[HOT] Ben & Soraya - Ce n’est pas de trouver quelqu’un qui est important, c’est de se trouver mutuellement qui l’est.

Je ne suis pas le genre de gars qui craque sur des femmes plus jeunes d’ailleurs j’ai toujours eu un principe bien précis : Ne jamais toucher, regarder une femme qui n’est pas dans la majorité… Tout allait bien de ce côté-là, je dirais même que j’ai toujours réussi à faire en sorte de tenir ce principe jusqu’à ce qu’elle entre dans ma vie. Très franchement, je ne l’ai pas vue venir et sans que je comprenne le pourquoi du comment elle s’est retrouvée totalement nue dans mes bras, j’ai bafoué mon principe et depuis je ne fais que ça… Mais elle est l’exception, mon exception. Les choses avec Soraya sont simples, elle n’attend rien de moi et je n’attends rien d’elle et je pense que c’est tout à fait ce que j’apprécie dans notre relation qui est avant tout amicale.   Je ne pensais pas que le sexe entre amis était réellement possible puisque j’ai toujours pensé que le sexe est un des meilleurs moyens pour briser une amitié, mais avec Soraya j’ai la preuve que ce n’est pas le cas. D’ailleurs, notre amitié est toujours aussi douce qu'à son ordinaire, bon je dois bien m'avouer que je m’inquiète un peu plus que la normale quand il s’agit d’elle, mais je pense que notre amitié évolue avec le temps qui passe.   Content que celle-ci soit en chemin pour venir chez moi, je prends le temps de ranger un peu l’appart’ qui mine de rien n’est pas très ordonné les joies d’être un mec célibataire et qui n’entend pas sa petite amie râler parce que l’appartement ne ressemble à rien. Tout en rangeant un peu l’appartement, je lui envoie des SMS et le sourire ne quitte pas mes lippes tout le long tandis que l’impatience me dévore de l’intérieur.   Quand elle me signale être en bas de l’immeuble je balance le linge sale dans la panière de la salle de bain et je lui réponds que je lui ouvre la porte maintenant et c’est ce que je fais directement mon regard se pose sur elle et je souris conquis par ce que je découvre.  Elle est belle, souriante et elle amène avec elle une touche de fraîcheur et de bonne humeur.  Grand sourire sur les lippes j’attrape sa main venant la tirer contre moi pour la faire entrée dans l’appartement << Bonjour charmante demoiselle >> dis-je en souriant en coin tandis que mes lèvres se pose sur les siennes et que je ferme la porte d’un simple mouvement de pieds. 

Je ne crois pas que j'ai vraiment de style quand il s'agit de femme peut-être bien parce que je ne regarde pas le corps, mais davantage l'esprit de la personne enfin. Je regarde ce genre de chose quand les choses vont plus loin qu'une simple nuit autrement pour le plaisir de quelques heures je suis obligé d'admettre que je regarde l'enveloppe corporelle puisque dans un premier temps c'est ce qui provoque l'envie.  Avec Soraya, je n’ai rien regardé enfin du moins je n'ai pas regarder son physique puisqu’elle était déjà une amie, il est évident que je savais déjà qu'elle avait une bonne âme.   Du coup en me retrouvant au lit avec elle, je n'ai pas chercher a savoir si son physique me plaisait ou pas… ça c'est simplement fait, mais je peux dire aujourd'hui quelle est loin d'être repoussante au contraire, elle est belle et la douceur de sa peau est une drogue que je réclame sans cesse depuis que j'ai eu l'occasion de la toucher, d'y goûter. Elle n'a rien à envier aux autres femmes, elle a tout ce qu'il faut pour plaire à un homme.   Alors que je viens d'ouvrir la porte je me retrouve a l'attirer contre moi pour savourer ses lèvres, j'aurais pu inviter un nombre probablement incalculable de femmes aujourd'hui, mais celle dont j'avais envie c'est celle et bien celle qui a ses lippes pressées contre les miennes. Lippes contre lippes, je murmure << je suis content de te voir aussi >> mon pied ferme la porte afin d'être en toute intimité.   La distance qu'elle impose a nos lèvres me fait grogner intérieurement, mais sa phrase me fait sourire << C'est exact regarde ce que tu fais de moi… J'oublie tout quand tu es dans les parages >> sourire en coin je la fais reculer contre le mur de l'entrée de mon appartement, torse contre sa poitrine je la plaque de cette manière contre le mur laissant ma main glisser sur sa cuisse tout en plongeant mon regard dans le sien venant effleuré de mes lèvres les siennes << Je vais devoir faire une fouille complète >> ma main glisse vers son entre-jambes alors que ma langue glisse doucement dans sa bouche pour rejoindre la sienne. Mon autre main se glisse sur sa nuque avant de venir se frayer un chemin sous l'ouverture de sa veste.

