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Connor Bennett
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Situation financière : Jamais dans le besoin, a quand même un prêt à rembourser pour ses études de droit. Mais son salaire est conséquent donc ce n'est pas vraiment une préoccupation pour lui.
Situation amoureuse : Célibataire, il n'a pas eu beaucoup de chance dans ce domaine lorsqu'il a enfin décidé de faire confiance à quelqu'un.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, il n'a jamais été intéressé par les hommes. Et malgré sa réticence à se mettre en couple, certaines femmes arrivent à déclencher son désir et sa passion.
Habitation : Un charmant appartement à Downtown (N°112).
Emploi/études : Avocat chez Crowell & Moring LLP
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Message par Connor Bennett Sam 2 Jan - 15:54
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Chaque dossier était une opportunité de montrer tes talents, de montrer tes qualités, de montrer ce que tu avais dans le ventre, chaque cas était une chance d’avoir un jour ton nom sur les portes du cabinet pour lequel tu travaillais depuis presque quatre mois maintenant. Alors tu prenais chaque cas, chaque dossier que tu pouvais prendre. Certains étaient plus intéressant que d’autres, certains te conduisaient à te longues plaidoiries en salle d’audience, d’autres se réglaient autour d’une table de réunion, à l’amiable avec des avocats empochant une partie des sommes négociées de chaque côté de la salle. Tu aimais ton métier et même si ce n’était pas ce que tu avais imaginé faire lorsque tu étais plus jeune, tu étais heureux que les événements t’aient finalement conduit dans cette direction. En revanche, tu n’étais pas un très grand fan des petits jeux des gros cabinets comme celui que tu venais de rejoindre, des petits jeux durant lesquels, tous les avocats non associés se retrouvaient les uns face aux autres sur un dossier fictif pour se mesurer et sortir du lot. Tu n’étais pas le meilleur lorsqu’il s’agissait de défendre un accusé imaginaire ou pour faire entendre la voix d’une victime hypothétique. Mais tu n’avais pas le choix que de participer à ces petits jeux, ils étaient une bonne façon pour vos supérieurs de vous jauger et de vous juger, de déterminer lesquels seraient de bons avocats et lesquels resteraient à jamais des avocats de petits gabarits. Ton ambition te poussait à vouloir prouver à tout le monde que malgré ton nom de famille, tu pouvais être dans l’élite de ton métier, que tu pouvais être un avocat honnête, loyal et qui rapporte gros. Mais pour cela, il fallait d’abord se pencher sur ce nouveau cas fictif, Madame Mercury contre la société Vanussa. Placé du côté de la défense, tu avais eu la malchance de tomber sur Abigail pour jouer l’avocate de la plaignante. A croire que quelqu’un voulait absolument vous voir vous étriper…

Alors tu te préparais mentalement, tu chargeais tes armes, préparant à réfuter chacun des arguments de l’accusation, comme tu l’aurais fait pour n’importe quel cas réel. Mais aurais-tu mis autant d’énergie à prouver que l’avocate de l’accusation dans cette mascarade avait tort s’il n’avait pas s’agit de Abigail ? Rien n’était moins sûr. Depuis l’incident de l’ascenseur, vous ne vous étiez pas adressé la parole. Tu croisais parfois son regard mais détournais au plus vite les yeux, persuadé qu’elle te n’observait pas si souvent que tu l’observais elle. Ce que vous aviez pu partager dans cet espace réduit avait de toute évidence tendu plus encore vos échanges, les rendant plus électriques qu’une journée d’été orageuse. Alors te retrouver face à elle dans quelques jours, dans une salle de réunion transformée en salle d’audience devant l’ensemble des avocats du cabinet te rendait nerveux et prêt à tout pour gagner. Il n’était pas rare de te voir travailler en dehors des heures de boulot dans cet objectif. Et ce jeudi soir ne fit pas exception à la règle. Posé sur une table dans la salle des archives, tu ne vis pas les tables t’entourant se vider progressivement. Plongé dans tes recherches, tu n’avais pas l’intention de quitter cette pièce tant que tu n’aurais pas trouvé une réponse à cette potentielle question de l’accusation. De nervosité, tu appuyas de façon répétée sur ton stylo bille. Le clic-clic ne te gênait pas, à vrai dire tu ne le remarquais même pas et puis tu étais seul dans la pièce donc cela ne devrait gêner personne d’autre. A moins que…
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Situation financière : Après bien des années de galères tu connais enfin la joie d'avoir des revenues correctes malgré les crédits qui viennent encore voler cet argent durement gagné.
Situation amoureuse : A l'exception de quelques conquêtes de temps en temps, ta vie sentimentale se résume plutôt au néant. Mais tu ne peux pas nier que depuis quelques temps, un certain collègue fait renaître chez toi des sentiments un peu oublié, surtout envers la gente masculine.
Orientation sexuelle : Avant tu n'avais que pour seul intérêt les hommes mais suite à ton agression, tu as fini par te tourner vers les femmes. Tu ne te sens plus vraiment à l'aise à leurs côtés et ne sais pas si tu pourras un jour leur refaire confiance.
