- Camille JimènezMembre en danger
- Pseudo : Blondie
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Faceclaim : Eiza González
Crédits : Blondie - Tumblr
Date d'inscription : 15/03/2021
Âge : 27 years
Situation financière : Beaucoup plus de crédit que de débit, le rouge est devenue la couleur majoritaire de ton relevé bancaire
Situation amoureuse : En partenariat domestique avec son téléphone... Pas d'attache, pas de sentiment une simple entente commerciale.
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Habitation : Hébergée à titre gracieux par Isa au N°25 - Dupont Circle
Emploi/études : Hôtesse dans le plus prestigieux hôtel casino de la ville
Rps en cours : Isabel ▷ Amalrick
Ft. @Isabel Jimènez
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Inspirer… Expirer… Tu regardes cette porte depuis une bonne vingtaine de minutes à présent. Pourtant elle n’est faite que de bois, recouverte d’un vernis sûrement, et d’une peinture peut être pour lui donner cette couleur… Es-tu réellement en train d’analyser les potentiels matériaux ? Sans le moindre doute oui… Tout est bon pour occuper ton esprit plutôt que te poser les bonnes questions, ou oser franchir les quelques centimètres qui te permettrait de frapper à cette porte. Ou vaudrait-il mieux sonner ? Tu pourrais te laisser aller à un débat interne d’une heure ou deux juste pour te faire gagner du temps. Tu te sens nerveuse, fébrile, tes mains sont moites et les frotter sur ton jean n’y change absolument rien. Inspirer… Expirer… Calmer le rythme chaotique joué par ton cœur. Toi la jeune femme si sûre de toi, qui fonces la tête baissée, te voilà en pleine interrogation. Tu l’entends le doute, il résonne au plus profond de toi, dissimulé par ton optimisme chronique, mais il est là… Rôdant, attendant la moindre brèche pour se faire entendre et prendre le pas sur le reste… Attendant son heure… Attendant le moment ou la peur entrera en scène, reléguant la logique et la rationalité au rang de figurants. Inspirer… Expirer… C’est une très mauvaise idée et tu le sais, après tout pourquoi te viendrait-elle en aide ? Au nom du sacro-saint lien fraternel ? Vous ne vous êtes pas revues depuis l’année de tes 16 ans, pas un sms, une invitation facebook, un message sur instagram rien… Tu étais même surprise qu’elle ait gardé le même nom de famille ! Ce qui par ailleurs fut une aubaine pour toi, car sinon retrouver ta sœur aurait été bien plus ardue… Tu te sens ridicule plantée ainsi sans esquisser le moindre geste qu’il soit en avant ou en arrière.
Tu pourrais faire demi-tour et retourner d’où tu viens… Ah mais non ! En cela réside le problème… La touche retour en arrière est hors service pour une durée indéterminée et cette porte te sépare de e qui se profile comme ton dernier espoir d’avoir un toit décent au-dessus de la tête ! Parfois le destin offre une tournure à votre vie pour le moins… Inattendu… Ironique… Inspirer… Expirer…Frapper Ta main s’écarte du bois comme si elle venait de recevoir une décharge électrique. Tu ne sais pas depuis quel région de ton cerveau l’action a été faite, surement par celle du « foutue pour foutue » de concert avec le fameux « Carpe Diem ». Les minutes défilent et tu es presque soulagée que personne ne vint répondre à ton appel. Tu auras essayé… Puis tu l’entends, ce léger tintement annonçant qu’on déverrouille la porte… Elle va s’ouvrir d’une seconde à l’autre, et c’est à cet instant que tu te dis que peut-être tu aurais du réfléchir à une phrase d’accroche… Commencer par une formule de politesse pour faire bon usage, suivi d’un compliment pour mettre son interlocutrice de bonne humeur peut-être ? Les tournures se mélangent, s’entrechoquent dans un ballet désordonné qui finit par aboutir à une seule solution lorsque ta sœur se dessine par l’entrebâillement de la porte. « Holà hermana, ça faisait un bail ! » Peut-on faire un peu plus banal et cliché ? En ajoutant un petit maux d’esprit sur la météo assurément…
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Tu pourrais faire demi-tour et retourner d’où tu viens… Ah mais non ! En cela réside le problème… La touche retour en arrière est hors service pour une durée indéterminée et cette porte te sépare de e qui se profile comme ton dernier espoir d’avoir un toit décent au-dessus de la tête ! Parfois le destin offre une tournure à votre vie pour le moins… Inattendu… Ironique… Inspirer… Expirer…Frapper Ta main s’écarte du bois comme si elle venait de recevoir une décharge électrique. Tu ne sais pas depuis quel région de ton cerveau l’action a été faite, surement par celle du « foutue pour foutue » de concert avec le fameux « Carpe Diem ». Les minutes défilent et tu es presque soulagée que personne ne vint répondre à ton appel. Tu auras essayé… Puis tu l’entends, ce léger tintement annonçant qu’on déverrouille la porte… Elle va s’ouvrir d’une seconde à l’autre, et c’est à cet instant que tu te dis que peut-être tu aurais du réfléchir à une phrase d’accroche… Commencer par une formule de politesse pour faire bon usage, suivi d’un compliment pour mettre son interlocutrice de bonne humeur peut-être ? Les tournures se mélangent, s’entrechoquent dans un ballet désordonné qui finit par aboutir à une seule solution lorsque ta sœur se dessine par l’entrebâillement de la porte. « Holà hermana, ça faisait un bail ! » Peut-on faire un peu plus banal et cliché ? En ajoutant un petit maux d’esprit sur la météo assurément…
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In our family portrait we look pretty happy we look pretty normal, let's go back to that ! In our family portrait, we look pretty happy let's play pretend, let's act like it comes naturally...