 

Si on m'avait dit qu'un jour je briserais mes principes en couchant avec une femme qui n'a pas atteint la majorité, j'aurais probablement explosé de rire puisque je ne suis pas le genre d'homme qui bafoue ses valeurs. Mais la vie m'a finalement donné une bonne leçon en me rappelant qu'on ne contrôle pas le destin même avec des convictions. Soraya est la preuve vivante que personne ne peut être certain de ses principes et la diction " il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis" est clairement apparue comme véridique à mes yeux.

Quand les choses se sont faites avec Soraya, j'aurais pu tout comme elle mettre un terme à ce qui était en train de se produire avant que tout ne nous échappe et que nous violions la frontière de la raison, mais je ne l'ai pas fait et je n'ai absolument aucun regret.  Ce que nous vivons ensemble depuis que nous avons commencé à nous mélanger est véritablement unique et plaisant. D'ailleurs, la rapidité où mes lèvres viennent chercher les siennes affirme parfaitement que tout cela est plaisant !

Je lui avoue être également content de la voir et sa main glisse sur mon entre-jambes qui n'est pas entièrement au garde à vous, mais qui n'est pas sans réaction non plus << très content >> dis-je en mordillant sa lèvre inférieure quand je relâche la pression de mes dents sur sa lèvre elle se lance dans l'ironie chose qui me fait sourire << évidemment une vraie petite sainte >>. Je pense pouvoir dire sans prendre de risque qu'elle ne soit bien loin d'être une sainte rien que sa manière d'onduler sur moi reflète davantage l'image d'une tigresse que celle d'une enfant de chœur.
Je la plaque contre le mur sans perdre un instant, l'envie qui me consume dépasse la volonté d'une patience quelconque. Je lui fais part de mon intention à procéder à une fouille complète et sa réponse me fait sourire avant de laisser ta langue guider celle de Soraya vers une danse rapide et intense.

Je la laisse retirer mon haut bien que nos lèvres, nos langues se retrouvent séparées le temps d'un instant. A peine le haut retirer mes lippes emprisonne une nouvelle fois les siennes alors que mes mains glissent sous son haut pour le faire remonter au-dessus de la courbe divine de sa poitrine. Mes lippes quittent ses lèvres pour lentement se diriger en embrassant sa peau vers son sein droit, ma main quant à elle malaxe son sein gauche quelques secondes avant de glisser jusqu'à son bas que je déboutonne tel un expert. Le pantalon de celle-ci glisse à ses pieds et mon regard vient à vérifier l'existence de sous-vêtement, un sourire satisfait se forme sur mon visage et je laisse ma main venir écarter son intimité pour que le bout de mon doigt se positionne sur son bouton de plaisir  << tu mérites une récompense, tu ne crois pas ? >> Subitement ma main relâche son intimité et je la soulève la portant avec une facilité déconcertante vers la table de la cuisine, je la dépose dessus et je l'allonge avant de lui écarter les cuisses pour laisser ma langue savourer la chaleur de son intimité.

Un claquement de doigts et j’aurais pu avoir n’importe quelle femme chez moi, je le sais et je suis certain qu’elle le sait aussi pourtant, j’ai choisi de l’appeler ‘elle’ puisque c’est d’elle et uniquement d’elle que j’ai envie depuis un moment maintenant, elle me satisfait par tous les moyens et pourtant jamais je n’aurais pensé la toucher, la goûter.

