de tes iris bleus, tu lui jettes ce regard quittant la cuisine mécontente qu’il joue avec toi de la sorte pourtant tu le sais ce n’est que partie remise… Mais ce que tu ressens, cette sensation nouvelle qu’est la jalousie te bouffe subitement, elle te ronge et tu ne la contrôles pas.

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Lexie & Séphiros

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Cela fait longtemps que je me demande ce que serait ma vie si elle était là en permanence et surtout de la manière dont je voulais d’elle On voulait d’elle Oui on voulait d’elle, je ne sais pas ce qu’il y a de pire dans la vie que d’être loin de la femme que l’on aime. Personnellement rien, je sais que j’ai souffert, ma vie est ainsi et j’en porte encore les stigmates, je ne suis pas de ce qu’on appelle un homme parfait, loin de là, je suis un homme qui n’aurait jamais dû vivre, je suis un homme sans foi ni loi mais au moins, je ne me cache pas derrière des artifices. Il est vrai que j’essaie de me contrôler face aux gens pour éviter qu’ils me prennent pour un barge mais jamais je n’ai prétexté aimer quelqu’un si ce n’est pas le cas. Je n’ai jamais su le faire, je ne suis pas du genre à offrir mon coeur à quelqu’un pour finir par être brisé après.

Là face à la femme que j’aime, je sais que c’est elle qu’il me faut, si là maintenant elle venait à me dire qu’elle désire être l’unique alors elle le sera, je ne suis pas de ceux qui regarde chez le voisin si l’herbe est meilleur alors qu’il a tout chez lui. Quand elle continue son petit manège concernant le livreur, j’avoue que je sens la colère monter, il est hors de question qu’un autre homme la regarde encore plus quand elle est nue. Mon regard reste sur elle alors qu’elle insiste en me poussant mais rapidement c’est elle qui se trouve contre le mur, ma main autour de sa gorge. Je ne peux nier que j’aime être comme ça avec elle tout comme l’inverse, je ne suis pas un agneau, je suis un loup et il n’en reste pas moins que je sais ce que je veux.

Quand elle reprend la parole alors que je viens de la lâcher, je fronce les yeux mais je ne dis rien Laisse tomber pour une fois pour une fois, il est de bonne augure, ça change de ce qu’il fait d’habitude. Je serre les dents venant reposer mon regard dans le sien. “Ouai on verra” Dis-je d’un ton sec puis je détourne le regard faisant quelques pas dans la pièce, je soupire avant de parler à mon tour de la possibilité que ce soit une femme ou alors un homme qui aime les hommes et que me voir nu serait peut-être une chose qu’il ou elle aurait envie. Je fais comme elle auparavant, je joue à mon tour c’est bien ça Mon regard se perd sur elle alors que je bois une gorgée de mon soda.

Quand elle prend la parole, jetant un regard noir dans ma direction, je remarque qu’elle n’a pas apprécié ce que j’ai pu dire sur le livreur et j’avoue que je ne comprends pas du tout ça, je ne comprends pas le pourquoi peut-être parce qu’au fond je n’ai jamais eu ce genre de chose dans ma vie. Je la suis “Ah ouai donc toi tu aurais le droit d’aller ouvrir à poil et pas moi c’est ça ?” Dis-je d’un ton sec venant la tirer par le bras pour qu’elle me fasse face. “ça ne marche pas comme ça, pas avec moi en tout cas” Je veux bien jouer mais avec ça, je n’ai pas envie. Je soupire avant d’aller me mettre devant la fenêtre l’espace d’un moment Pourquoi ?

Bonne question, pourquoi je ressentais ça, pourquoi je n’étais pas content de la voir ainsi, de jouer avec moi, j’ai l’impression que je suis entrain de bouillir de l’intérieur avant de retirer la serviette que j’ai autour de la taille allant la remettre dans la salle de bain puis je reviens dans la salle venant poser mon regard sur elle “Ramènes toi” je la laisse venir, je la laisse se rapprocher de moi faisant aussi quelque pas dans sa direction. “Personne n’y va nu. Par contre j’avoue que te voir dans une jolie combinaison orange est tentant, j’suis sûr que ça va te rendre sexy, même si je préfère te voir nue” Je souris alors que mes lèvres viennent se poser contre les siennes, ma main glisse sur ses fesses rebondis venant les serrer avec force. “Il reste combien de temps avant qu’il ne se pointe ?”

(c) oxymort

L’entendre soumettre l’hypothèse qu’il ouvre totalement nu et qu’il tombe sur une femme ne te plait pas, putain c’est pire que ça Lexie tu sens ton sang bouillir, il ne fait qu’un tour… C’est de la jalousie ? Peut-être bien, tu ne sais pas trop parce que c’est tellement fort que tu fusses, c’est tellement nouveau que tu ne comprends pas… Pourtant, tu as déjà été jalouse plus d’une fois même ! Après toutes ces années, tu l’as vue plus d’une fois en charmante compagnie, mais jamais ce sentiment n’a été aussi fort qu’en cet instant. Est-ce parce qu’il t'a touchée ? Qu’il t’a consumé ? Ou parce que tu espères plus tellement plus avec lui… Tant de questions auxquels tu n’as pas de réponse, mais tu vas devoir les trouver ses réponses parce qu’autrement tu le sais tu vas faire n’importe quoi parce que toi, tu es comme ça Lexie, tu te défoules, tu relâches la pression de cette manière-là et étrangement tu n’as pas envie de faire ce que tu fais depuis toujours.

Pour la première fois de ta vie ce n’est pas le feu que tu as entendu crépiter aux creux de tes tripes, au plus profond de ton âme, c’est la douceur de vague agréable qui t’ont caressé juste avant de l’entendre jouer avec toi et tu as envie de sentir cette sensation encore et encore…. Tu sais qu’éteindre le feu avec de la folie, de l’alcool et du sexe te permet de souffler quelques minutes, heures, mais ce que tu as ressenti jusqu’ici à ses côtés tu ne l’avais jamais ressenti et tu veux en profiter encore de cette sensation de bien-être.

Tu as parfaitement compris que tu as poussé le jeu trop loin, mais tu as comme ça tu n’as pas de limite et Seph le sait mieux que n’importe qui puisqu’il est celui qui te connaît le mieux dans ce monde. C’est son comportement et sa voix sèche qui t’ont fait comprendre que tu as trop joué et finalement tu te fais battre par ton propre bâton Lexie. Quoi qu’il en soit tu restes toi-même avec ta fierté probablement mal placée et cette rage de jalousie qui te bouffe de l’intérieur depuis le moment où il a évoqué la possibilité qu’il se montre lui et non toi… Tu la gères mal cette émotion puisque tu le regardes avec une noirceur à faire froid dans le dos et tu lui balances ce que tu as besoin de dire avant de quitter la pièce tentant de contrôler ce qui te ronge.

Tu entends ses pas derrière toi et tu comprends qu’il te suit et sa voix te confirme le fait est qu’il est juste derrière toi, tu n’as pas le temps de répondre qu’il te tourne d’un coup sec, tu te retrouves face à lui et ton cœur s’emballe brutalement, tu plonges ton regard dans le sien et au lieu de t’expliquer tu fronces les sourcils << Ah ouais et ça marche comment au juste ? >> Parfois tu aimerais t'auto baffer comme en ce moment même, tu rends les choses compliquer alors qu’elles sont simples personne n’ouvre à poil ! Il lâche ton bras et tu le regardes rejoindre la fenêtre, tu recules venant prendre appui sur le mur. Dos contre le mur, pied sur le mur tu mattes sa silhouette sans rien dire tandis que tu sens ton cœur battre trop rapidement. Tu clignes des yeux quand il retire sa serviette, tu ne perds pas une seule miette de ce que tu vois, tu le suis même du regard quand il va dans la salle de bain, tu déglutis légèrement parce que tu ressens une nouvelle émotion prendre place au creux de ton estomac. Peut-être de la tristesse ? Du manque ? De la culpabilité ? Bordel, tu n’arrives même pas à savoir ce que tu ressens c’est d’un pathétique.

Quand il revient, tu ne bouges pas, laissant simplement ton regard caresser les traits de son visage, tu te décolles du mur pour marcher vers lui doucement quand il te dit de te ramener, finalement tu ne fais pas la fière Lexie et ta démarche le souligne, elle parle pour toi. Une fois proche de lui, tu te stoppes et tu le regardes, tu maintiens son regard malgré le fait est que tu sois peu fière de toi, mais ce qu’il te dit te fait sourire et te soulage réellement, finalement peut-être que cette sensation à l’estomac était de la peur qu’il te rejette ? Tu n’en sais rien, mais ce que tu sais réellement c’est que tout ça, c’est compliqué beaucoup trop compliqué pour toi alors tu vas faire simple << Pour une combinaison Orange, je peux m’arranger et peut-être que je pourrais être nue en dessous >> évidemment tu dis cela de manière à être en combinaison orange ici dans cet appartement, rien que pour lui.