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Âge : On dit souvent que l’âge qui compte est celui que nous avons dans la tête, si c’est le cas je dois être coincée sur mes 25 ans… Mais en réalité, je viens de souffler mes 30 bougies.
Situation financière : L’argent n’a jamais été quelque chose qui m’a semblé être important dans la vie en réalité, j’ai toujours obtenu tout ce que je voulais en un claquement de doigts alors, j’ai rapidement désenchanté quand j’ai pris mon envolé pour vivre de mes propres ailes sans utiliser les billets verts de mon père… Je pense pouvoir dire que j’ai touché le fond un temps, mais aujourd’hui ma situation est confortable je ne manque de rien et je me fais plaisir sans toucher au compte ou dors les millions qui m'appartiennent suite à la gentillesse de ma famille fortunée.
Situation amoureuse : Je pensais être amoureuse, il y a dix ans environ je pensais réellement avoir trouvé l’amour auprès du dealer qui m’a revendu sa came pour me faire tenir le coup lors des examens, il était doux, tendre et je me suis fait avoir comme une débutante puisqu’il m’a fait vivre un cauchemar qui me hante encore 10 ans plus tard. L’amour n’est donc pas quelque chose que je côtoie, j’ai construit des remparts autour de mon cœur et personne ne peut les franchir du moins j’y veille, mais qui est assez rusé pour dévier l’amour ?
Orientation sexuelle : Je n’ai jamais eu aucun doute concernant mon orientation sexuelle, j’aurais pu plusieurs fois me laisser tenter par la douceur d’une femme j’ai d’ailleurs essayé, mais je n’ai pas réussit à aller jusqu’au bout puisque cela me faisait rire comme pas permis et que je n’ai ressenti aucune envie, aucun désir. De ce fait je ne suis attirée que par le sexe masculin et j’assume être hétérosexuelle dans ce monde qui aujourd’hui semble s’expansé vers d’autres penchants.
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Emploi/études : En chemin pour devenir Chirurgien Pédiatrique.
Multicomptes : Ben Turner - Lexie Cashten - Aurora Fitzgerald
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Soren
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Toi peut-être ?
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Je viens de passer ses dix dernières années à me battre contre mes démons, ces démons que l’homme lui-même m’a infligés contre mon gré ce n’est pas encore terminé et je le sais mon combat ne sera jamais totalement achevé, mais je sais que j’ai déjà bien évolué puisqu’aujourd’hui je parviens à croire à un avenir.
Un avenir qui prend forme d’un croquis où je tiens la main de Soren, je sais que personne n’est au courant encore pour lui et moi d’ailleurs je ne sais pas moi-même ce que nous sommes réellement, mais c’est uniquement parce que je ne veux pas mettre une étiquette sur ce que nous vivons puisqu’au fond de moi je sais ce que je ressens et comme il a été très explicite avec moi je sais ce qu’il ressent, mais également à cause de Nina... Je n'oublie pas que ma meilleure amie était sa femme, l'amour de sa vie.
Ma vie semble prendre un tournant agréable pour une fois et je peux réellement crier sur tous les toits de la ville que je me sens véritablement heureuse pour la première fois de ma vie ! Je ne compte pas les moments de joies que j’ai pu ressentir quand j’étais complètement sous l’emprise de la coke et compagnie, non cela est trop abstrait pour les prendre en considération !
Bien que Rolland qui est l’homme qui m’a retrouvée quasi morte dans la ruelle de son restaurant il y a 10 ans après qu’on n’est abusé de moi n’est pas au courant de ce qu’il se passe avec Soren puisque je n’ai pas encore partagé avec lui à ce sujet, je sais qu’il remarque que je suis différente… Tout comme au boulot mes collègues ont bien remarqué que je suis différente puisque j’accepte de moins en moins les heures supplémentaires. Il faut dire que maintenant j’ai d’autres priorités comme celle de rejoindre Soren juste pour avoir le plaisir de le voir sourire.
C’est dingue l’enthousiasme et l’adrénaline que je ressens depuis que nous avons passé ce moment ensemble loin de la ville, j’ai l’impression de vivre à nouveau… Est-ce ce genre de chose que les gamines de 16 ans ressentent quand elle tombe amoureuse pour la première fois ? Je ne sais pas, mais je sais que j’affronte chaque journée avec un sourire sur les lèvres et l’impatience de le voir ou d’avoir de ses nouvelles. D’ailleurs aujourd’hui était ma journée de repos et je l’ai passée à me trimballer en ville à la recherche de quoi remplir mon armoire puisque les beaux jours sont sur le point d’arriver. Je suis également passé voir Soren qui travaillait, je n’ai pas pu le voir longtemps, mais le peu de temps que j’ai pu le voir a été un véritable plaisir maintenant j’attends avec impatience qu’il m’appelle à la fermeture du bar.