Avec Sora” les choses sont simples et claires comme de l'eau juste du plaisir sans chimère et pleurnichement. Au départ, je ne pensais pas que cela pourrait se faire aussi facilement maintenant, je suis bien content d’avoir bafoué certains de mes principes ! Tout comme elle, je ne suis pas du genre à perdre mon temps, je sais ce que je veux et elle aussi du coup s’est parfaite !

Et en l'occurrence ce qui me fait envie maintenant c’est elle ! Je ne perds donc pas de temps avec la dentelle et aux conneries que pratiquent les autres hommes ! Après avoir vérifié la sagesse et avoir soulevé ce point, j’ai directement soulevé la divine demoiselle pour l’allonger sur la table afin de lui offrir la récompense qu’elle mérite. En un rien de temps mon visage se retrouve entre ses cuisses et le bout de ma langue crépite sous le gout sucré qu’elle sécrète due à l'excitation.
L’entendre me demander de continuer me fait sourire mon regard se relève légèrement pour la regarder, elle est magnifique un putain de rayon de soleil éblouissant !
Je laisse ma langue se glisser sur son intimité avec intensité et ferveur, mon engin quant à lui est horriblement à l’étroit dans ce qui est mon sous-vêtement, mais je ne veux pas qu’elle me soulage non pour le moment, je veux l’entendre crier mon nom encore et encore jusqu'à en perdre le souffle.
Alors que ma langue s’amuse avec sa fleur, mes doigts s'invitent à la fête et se faufilent en elle pour décupler davantage les sens de son plaisir.

Mon autre main quant à elle remonte pour venir caresser sa poitrine avant de se saisir de son sein droit pour le malaxer même la taille de ses seins est parfaite puisqu’ils remplissent parfaitement ma main << Tu es parfaite >> dis-je en relevant la tête venant lui embrasser le bas du ventre, je ne suis pas le genre de gars qui fait des compliments à droite et à gauche loin de là, je dis ce que je pense et si je le dis c'est que cela est vrai je ne cherche pas à séduire de cette manière-là je laisse cette technique facile et inutile aux autres gars qui pense encore que complimenter une femme est suffisant.

J'ai bon à être un connard en apparence, je reste un mec correct avec les demoiselles malgré tout j'ai été éduqué par une femme et elle m'a apprit bien des valeurs et celle de savoir prendre soin d'une femme en fait partie, je n'ai donc pas d'intérêt à donner des illusions à une femme avec de belles paroles qui remplissent le crâne. Si je dis qu'elle est parfaite, c'est que c'est réellement le cas à mes yeux elle est divine. Je finis par remonter totalement pour venir lui dégager quelques mèches de cheveux de son visage et déposer mes lèvres contre les siennes venant à l'embrasser avec une envie qui ferait enflammer l'appartement. 

On dira ce qu’on voudra les choses simples sont véritablement les meilleurs, pas de prise de tête, pas d’emmerdes justes du plaisir, un accord c’est ce qui est convenu depuis le départ pourtant, je sais que certaine chose ont quelque peu changer depuis quelque temps puisque c’est elle que j’appelle à chaque fois… C’est d’elle dont j’ai envie pour partager du plaisir, c’est elle que j’ai envie de regarder dormir avec apaisement.
Le savoir ne veut pas dire le reconnaître et encore moins l’avouer, les choses simples sont les meilleures je le sais, je me dois de ne rien compliquer pour elle comme pour moi.

Elle est jeune, elle est belle bordel qu’elle est belle, elle me fait tourner la tête à chaque fois que je pose mon regard sur les traits de son visage et quand elle prend du plaisir elle est l’image même d’une putain de déesse.
J’ai continuellement envie de la goûter, continuellement envie de la sentir contre moi et de la croquer telle une gourmandise interdite, une sucrerie non raisonnable. Elle me donne l’impression d’être ce mec au régime qui se retient de sauter sur de la bouffe, elle me donne l’impression d’être ce mec qui a totalement franchi la limite des choses simples !