Quand il colle ses lèvres contre les tiennes, tu réponds directement à ce baiser qui te manquait véritablement. Tu sens ses mains glisser sur tes fesses pour les serrer avec force d’ailleurs cette action te fait grimacer doucement, mais tu aimes ça << Absolument aucune idée >> murmures-tu sur ses lèvres alors que tes mains caresser son torse et que ton regard glisse dans le sien << Pourquoi ? >> tu te doutes un peu de son idée et si c’est celle que tu penses tu es partante totalement partante, toi tu ne dis jamais non à ce genre de chose surtout avec lui. Tu colles doucement tes lèvres sur les siennes laissant ta main remonter sur sa nuque pour ensuite lui caresser le cheveu << A moi >> dis-tu entre deux baisers pour souligner qu’il est à toi.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive réellement alors que je refuse catégoriquement qu’elle n’aille ouvrir la porte nue, je sais très bien que ce que je ressens là maintenant n’est pas normal mais je ne peux pas aller à contre sens de ce que je ressens là maintenant pour elle. Elle est le feu tout en étant la glace, elle est celle qu’il me faut pour avoir un semblant de vie stable et encore, je sais que jamais ça ne sera possible, je ne suis pas de ceux qui le sont et je ne le serai jamais. Je ne compte pas le nombre de fois où pour l’oublier, je me suis laissé aller dans de nombreux draps, j’avais l’impression l’espace d’un moment d’être libre et pourtant ça n’était pas le cas, je suis bel et bien accroché à elle. Est-ce que je le regrette non, je ne regrette rien du tout au contraire, je n’ai jamais rien regretté jusqu’à présent car au fond aujourd’hui j’ai un regret, le regret que ce qu’il se passe là maintenant entre elle et moi, ne s’est pas passé avant.

Maintenant je sais que je ne peux pas revenir en arrière et puis dans un sens, cela ne servira à rien et puis je n’en ai pas envie simplement. La conversation prend un drôle de tournant et je n’aime pas ça du tout, je déteste ça même mais il est trop tard . Je fronce les yeux en disant que ça ne fonctionne pas comme ça, quand elle demande comment ça marche, je ne réponds pas venant lui lâcher le bras, rapidement je me retrouve devant la fenêtre, j’essaie de me calmer mais je crois que j’ai besoin de plus, je retire la serviette autour de ma taille pour aller dans la salle de bain, je ne prononce toujours rien, je préfère ne rien dire que de dire n’importe quoi et le laisser prendre le contrôle de mon âme une fois de plus. Je respire doucement comme on me l’a appris, je ferme l’espace d’un moment les yeux faisant le vide et revenir plus calme.

J’avoue que j’ai du mal à le faire, je ne sais pas ce qu’il m’arrive, pourquoi faut-il que je sois comme ça face à elle. Au bout de quelques minutes, je reviens dans la salle, mon regard se pose sur elle venant lui dire qu’elle vienne vers moi. Mes pupilles s’ancrent dans les siennes venant à reparler de cette combinaison orange. Un léger rictus et mes lèvres viennent se poser sur les siennes alors que mes mains glissent le long de son dos pour venir s’arrêter sur ses fesses venant les serrer avec fermeté. Rapidement, je lui demande si elle sait quand le livreur va venir quand elle répond qu’elle ne sait pas, je soupire contre ses lèvres alors qu’elle caresse mon torse, rien que par ses caresses, elle a une nouvelle fois réussi à m’apaiser, elle a réussi à me détendre une nouvelle fois. Je laisse mon regard dans le sien alors qu’elle demande pourquoi, un large sourire s’affiche sur mes lèvres “ Je ne sais pas vraiment” Je continue de sourire et pourtant bien sûr que si j’ai une idée de ce que je pourrai faire là maintenant.

Nos lèvres jointes une nouvelle fois et ce baiser est passionné avant qu’elle ne dise ses mots que j’ai toujours voulu entendre venant d’elle. Mais est-ce qu’elle ne désire que je sois à elle que là maintenant ou parle-t-elle, que je sois à elle toujours, je n’en ai pas la moindre idée, mais je ne peux nier que je la veux pour moi à jamais. “ A toi, tout comme tu es à moi ma vie.” Je suis sérieux là maintenant, en fait avec elle je le suis toujours. Ma langue vient chercher sa jumelle alors que mes mains ne lâchent pas leur prise et serrent même encore plus sans pour autant vouloir lui faire du mal mais juste pour lui faire comprendre qu’elle est à moi et à personne d’autres.

(c) oxymort

Quand on regarde les femmes se battent pour être libres depuis des années, elles souhaitent n’appartenir à personne, elle désire être égale à son partenaire et toi ? Toi, tu veux lui appartenir, tu veux qu’il te domine en tout point malgré ton caractère, tu veux être sa chose, sa muse… Tu n’es pas tout à fait normal Lex c’est une évidence depuis toujours et c’est peut-être pour ça que tu as été attiré par lui et non par Liam.
Tu n’es pas tomber sous le charme d’un physique bien qu’il soit plus qu’appétissant, tu es tombée amoureuse d’une sensibilité, d’une profondeur, d’une âme sombre et pourtant lumineuse à la fois tu sais que personne ne voit ce que tu toi tut parviens à voir en lui et bien qu’on dit souvent que l’amour rend aveugle tu sais que tu vois claire parce que tu as toujours pu lire en lui dès le départ alors qu’au début, tu ne l’aimais pas, mais tu as su directement à l’instant même où il a posé son premier pied sur le plancher de ta maison qu’il serait celui qui marquerait ta vie.

Ce qui vient de se passer avec lui, tu ne sais pas du tout à quoi ça rime, mais de toute évidence cela l’a également mis en colère alors tu penses qu’il a ressenti la même chose que toi, mais tu ne prends pas le temps de lui demander préférant rester sur tes croyances histoire de ne pas être déçu. Quand il t’ordonne de venir vers lui, tu l’écoutes et tu lui réponds concernant le livreur et tu soumets une question, question à laquelle il répond en souriant, chose qui t’amuse puisque tu sais parfaitement non tu te doutes qu’il a quelque chose en tête. Est-ce tout à fait logique de sauter d’humeur comme vous venez de le faire ? Tu supposes que oui.

Tu réponds à son baiser et tu lui laisses accès à ton corps, ses mains sur ta peau sont une gourmandise interdite, tu le sais aussi bien que lui, mais tu sais aussi que tu ne pourras plus t’en passer à l’avenir. Tu caresses son torse doucement tandis que ses lèvres retrouvent les tiennes pour un baiser passionné, tu remontes une main venant lui caresser les cheveux et lui dire qu’il est à toi parce que oui, il n’a peut-être pas compris, mais tu démoliras toute personne qui se permettra de le toucher ! Tu souris en entendant que tu es à lui et tu souris en entendant le surnom que tu aimes tant, surnom qui a fait polémique dans la famille pendant un temps. Sa langue glisse entre mes lèvres et la mienne l'accueille avec plaisir tandis que tu sens qu’il te serre davantage contre lui. Il ne te fait pas mal, c’est simplement parfait, tu aimes sentir sa prestance, sa force, tu as l’impression que le monde pourrait vous tomber dessus qu’il te protégerait, tu as l’impression d’être Rose dans le Titanic, tu as la sensation d’être la reine du monde, d’être invincible et tout cela c’est grâce à lui. Après un instant à jouer langue contre langue, tu recules tes lèvres pour reprendre ton souffle, mais tu laisses ton front contre le sien voulant sentir son souffle contre les siennes et tu lui murmures << Je crois que je suis jalouse >> tu lui fais finalement part de ce que tu crois avoir ressenti quelques minutes auparavant, tu plonges ton regard dans le sien en ajoutant dans un souffle << Seph… >> tu avales doucement ta salive gardant cette proximité, cette chaleur qui se crée en vous et cette sensation d’être seule au monde comme si rien n’était présent autour de vous << C’est toi que je veux >> tu ignores si tu lui fais comprendre ce que tu veux dire, mais en tout cas tu tentes quelque chose.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Est-ce que je suis jaloux de savoir qu’un autre peut la toucher, peut lui faire ces choses que je lui ai faites auparavant. Même si je me le cache et le cache aux yeux des gens, oui je le suis, je ne supporte pas de la savoir avec un autre mais ai-je le choix que de l’accepter, non je n’ai pas le choix du moins jusqu’à aujourd’hui, je n’avais pas le choix. Là maintenant, c’est différent, c’est tout autre chose mais pareil est-ce que je suis en droit ?... Je ne sais pas Reste digne Séphiros, ne lui montre pas ce côté de là de toi et pourtant je ressens là même chose que toi Je soupire alors que je quitte la salle de bain complètement nu, j’essaie de me calmer sur ce qu’il s’est passé mais il est bien compliqué de se calmer alors que la femme face à vous, vous pousse à bout surement sans réellement s’en rendre compte parce que c’est dans sa nature.