Habitation : Tu vis dans un joli deux pièces au #70 Adams Morgan, à Washington.
Emploi/études : Tu as trimé pour en arriver là, mais depuis 4 ans maintenant, tu peux clamer haut et fort que tu es avocate chez Crowell & Moring LLP.
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Re: Que le meilleur gagne ! | feat. Abigail

Message par Abigail Barnes Mar 5 Jan - 22:49
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Tous les ans et même plusieurs fois par an, le cabinet vous mettez au défi de donner votre meilleur sur une affaire fictive en vous mettant en compétition entre vous. L'objectif caché derrière cela était de vous évaluer, vous jauger et de savoir sur quels chevaux le cabinet pouvait miser tous ses pions. Tu commençais à être rodée après presque quatre années passées ici. Et tu dois dire que jusque là tu t'étais toujours bien débrouillée. La première année tu avais loupé de peu la victoire mais depuis, tu avais pris ta revanche et ne perdait plus aucune affaire. Le cabinet ne semblait pas regretter d'avoir misé sur la jeune pouliche que tu étais lorsqu'il t'avait pris en stage lors de ta dernière année de préparation au barreau. Tu étais plutôt fière de cela. Mais tu n'étais pas du genre à te reposer sur tes lauriers. Tu étais consciente du monde de requins dans lesquels tu évoluais et tu savais donc qu'à tout moment, n'importe qui pouvait venir réduire à néant tous tes efforts si tu avais le malheur de baisser la garde.

Quand on t'avait annoncé que tu allais être sur une nouvelle affaire fictive, tu avais hâte de savoir qui aller être ton adversaire pour ne faire qu'une bouchée de lui. Ce que tu ne t'attendais pas par contre c'est que le destin allait encore une fois se montrer bien moqueur et mettre une nouvelle fois Connor sur ton chemin. Car c'était lui qui serait face à toi sur cette affaire. Tu allais défendre Mme Mercury qui attaquait en justice l'entreprise Vanussa. Tu dois reconnaître que tu étais plutôt satisfaite d'être du côté de l'accusation car défendre des entreprises n'étaient pas vraiment ton domaine de prédilection. Le tien c'était le droit à la personne, le droit des familles. Si ce n'était pas vraiment le thème de cette affaire, défendre Mme Mercury était quand même une bonne chose pour toi.

Savoir que tu allais te retrouver face à Connor dans la salle d'audience, ou plutôt la salle de réunion convertie en salle d'audience pour l'occasion, te donner encore plus de raisons de te donner à 100% pour lui montrer qui était la meilleure. Pour une fois ce n'était pas tes patrons que tu allais chercher à impressionner mais lui, ton collègue, celui avec lequel tu étais resté enfermé dans un ascenseur un peu plus d'un mois plus tôt. Depuis cette mésaventure on ne peut pas dire que vous vous étiez beaucoup adressés la parole. Pire vous sembliez même vous éviter comme de la peste. Et pourtant, le nombre de fois où vos regards se sont croisés depuis ce jour semblait avoir incroyablement augmenté. Bien sûr tu te contentais de croire que ce n'était que le hasard, que rien de tout cela n'était dû à un quelconque intérêt caché que vous pourriez vous portez l'un à l'autre.

Le jour de l'audience approchait à grand pas et pourtant il te manquait encore quelques éléments et arguments pour que tu aies l'impression d'avoir une accusation en béton. Tu avais donc décidé ce soir de rester un peu plus tard et t'y consacrer pleinement depuis la salle des archives. Tu aimais ce lieu pour l'atmosphère qu'il dégageait. Il était chargé des souvenirs de toutes ses affaires résolues ou non, et cela t'aidait donc pleinement à te concentrer. De plus, bien que beaucoup de monde y viennent travailler en journée, c'était généralement un lieu calme. Le plus souvent quand tu y venais c'était le soir, après les horaires d'ouvertures du cabinet. Le lieu était souvent désert et c'était plutôt agréable, surtout quand il n'était pas possible de travailler convenablement depuis chez soi à cause du tapage provoqué par les voisins. Parfois tu avais des envies de meurtres avec eux et leur soirée karaoké Disney ! Mais bien que tu parles de calme, de silence, tu n'étais pas vraiment du genre à travailler sans "bruit". Tu avais pris l'habitude de toujours écouter de la musique quand tu avais besoin de te plonger totalement dans un dossier. Ce soir ne fit pas exception. Tu avais tes écouteurs dans les oreilles quand un bruit commença à perturber ta concentration. Tu finis par te demander si ce n'était pas tes écouteurs qui étaient de rendre l'âme. Alors pour en avoir le coeur net, tu les retiras quelques instants. Surprise ! Le bruit était toujours présent, même sans les écouteurs. Tu levas donc la tête de ton dossier et chercha l'origine du bruit. Ton regard se posa sur Connor. Lui aussi avait donc décidé de rester plus tard pour travailler au maximum sa défense. Pas de doute, ton adversaire de cette année allait te donner bien du fil à retordre. Tu fronças le nez quand tu compris que le bruit venait de son côté. Tu regardas d'avoir ses pieds mais ils étaient immobiles, ses jambes de même. Finalement ton regard se porta sur ses mains. Monsieur jouait nerveusement avec son stylo. Tu aurais pu l'appeler pour lui demander d'arrêter mais s'il restait quelqu'un d'autre que vous ici, tu allais le déranger en faisant cela. Et tu n'avais clairement pas envie de te lever juste pour lui demander de