Il n’est pas bien tard quand je passe la porte de mon appartement les mains chargées de nouveau vêtement l’horloge présente dans la cuisine ouverte sur le salon, il est seulement 16h00 l’heure idéale pour que je me laisse tenter par une gourmandise. Je me prends donc une barre de céréale et je croque dedans tout en sortant des sacs ce que je me suis acheté au moment même ou mon téléphone sonne, j’abandonne rapidement ce que j’étais en train de faire pour décrocher et commencer une discussion avec l’homme qui me donne la sensation d’avoir des ailes. Je ne sais pas combien de temps je reste au téléphone, mais je sais que ça dure un bon moment et que je n’ai plus rien fait tout le temps où j’étais au téléphone. Je pose mon téléphone sur le canapé après avoir raccroché le sourire aux lèvres et je commence à enlever les étiquettes de mes vêtements quand j’entends toquer.
Directement mon regard se tourne sur l’horloge et je fronce les sourcils ne voyant pas qui pourrait être devant ma porte à cette heure-ci, je ne me presse pas pour aller répondre c’est donc d’un pas léger que je me rends à la porte d’entrée et je l’ouvre légèrement gardant une certaine méfiance. Mon regard se pose sur le visage d’une demoiselle qui ne me dit rien aux premiers abords, mais quand je l’entends me parler en espagnol, mais surtout prononcer le mot ‘Sœur’ je me fige subitement. Il y a des années que je n’ai pas vu ma sœur, des années que je n’ai plus de nouvelle d’elle et là… Elle a les pieds sur mon paillasson, ma surprise est grande et elle se fait entendre à mon timbre de voix << Camille ? >> je cligne des yeux plusieurs fois ne réalisant pas bien, mais surtout en ne comprenant pas pourquoi elle est là. J’ouvre un peu plus la porte et c’est à ce moment précis que je remarque sa valise et je comprends oui comme une évidence qu’elle n’est pas ici par guetter de cœur, mais qu’elle n’a pas d’autre solution. Sans même le vouloir, je fronce les sourcils remontant mes iris sur son visage << Qu’est-ce que tu… >> je me tais puisque ma question est totalement absurde puisqu’on ne trimballe pas sa valise juste pour faire classe. J’inspire doucement en ouvrant la porte complètement << Entre je t’en pris >> dis-je alors me doutant parfaitement du pourquoi elle est présente devant moi après tant d’années, mais ce que j’ignore c’est bel et bien l'histoire qui va avec. Je ne sais pas si lui ouvrir la porte de mon entrée est une bonne idée, mais elle reste ma sœur, ma petite sœur.
- Camille JimènezMembre en danger
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Et voilà tu ne peux plus faire marche arrière. Impossible pour toi de te défiler ou de faire simplement comme si tu passais simplement dans le coin… Au détour d’une balade fortuite… T’aurais du prendre un chien ! Tu aurais pu user de l’excuse de sa fuite et de sa recherche hasardeuse dans le quartier. Tu remarques bien que ta sœur met quelques secondes à te reconnaître et tu ne seras pas celle qui la blâmera. Toi tu as fait tes recherches, tu n’as pas de super pouvoirs à deviner où sont les gens sur cette planète à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit… Non… Tu as des amis qui te le font pour toi. Enfin amis… Disons plutôt connaissances qui t’ont demandé un dîner en échange, ce qui n’était pas cher payé pour le travail effectué. Donc toi tu savais ce que donnait le souvenir de ta sœur auquel s’ajoutaient les onze années écoulées. « Camille ? » « En chair et en os ! » que tu réponds avec un immense sourire bien qu’une alternative t’étais proposée par ton cher subconscient… Surpriiiiiise Que tu aurais eu presque envie de crier, mais quelque chose te disait que cela aurait été extrêmement malvenu. S’il y a bien une personne avec laquelle tu ne jouerais pas la carte de la fille un peu trop expansive et heureuse c’est bien avec ta sœur. Elle était déjà à l’époque l’une des rares personnes à voir à travers ce masque que tu revêtais et tu la détestais pour ça… Tu étais très bien à dissimuler tes émotions derrière ton magnifique sourire, faisant disparaître blessure et tristesse en toute circonstance. Chose qui n’a d’ailleurs pas changé le moins du monde. Tu peux lire l’incompréhension sur son visage bien que tu ne te fasses pas d’illusion, la vision de ta valise à tes côtés a dû la mettre sur la bonne voie. Tu peux lister les défauts de ta sœur, après tout c’est ta sœur, mais l’idiotie n’en fait pas partie. Elle a toujours était la plus intelligente de la fratrie avec une facilité d’apprentissage ainsi qu’une déduction presque irréelle. Loin de toi une quelconque jalousie, bien au contraire, cela suscitait une certaine forme d’admiration, le genre d’admiration qu’une petite sœur a pour sa grande sœur.