Quoi qu’il en soit je savoure chaque moment qu’elle passe en ma compagnie que ce soit pour des moments de partage intime comme pour des moments plus détendu et simpliste qui la font rire. J’aime l’entendre rire ! En réalité la seule question que je me pose c’est bien “Est-ce qu’il y a quelque chose que je n’aime pas chez elle ?”. Ce qui se passe entre elle et moi peut de monde son au courant, elle est plus jeune que moi et je ne veux pas passer pour le gros dégueulasse qui se tape une mineur et encore moins pour le mec qui profite d’une mineur. Mais quelques potes sont au courant et je sais déjà que si je leur parle de cette sensation que je ressens à chaque fois quand je suis avec elle leurs réponses seront celles que je connais…

La tête entre ses cuisses, je suis finalement remonté pour venir l’embrasser et faire valser sa langue avec la mienne dans une danse inédite que nous seuls connaissons, mes mains parcourent ses courbes fines, elle semble si fragile sous mes mains que je ressens le besoin de la protéger et de la garder contre moi. Alors que nos langues sont incontrôlables, je sens ses mains  s’attaquer à mon jeans et mon sous-vêtement, je la laisse faire et c’est bien rapidement que je me retrouve nu devant elle ce n’est pas la première fois et j’espère bien que cela ne sera pas la dernière. Je finis par mettre fin à ce baiser et le sourire coquin qu’elle me lance me fait sourire et me vole un battement de cœur << Qu’est-ce que tu me réserves >> son sourire m’a directement mis la puce à l’oreille puisque maintenant je la connais plutôt bien. Je la laisse se redresser et je recule d’un pas en la regardant avant de la voir se mettre à genoux devant mon membre parfaitement raide pour elle. Le regard sur elle je ne la quitte pas des yeux tandis que je sens le bout de sa langue jouer avec l’embout de mon engin et cette sensation me fait déglutir tandis que ma main se glisse sur sa joue pour lui caresser doucement gardant toujours mon regard vert sur sa personne. Elle ne me torture pas bien longtemps puisqu’elle se saisit de la totalité de mon membre, centimètre par centimètre je sens ses lèvres avaler mon engin et une fois la totalité enfouit au plus profond de sa gorge je râle de plaisir un “Putain” posant mon autre main sur la table tandis que ma main présente sur sa joue se pose sur le haut de sa tête << Tu vas me rendre fou >> dis-je entre deux frissons de plaisir.

Je crois pas aux conneries de paradis et d’enfer, mais je sais avec une certitude plus que fondée que si cette connerie fonctionne bien de la manière dont on nous le fait croire je sais que je vais terminer droit dans les flammes de l’enfer puisqu’en pratiquant ce genre d’activité avec une mineur je suis clairement loin d’être un mec droit dans ses baskets.
De toute manière, j’ai bien peur qu’on se fasse chier perché sur un nuage alors bon autant profiter de la vie, de ce moment et tous les autres que je compte bien partager avec l’ange qui est entré dans ma vie il y a peu de temps maintenant.

Alors que mon engin glisse dans les profondeurs de sa gorge, je ne parviens pas à retenir le râle de satisfaction, il faut dire qu’elle s’y prend à merveille malgré son jeune âge ! Elle est diaboliquement experte en matière de préliminaire et Bon Dieu que j’aime avoir sa bouche autour de mon engin ! La main dans ses cheveux je l’encourage à continuer à chaque mouvement de langue et de va et viens un râle quitte mes lèvres je suis incapable de me contrôler il faut dire qu’elle ajoute une pression particulière avec ses lèvres et bordel, elle me rend fou détail que je ne manque pas de lui faire savoir.
La tête en arrière je la laisse m’offrir cette gourmandise sans me plaindre ni rechigner sur le temps que cela peut prendre puisque je pourrais me faire sucer pendant des heures que cela ne me dérangerait pas.
Quand elle se relève, je souris en voyant le rictus satisfait qu’elle à sur le visage accroché telle une banane elle à de quoi être fière et satisfaite puisqu’elle vient de m’offrir l’une des meilleures fellation de ma vie et pourtant plusieurs nanas ont tenté leurs chances ! Mais Soraya, elle est différente en tout. Alors qu’elle se met sur la pointe des pieds et qu’elle me chuchote à l’oreille quelques petits mots, il ne me faut pas une seconde pour attraper ses fesses et la soulever subitement pour venir la plaquer contre le mur derrière nous, ma bouche se perd dans la chaleur de son cou et sans réfléchir j’entre en elle pour assouvir sa soif et mon besoin vital de la sentir.