stopper son bruit énervant. Alors finalement tu choisis une option plus… enfantine. Tu attrapas un bout de papier que tu avais griffonné à l'en épuiser, tu le roulas en boule et le jeta sur ton collègue. Bien entendu tu espérais que le simple fait de recevoir cette boule de papier suffirait à ce dernier pour stopper son bruit sans avoir à attendre qu'ils se retournent pour que lui explique. Tu n'avais pas vraiment envie de lui adresser la parole de toutes façons. Donc tu reposas aussitôt ton regard sur ton dossier et il ne fallut pas longtemps pour que le bruit cesse bel et bien. Satisfaite, tu allais donc remettre tes écouteurs quand soudain tu te mis à réentendre le bruit. Sérieusement ? Tu songeais quelques secondes à lui renvoyer une deuxième boule de papier… mais tu doutais déjà sérieusement de l'efficacité de cette méthode. Tu finis donc par faire le tour de la salle d'un regard pour vérifier que plus personne n'était là à par vous deux. Constatant que vous étiez bel et bien seul tu optas donc finalement pour une stratégie différente. Celle-ci te permettrait de ne plus entendre son bruit et possiblement, selon la sensibilité de son ouïe, il comprendrait vite que le bruit n'a pas sa place dans cette salle. Tu appuyas donc sur le bouton du volume de ton téléphone pour augmenter le niveau sonore de ta musique. Pas certain que cela allait réellement t'aider à te concentrer correctement sur ton dossier mais le bruit provoquait par le stylo de Connor ne t'aidait pas davantage.
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Situation amoureuse : Célibataire, il n'a pas eu beaucoup de chance dans ce domaine lorsqu'il a enfin décidé de faire confiance à quelqu'un.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, il n'a jamais été intéressé par les hommes. Et malgré sa réticence à se mettre en couple, certaines femmes arrivent à déclencher son désir et sa passion.
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Re: Que le meilleur gagne ! | feat. Abigail

Message par Connor Bennett Ven 15 Jan - 22:13
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La salle des archives était le lieu de prédilection pour chercher dans les anciennes affaires de quoi résoudre les nouveaux cas. En effet, les armoires, qui montaient jusqu’au plafond des quatre murs de la salle et qui était disposées en rangées bien ordonnées de part et d’autre d’un vaste lieu de travail composé de chaises et de bureaux sommaires, étaient une source inestimable de connaissance. Allant de l’enquête résolue à la loi saugrenue du fin fond de l’état du Maryland, se trouvait ici des dizaines et des dizaines de cas d’école qui s’étudiaient en cours de droit. Mais les avocats qui s’étaient assis là où tu étais assis, bien des années plus tôt, n’avaient pas étudié ces cas, ils les avaient défendus et pour la plupart, ils les avaient gagnés. Cet héritage et cette réputation étaient un des nombreux avantages du cabinet Crowell et Moring. Depuis que tu avais rejoint les rangs de la firme quatre mois plus tôt, tu n’avais de cesse de t’émerveiller devant l’ampleur des dossiers qui pouvaient se trouver tout autour de toi et qui faisait l’histoire du cabinet et l’histoire du droit américain.

Mais ce soir, tu n’étais pas là pour la découverte des œuvres de tes prédécesseurs, tu n’étais pas là pour découvrir de nouvelles jurisprudences ou de nouvelles façons de détourner une loi qui semble ancrée dans le marbre. Non, ce soir, tu étais là pour une affaire fictive, une affaire inventée de toute pièce par tes supérieurs pour juger tes compétences et ton habilité à faire faillir ton adversaire en salle d’audience. Ce genre de petit jeu n’avait pas beaucoup d’importance ni de valeur à tes yeux mais le fait de savoir que tu te retrouvais face à Abigail avait changé la donne. Tu avais désormais une raison, une envie, une volonté de pousser tes recherches au maximum, de pousser ton adversaire dans ses retranchements et surtout de gagner ce procès imaginaire. Alors pour préparer ta défense, pour te préparer, tu relisais encore une fois ce paragraphe en cherchant désespérément une faille qui te permettrait de mettre à mal ta rivale si elle évoquait cet article. Pour l’instant tu faisais chou blanc et cela commençait à t’agacer. Heureusement, ce fut ton crayon qui fit les frais de cette colère montante. Tu n’entendais même pas les clic-clics incessants que tu faisais depuis quelques instants, trop occupé à lire pour la cinquième fois cette phrase qui était la réponse à tes questions, tu en étais convaincu. Concentré, tu ne remarquais même pas que tu n’étais pas seul dans la pièce. C’est lorsqu’un bout de papier arriva sur ta table que tu sortis de ta torpeur de travail. Surpris, tu arrêtas sans t’en rendre compte la torture de ton crayon innocent. Levant les yeux, tu repéras immédiatement la provenance du bout de papier, il n’y avait qu’une seule personne dans la salle à part toi, la conclusion n’était pas très dure à faire. Intrigué, tu regardas un instant la jeune avocate qui semblait retourner à la contemplation de son bouquin de loi, les écouteurs en main. Mais ta curiosité te poussa à déplier le bout de papier que la demoiselle avait lancé sur ta table, à vrai dire, tu ne comprenais pas bien pourquoi elle avait fait cela, n’ayant même pas conscience que ton tic nerveux causait du bruit et de la gêne pour ton entourage.