Face à elle, je suis faible, c’est une certitude mais en plus d’être ma faiblesse, elle est ma force car avec elle, je me sens invincible car elle arrive à me calmer, elle arrive à faire taire cette fureur en moi. Je l’attrape venant serrer ses fesses avec mes mains, nos lèvres se joignent pour un baiser sauvage. Alors que je la regarde, je sais que j’ai besoin d’elle, je sais que jamais je ne pourrais rejeter ses moments, au contraire, je sais que je serais demandeur et peut-être plus que jamais en fait. Nos regards se croisent, avec elle, je suis différent. Quand elle dit que je suis à elle, je souris car je ne demande que ça tout comme je demande qu’elle soit à moi. Mais est-ce qu’elle en a réellement conscience, je ne sais pas, je ne suis pas sûr et je ne sais pas dire réellement ce genre de choses.

Quand nos fronts se touchent, se frôlent, mon regard se perd dans le sien quand elle murmure ces mots, je mets quelques secondes à comprendre ce qu’elle vient de dire. Je ne dis rien sur le coup, je me demande si c’est vraiment ce qu’elle ressent quand elle dit mon prénom et dit qu’elle me veut, Demande lui si c’est réellement ce qu’elle veut, elle est entrain de jouer avec toi Séphiros Je suis sûr que non, je suis sûr qu’elle ne joue pas j’entrouvre les lèvres venant desserrer doucement mes prises de ses mains avant de venir les poser autour de son visage. “Tu es sûr ? tu es sûr que c’est ce que tu veux” Je me doute bien qu’elle est sûre sinon elle n’aurait pas pris la peine de le dire mais j’ai comme besoin de l’entendre de nouveau pour être sûr.

Mon regard reste dans le sien et je souris légèrement avant de caresser doucement ses lèvres de mes pouces. “Je ne supporte pas de savoir qu’un autre puisse poser ses mains sur toi, j’ai l’impression de devenir fou et pourtant j’essaie de me contrôler, pour te dire quand j’ai vu ce type la dernière fois quitter la maison, je te jure que je n’avais qu’une envie, c’est de descendre pour le briser. Pourtant, je n’ai rien fait mais je peux te dire que j’ai de plus en plus de mal à me contrôler et je ne comprends pas pourquoi, tu me connais mieux que n’importe qui, aide moi à comprendre. Mais… je sais que je ne veux que toi, j’ai attendu tellement d’années pour te faire mienne même lui n’a pas réussi à m’enlever ce que je ressens pour toi” Elle sait de qui je parle, je le sais mais je suis comme ça, je ne sais pas dire les choses comme il faut.

“J’ai une question” J’ai besoin de savoir avant d’avancer, je sais que cela peut me faire du mal si elle confirme ses dires avant de lui dire plus encore.

(c) oxymort

Quoi qu’il en soit Séphiros est différent pour un tas de choses pour moi puisque non seulement je le supporte, je parviens à vivre avec lui mieux encore j’ai continuellement envie d’être avec lui, mais également parce que je ressens ce sentiment de jalousie… Tu n’as pas le souvenir d’avoir été un jour jalouse pour un autre homme même pour les mecs qui ont été ce qu’on appelle des relations enfin chez toi c’est plutôt des relations express. Non seulement tu n’as pas eu beaucoup de relation, mais tu n’as jamais été jalouse pour qui que ce soit non, tu as toujours été du genre à t’en foutre royalement même avec ta relation de New York avec qui tu étais en couple depuis quelques mois… D’ailleurs ce mec est sûrement ta plus longue relation, mais comme toutes les autres tu as fini par le sortir de ta vie puisqu’il t'ennuyait plus qu’autre chose et que tu ne ressentais rien. Quoi qu’il en soit tu sais que Séphiros est différent à tes yeux et cela depuis toujours, non seulement c’est le seul homme que tu supportes réellement sur un quotidien, mais il est également le seul homme pour qui tu parviens à te masturber depuis des années sans jamais t’en lasser ! Mais pas seulement, il est également le seul avec qui tu te sens vraie, tu te sens toi même, le seul avec qui tu as envie d’être… Et maintenant il est le seul pour qui tu ressens ce sentiment de jalousie. La mère d’une amie t’a dit un jour qu’on ne choisit pas son âme soeur et tu penses que c’est vrai, tu penses réellement que tu n’as pas eu le choix, ton coeur et ton âme ont été à lui à l'instant même où il est entré dans la maison alors que tu n’étais qu’une gamine. Tu sens ses mains sur tes fesses et tu aimes ce contact et cette manière féroce, mais pourtant douce qu’il émet dans son geste… Tu sens que tu lui appartiens et tu as besoin de ça, tu as besoin de poigne, d’attention, de désire pour continuer à t’épanouir et le regard que Seph à sur toi est un engrais pour toi. Tu n’hésites pas à lui dire ce que tu veux réellement parce qu’il est plus simple de mettre les choses sur le tapis au moins cela évitera que tout le monde souffre d’incompréhension et tu supposes qu’il comprend ce que tu veux dire par tes paroles puisqu’il a toujours su te décoder. Quand il lâche tes mains pour venir prendre ton visage, tu le fixes attendant le moment où tu chuteras pour t'écraser puisque tu t’attends clairement à ce qu’il te dise qu’il ne souhaite pas la même chose que toi. Tu sais qu’un rejet de sa part te mettrait à terre et tu ne sais pas, si tu étais en mesure de te relever, mais tu réponds malgré tout parce que tu es comme ça Lexie, tu as bien des défauts comme celui d’être une séductrice, mais le mensonge ne figure pas dans la liste de tes défauts << Je n’ai jamais été aussi sûr de toute ma vie Seph… Je te veux depuis l’instant ou tu as passer la porte de la maison alors que je n’étais qu’une gamine qui ne comprenait rien >> dis tu avec une sincérité profonde qui se fait rare chez toi puisque tu ne t’ouvres jamais autant, tu ne laisses presque jamais personne entrée totalement dans ton cocon simplement parce que tu te protèges, mais ce soir tu le laisses entrer parce que tu veux qu’il comprenne que tu ne plaisantes pas que tu ne joues pas et que tu sais parfaitement ce que tu dis et ce que tu ressens. Le regard dans le sien, tu ne vasciles pas, tu souris quand il sourit légèrement et tu apprécies la douceur de ses pouces sur tes lèvres. Tes iris s’écarquillent subitement en entendant qu’il a vu l’homme quitter l’appartement, tu ne t’y attendais pas puisqu’il ne t’en a jamais parlé… Tu n’es pas fière pour le coup parce que tu sais que cela n’était pas correct et pourtant tu l’as fait, tu t’es laissé entraîné par ce besoin de calmer cette flamme en toi << Je… je… je ne savais pas que tu étais au courant >> ton regard est moins nette parce que tu t’en veux probablement << Ce n’était pas classe de ma part >> avoues-tu avec une voix qui sonne comme une excuse, tes mains caressent doucement ses bras tendus puisqu'il tient encore ton visage entre ses mains, tu souris doucement en entendant la suite de ses paroles, elles te plaisent tu ne pourras jamais dire l’inverse << On va comprendre ensemble… Je ne vais pas te mentir je sais pas du tout ce qui se passe, mais je sais Seph que mon coeur s’emballe à chaque fois que tu es avec moi et que j’ai rêvé de ce moment toute ma vie… Ce que je ressens pour toi ça me bouffe depuis des années tu n’imagines même pas comme j’ai mal d’être loin de toi et de te savoir avec d’autres… Je te veux pour moi toute seule, je veux que tu sois à moi >> dis-tu en te collant un peu plus à lui en ajoutant << Je veux que vous soyez à moi parce que c’est toi tout entier que je veux et il fait partie de toi, je le veux autant que je te veux >> ajoutes-tu pour qu’il comprenne que tu ne repousses pas sa noirceur au contraire tu veux vivre avec, tu veux la côtoyer a part égale. Tu le fixes toujours et tu mimes sur tes lèvres un ‘Je t’aime’ que tu ne prononces pas parce que tu n’en es pas capable, mais tu sais qu’il sait lire sur tes lèvres. Tu penches doucement la tête se demandant alors qu’elle genre de question il pourrait avoir alors que tu t’ouvres entièrement à lui sans une seule once de fourberie, de mensonge << Pose-moi toutes les questions que tu veux >> dis-tu en tournant un peu la tête pour embrasser ses mains.