Malgré le nombre de fois que je n’ai pas compté où nous avons couché ensemble, je la laisse s’habituer à l’intrusion de mon engin puisque le but n’est pas de lui faire mal, ma bouche parsème son coup de baiser et mes hanches tournent doucement de manière à faire des petits cercles pour prendre possession entière de sa grotte et de sa profondeur. Mes mains glissent dans les siennes et je lui remonte au-dessus de sa tête, mon torse la maintient contre le mur tandis que mes hanches commencent à entrer en elle dans un délicieux rythme de vas et de vient.
Je la soulève une nouvelle fois la gardant empalée sur ma barre de fer et je marche vers quelque chose qui me permettra de la perdre avec plus de ferveur, c’est sur la table que je la dépose une fois de plus, je l’attire contre moi de manière à ce que ses fesses flottes, mes mains agrippées le haut de ses cuisses et mes coups de reins s’accroître pour la prendre.
Le regard sur elle, je la trouve encore plus magnifique à chaque fois que ses traits sont tiraillés par le plaisir, j’accélère mes mouvements gardant ce rythme et cette cadence qui fait claquer mes bourses contre ses fesses.

Je ne suis pas le genre de mec qui ne contrôle pas ses pulsions, je sais parfaitement être endurant et heureusement parce que la demoiselle présente sur la table est une véritable gourmande et elle fait de moi un homme jamais rassasié !
Je peux bien passer des heures, une journée, une nuit entière à la toucher, la caresser, la savourer, la prendre que j’ai toujours envie d’elle ! Pourtant, elle me comble, je suis plus que satisfait avec Soraya, elle n’a pas de limite, elle n’a pas de frontière du coup je n’arrive pas à me contenter de ce qu’elle me donne, j’en veux toujours plus comme un véritable gourmand. Elle me fait tourner la tête, elle me rend complètement dingue et le pire c’est qu’elle ne remarque pas le pouvoir qu’elle a sur moi.

Allonger sur la table j’ai une vue simplement magnifique sur son corps et sa poitrine qui n’est pas ce que j'appellerais de volumineuse, mais elle est amplement suffisante, elle est adaptée à sa morphologie. Voir sa poitrine rebondir sous les coups de reins que j’enfonce en elle me donne l’envie de lui mordiller le bout de ses mamelles gonflées par l’excitation. Je me penche doucement venant de mes incisives saisir délicatement le bout de son téton droit, je le mordille, je le maltraite avant de laisser ma langue apaiser le tiraillement que mes dents ont pu lui faire ressentir.
Je finis par me redresser la laissant me parsemer de baiser à sa guise, je souris en l’entendant gémir de la sorte elle sait que j’aime l’entendre, je me contrefiche que les voisins entendent nos ébats, l’immeuble entier peut entendre ses Cries j’en ai réellement rien à faire ! Ce qui compte pour moi, c’est de la menée à la jouissance et qu’elle en redemande. Ce qui compte pour moi c’est qu’elle ait toujours envie de moi comme moi j’ai envie d’elle.

Mes testicules claques sur ses fesses quand elle me signale subtilement qu’elle ne veut pas de tendresse, elle veut que je la baise que je la prenne comme un amant prendrait sa maîtresse d’un coup ma main se pose sur le haut de son corps pour la forcer à s’allonger et je me saisis de ses cuisses avec une poigne masculine et dominante.
Un , deux, trois, quatre mouvements qui se font de plus en plus intenses, profonds, secs, mes mains serrent la chair de ses cuisses tandis que la douceur s’est envolée. La table tremble sous les coups de reins violents que j’enfonce en elle et mes râles se font de plus en plus puissants et rauques.