La feuille, jadis blanche, était remplie de gribouillis et de mot n’ayant pas vraiment de sens s’ils étaient mis bout à bout. Néanmoins, une mention attira ton regard. Souriant en coin, tu te remis à faire cliquer ton crayon sans même t’en rendre compte. Est-ce qu’Abi venait de t’envoyer un argument de son accusation ? Si oui, pourquoi avait-elle fait cela ? Cela n’avait aucun sens ! A moins qu’elle soit si sûre de gagner qu’elle souhaitait te donner un petit coup de pouce pour que la bataille a livrée soit plus intéressante ? Ton égo prit un coup à cette pensée et tu décidas de mettre les points sur les i avec la jeune femme. Oh tu n’allais pas l’attaquer de front. Non, tu réservais cela pour le procès, tu comptais juste lui montrer que toi aussi tu étais prêt, que toi aussi tu savais trouver les bons arguments, alors tu te levas et tu avanças jusqu’à la table occupée par la jeune Barnes. D’un geste sans brutalité mais rapide, tu retiras un des écouteurs de la jeune femme. Elle avait monté le son à fond et tu pouvais clairement profiter de sa musique ainsi que le reste de la salle, heureusement vide. Tu lui indiquas l’article de loi sur sa feuille gribouillée. Cette loi est caduque depuis 2016 mais c’est gentil d’avoir essayé de me montrer que tes arguments ne tiennent pas la route… D’ailleurs, c’est quoi le texte de loi « Sauce Soja » ? Ajoutas-tu avec une pointe d’ironie dans la gorge en pointant le mot griffonné dans un coin de la feuille chiffonnée. A moins que tu veuilles m’inviter à diner après le procès, je ne suis pas certain qu’une sauce soja te sera utile. Des mouchoirs en revanche… Pour Mme Mercury quand elle apprendra qu’elle doit rembourser tous les frais engendrés par le procès après avoir été dégoutée de sa plainte…

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Re: Que le meilleur gagne ! | feat. Abigail

Message par Abigail Barnes Dim 24 Jan - 21:17
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Ces tics inconscients provoquaient par le stress avaient un côté bienfaisant pour la personne qui en était à l’origine mais étaient souvent désagréables pour ceux qui l’entouraient. A moins d’avoir une pleine conscience de son corps et de son esprit, nous étions tous victimes de ce genre de tics nerveux. Le tien ? Cela dépendait de la situation… Souvent c’étaient tes ongles qui prenaient chers. En réalité les pauvres étaient souvent mis à rudes épreuves, situations de stress ou non. Depuis toute petite tu avais cette mauvaise habitude de te ronger les ongles. Sûrement ton enfance peu heureuse y était pour quelque chose. Mais peut-être est-ce aussi parce que tu n’avais pas encore réglé tous les problèmes qui t’encombrent depuis si longtemps sans t’en rendre compte. Toujours est-il que c’était tellement une habitude pour toi de porter tes ongles à ta bouche que tu ne t’en rendais même plus compte quand tu le faisais. Le seul endroit où tu n’étais pas atteint de ce tic, c’était lors des audiences ou en présence de clients. Etonnamment, en situation professionnelle, tu avais un meilleur contrôle de toi-même. Mais te ronger les ongles ne suffisait plus, soit tu jouais nerveusement avec ce que tu avais sous la main, soit, si tu avais un stylo et du papier à porter de main, tu te mettais à griffonner tout ce qui te passer par la tête, sans que cela n’est parfois de sens. Parfois tu t’étonnais toi-même de voir un joli dessin sur la feuille de papier sur laquelle tu étais censée prendre des notes, d’autres fois tu essayais de comprendre le message codé que t’envoyait ton subconscient.