« Qu’est-ce que tu… » fiche sur mon palier après 10 ans ? Serait possiblement une fin de question ? C’est ce que tu aurais répondu si les rôles avaient été inversés… Avec beaucoup moins de diplomatie pour être pleinement honnête. Heureusement que vous n’avez pas le même caractère et que vous ne l’avez jamais eu… Mais après tout, que connais-tu d’elle réellement ? À part tes souvenirs d’un passé lointain tu ne sais rien de la jeune femme se tenant devant toi. Tu ne sais rien de la façon dont elle a évolué, peut être a-t’elle changé du tout au tout ? Non… Tu ne ressens pas une once de méchanceté ou de malveillance quand tu la regardes. Tu ressens toujours cette force qu’elle a toujours eu, cette capacité à tout affronter sans faiblir et continuer d’avancer même à contre courant. Tu retiens ton souffle, tu sens que le moment fatidique approche… Ce moment où elle devra choisir entre t’accepter ou te rejeter… Devrais-tu dire quelque chose ? Plaider ta cause ? Le saurais-tu ? Ce n’était pas une certitude. Et si la réponse était négative… Il te faudrait trouver un autre plan, que tu n’as pas… « Entre je t’en pris » Tu pourrais presque en soupirer de soulagement ! Le sourire que tu adresses à ta sœur est sincère et rempli de gratitude. Tu es extrêmement douée pour masquer tes émotions et jouer avec les micro-expressions. Tu es passée depuis longtemps maître en matière de manipulation, mais aujourd’hui… L’espace de quelques secondes… Il n’y avait ni rôle, ni tromperie… « Merci. » Attrapant tes affaires tu entres donc chez ta sœur en observant les lieux. Pour décrire ce que tu vois tu dirais que c’est chaleureux, épuré, sobre. Tout ce qui n’est pas toi en somme.
« C’est très joli chez toi » Ce n’est pas un mensonge, c’est joli… Pas du tout à ton goût mais joli. Tu te flagelles mentalement d’avoir sorti une telle banalité… La prochaine étape peut être lui parler de ses cheveux ? Tu as toujours été de celles qui prennent les devants, aujourd’hui ne fera pas exception à la règle. « Je suis sûre que je dois être la dernière personne que tu t’attendais à voir sur le pas de ta porte mais… » Tu prends une profonde inspiration pour te donner un énième courage pour prononcer les mots qui vont suivre. « J’ai besoin que tu m’aides… Je sais que tu ne me dois rien ça fait des années que le contact a été coupé… » Autant être honnête… « Mais je n’ai personne d’autre vers qui me tourner… » Plus personne plutôt ? Question de tournure de phrase… Tu veux que ta sœur t’aides pas qu’elle te dise d’aller voir ailleurs si elle y est… Les mots sont les armes les plus puissantes qu’il nous est donné d’utiliser, autant les manier avec précaution et parfois malice pour obtenir ce que l’on désire… Et au fond qu’est-ce que tu désires ? Un accès illimité à un frigo pour commencer !
« Qu’est-ce que tu… » fiche sur mon palier après 10 ans ? Serait possiblement une fin de question ? C’est ce que tu aurais répondu si les rôles avaient été inversés… Avec beaucoup moins de diplomatie pour être pleinement honnête. Heureusement que vous n’avez pas le même caractère et que vous ne l’avez jamais eu… Mais après tout, que connais-tu d’elle réellement ? À part tes souvenirs d’un passé lointain tu ne sais rien de la jeune femme se tenant devant toi. Tu ne sais rien de la façon dont elle a évolué, peut être a-t’elle changé du tout au tout ? Non… Tu ne ressens pas une once de méchanceté ou de malveillance quand tu la regardes. Tu ressens toujours cette force qu’elle a toujours eu, cette capacité à tout affronter sans faiblir et continuer d’avancer même à contre courant. Tu retiens ton souffle, tu sens que le moment fatidique approche… Ce moment où elle devra choisir entre t’accepter ou te rejeter… Devrais-tu dire quelque chose ? Plaider ta cause ? Le saurais-tu ? Ce n’était pas une certitude. Et si la réponse était négative… Il te faudrait trouver un autre plan, que tu n’as pas… « Entre je t’en pris » Tu pourrais presque en soupirer de soulagement ! Le sourire que tu adresses à ta sœur est sincère et rempli de gratitude. Tu es extrêmement douée pour masquer tes émotions et jouer avec les micro-expressions. Tu es passée depuis longtemps maître en matière de manipulation, mais aujourd’hui… L’espace de quelques secondes… Il n’y avait ni rôle, ni tromperie… « Merci. » Attrapant tes affaires tu entres donc chez ta sœur en observant les lieux. Pour décrire ce que tu vois tu dirais que c’est chaleureux, épuré, sobre. Tout ce qui n’est pas toi en somme.
« C’est très joli chez toi » Ce n’est pas un mensonge, c’est joli… Pas du tout à ton goût mais joli. Tu te flagelles mentalement d’avoir sorti une telle banalité… La prochaine étape peut être lui parler de ses cheveux ? Tu as toujours été de celles qui prennent les devants, aujourd’hui ne fera pas exception à la règle. « Je suis sûre que je dois être la dernière personne que tu t’attendais à voir sur le pas de ta porte mais… » Tu prends une profonde inspiration pour te donner un énième courage pour prononcer les mots qui vont suivre. « J’ai besoin que tu m’aides… Je sais que tu ne me dois rien ça fait des années que le contact a été coupé… » Autant être honnête… « Mais je n’ai personne d’autre vers qui me tourner… » Plus personne plutôt ? Question de tournure de phrase… Tu veux que ta sœur t’aides pas qu’elle te dise d’aller voir ailleurs si elle y est… Les mots sont les armes les plus puissantes qu’il nous est donné d’utiliser, autant les manier avec précaution et parfois malice pour obtenir ce que l’on désire… Et au fond qu’est-ce que tu désires ? Un accès illimité à un frigo pour commencer !