La table se déplace doucement à chaque coup ce qui fait un bruit intense sur le parquet, les pieds de celle-ci tremblent comme si elle était sur le point de lâcher, mais cela ne m’arrête pas au contraire à ce moment précis rien ne pourrait m’arrêter. Je m’enfonce en elle encore et encore tel un animal assoiffé, affamé ! << Putain, je pourrais te prendre sans fin >> dis-je entre les dents la soulevant d’un coup avec une facilité qui démontre qu’elle est légère comme une plume, je la jette doucement sur le canapé et je la tourne pour lui faire comprendre que c’est à quatre pattes que je la veux maintenant, ma main claque que sa fesse gauche avant devenir embrasser la rougeur que ma frappe vient de lui imposer.

Que je le veuille ou non, je sais qu’elle m’a marqué qu’elle n’est pas qu’un simple plaisir, mais je ne peux l’avouer, je ne peux pas lui dire que c’est son parfum que je veux sentir chaque matin dans la salle de bain, je ne peux pas lui avouer mes désirs les plus profonds sans prendre le risque de la voir partir. Je ne suis pas prête à tomber dans le vide sans sa main pour me rattraper, c’est une connerie que je ressens pour elle ! L’amour, l’attachement est une pure connerie je le sais parce que je l’ai déjà rencontrer ce sentiment, je l’ai même invité à prendre place confortablement pour tomber d’une chute mortelle !   Je ne suis pas certain d’être en mesure de renaître de mes cendres, si elle me pousse dans le vide comme mon ancien amour a pu le faire… Mais je sais que ce petit jeu m’amuse de moins en moins, je sais que je veux lui tenir la main quand nous marchons dans la rue, bordel… Je suis véritablement niais, c’est elle qui me rend comme ça et le pire, c’est que j’aime ça ce qu’elle me fait ressentir et par-dessus tout j’aime sa présence.  J'ignore si elle ressent la vibration qui nous unis à chaque nouvelle rencontre, mais moi ses vibrations elle me caresse comme une douce mélodie.   Tout comme l’entendre gémir est à ton sens une mélodie divine, ne créez pas les dieux eux-mêmes. C’est fou ce que tu ressens à chaque gémissement qui s’échappe de ses lèvres fines, mais pourtant goûteuses. Je me doute que les voisins doivent entendre son chant mélodieux, mais je m’en fiche ils peuvent bien nous accompagner pour faire les chœurs que cela n’aurait guère d’importance puisque la seule qui compte, c’est elle, cette merveille qui me fait perdre la tête dès que mon regard se pose sur elle.  

 Je viens de la jeter sur le canapé et de lui mettre une fessée, elle sait déjà ce que j’attends d’elle, je souris en coin en la voyant à quatre pattes, elle ne se rend pas compte de la beauté qu’elle dégage. Doucement, tu lui embrasses le dos montant peu à peu jusqu'à la naissance de sa nuque avant de lui murmurer à l’oreille << Tu en meurs d’envie>>dis-je en soulevant son petit défi.  Je me redresse légèrement à la suite de mes paroles et d’un coup mon engin trouve l’entrée de sa grotte, il entre en elle sans éclaireur ce n’est plus la peine, il connaît le chemin et ses recoins à la perfection.  Mes mains s'agrippent à ses épaules pour rejoindre la butée et je grogne avant de laisser ma main droite attraper ses cheveux de couleur feu pour les tirées en arrière râlant de plaisir. Mon autre main se pose sur le bas de son dos tandis que c’est une levrette particulièrement intense et rapide que mes hanches imposent. Mes bourses claquent fortement sur son intimité tandis que je sens l’effet que je lui fais, je sens qu’elle aime ce moment puisqu’elle est trempée et cela me fait bander bien plus que de mesure. En ce moment même elle m'appartient, elle est à moi.