Mais à l’heure actuelle ce n’était pas toi qui étais atteinte d’un tic nerveux bien que l’échéance prochaine de l’audience fasse monter la pression d’un cran. Depuis quelques minutes maintenant tu entendais un bruit répétitif et agaçant à travers tes écouteurs. Si dans un premier temps tu t’étais demandée s’il s’agissait de tes écouteurs qui déraillaient, tu te rendis vite compte que cela n’était pas le cas. Le bruit provenait de la salle et plus précisément de la seule personne présente dans cette pièce avec toi. Connor, ton adversaire sur cet exercice d’affaire fictive, inventée de toute pièce par vos patrons pour vous mettre à l’épreuve. Tu n’étais pas vraiment étonnée de le trouver ici, tu l’avais déjà surpris dans ces lieux plus d’une fois quand tu venais, après les horaires d’ouverture du cabinet, tenter d’avancer ou terminer un dossier. Si en soi sa présence ne te dérangeait nullement, le bruit qu’il provoquait lui était une autre histoire. Après avoir inspecté ses pieds et ses jambes, tu finissais par te rendre compte qu’il jouait nerveusement avec son stylo. Le pauvre, quelle torture était-il entrain de lui faire subir ! Et quelle torture était-il entrain de faire subir également à tes oreilles ! Il fallait que cela cesse immédiatement avant que ça ne mette à rude épreuve tes nerfs. Quand la réaction la plus censée aurait été de l’interpeller pour lui demander de stopper ça tout de suite, tu choisis plutôt de découper un bout d’une feuille que tu avais épuisé à force d’y écrire tout qui te passais par la tête, de la rouler en boule et de le lui envoyer avant de te reconcentrer sur les dossiers disposés devant toi. Pendant quelques secondes, tu crus que cette solution plutôt enfantine avait porté ses fruits. Mais finalement il ne fallut pas longtemps au brun pour recommencer son bruit agaçant. N’ayant aucune envie de lever tes fesses de cette chaise pour aller lui parler, tu choisis plutôt l’option de te bousiller les oreilles en remettant tes écouteurs et montant le son jusqu’à un niveau peu conseillé. Cherchant désespéramment à te reconcentrer sur ton accusation malgré le vacarme que tu t’imposais, tu ne te rendis pas compte que ton collègue était venu à ta rencontre. C’est uniquement quand il te retira tes écouteurs d’un mouvement rapide que tu pris conscience de sa présence. Si ce geste te fit légèrement sursauter, il t’agaça surtout fortement. Pour qui se prenait-il pour te retirer tes écouteurs comme cela ?! Tu levas sur lui un regard assassin mais avant que tu ne puisses prendre la parole, celui-ci pointa du doigt ce qui était écrit sur le bout de papier que tu lui avais envoyé et commença à te faire une leçon de droit. Bla bla bla, la loi est caduque… bla bla bla, tes arguments ne tiennent pas la route… bla bla bla, sauce soja ?! Quoi ? Qu’est-ce que venait faire de la sauce soja dans cette histoire ? Bien que tu le regardais en réalité tu n’avais porté que peu d’attention à ses paroles. Tu suivis des yeux son doigt pointant les mots sauce et soja qui étaient bel et bien écrit sur le bout de papier. Mais encore une fois tu n’eus pas le temps de prendre la parole, celui-ci enchaîna avec des propos qui te mire en rogne. Franchement ce n’était pas la modestie qui lui manquait à celui-là ! Monsieur était tellement sûr de lui qu’il te disait déjà de préparer des mouchoirs pour Mme Mercury quand elle serait déboutée à la fin de l’affaire. Quand tu fus certaine qu’il avait enfin fini de parler, tu te levas, rompant toute distance entre vous. On pouvait lire sur ton visage de la colère, de l’agacement… un bon cocktail qui ne présageait rien de bon l’échange qui allait suivre. Tu lui arrachas un peu violemment le bout de papier des mains. « Merci de te soucier de mes arguments, mais je te rassure je n’ai pas besoin de toi pour me rappeler quelles lois ne sont plus d’actualité. Quant à ces deux mots ici… », tu lui collas le bout de papier si près du nez qu’il lui aurait fallu loucher pour pouvoir lire ce qu’il s’y trouvait, « ça s’appelle une liste de courses ! Tu connais ça, non ? A moins que monsieur ait quelqu’un pour s’occuper de ça pour lui ? ». Tu réduis le papier en une minuscule boule avant de la laisser tomber à vos pieds. « Je n’aurais pas eu besoin de t’envoyer cette boule de papier si tu n’avais pas la sale manie de jouer avec… » cette fois-ci c’est le stylo qui le tenait dans son ordre main que tu lui arrachas d’entre les doigts, « ce foutu stylo ! Tu vois ici c’est un lieu calme, silencieux. On n'a pas besoin que tes petits tics nerveux viennent rompre cette ambiance ! ». Tu te mis à pointer le stylo en direction de son visage comme si tu menaçais avec. « Et arrête de te donner des grands airs en faisant celui qui est sûr de lui. Tu ne te serais pas mis à torturer ce pauvre petit stylo si tu étais si serein que ça ! ». Ton visage était toujours crispé par la colère et tu n’avais pas encore repris ton souffle depuis que tu avais commencé à ouvrir la bouche. « Quant à l’invitation à dîner… », tu claquas assez fortement le stylo sur la table, « tu peux toujours rêver ! ». Ton regard, aussi sombre pouvait-il être alors que tu avais les yeux clairs, était toujours braqué sur le sien et ne semblait pas prêt d’y bouger.