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Lexie & Séphiros

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Le temps est une chose qui peut créer des distances, qui peut vous faire prendre une direction à l’opposé de ce qui était prévu. La première fois que mon regard s’est posé sur elle, mon coeur s’est emballé immédiatement, je ne sais pas pourquoi, je ne connaissais rien en ce mot qu’est l’amour et aujourd’hui, je ne le sais toujours pas pourtant quand je la regarde, je sais que je ressens des choses pour elle, je sais que le fait que quand mon coeur bat à l’unisson avec le sien, ce n’est pas pour rien. J’aime la regarder que ce soit quand elle se balade dans la maison mais aussi quand elle dort. Je ne compte pas le nombre de fois où je n’ai pas dormi parce que j’étais trop occupé à la regarder, trop occupé à vouloir la toucher mais à m’en empêcher par peur de me faire rejeter. Je me souviens de mes crises alors qu’elle n’était pas là où mon appartement s'est retrouvé ravagé sous cette colère qui m’animait et que personne ne pouvait réellement contrôler.

Ma vie n’a pas de sens si elle n’est pas là, je n’ai pas le droit de lui en vouloir d’avoir essayé de faire sa vie, je peux même comprendre parce que pendant ce temps, j’ai essayé d’être quelqu’un d’autre mais à chaque fois mon passé est revenu aussi vite qu’il n’était partie. Je ne comprends pas ce qu’il nous arrive, je ne comprends pas ce sentiment de jalousie qui m’anime à chaque seconde quand je la pense avec quelqu’un d’autre. Je sais que je n’ai pas le droit de l’être mais c’est plus fort que moi. Quand elle me dit qu’elle ne veut que moi, qu’elle me veut pour elle, je mets un temps à réaliser ce qu’elle vient de dire mais je ne peux m’empêcher de lui demander si elle est sûre de cela. Je la regarde alors qu’elle dit que ce sentiment est présent en elle depuis ce fameux jour où la mort rodait autour de moi, où il m’a pris ma famille où du moins une partie Ce jour-là était le plus beau Séph, regarde ce que tu es devenue, tu es l’homme parfait, je t’ai façonné comme je l’ai voulu

“Pourquoi tu n’as rien dit avant ?” j’avoue que je suis curieux mais après je suis comme elle, je n’ai rien dit non plus sur le fait que je ressentais quelque chose pour elle. Je finis par prendre la parole, je parle de ce type qui a quitté notre appartement il y a peu de temps et de cette envie que j’ai eu à ce moment précis, cette envie de le briser pour qu’il ne revienne jamais mais faire cela… aurait peut-être eu un effet néfaste sur nous, sur moi.. "Écoute on en parle plus de ça ok ?” Il est vrai que j’ai besoin de comprendre et elle est la seule qui peut y arriver, je le sais… A deux on est plus fort. Mon regard dans le sien, je l’écoute et je comprends mieux ce qu’elle veut dire, je comprends qu’elle me veut pour elle et seulement elle Nous Séphiros Oui nous. Je ne dis rien alors que nos regards sont l’un dans l’autre alors que je sens ce qu’elle murmure contre mes lèvres.

Ce mot, je ne sais pas le dire pour le moment mais je le pense vraiment. “Agapē” Je ne dis pas pour le moment ce que je veux d’elle mais je le sais déjà, cependant, j’ai besoin de savoir une chose sinon je ne pourrais pas être réellement moi. “Quand je n’étais pas là quand on vivait chez toi… Est-ce qu’il s’est passé quelque chose avec… Liam ?” Mon regard se pose dans le sien, j’ai besoin de savoir pour avancer, oh ce n’est pas ce qui me fera de nouveau aimer mon jumeau, il est responsable de la mort de ma soeur et il a tenté de prendre la femme que j’aime alors jamais je ne pardonnerai mais j’ai besoin de savoir pour avancer “Ne me mens pas s’il te plaît, je ne t’en voudrais pas si tu as peur de ça mais j’ai besoin de savoir si ce qu’il m’a dit est vrai…”

Mon regarde reste dans le sien, j’ai peur de ce que je vais entendre mais je sais que j’ai besoin d’entendre cela avant de lui dire ce que je veux d’elle, ce que j’aimerai pour nous même si cela ne sera pas facile “Je n’ai jamais parlé de ça mais ça fait des années que je traine ce boulet et après je te répondrai sincèrement à ce que tu as dit juste avant.” Je dépose mes lèvres sur les siennes l’espace d’un moment avant de la regarder attendant de connaître la vérité même si je ne suis certainement pas prêt à tout.