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Situation amoureuse : Je pensais être amoureuse, il y a dix ans environ je pensais réellement avoir trouvé l’amour auprès du dealer qui m’a revendu sa came pour me faire tenir le coup lors des examens, il était doux, tendre et je me suis fait avoir comme une débutante puisqu’il m’a fait vivre un cauchemar qui me hante encore 10 ans plus tard. L’amour n’est donc pas quelque chose que je côtoie, j’ai construit des remparts autour de mon cœur et personne ne peut les franchir du moins j’y veille, mais qui est assez rusé pour dévier l’amour ?
Orientation sexuelle : Je n’ai jamais eu aucun doute concernant mon orientation sexuelle, j’aurais pu plusieurs fois me laisser tenter par la douceur d’une femme j’ai d’ailleurs essayé, mais je n’ai pas réussit à aller jusqu’au bout puisque cela me faisait rire comme pas permis et que je n’ai ressenti aucune envie, aucun désir. De ce fait je ne suis attirée que par le sexe masculin et j’assume être hétérosexuelle dans ce monde qui aujourd’hui semble s’expansé vers d’autres penchants.
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En ouvrant la porte, je ne m’attendais pas à voir le visage de ma sœur, un visage qui mine de rien a totalement changé avec les années… Elle a grandi, elle a mûri, mais tu reconnais l’étincelle dans son regard, cette étincelle qui déjà autrefois signalait qu’elle était une véritable tornade. Malgré moi, je mets un peu de temps à remettre son visage sur son prénom et sur le lien qui nous unit, mais je pense que c’est davantage à cause de la surprise qu’autre chose, il faut dire que jamais je n’aurais pensé un jour voir un membre de ma famille débarquer sur le pas de ma porte.
Non seulement parce que le quartier où j’ai décidé d’acheter ma maison est un quartier banal et peu riche, mais également parce que je sais que pour ma famille je suis morte le jour où j’ai quitté la maison, il y a maintenant 11 ans.
Je finis par prononcer son prénom avec une touche d'interrogation parce que je suis réellement sous le choc de sa présence, mais sa réponse me confirme bien son identité.
Un tas de questions me traverse l’esprit, un tas de doutes également et je me demande si sa présence est parce que mon père attend quelque chose de moi… Oh, je ne serais pas surprise ! Chez les Jimènez on se souvient des gens quand on a besoin d’eux, ce n’est qu’une histoire de profit, l’amour n’existe pas ça a toujours été ainsi et cela ne changera pas… Et en observant correctement la scène qui se déroule sous mes yeux ce que je pense de ma famille est confirmé puisque ma sœur est présente avec sa valise et de ce fait sa présence n’est pas une simple courtoisie.
Je suis parfaitement consciente des options qui se sont offertes à moi puisque j’aurais pu la laisser dehors, j’aurais pu simplement fermer ma porte et faire comme si elle n’était jamais venue sur le pas de ma porte… Mais être ainsi voudrait dire que je suis comme mon paternel… Et je n’ai jamais été ainsi malgré tous les efforts de mon père pour que je le devienne alors c’est avec ma gentillesse naturelle que j’ouvre entièrement la porte pour la laisser entrer tout en l’invitant à entrer.
Je remarque son sourire et je ne peux pas dire si c’est un sourire sincère et vrai ou simplement une de ses multiples facettes qu’elle me dévoile… C’est horrible à dire, mais elle est comme une inconnue pour moi et les souvenirs que j’ai d’elle ne sont pas forcément des souvenirs qui la mettent en valeur. Je la laisse entrer dans mon appartement, mon cocon que j’apprécie énormément, il est certain que nous sommes loin du confort de luxe que les Jimènez connaissent, mais ici c’est chez moi et j’aime parfaitement ma vie comme elle est même, s’il elle n’est pas entourée de strass et de paillette. Je suis la valise des yeux et je soupire intérieurement me demandant dans quelle galère je suis en train de me mettre… Mais la laisser partir me priverait de ma sérénité mentale, je le sais, je suis comme ça… J’ai un grand cœur avec tout le monde, je suis douce et bien intentionnée.
Je ferme doucement la porte derrière elle, prenant bien le temps de fermer le verrou et je lève un sourcil en entendant me dire que chez moi c’est très joli est-elle en train de se foutre de moi ? Mon instinct me souligne que c’est le cas << Ne t’oblige pas à être polie et courtoise Cam’, dis-moi simplement ce que tu veux >> parce que oui, tu sais qu’elle est ici pour une raison particulière, mais tu ignores encore laquelle bien que tu es des doutes. Je marche vers la cuisine qui est ouverte sur mon salon et j’ouvre le placard du haut à droite pour sortir deux tasses, je me tourne en lui répondant << C’est peu de le dire ouais >>.Très franchement je ne pensais jamais la revoir, mais la vie semble ne pas vouloir me foutre la paix avec ma propre famille.