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Message par Connor Bennett Dim 31 Jan - 11:34
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La tension et la frustration étaient deux sentiments dangereux. Ils pouvaient faire faire des choses étranges quand ils étaient condensés dans un tic nerveux comme martyriser un pauvre stylo innocent qui n’avait rien demandé à la vie si ce n’est pouvoir écrire et aider son propriétaire à canaliser le flux de pensées qui l’incombait. Mais ces émotions se révélaient encore plus risquées lorsqu’elles étaient dirigées vers une personne. Ce soir, tu n’avais pas prévu de ressentir ces choses et encore moins de passer ta frustration de ne pas trouver la réponse à tes questions sur ton adversaire mais le destin semblait décidé à mettre Abigaïl sur ta route et sur celle de tes nerfs. Lorsqu’elle se leva pour te répondre et te toiser, tu plongeas ton regard dans le sien, tu plongeas dans ses yeux clairs qui ne manquaient pas de charme mais qui à l’heure actuelle présageaient plutôt l’arrivée d’une énorme tempête. La violence avec laquelle la jeune avocate t’arracha le bout de papier confirma ton intuition, elle était en colère, cela tombait bien car toi aussi tu l’étais. Il valait mieux laisser exploser ce courroux ici, dans une salle d’archives entièrement vide plutôt que devant l’ensemble de vos supérieurs en salle d’audience dans quelques jours. Cela valait mieux pour vous deux mais trop obtus pour le voir, tu laissais les vapes de la colère et de la frustration prendre le pas sur ton cerveau. Tu laissas la jolie brune se défouler sur toi, encaissant les coups comme à la boxe, te préparant à frapper tout en laissant ton adversaire se fatiguer avec des coups inutiles. Tu savais parfaitement ce qu’étais une liste de courses mais tu avais assez d’organisation pour ne pas mélanger cette dernière avec des textes de lois en vue d’un procès même fictif. La feuille de papier subit un sort peu enviable avant de finir à vos pieds, quelque chose en ton fort intérieur était persuadé qu’écraser cette feuille de papier était une façon pour Abigaïl de passer son agacement sur quelque chose d’autre que ta joue. Si tu continuais à envenimer la situation, il n’était pas impossible qu’elle finisse par s’en prendre physiquement à toi. Mais quelque part, tu n’attendais que ça, qu’elle dérape, qu’elle aille trop loin, qu’elle montre toute la frustration qu’elle avait contre toi, qu’elle assume pourquoi elle avait décrété que tu étais persona non grata à ton arrivée. Et puis tu étais énervé toi aussi, énervé de ne pas trouver comment contrer ses futurs arguments, énervé qu’elle ait pensé qu’elle était tellement supérieure qu’elle pouvait t’envoyer ce petit mot avec des indices sur sa plaidoirie, énervé qu’elle soit dans ce cabinet et que vous ne soyez pas assez adultes pour conserver une relation professionnelle et cordiale. Néanmoins, tes pensées furent contredites par les paroles sortant de la bouche de la jeune femme alors que tu te retrouvais menacer d’un stylo. Elle t’avait envoyé son papier pour t’obliger à arrêter de jouer avec ton stylo ? Mais elle avait quel âge au juste ? Quatre ans ? Un sourire condescendant naquit sur ta face mais il fut bientôt balayé par la répartie de la jeune femme qui marquait un point en mettant en doute ta sérénité. Elle avait raison, tu n’étais pas serein sur ce procès fictif, tu étais même en plein doute et cela allait bien au-delà de ce procès ridicule, tu doutais toujours et pour tout et de toute évidence, elle mettait un point d’honneur à appuyer là où cela faisait mal. Elle termina sa tirade sur un refus de cette invitation à diner. Tu te fichais d’aller diner avec elle, tu te doutais bien qu’elle n’envisageait pas de t’inviter alors que vous n’arriviez pas à tenir une conversation cordiale plus de cinq petites minutes et que ce record n’avait été atteint que dans l’ascenseur alors que vous n’aviez pas d’autre choix si vous ne vouliez pas transformer les deux mètres carrés qui composaient votre prison en scène de crime. C’est vrai que mélanger sa liste de course avec ses arguments de loi est un véritable signe de sérénité et d’organisation ! Je tremble à l’idée de t’affronter. déclaras-tu avec sarcasme. Votre petite joute verbale était presque la seule chose qui troublait le silence de la salle d’archives si on omettait la musique de la demoiselle qui pulsait toujours à fond dans les écouteurs qui trainaient sur la table après avoir été violemment arrachés de ses oreilles quand elle s’était levée. Si tu ne supportes pas mes tics nerveux comme tu le dis si bien, je serais ravi de te voir quitter la salle et que tu te trouves un autre lieu pour bosser et emmerder les gens avec ta musique ! Pour accentuer tes paroles, tu fis même un signe de tête envers la porte d’entrée de la salle, située à quelques mètres de vous. Tu te penchas vers Abigaïl, réduisant encore la distance qui vous séparait, tu pouvais presque sentir son souffle sur ton visage. D’un geste sûr, tu récupéras ton stylo qu’elle avait écrasé contre la table mais tu ne t’éloignas pas d’elle. A cette distance, si quelqu’un entrait dans la salle à cet instant, il pourrait croire que vous étiez sur le point de vous embrasser. Et contrairement à ce que tu pouvais imaginer, l’idée ne te répulsait pas tant que ça. Elle était même plutôt attirante. Ne sachant pas vraiment si c’était la frustration ou la connerie qui parlait, tu te penchas encore et plaquas tes lèvres contre les siennes…