(c) oxymort

Tu n’as pas demandé à tomber sous le charme de ton cousin par alliance, tu n’as pas demandé à être attiré par lui, c'est simplement arriver sans que tu ne puisses rien contrôler, tu n’as jamais demandé à ressentir ses crépitements sur ton intimité quand tu le voyais ! Pourtant, malgré le fait est que tu n’as jamais rien demandé et que cela n’est pas de ta faute personne ne comprend même pas ton père qui autrefois avait directement mis les choses sur la table quand il avait remarqué que vous étiez trop proche et qu’il vous a surpris à dormir dans le même lit. Vous ne faisiez rien de mal ce soir-là, tu avais simplement besoin de réconfort et Seph avait ouvert ses bras, tu te souviens encore de cette nuit, elle a probablement été la meilleure de toutes tes nuits à l’époque… Quoi qu’il en soit ton père a directement tiré le signal d’alarme et tu as compris à cette époque que ton cœur devait cesser de battre pour l’homme qui était et est toujours ton cousin. Alors oui, tu sais qu’aujourd’hui encore ton père ne comprendra pas que personne ne sera en mesure de comprendre, mais tu t’en cognes totalement parce que tu sais que tu ne pourras jamais être heureuse sans lui… Tu as essayé et tu as manqué d’en crever tellement ça faisait mal. Alors aujourd’hui le moment semble être convenant pour lui avouer et tu viens de le faire, tu viens de lui dire, tu viens de lui avouer l’un de tes plus grands secrets et la question que tu entends est en soi légitime. Tu hausse doucement les épaules et tu lui réponds doucement << J’ai essayé un tas de fois, mais à chaque fois quelque chose n’allait pas… Seph, je dors avec toi depuis des années… Je… Je cherche ton regard continuellement, je pense qu’une part de moi pensait que tu le savais, mais que tu n’en avais rien à faire >> tu pinces tes lèvres doucement en reprenant doucement << Je voulais pas gâcher ce qu’on avait, si jamais ce n’était pas réciproque parce que te perdre serait bien plus douloureux que de contenir ce sentiment >> tu laisses ton regard dans le sien, mais tu ajoutes malgré tout << J’en peux plus de me cacher… >> tu sais pourtant que devant la famille tout sera compliqué parce que toi tu es toujours proche de ton père, mais tu t’en fiches, il doit soit être heureux pour toi soit simplement faire comme s’il n’avait plus de fille. Tu ajoutes << Toi aussi tu aurais pu me le dire plutôt que je te plaisais tu sais et tu avais toujours de belle femme à ton bras... >> te le dire aurait changé beaucoup de choses ! Déjà, tu n’aurais jamais couché avec tous ses hommes inutiles ! Il te parle ensuite de ce mec, tu sais qui sait puisque tu t’en souviens… Léo, mais avec lui tu ne pensais pas que cela se serait fait clairement, tu ne pensais pas qu’il allait frapper à ta porte ! Et pour ta défense Seph n’était pas là et tu ne savais pas où il était ! Ta défense ne sert clairement à rien puisque cela n’excuse pas ton comportement ! Tu hoches doucement la tête les lippes pincées parce que tu n’es pas fière qu’il soit au courant de ce que tu as fait ici même dans ce logement qui est le sien << On n’en parle plus >> toi aussi tu ne veux plus en parler, tu veux oublier de toute manière ce Léo tu sais que tu ne l’aurais jamais revu comme tous les hommes avec qui tu couches ! Rares sont ceux qui ont la chance de te revoir et encore plus rare ceux qui ont la chance de faire partie de ta vie. Malgré que tu n’es pas en mesure de lui dire je t’aime à haute voix, tu laisses un mime de lèvre lui dire sans que tu ne le prononces sans que tu le souffles ce n’est qu’une phrase sans vocalise, mais il comprend puisqu’il te répond à sa manière. Tu souris conquises parce que tu n’as pas besoin de plus, tu n’as pas besoin qu’il te dise les mots du moins pas pour le moment. Contre lui, tu le regardes alors qu’il te demande s’il peut te poser une question évidemment tu acceptes, mais tu ne t'attendais à tout sauf à ce genre de question. Tu clignes des yeux laissant apparaître l’incompréhension dans ton regard, tu entends parfaitement qu’il ne te parle pas de la faute de son jumeau et la suite de ses paroles te le confirme parce qu’il te demande d’assumer, il te demande de ne pas mentir. Tu te raidis totalement, tu sens ta bouche s'assécher tandis que tu sens un tourbillon bouillant te croiser l’estomac, tu regardes toujours Séphiros et tu es certaine d’avoir compris ce qu’il veut savoir, tu es certaine d’avoir compris sa question, mais tu n’en restes pas pour le moins surprise et brutalisée par ce que tu entends au point ou tu es restes droite quand il t’a embrassée alors quand ta bouche est libre tu lui réponds << Pardon ? >> tu te décolles doucement reculant de deux pas afin de pouvoir bien le regarder << Qu’est-ce qu’il t’a dit ? >> bien que tu penses avoir saisi le sens de sa question, tu t’obstines à croire que Liam n’aurait pas poussé sa faute à son avantage en te faisant passer pour le pire des salopes, mais le regard de Séphiros te répond… Il n’a pas besoin de te répondre que tu as compris sans aucun doute ce qu’il pense. Tu restes choquée limite stoïque face à cette question non pas parce que Liam à raconter n’importe quoi, mais parce que Séphiros y croit depuis des années << Tu penses réellement que j’ai couché avec ton frère ? >> tu tournes la tête en ouvrant la bouche laissant le bout de ta langue sur ta molaire reprenant subitement attrapant le plaid du canapé << Putain, je n’y crois pas ! Tu me prends pour quoi au juste Seph ? >> tu ne t’énerves pas et pourtant ce n’est pas l’envie qui te manque, mais tu te contrôles seulement maintenant tu te sens mal… Tu enroules le plaid autour de toi parce que tu as honte, c’est le mot tu as honte de ce qu’il peut penser de toi parce que le seul qui arrive à te toucher c’est bien lui, il est le seul qui arrive à faire en sorte que tu te remettes en question, le seul avis qui compte vraiment et là ? Bordel, il vient de te faire mal alors qu’il a simplement posé une question. Tu tiens le plaid contre toi pour ne pas qu’il tombe et tu ajoutes << Ce n’est pas parce qu’il te ressemble que j’ai eu envie de baiser avec ! >> lâches-tu plus violemment que désiré, tu plisses les yeux en le regardant toujours avec cette incompréhension, tu ne comprends pas comment il peut penser que cela est véridique << Comment, tu peux ne serait-ce croire ça Seph ? >> il t’a fait bien plus mal que tu ne le voudrais et pourtant, il n’a rien fait ! Enfin, si ! Il a cru à ce mensonge monter de toutes pièces. Tu recules d’un pas encore et tu inspires pour contrôler cette vague de tristesse qui te menace à présent << Répond à rien ! Laisse tomber ! >> tu as qu’une seule envie c’est de te planquer dans un trou comme une autruche pourrait le faire, mais tu ne peux pas alors tu comptes faire ce que tu fais le mieux fuir, mais tu sais que cela ne te mènera nulle part parce que tu reviens toujours prêt de lui puisqu’il t’attire comme un aimant << Laisse tomber >> répètes tu limites bouleversé et tu recules une fois de plus ajoutant << Mais histoire que tu ne portes pas ce boulet encore des années je vais te répondre ! Je n’ai jamais couché avec ton frère, jamais je ne l’aurais laissé me toucher malgré qu’il a essayé avec insistance ! Jamais, je ne l’aurais laissé me toucher putain, mais ça me dégoute >> lâches-tu en grimaçant de dégout sentant tes frissons partout sur ton corps << Je sais que j’ai eu pas mal de gars, mais putain coucher avec ton frère ? Tu vois Seph avoir la réputation d’une salope ça me pose pas de soucis, mais entendre ce genre de chose de toi… C’est… >> tu expires doucement et tu penches la tête sur le côté << Comment tu as pu ne serait-ce qu’un instant croire que cela aurait pu être possible ? Je ne t’aurais jamais fait ce genre de chose et si bien j’avais fait l’erreur de le faire, je n’aurais jamais laissé ce qui vient de se produire avec toi ce passer parce que tu vois Seph je me respecte malgré tout un minimum ! J’ai fait un tas d'erreurs, mais celle-ci n’en fait pas partit putain je préfère crever ne serait-ce que d’imaginer ses mains sur moi ! >>. Tu n’en reviens pas Lex’, tu es en colère, mais pas contre Seph non, tu es triste à cause de lui, mais la colère est tournée vers Liam. Tu avales ta salive ajoutant ensuite << Je veux savoir ce qu’il ta dit, tout jusqu’au moindre détail >> maintenant tu as besoin de savoir ensuite tu feras part de ta version a l’homme que tu aimes, mais tu ignores si ce sentiment de tristesse et de honte de quittera directement ensuite… Parce que oui, tu te sens mal en face de lui alors que maintenant tu sais qu’il penser ce genre de chose de toi, qu’il t’en a cru capable.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Je ne comprends pas pourquoi on a mis autant de temps pour arriver à ça, pour arriver à se dire que nous n’étions plus que des cousins, que nous voulions l’un de l’autre et pourtant pour le moment, je n’ai rien dit peut-être parce que j’ai cette question qui me brûle les lèvres, je sais que la faute n’est pas pour elle mais bel et bien de mon jumeau mais il va falloir qu’elle sorte si je veux avancer sans qu’il me bousille ma vie s’il venait à apprendre que ce que je ressens pour elle n’a rien d’éphémère, n’a rien de passager au contraire, ce que je ressens est infini, je suis fou d’elle et ma vie sans elle n’est en rien possible. Je l’écoute me dire qu’elle a essayé mais qu’elle n’a jamais osé mais au fond je suis pareil pour ça maintenant je me rends compte qu’on a perdu du temps pour rien. Je lui souris et d’un coup, elle marque un point en disant que j’aurai pu le dire aussi “Tu as raison, j’aurai pu, ça aurait évité beaucoup de chose, ça c’est plus que sûr”

La conversation part sur l’homme qui a quitté mon domicile il y a quelque temps mais je n’ai rien dit malgré l’envie de le réduire au néant. Je finis par lui dire qu’on en parle plus et c’est mieux comme ça, j’ai pas envie de me prendre la tête avec ça par contre je sais que ce que je vais demander là risque de provoquer quelque chose que je ne pourrais contrôler. Quand la question est posée, mon regard reste sur elle alors que je viens de l'embrasser mais sa réaction juste après me fait comprendre que j’ai touché quelque chose que je n’aurai pas dû. Je fronce les yeux alors qu’elle part s’enrouler dans le plaid, j’écoute ses paroles, sa façon de parler ne me plaît guère, je ne comprends pas une seconde pourquoi elle réagit de la sorte surtout quand elle dit qu’elle ne veut plus que je réponde à ce qu’elle a dit avant. calme toi Séphiros, calme toi

Qu’il se la ferme lui, je n’ai pas envie de me calmer et puis pour le moment je suis calme du moins en apparence. Je l’écoute me dire qu’elle n’a rien fait avec lui, qu’il ne l’a pas touché et pourtant, c’est ce qu’il m’a dit, ce jour-là, je me souviens des détails qu’il m’a donné mais j’aurai dû savoir que cela n’était pas vrai. Je serre les dents, je n’ai qu’une envie là maintenant, c’est de le tuer. Il mérite, il le mérite Je laisse mon regard sur la femme que j’aime et je peux voir que tout ça et le fait que j’ai pu penser cela lui fait beaucoup de peine et même plus. Je finis par passer une main sur mon visage avant de regarder autour de moi, je sais que là, je n’ai qu’une envie et ce n'est pas de lui raconter ce qu’il a pu dire.

Mon regard se pose sur le placard dans le salon, je m’avance pour l’ouvrir Oh oui Séphiros, il est temps de le faire Je sors une boîte cachée au fond de celui-ci pour le poser sur la table. Je serre les dents “Tu crois vraiment que j’aurai pu me dire que c’était moi que tu voulais et pas lui” je ne la regarde pas, regardant la boîte fermée “Réfléchis une seconde… Il a parlé de détail de ce qui s’est soit-disant passé, il a tout fait pour me faire péter un cable et ce jour-là, je l’ai frappé oui avant de partir pour éviter de le tuer mais il est temps d’y remédier” J’évite de la regarder, mon regard reste encore sur cette boîte où se cache une chose que je n’ai jamais utilisé enfin sauf au stand de tir.