Je pose tes deux mains sur le bord du plan de travail posant mon regard sur le corps fin de ma petite sœur qui semble être tout droit sortie d’une maison de poupée, mais je sais qu’elle sort simplement du manoir et de la vie de princesse que j’ai aussi connu dans un passé qui me semble bien loin. Quand j’ entends qu’elle a besoin de moi je me retiens d’être ironique en lui répondant un “ Sans blague". Je l'écoute pour savoir où elle veut en venir et c’est quand elle me signale qu’elle n’a personne d’autre chez qui se tourner que je me revois 11 ans en arrière, perdu, apeuré, fragile, naïve et influençable. Je sais ou cette histoire m’a menée et je ne veux pas qu’elle vive le même sort que moi, je passe le bout de ma langue sur mes lèvres et je lui montre le tabouret devant la table juste en face de moi << Assied toi et raconte-moi >> maintenant, je veux savoir ce qu’il sait passer parce que je sais que sans savoir je ne pourrais pas être totalement ouverte à l’idée de l’aider. J’allume la machine et je demande << Thé ou café ? >> je n’ai pas énormément changé depuis toutes ses années, j’ai évidemment évolué, je me suis trouvée puisque j’ai appris à être celle que je suis aujourd’hui, mais physiquement excepté l’âge je n’ai pas changé alors qu’elle … Elle semble bien différente.
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Family Portrait
La vie prend parfois une drôle de tournure, certains diront qu’il faut lui faire confiance et que tout finira par s’arranger… Connerie ! Qui croit en ça ? Certainement pas toi. Tout fini par s’arranger ? Ça fait plus de deux ans que tu as perdu l’intégralité de ton patrimoine et tu ne l’as toujours pas retrouvé… Être plus patiente peut-être ? Ou non c’est lorsque tu trouvera un billet de cinq dollars que là tu pourras dire que tout s’arrange ? Puisque ça ne te payera pas les sublimes cuissardes Louboutin que tu as vu la semaine dernière, non ça ne s’arrangera pas du tout. D’autres au contraire privilégieront la voie du karma et évoqueront le fait que l’on obtient que ce qu’on mérite… Absurde ! Si tel était le cas, depuis longtemps ton père se serait trouvé au trente sixième dessous, or tu ne l’as jamais trouvé aussi en forme… Ou presque… La dernière image que tu as eu de lui c’est le visage déformé par la fureur. Il y a mieux comme dernier souvenir… « Ne t’oblige pas à être polie et courtoise Cam’, dis-moi simplement ce que tu veux » La réponse de ta sœur claque dans l’air, te coupant dans l’observation des lieux. Tu aurais bien aimé être grossière et irrespectueuse mais tu savais que ça ne servirait pas tes desseins… Que tu voudrais pouvoir laisser libre court à ton sarcasme… Es-tu aussi désespérée pour devoir demander l’aide de ta sœur ? Définitivement oui ! Sans la moindre alternative… « C’est peu de le dire ouais » Qu’elle ne s’y trompe pas. c’est bien la dernière personne chez qui tu comptais aller… Ironie du sort quand tu nous tiens…
Après son coup d’éclat et le fracassant départ de la maison tu ne pensais jamais la revoir. Surtout qu’elle n’avait en plus aucunement cherché à entretenir un quelconque lien ou une quelconque communication avec toi. Ta part de responsabilité ? Tu avais seize ans et ton père était ton modèle à la limite du fanatisme… Bien sûr que tu faisais ce qu’il te disait ! Et il t’avait formellement interdit de parler à nouveau à ta sœur et ce quelqu’en soit le support. Il avait avancé des arguments tous relatifs à des profondes déficiences cognitives, elle était nocive pour elle mais surtout pour les autres ! Mais si elle l’avait fait, si elle t’avait adressé une lettre ou même un sms, tu te serais même contentée d’un message privé sur Facebook ! Peut être n’y aurais-tu pas répondu ou peut-être que si, mais tu t’en serais souvenue et tu l’aurais fait ce pas vers elle bien avant de ne plus avoir la moindre option… Du moins c’est ce que tu te plais à te raconter. Tant que tu étais dans l’ombre des pas de ton père, il aurait été difficile de faire quoique ce soit contre sa volonté… L’aurais-tu voulu ? L’aurais-tu envisagé ? L’aurais-tu fait ? Des questions qui resteront sans la moindre réponse au vu de la situation actuelle. Tu observes ta sœur, appuyée sur son plan de travail, tout dans son langage corporel traduit le fait qu’elle voudrait que tu sois partout sauf ici ! « Sans blague » Son langage verbal aussi t’indiques que tu n’es pas vraiment la bienvenue… Elle a juste des principes … Une des énormes différences entre elle et toi par ailleurs.
« Assied toi et raconte-moi » Tu acquiesces d’un léger mouvement de tête et vint prendre place sur le tabouret qu’elle t´a montré, laissant ton sac à main sur le sol. « Je ne sais pas vraiment par où commencer… » Il fallait reconnaître que tu n’y comprenais pas grand-chose toi non plus, encore aujourd’hui. « Thé ou café ? » « Thé s’il te plaît. » Tu commences à jouer avec tes bagues, les faisant tourner autour de tes doigts. « Je vais essayer de résumer… J’ai fêté mon anniversaire comme tous les ans… Une sublime fête ! » Comme chacune que tu as organisé, c’était à mettre absolument sur ton CV ! « Enfin jusqu’à ce qu’on découvre que l’un des invités c’était suicidé dans la chambre numéro 5 exactement… » Tu ne sais pas pourquoi mais ce détails semblait avoir de l’importance pour les policiers. « Mais qui fait ça ? Aller se suicider chez les autres ?! Enfin bref… Papa a été arrêté en tant que suspect… Comment peut on être suspect d’un suicide ? » Tu te demandes encore comment cela est possible… « Après son retour de garde à vue il m’a très agréablement montré la porte de la maison et Adios mi hija, et me voilà dans ta cuisine… » Tu relâches tes mains avant que tes doigts ne viennent pianoter sur la surface dure. « Ah et j’ai perdu l’héritage familiale avec de mauvais placements donc sur une échelle de la galère je suis tout en haut… Ou en bas… J’ai jamais tellement compris cette histoire de verre à moitié vide ou à moitié plein ! » Tu dois avoir fait le tour de tout ce qu’il fallait raconter… Tu devrais peut être penser à en faire un scénario de film, ça pourrait marcher !