Abigail Barnes
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Message par Abigail Barnes Dim 31 Jan - 20:43
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Il était difficile de s’imaginer comment le simple fait que Connor te retire sans violence un de tes écouteurs pour capter ton attention avait pu t’amener à déchaîner autant de colère à son encontre en l’espace de quelques secondes. Il était difficile de nier après pareille démonstration que tu n’avais pas un souci avec ton collègue. Lequel ? Toi-même tu n’avais pas la réponse. Le brun te faisait ressentir des sentiments qu’aucun autre homme ne te faisait ressentir. Si tu n’avais plus confiance en les hommes depuis un certain temps maintenant, jamais tu ne t’énervais pour autant sur ceux pour une raison assez ridicule que celle-ci, voir même sans raison si on prenait en compte la scène de l’ascenseur. Ton regard plongeait dans le sien, il laissa ton déferlement de colère s’abattre sur lui, sans t'interrompre même si tu pouvais lire sur son visage les réactions que tes paroles provoquaient chez lui. Tantôt impassible, l’énervement sembla se dessiner également sur son visage à mesure que tu t’exprimais. Quand tu l’informas que tu avais envoyé cette boule de papier, qui était partie s’écraser sur le sol quelques secondes plutôt, pour mettre fin à son tic nerveux, son expression devint soudainement rieuse. Cela n’arrangea rien à ton énervement, étant consciente qu’il se payait ta tête à cet instant précis, même s’il ne disait rien. Alors, comme tu l’avais déjà fait le jour où vous vous étiez retrouvés enfermer dans cette cabine d’ascenseur, tu pris soin d’appuyer là où ça faisait mal, comme si le blesser semblait te faire du bien. Un sentiment cruel qui ne te ressemblait pourtant pas. Tu mis un point d’honneur à mettre en avant son manque évident de confiance en lui à travers le tic nerveux qui les avait menés à cette situation. Ce qui fit rapidement disparaître le rictus qui s’était dessiné sur son visage, confirmant que tu n’avais finalement pas tort. Pour clore cette longue tirade colérique, tu semblas ressentir le besoin de lui signaler que manger avec lui te semblait inimaginable, comme si cela avait une quelconque importance pour toi. Le silence retomba enfin dans la salle, heureusement vide de toute présence en dehors de la vôtre mais cela fût de courte durée. Tu ne t’attendais clairement pas à ce que Connor te laisse le maltraiter sans qu’il ne réagisse. Sa première réponse fût d’abord du sarcasme, un sentiment qui avait le don de te faire sortir de tes gonds. Si ton niveau de colère semblait déjà à son paroxysme, tu sentais pourtant une envie irrépressible de le gifler te monter petit à petit. Mais tu te contenais, serrant toutefois très fort tes poings au point de sentir tes ongles s’enfonçaient dans la chair de ta paume. Quand il enchaîna en signalant qu’il serait ravi de te voir quitter la pièce si tu ne supportais pas son tic nerveux, tu fus surprise que la paume de ta main n’allant pas aussitôt à la rencontre de sa joue. Peut-être parce qu’à cet instant c’était un autre sentiment que la colère qui venait de l’emporter ? Parce qu’à cet instant il avait touché un point sensible ? Parce qu’en réalité avec ces paroles il avait fini par te blesser. Tu restas stoïque, laissant même Connor rompre presque toute distance entre vous au point de pouvoir sentir son souffle chaud sur ta peau, alors qu’il récupérait le stylo que tu avais écrasé sur le bureau quelques secondes plutôt. Alors que plusieurs sentiments se bousculaient dans ta tête, tu n’eus pas le temps de reprendre tes esprits. A la surprise générale, les lèvres de Connor vinrent rencontrer les tiennes. Ce contact eut l'effet d’un électrochoc chez toi. Tes yeux s’éclairèrent d’une lueur inconnue, et alors qu’on aurait pu s’attendre à ce que tu recules, tu levas tes mains jusqu’à son visage pour prolonger le baiser, te collant presque tout entière lui, pouvant presque sentir la chaleur de son corps à travers ses vêtements. Tu fermas les yeux, laissant glisser ta main jusqu’à ses cheveux. Cet instant sembla comme suspendu dans le temps. Puis soudain, réalisant enfin ce qui était en train de se passer, tes yeux se réouvrirent, tes mains quittèrent sa peau, tu reculas d’un pas pour rompre tout contact entre vous et sans aucune explication, cette fois-ci ta main vint rencontrer sa joue dans une violence sans égale. La colère avait repris le dessus. Quelques secondes de silence encore, avant que précipitamment tu ne rassembles tes papiers et dossiers, pour prendre le chemin de la sortie totalement perdue dans ce qu’il venait de se passer. Tu marquas un arrêt au moment de franchir la porte, jetant un dernier regard à Connor, avant de gravir à toute vitesse les escaliers qui menaient à vos bureaux afin d’y récupérer tes dernières affaires.