“Quand il est venu me voir ce jour-là, je n’étais pas au mieux de ma forme, simplement parce que je m’étais pris la tête avec ma tante. Quand il est arrivé, c’était au moment où je parlais de toi parce qu’elle ne voulait pas que je te vois. Alors quand elle est partie, il est venu pour me dire que de toute façon, tu ne t’intéressais pas à moi, que pour toi, je n’étais rien de plus qu’un parasite et il m’a montré une marque qu’il avait dans le cou, il a dit que c’était toi, qui avait posé tes lèvres à cet endroit puis que tu avais fait bien d’autre chose tout comme lui t’en avais fait, il a mis tous les détails pour me faire comprendre que c’était lui que tu voulais…. Mais il m’a menti et j’ai rien vu…” J’ouvre la boite regardant l’arme “j’ai été stupide, je l’ai laissé gagner mais c’est terminé”

Je tourne la tête pour la regarder l’espace d’un moment c’est l’heure de lui faire payer “Oui il va me payer, tu as raison, on va le tuer” je sors l’arme de sa boîte pour venir y mettre le chargeur sans pour autant enlever le cran de sécurité. “Pardonne-moi ma vie, de l’avoir laissé me toucher comme ça…” Je ne la regarde pas allant jusque dans la chambre pour sortir des affaires. Je sais que ce n’est pas ce qu’il faut faire mais tout revient. “C’est elle que je veux, tu entends, je ne veux que Lexie, elle est ma femme et crois-moi qu’il va le payer, je sais que tu es d’accord avec moi…” Je lui parle à lui sans me soucier si elle entend ou pas “Tu le sais toi, ce que je ressens pour elle, tu le sais, avoue le”

(c) oxymort

Tu ne comprends pas comment il a pu ne serait-ce que croire un mot des paroles de son jumeau, tu ne comprends pas comment il a pu penser ce genre de chose de toi… Tu sais que tu n’es pas un ange, tu sais que tu es réputées d’une certaine manière pour écarter les cuisses, mais jamais tu n’aurais pu trahir Séphiros de la sorte malgré le mal qu’il t’a fait en tentant de mettre fin à sa vie, en essayant de t’abandonner pour rejoindre sa soeur. Ce que toi tu aurais pu faire sur le toit ce soir-là, tu ne lui en as jamais parlé d’ailleurs personnes n’est au courant excepté Liam… Mais tu n’as jamais parlé de sa folie, il faut dire que tu as mis cette folie sur le coup de la tristesse… Ce soir-là tu n’avais pas les idées claires et lui non plus puisque la perte de sa soeur et de ta cousine avait bousillé tout le monde et comme Liam n’a jamais cherché plus loin, tu pensais qu’il n’était pas fier, mais tu sais maintenant qu’en réalité il avait prévu son petit manège, qu’il avait lancé une partie de jeu et que tu n’étais pas au courant et pourtant, tu es la joueuse principale. Tu n’as plus le coeur à la rigolade, tu n’as plus l’esprit à la détente, tu n’as plus l’envie entre les cuisses non tu es bouleversée Lex’, tu as l’impression d’être sale alors que tu sais qu’il n’a jamais posé les mains sur toi, tu sais qu’il ne t’a jamais vue nue… Pourtant, tu as le sentiment d’avoir été trahi et sali, mais ce qui te gêne le plus ce qui te fait réellement mal c’est que l’homme qui te connaît le mieux au monde, l’homme que tu aimes a cru à cette histoire. Tu ne comprends pas non tu ne parviens pas à comprendre comment il a pu croire ce genre de chose, comment il a pu douter de toi alors que toi Lexie tu n’as jamais trahi sa confiance. Tu lui fais part de ce que tu ressens, tu t’exprimes avec cette amertume qui dans un sens pourrait vous briser. Tu le vois passer une main sur son visage alors que tu es menacé par la pluie qui ne demande qu'à rouler sur tes joues. Tu vois bien qu’il semble dépassé par cette histoire, mais ça ne change rien à ce qu’il a pu penser de toi… ça ne change absolument rien à la douleur que tu ressens, tu le regardes cependant rejoindre le placard et tu le vois sortir une boite. Tu es loin bien loin de te douter de son contenu, mais tu l’as regardé avec cette mauvaise impression… Tu l’entends signaler qu’il n’aurait pas pu se douter des choses, mais cette remarque ne fait qu’ouvrir davantage la plaie présente dans ta poitrine << Mais qu’elle genre de personne je serais si je baisais avec l’un pour dormir avec l’autre ! Elle est où la logique Seph ! >> lâches-tu sèchement prise par le chagrin. Tu le regardes et tu lèves un sourcil quand il te dit de réfléchir une seconde << C’est plutôt à toi de réfléchir Séphiros ! Sérieusement ! Tu étais mon tout Seph, je venais toujours vers toi encore et encore même quand tu ne voulais pas de moi comment, putain COMMENT as-tu pu croire que je me suis réconforté dans ses bras ! >> tu as monté la voix sur le mot “Comment”, mais tu t’es reprise pour ne pas que cette conversation parte en sucette, mais subitement les derniers mots de sa phrase te font tilté << Il est temps d’y remédier ? Qu’est-ce que tu racontes comme connerie encore ? >> tu plisses les yeux un instant laissant ton regard glisser sur la boite te demandant ce qui se trouve dedans, mais ton impression mauvaise reste toujours là même d’autant plus que ses paroles confirment cette sensation. Tu tiens toujours le plaid contre toi pour ne pas qu’il tombe, tu n’as plus envie qu’il te regarde, tu n’as plus envie qu’il te touche plus pour le moment et ce qui te fait peur dans un sens c’est que tu ne sais pas si cette envie va revenir ou pas… Il a touché un point en toi que personne n’a jamais pu toucher et tu te rends compte que l’amour est simplement un sentiment qui peut détruire l’autre… Jamais, il n’avait douté de toi, jamais il ne t’avait fait du mal de la sorte… Encore une fois c’est une première et tu es dépassé par toutes ses premières fois, la soirée, la nuit te semble finalement longue et interminable. Mais tu l’écoutes quand il se confie enfin à toi, tu as envie de dire quelque chose comme pour défendre ta version, mais tu ne dis rien parce que malgré cette peine et cette colère en toi, tu respectes son droit et son temps à la parole. Tu inspires profondément en disant alors << Tu as carrément été aveugle ! >> tu lâches ses paroles sans aucune légèreté, elles sont lourdes parce qu'elles sont véritablement pensées. Quand il ouvre la boite tu te mets sur la pointe des pieds pour tenter de voir l’intérieur, mais tu es trop loin alors tu ne vois rien cependant ce qu’il ajoute te fait froid dans le dos << Il n’a rien gagné du tout Séphiros ! >> dis-tu puisque malgré tout celui qui a eu la fille c’est lui et non son frangin. Tu ne le quittes pas des yeux et quand il se parle à lui-même tu sais qu’il parle à son deuxième lui, tu sais qu’il ne parle pas tout seul parce que toi tu sais comment il est, tu connais son fonctionnement, mais ce qui te perturbe réellement c’est sa phrase << Tu vas faire qu...>> tu te tais directement en voyant l’objet qu’il sort de la boite, ta bouche se ferme subitement et ton souffle arrête d’alimenter tes poumons. Tu ne savais même pas qu’une arme était dans l’appartement, tu ne bouges plus et tu ne dis plus rien le temps d’un instant. Voir cette arme dans ses mains t’a retournée parce que tu ne t’y attendais pas et quand tu te reprends tu remarques qu’il n’est plus dans le salon, tu marches vers sa chambre qui est dans un sens la vôtre puisque tu dors bien plus souvent ici qu’ailleurs et tu l’entends parler à “Tchort”. Tu te demandes un instant s’il est en train de faire une crise où s’il perd simplement les pédales, mais dans les deux cas tu sais que cela ne signale rien de bon et malgré ce que tu ressens tu dois tout faire pour qu’il ne quitte pas l’appartement, tu dois faire en sorte qu’il oublie cette idée. Tu entres dans la chambre en le regardant << Arrête tes bêtises Séph’ >> dis-tu alors ajoutant << Range cette arme d’ailleurs depuis quand tu as un engin pareil ? >> tu secoues la tête parce que là n’est pas l’importance et l’urgence. Tu t’approches de lui prenant mine de rien sur toi et tu poses ta main sur son avant-bras << Ce n’est pas le bon moyen pour lui faire payer >> dis-tu laissant doucement ton autre main glisser vers l’arme pour lui prendre des mains.