Après son coup d’éclat et le fracassant départ de la maison tu ne pensais jamais la revoir. Surtout qu’elle n’avait en plus aucunement cherché à entretenir un quelconque lien ou une quelconque communication avec toi. Ta part de responsabilité ? Tu avais seize ans et ton père était ton modèle à la limite du fanatisme… Bien sûr que tu faisais ce qu’il te disait ! Et il t’avait formellement interdit de parler à nouveau à ta sœur et ce quelqu’en soit le support. Il avait avancé des arguments tous relatifs à des profondes déficiences cognitives, elle était nocive pour elle mais surtout pour les autres ! Mais si elle l’avait fait, si elle t’avait adressé une lettre ou même un sms, tu te serais même contentée d’un message privé sur Facebook ! Peut être n’y aurais-tu pas répondu ou peut-être que si, mais tu t’en serais souvenue et tu l’aurais fait ce pas vers elle bien avant de ne plus avoir la moindre option… Du moins c’est ce que tu te plais à te raconter. Tant que tu étais dans l’ombre des pas de ton père, il aurait été difficile de faire quoique ce soit contre sa volonté… L’aurais-tu voulu ? L’aurais-tu envisagé ? L’aurais-tu fait ? Des questions qui resteront sans la moindre réponse au vu de la situation actuelle. Tu observes ta sœur, appuyée sur son plan de travail, tout dans son langage corporel traduit le fait qu’elle voudrait que tu sois partout sauf ici ! « Sans blague » Son langage verbal aussi t’indiques que tu n’es pas vraiment la bienvenue… Elle a juste des principes … Une des énormes différences entre elle et toi par ailleurs.
« Assied toi et raconte-moi » Tu acquiesces d’un léger mouvement de tête et vint prendre place sur le tabouret qu’elle t´a montré, laissant ton sac à main sur le sol. « Je ne sais pas vraiment par où commencer… » Il fallait reconnaître que tu n’y comprenais pas grand-chose toi non plus, encore aujourd’hui. « Thé ou café ? » « Thé s’il te plaît. » Tu commences à jouer avec tes bagues, les faisant tourner autour de tes doigts. « Je vais essayer de résumer… J’ai fêté mon anniversaire comme tous les ans… Une sublime fête ! » Comme chacune que tu as organisé, c’était à mettre absolument sur ton CV ! « Enfin jusqu’à ce qu’on découvre que l’un des invités c’était suicidé dans la chambre numéro 5 exactement… » Tu ne sais pas pourquoi mais ce détails semblait avoir de l’importance pour les policiers. « Mais qui fait ça ? Aller se suicider chez les autres ?! Enfin bref… Papa a été arrêté en tant que suspect… Comment peut on être suspect d’un suicide ? » Tu te demandes encore comment cela est possible… « Après son retour de garde à vue il m’a très agréablement montré la porte de la maison et Adios mi hija, et me voilà dans ta cuisine… » Tu relâches tes mains avant que tes doigts ne viennent pianoter sur la surface dure. « Ah et j’ai perdu l’héritage familiale avec de mauvais placements donc sur une échelle de la galère je suis tout en haut… Ou en bas… J’ai jamais tellement compris cette histoire de verre à moitié vide ou à moitié plein ! » Tu dois avoir fait le tour de tout ce qu’il fallait raconter… Tu devrais peut être penser à en faire un scénario de film, ça pourrait marcher !
In our family portrait we look pretty happy we look pretty normal, let's go back to that ! In our family portrait, we look pretty happy let's play pretend, let's act like it comes naturally...
Pando
- Isabel JimènezThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : Cynlis
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Date d'inscription : 30/12/2020
Âge : On dit souvent que l’âge qui compte est celui que nous avons dans la tête, si c’est le cas je dois être coincée sur mes 25 ans… Mais en réalité, je viens de souffler mes 30 bougies.
Situation financière : L’argent n’a jamais été quelque chose qui m’a semblé être important dans la vie en réalité, j’ai toujours obtenu tout ce que je voulais en un claquement de doigts alors, j’ai rapidement désenchanté quand j’ai pris mon envolé pour vivre de mes propres ailes sans utiliser les billets verts de mon père… Je pense pouvoir dire que j’ai touché le fond un temps, mais aujourd’hui ma situation est confortable je ne manque de rien et je me fais plaisir sans toucher au compte ou dors les millions qui m'appartiennent suite à la gentillesse de ma famille fortunée.
Situation amoureuse : Je pensais être amoureuse, il y a dix ans environ je pensais réellement avoir trouvé l’amour auprès du dealer qui m’a revendu sa came pour me faire tenir le coup lors des examens, il était doux, tendre et je me suis fait avoir comme une débutante puisqu’il m’a fait vivre un cauchemar qui me hante encore 10 ans plus tard. L’amour n’est donc pas quelque chose que je côtoie, j’ai construit des remparts autour de mon cœur et personne ne peut les franchir du moins j’y veille, mais qui est assez rusé pour dévier l’amour ?