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Âge : 32 bougies soufflées, le temps passe sans que Connor ne s'en rende compte...
Situation financière : Jamais dans le besoin, a quand même un prêt à rembourser pour ses études de droit. Mais son salaire est conséquent donc ce n'est pas vraiment une préoccupation pour lui.
Situation amoureuse : Célibataire, il n'a pas eu beaucoup de chance dans ce domaine lorsqu'il a enfin décidé de faire confiance à quelqu'un.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, il n'a jamais été intéressé par les hommes. Et malgré sa réticence à se mettre en couple, certaines femmes arrivent à déclencher son désir et sa passion.
Habitation : Un charmant appartement à Downtown (N°112).
Emploi/études : Avocat chez Crowell & Moring LLP
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Re: Que le meilleur gagne ! | feat. Abigail

Message par Connor Bennett Ven 5 Fév - 21:44
Que le meilleur gagne !
Abigail & Connor

Il y a des moments dans la vie où on ne contrôle plus vraiment nos faits et gestes, des moments où le corps semblable à celui d’un robot téléguidé par une entité supérieure semble agir de lui-même, mué d’une conscience à lui seul, totalement dissociée de la raison ou du bon sens. Tout le monde vit ce genre de moment de grande solitude où un rire nerveux s’échappe de la bouche d’un adulte en plein enterrement, où des larmes s’écoulent sur le visage sans raison apparente de tristesse ou de joie intense, où les impatiences de la jambe vous empêchent de rester assis alors qu’un dossier doit être terminé dans les prochaines minutes. Tu n’étais pas étranger à ces moments gênants où on est incapable d’expliquer les agissements de son propre être. En revanche, tu n’aurais jamais pensé que ton corps pouvait te trahir à ce point. A moins que ce ne soit un désir profondément enfoui qui avait refait surface l’espace d’un bref instant et avait pris le contrôle. Non, cela ne pouvait être ça. L’histoire que tu avais partagé avec Abigaïl était terminée depuis longtemps, enterrée et oubliée. Mais ta réflexion ne put aller plus loin car le contact de ses lèvres sur les tiennes dans ce baiser que tu avais initié eut pour effet de débrancher complètement ton cerveau et ta raison. Ce qui comptait à cet instant, c’était ce doux parfum que la jolie avocate dégageait, cette frustration et cette colère qui s’était transformées en quelque centièmes de seconde en une passion dévorante, ce corps qui se collait au tien alors que vos bouches s’unissaient plus intensément.  Lorsque la main de la jeune femme se perdit dans tes cheveux, les tiennes étaient rendus dans son dos, réduisant encore l’espace entre vos deux corps, brûlant d’un feu ardent en cet instant. Mais la magie du moment fut rapidement et brutalement interrompue par Abigaïl qui, semblant se rendre compte de ce qui se passait, recula et vint t’asséner une baffe alors que ton cerveau n’avait même pas encore enregistré que vos lèvres étaient séparées. Gardant un moment la tête sur le côté, plus sous le choc du geste que par sa réelle violence, tu finis par reprendre tes esprits alors que la brune rangeait ses affaires précipitamment. La colère qui avait laissé place à l’envie était en train de revenir au grand galop. Tu n’étais pas fou, elle avait répondu à ce baiser que tu ne te justifiais pas, et maintenant, elle se dirigeait vers la porte sans un mot, sans un regard ? Ton égo était en train de prendre un coup bien que ton cerveau eût encore un peu de mal à réaliser ce qui venait de se jouer dans cette salle pleine de vieux bouquins. Vos regards se croisèrent juste avant qu’elle ne franchisse la porte pour rejoindre les bureaux aux étages supérieurs. Aucun mot ne fit échanger et ce n’est que plusieurs minutes après le départ de la jeune Barnes que tu te décidas toi aussi à lever le camp. Cette soirée qui était censée être calme et studieuse s’était transformée en nuit trop riche en émotion et en événement que tu ne savais expliquer, même quand tu en étais l’origine…

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