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Ce que je ressens là maintenant c’est assez compliqué à le dire, je ne sais pas moi-même, je me rends compte que ce que j’ai pu penser pendant toutes ses années et encore, je n’ai rien pensé de mal sur la femme que j’aime depuis des années. Toute la haine que j’ai pu ressentir n’en revient que pour mon frère, mon jumeau, celui qui aurait dû être mon double. Je ne la regarde pas alors que mon regard se pose sur la boite que je viens d’aller chercher, je l’écoute et pourtant mon regard ne se pose pas sur elle, je fronce les yeux et je me mord l’intérieur de la lèvre pour ne rien dire sur le coup “Arrête de raconter de la merde, tu ne sais même pas ce que j’ai pensé, je n’ai rien pensé de mal de toi” Je ne rajoute rien, au pire j’ai été peut-être déçu sur le coup qu’elle se soit laisser avoir par lui mais jamais je ne lui en ai voulu et je ne lui en veux toujours pas cependant j’avais besoin de savoir Seph ne la laisse pas t’atteindre maintenant il est temps de le tuer

Mon regard reste sur la boîte alors que je lui dis ce qu’il m’a dit et pourtant je ne rentre pas dans les détails de tout et heureusement au fond parce je me serais certainement fait plus de mal qu’autre chose. Quand elle dit que j’ai été carrément aveugle, je fronce les yeux mais dans un sens elle n’a pas tort. J’ouvre la boîte et je finis par dire qu’il a gagné surtout quand je vois comment elle a réagi à tout ça. Je soupire avant de dire que je vais le tuer, j’entends ce qu’elle dit mais je ne l’écoute pas et je quitte la pièce Oui il est temps qu’il crève. Dans la chambre, je sors des affaires et je lui parle, je me confesse en lui parlant de Lexie et de ce que je ressens pour elle. J’en ai plus rien à faire maintenant de ce qu’il peut se passer dans ma vie tant que j’ai cette femme avec moi. Oui je sais, je sais L’arme toujours en main, je ne l’attends pas venir.

Mais je l’entends mais j’ai l’impression qu’elle est loin, bien trop loin pour réellement distinguer ce qu’elle veut me dire. Quand elle pose sa main sur mon bras, je fronce les yeux avant qu’elle ne m’enlève l’arme des mains Elle dit n’importe quoi, c’est le seul moyen si on veut qu’il nous laisse en paix” Je soupire sans rien dire l’espace d’un moment, j’essaie de trouver les mots juste pour lui faire comprendre qu’il n’y a que comme ça qu’il nous laissera. “C’est le seul moyen, c’est de sa faute tout est de sa faute” Je regarde l’arme dans ses mains, je n’ai qu’une envie là maintenant c’est de la lui reprendre pour y aller.

“S’il te plaît laisse moi le faire, il nous a fait trop de mal” Je parle aussi bien pour moi que pour elle. Je sais que s’il ne m’avait pas dit tout ça, cela ferait longtemps que j'aurais cédé à la tentation, cela ferait longtemps qu’elle serait au courant des sentiments que je porte en moi depuis des années. Je l’aime, je l’aime d’un amour inconditionnel et pourtant j’ai l’impression d’avoir commis la plus grosse erreur de ma vie là maintenant, je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression qu’elle me déteste. Je fais quelques pas dans la pièce, glissant mes mains dans mes cheveux afin de trouver une solution à tout ça. Je sais qu’elle m’empêchera de faire quoi que ce soit avec cette arme. Tant pis, je trouverai autre chose alors.

Je me retourne pour la regarder Non Seph Je plante mon regard dans le sien “Très bien tu as gagné, tu peux garder l’arme mais je peux te jurer qu’il va me le payer.” Je soupire venant passer une main sur mon visage avant de me rapprocher d’elle. “J’aurai dû te parler de ça avant mais j’avais peur de te perdre, peur que ce qu’il m’a dit sur le fait que tu le voulais lui soit vrai. Je n’ai jamais pensé de toi que tu étais une salope ou je ne sais quoi. Je me suis dit que si tu dormais avec moi, c’est parce que tu avais remarqué que ta présence m’apaisait mais jamais je n’ai pensé quoi que ce soit de mal envers toi Lexie. Même quand j’ai mal de te savoir avec un autre.”

Je soupire avant de me retourner pour venir devant la fenêtre, j’ai mal de tout ça et je ne peux nier que s’il était là, je serais déjà entrain de le fracasser. “Je…. je…. suis amoureux de toi depuis le début Lex… Tu ne l’as peut-être pas su mais… ma tante m’a fait enfermer pas que parce que j’étais fou même si je sais que je le suis mais pour m’éloigner de toi… Parce que quand ma sœur est morte, j’ai perdu pied et j’ai demandé à te voir. Déjà que je n’avais pas supporté de la perdre mais ce qu’elle m’a dit ce jour-là, j’ai compris qu’elle voulait m’éloigner de toi en m’enfermant de nouveau, si tu savais ce qu’elle m’a dit ce jour-là ça fait partie des raisons qui ont fait que j’ai tenté de “partir” et juste après il en a rajouté et… j’ai cru mourir bien plus qu’avant…”

Un léger voile s’installe sur ma voix reprends toi Seph, ne le laisse pas gagner, garde en tête que tu dois le tuer Oh je ne perds pas tout ça, je compte bien le tuer. Je pose mes mains sur le mur glissant ma tête entre mes bras, essayant de reprendre le dessus et d’éviter une nouvelle crise, car je la sens pas loin...

(c) oxymort

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- Il t’a fait mal alors qu’il n’a rien fait, mais tu as mal comme jamais tu as pu avoir mal… Ses paroles bien qu’elles n’étaient pas insultantes t’ont malgré tout fait souffrir parce que tu ne comprends pas comment il a pu croire les propos de son connard de frère ! Tu ne comprends pas pourquoi Liam est allé raconter ce genre de connerie… Tu sais que depuis ce jour-là ta relation avec Liam est différente même lointaine, mais jamais tu n’aurais pu imaginer qu’il aurait menti à ce point !
Tu n’as jamais eu de quoi être réellement en colère contre lui malgré le fait est qu’il a été insistant ce fameux soir, tu étais partie sur l’idée qu’il avait perdu la tête le temps d’un instant à cause du chagrin de la fatigue et du manque de sa soeur et de son jumeau, mais non… Tu t’es berné toi-même, tu as refusé de voir l’enflure qu’il était et pour ça tu t’en veux.

Tu sais que tu iras régler tes comptes avec Liam, tu sais que tu vas lui faire du mal, tu veux lui faire aussi mal qu’il a pu en faire à l'homme que tu affectionnes ! Non, tu veux lui faire encore plus mal et tu vas le faire, tu le sais. Les deux seules questions que tu peux encore avoir c’est quand et comment, mais tu ne paniques pas tu sais que la patience te fera gagner et que tôt ou tard tu écraseras cet enfoiré.

Dans la chambre, tu t’approches de lui et doucement tu lui prends l’arme des mains et tu l’écoutes, tu sais qu’il a raison, tu sais parfaitement que Liam mérite d’être puni, mais il est inconcevable pour toi que Seph en paye le prix par derrière ou qu’il soit loin de toi une fois de plus << Tu vas faire quoi Seph ? Tu vas lui mettre une balle entre les deux yeux et après ? Tu vas finir en taule et tu le sais aussi bien que moi… Tu vas me laisser… Tu vas être loin de moi c’est ça que tu veux ? >> demandes-tu en le regardant avec un regard triste et toujours bouleversé parce que tu restes une femme sensible surtout avec Seph. Tu soupires en gardant l’arme en main et tu ajoutes << Il mérite… Il mérite Seph, mais pas comme ça >> tu ne veux pas le perdre, tu ne le supporterais pas.