Orientation sexuelle : Je n’ai jamais eu aucun doute concernant mon orientation sexuelle, j’aurais pu plusieurs fois me laisser tenter par la douceur d’une femme j’ai d’ailleurs essayé, mais je n’ai pas réussit à aller jusqu’au bout puisque cela me faisait rire comme pas permis et que je n’ai ressenti aucune envie, aucun désir. De ce fait je ne suis attirée que par le sexe masculin et j’assume être hétérosexuelle dans ce monde qui aujourd’hui semble s’expansé vers d’autres penchants.
Habitation : N°23 - Dupont Circle - Maison
Emploi/études : En chemin pour devenir Chirurgien Pédiatrique.
Multicomptes : Ben Turner - Lexie Cashten - Aurora Fitzgerald
Rps en cours : Rp en cours
Soren
Camille
Nicholas
Toi peut-être ?
Siobhan Donovan
Family Portrait
Je n’ai pas envie d’être désagréable avec ma petite sœur, je n’ai pas envie d’être la mauvaise dans l’histoire, mais sa venue ne signale rien de bon… Elle annonce clairement une tempête à prévoir sous peu et cette idée ne m’emballe pas puisque moi j’ai ma petite vie tranquille et rangée. Alors que je me doute que l’arrivée de la cadette Jimènez apportera avec elle un autre morceau de la famille comme mon père…
Je l’entends complimenter l’intérieur de mon chez-moi et je ne peux m’empêcher d’être cassante en la remettant à sa place puisque je sais que ses paroles ne sont même pas l’ombre d’une sincérité. En quittant la famille et en ayant vécue tout ce qui m’est arrivé, j’ai pris du caractère ou du moins j’ai arrêté de refouler celle que j’étais et c’est probablement pour cela que je me suis permise de lui faire une remarque en cet instant autrement dans un passé lointain j’aurais simplement souri et garder le fond de ma pensée pour moi.
Je n’hésite pas non plus à confirmer le fait est qu’elle est la dernière personne que tu pensais revoir un jour, mais elle n’est pas la seule puisque je ne pense pas enfin je ne pensais pas revoir un seul Jimènez ! Je m’étais même laissé penser qu’aucun d’eux ne viendrait à mon enterrement, c’est pour dire le trait gigantesque que j’ai tracé sur eux alors voir Camille… Ce n'est pas réellement simple à mon sens. Mais je ne suis pas un monstre et malgré tout je sais fait la part des choses Cam’ ne m’a jamais rien fait, il est vrai qu’entre elle et moi la relation n’a jamais été grandiose, mais elle n’est pas le monstre que mon père peut-être bien que je n’oublie pas qu’elle a grandi à ses côtés parce que oui malgré la distance et l’absence totale de relation j’ai tout de même suivi la presse à people de temps à autre alors je sais qu’elle a été le second de notre père, si je peux dire cela ainsi.
Quoi qu’il en soit, je demande à ce qu’elle me raconte son histoire et sa venue ici puisque je suis certaine qu’elle n’est pas dans ma maison avec envie ! Elle a au moins le mérite d’être franche et de m’avouer qu’elle n’a plus personne et je ne suis pas surprise puisque les gens du monde dont elle vient, d’où je viens ne sont pas des personnes de confiance.
Je lui demande le choix de sa boisson et je la laisse tenter de trouver les mots adéquats qui résumeront son histoire du mieux possible. Je l’écoute me parler de son anniversaire tandis que j’ouvre devant elle une boite ou se trouve 5 thés différents, je pose mon regard sur elle et je fronce un peu les sourcils en entendant parler de suicide, mais je ne suis pas surprise d’entendre que mon père a été suspecter puisque je sais qu’il n’est pas l’homme qu’il prétend être. Je reste silencieuse, mais parfaitement attentive à ce qu’elle me raconte, je reviens vers la bouilloire qui a fait chauffer l’eau et j’en verse dans la tasse qui sera la sienne avant de lui poser cette tasse devant sa silhouette puis je comprends pourquoi elle est ici, elle n’a plus d’argent et plus personne.
Je me recule pour récupérer ma tasse de café noir et je viens m’assoir devant elle gardant la tasse entre mes mains tout en la regardant << Et donc tu attends de moi que je m’occupe de toi ? >> la tasse fumante entre mes mains j’ajoute << On va simplement dire que tu as touché le fond, mais il ne dépend qu'à toi de te relever >> je suis passé par là probablement même que je suis passé par pire puisque moi je n’avais réellement personne vers qui me tourner et que cela m’a conduite à ma perte dans un sens. Maintenant qu’elle est là, je ne me vois pas lui dire de partir parce que je ne suis pas comme ça, mais d’un autre côté je sais que je dois me méfier et me protéger d’un coup foireux que mon père pourrait me faire parce que oui quand il s’agit de lui je m’attends à tout << Et donc qu’est-ce que tu attends de moi ? >> je pourrais lui donner de l’argent puisque moi je n’ai pas fait banqueroute loin de là mes millions dorment tranquillement sur mon compte, j’ai même plus que ce que j’aurais dû avoir puisque mon père m'a versé une somme pour mon silence après ma viole… Mais je n’ai rien utilisé alors je pourrais lui donner quelques millions, mais mon instinct me dit de ne pas le faire et que ce n’est pas la meilleure solution pour son avenir.