Tu le vois marcher dans la pièce les mains dans les cheveux et tu sais qu’il est pas seul enfin, il ne l’est jamais, mais tu sais que Tchort est présent et que c’est lui qui l'incite à faire n’importe quoi… Parce que Tchort est comme ça, il ne réfléchit pas il agit seulement et bien que tu aimes cela tu sais que c’est la plus grosse faiblesse de Tchort et qu’il a tendance à se croire invincible… Et dans le fond peut-être que c’est le cas, mais Seph lui ne l’est pas. Tu le laisses combattre ses démons et quand il se retourne pour te dire que tu as gagné, tu soupires de soulagement parce que oui, tu es soulagé d’entendre qu’il lâche l’affaire pour ce soir… Tu sais qu’il lui fera du mal, mais tu viens de gagner cette bataille. Tu le regardes se rapprocher de toi, mais tu ne bouges pas seulement tu tiens l’arme plus fortement parce que tu sais qu’il pourrait te le reprendre à tout instant. Mais au lieu de ça, il te parle, il s’ouvre alors toi tu l’écoutes parce que tu aimes quand il s’ouvre à toi. Tu comprends oui c’est compréhensible parce que toi aussi tu avais peur de le perdre… Mais tu entends qu’il avait peur que tout soit vrai… Et ça enfonce le couteau que Liam t’a planté dans le dos, tu fronces doucement les sourcils, mais tu ne dis rien tu le laisses te parler. Tu n’as pas le temps de le toucher ou de dire quelque chose puisqu’il marche vers la fenêtre et qu’il reprend alors tu l’écoutes marchant à reculons pour venir poser l’arme sur la commode de la chambre qui se trouve à l’opposé de lui. Tu t’approches de lui sans rien dire écoutant simplement, mais quand tu entends qu’il est amoureux de toi tu te stoppes et tu clignes des yeux sentant ton coeur s'emballer subitement et tu souris avant d’entendre parler de sa tante… Voilà encore une part d’ombre que tu ne connais pas, une histoire dont tu n’as jamais entendu parler.

Tu entends sa voix se fondre dans une touche qui ressemble davantage à des sanglots, mais tu sais qu’il ne pleure pas, tu comprends bien que c’est uniquement un voile qui s’est installé, mais pour toi c’est comme si Seph était en train de pleurer… Le timbre de sa voix qu’il utilise actuellement et la détresse que tu ressens te bouleverse à nouveau, mais d’une autre manière. Tu t’approches venant poser tes mains à plat sur son dos et tu embrasses doucement son dos collant ensuite ton menton contre son dos disant alors doucement << Seph… >> tu passes ta langue sur tes lèvres et tu soupires doucement reculant venant te poser sur le bout du lit et tu soupires une nouvelle fois << J’ai cru mourir quand tu as tenté de mettre fin à ta vie >> tu parles doucement et tu poses tes mains sur tes cuisses comme pour te donner du courage << Je sais que tu étais mal quand tu as fait ça… Aujourd’hui je le sais, mais à l’époque j’ai très mal vécu la nouvelle et le fait est que tu partes en centre je... je… enfin tu vois, je n’étais pas bien je pensais que tu voulais m’abandonner et je me suis amusé à monter sur le toit, j’ai fait n’importe quoi je ne sais même pas pourquoi je suis monté sur le toit, je ne sais pas si j’aurais sauté ou pas, mais Liam m’a attrapé le bras et il m’a collée contre lui… J’étais réellement mal, je me sentais seule, ta sœur me manquait, mon père ne comprenait rien et toi…. Toi, tu n’étais pas là. >> tu dégages tes cheveux en arrière << Dans tous les cas Liam était là… Ce soir-là il m’a dit qu’il pourrait être toi, je n’avais qu'à lui demander, il m’a embrassé, mais je n’ai pas répondu, je l’ai repoussé et depuis la relation entre lui et moi est quasi inexistante >> dis-tu en le regardant en soupirant, tu te relèves tenant toujours le plaid contre toi << Toute notre vie on a essayé de nous séparer, de nous éloigner… J’ai plus envie d’être loin de toi Seph, j’ai tout laisser tomber pour être à tes côtés s’il te plait ne laisse pas ta colère nous séparer à nouveau >> tu t’approches à nouveau, mais la sonnette qui retentit te stop dans ton élan, tu pinces tes lèvres, mais tu ne bouges pas, mais la sonnette se fait une nouvelle fois entendre. Tu soupires et tu attrapes le haut de Seph qui traîne sur la chaise présente dans la chambre et tu l’enfiles celui-ci est bien grand pour toi, il recouvre tes fesses pile poil, mais pour être sur que tu sois bien couverte pour ne pas mettre Séphiros en rage, tu enroules le plaid autour de tes hanches comme une jupe et tu pars ouvrir la porte à contrecœur. Tu n’as jamais autant regretté d’avoir commandé quelque chose…

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Lexie & Séphiros

◊ ◊ ◊

Une famille est censée être bienveillante avec un membre de cette même famille mais aujourd’hui, je me rends de nouveau compte que c’est nous contre eux. Une fois de plus, ils ont tout fait pour me briser et ils auraient pu y arriver si seulement, je n’avais pas fait le choix de vivre ma vie. Pourtant, il a été là dans ma vie laissant planer le doute sur ce qu’elle pouvait ressentir pour lui alors que jamais ça n’a été le cas. Quand elle prend l’arme, je n’ai qu’une envie, la lui reprendre mais je sais que cela pourrait lui faire mal. Mon regard est là sur elle venant parfois sur l’arme, je l’écoute et elle marque un point quand elle dit que si à cause de lui, je me retrouve en prison cela voudra dire être loin d’elle et ça je sais que je ne pourrais pas le supporter, je sais que je signerai mon arrêt de mort sans réfléchir au reste. Je soupire et je fais non de la tête avant de venir marcher dans la pièce.

Les mains dans mes cheveux, je marche, il est là, il me dit de ne pas la laisser faire, je sais que dans un sens il a raison mais elle a aussi raison “Si je le fais, je vais la perdre, je ne pourrais pas la perdre” Je me mords l’intérieur de la lèvre, le goût du sang se fait ressentir, je soupire avant de revenir vers elle pour lui dire que je ne ferais rien, qu’elle a gagné et je commence à parler, à m’ouvrir à cette femme que j’aime mais je suis loin de tout dire, ce n’est pas facile pour moi. Je baisse la tête avant de me retourner pour aller me mettre devant la fenêtre et cette fois-ci, avec du mal, je lui avoue l’inavouable, du moins à mes yeux, je viens de lui avouer que je suis amoureux d’elle depuis des années.

Ce n’est pas facile mais je suis sur la lancer alors je continue et je lui parle de ce jour, où j’ai voulu me retirer la vie. ça me fait mal de parler de cela mais les mots coulent doucement, ma voix est différente. Je ne pleure pas non, je n’ai pas pleuré depuis tellement d’années, la dernière fois que j’ai pleuré c’est pour ma soeur mais ça n’a duré que quelques secondes avant de me reprendre aussi vite que les larmes avaient coulées. Je n’ai pas le droit de pleurer, je n’ai plus le droit depuis qu’il les a tous tué, depuis qu’il m’a dit que cela me rendait faible et il a raison tout comme elle est ma faiblesse mais j’ai besoin d’elle, j’ai besoin de sa présence et de son amour.

Quand je sens ses mains sur son dos puis ses lèvres si douces, je ferme l’espace d’un instant les yeux avant de tourner doucement la tête vers elle alors qu’elle vient de s’installer sur le lit. Mon regard reste sur elle l’espace d’un moment avant de regarder de nouveau par la fenêtre tout en restant une oreille attentive. Je comprends beaucoup de choses mais surtout je comprends aussi que mon frère et le pire des salops, comment a-t-il pu me faire ça… Je finis par me tourner vers elle alors qu’elle parle de nous, mon regard se fait perçant Tu sais que si tu ne fais rien, il recommencera Oui je sais qu’il recommencera mais faire ça, aujourd’hui sera ne plus être avec elle et ça… je ne peux pas. Quand elle s’approche, mes bras glissent le long de mon corps mais très vite la sonnette retentit.

J’avais presque oublié qu’on avait commandé, je la regarde alors qu’elle s’habille, je ne dis rien ayant un léger rictus quand elle passe le plaid autour de sa taille. Je ne bouge pas alors qu’elle quitte la pièce pour aller ouvrir. Je soupire venant passer une main sur mon visage “On l’aura un jour, je t’en fais la promesse, il va le payer, on va lui faire payer à jamais” Très bien, n’oublie jamais ce qu’il a fait “Oh tu peux être sûr que je ne vais pas oublier mais pas ce soir, on a mieux à faire” J’ai besoin d’être avec elle tout simplement. J’attends qu’elle referme la porte pour quitter la chambre, je m’appuie contre le mur laissant mon regard sur elle alors qu’elle revient avec les sacs.

La colère contre mon frère est toujours présente en moi et je sais qu’elle ne va pas partir comme ça mais pour ce soir, je vais la mettre de côté. Je reste silencieux alors que mon regard reste sur elle, énormément de choses me passent en tête à ce moment précis mais je finis par me décoller pour avancer vers elle. "Tout est bon ?” Je laisse mon regard la parcourir alors que je lui prends les sacs pour les poser sur la table basse revenant vers elle. "On en était où ?"

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