 

 Une femme qui fait semblant de prendre du plaisir je suis en mesure de le voir directement, c’est ce que je qualifie être comme un don, mais très franchement je crois bien que je ne suis jamais tombée sur une femme qui faisait semblant ! Je suis tombée sur des planches qui ne bougeaient pas ouais, d’ailleurs ce genre de femmes n’ont pas eu le plaisir de revoir les couleurs de tes draps… En faite depuis l’autre salope, aucune femme n’a eu le plaisir de revenir dans mes draps aucune sauf elle.   Elle est la différence depuis le départ, elle est différente depuis l’instant où mon regard croise les siens. Dès l’instant même où je l’ai vue, j’ai su qu’elle me causerait des soucis, mais je ne me suis pas écouté et j’ai foncé et maintenant ? Maintenant, je lui appartiens et elle ne le sait même pas. Ma main présente sur le bas de son dos part à la redécouverte de ses courbes minces, mais parfaites. L’entendre me dire qu’elle en a envie caresse mon égo masculin je ne peux le nier. Savoir qu’elle a envie que je la possède, que je la remplisse sans fin est valorisant, mais pas seulement puisque je découvre par la même occasion que nous avons la même envie.   Ma main présente dans ses cheveux persiste à lui tirer en arrière et les cris de plaisir rauque qu’elle lâche complètent les miens. Je suis en sueur, la cadence est soutenue et intense tandis que mes coups de reins sont sauvages tel un animal enragé. Son supplice te fait grogner et tu relâches sa tignasse pour poser tes deux mains sur le haut de ses fesses afin de prendre un nouvel appui pour augmenter encore d’une couille la brutalité de ce moment.  Je sais que je ne vais pas tenir bien longtemps encore à ce rythme, j’ai bon être endurant je reste un humain et pourtant, je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais.   Mon souffle est saccadé, l’air autour de nous me semble horriblement irrespirable << So...ra...ya…>> dis-je entre les dents telle une bête qui siffle un grognement ”explosion.  Je ne parviens pas à me retenir plus longtemps et les ondulations qu’elle vient d’ajouter à notre duel intime a finalement eu raison de moi, une fois de plus elle gagne.  C’est donc dans un grognement intense que je laisse ma substance chaude te remplir, ma tête tombe en arrière tandis que mon bassin continue quelques mouvements afin de s'assurer que mon arme soit totalement vide. Mon cœur quant à lui bat à une vitesse déconsidérée. Je souris en reposant mon regard sur elle alors que son cul est toujours en l’air et que mon membre est toujours en elle, je me penche et j’embrasse doucement ton dos, je laisse mon engin trouver la sortir de ton entre pour laisser mes doigts s’aventurer entre ta fente trempée et pleine de ma propre substance pour venir vérifiée que toi aussi, tu as eu le droit à l’explosion finale et c’est sur ton bouton de plaisir que j’aurais la réponse et si elle n'a pas eu la chance d'atteindre l'ultime orgasme alors je m'occuperais d'elle comme tout homme devrait s'occuper de satisfaire une femme au lieu de simplement se vider.

J’ai toujours apprécié entendre une femme prendre du plaisir particulièrement quand je suis celui qui lui apporte ce bien fait, mais Sora c’est une fois de plus différent puisque ce n’est pas simplement qu’une question d’apprécier non avec Soraya, c’est avant tout une question de besoin. J’ai besoin de l’entendre gémir pour moi, j’ai besoin de l’entendre crier à cause de moi et j’ai besoin comme une putain de nécessité de la sentir vibrée et de la faire jouir en tout temps !

Ce que je ressens pour elle, je préfère ne pas y penser puisque ce n’est pas raisonnable et que je le sais, mais je suis largement assez grand pour savoir, mais surtout comprendre que ce que nous vivons a incontestablement évolué ! On est loin d’une baise entre potes comme nous avions convenu au départ, puisque nous passons de plus en plus de temps ensemble… Et que je ne ressens plus le besoin d’aller caresser d’autres courbes féminines.

“Oooh Ben ! “ est son alerte qui me fait comprendre qu’elle n’est pas loin d’atteindre tout comme moi ce qu’on appelle le septième ciel et cela m’encourage à me dépasser malgré l’intense sensation de brûlure que mes poumons ressens à chaque inspiration. Je repousse mes limites pour la satisfaire, mais je le fais avec un plaisir
inexplicable. Les mouvements qu’elle ajoute finissent par m’achever me volant au passage un grognement de soulagement bestial. Je prends le temps de m’assurer que mon arme soit totalement déchargée avant de me retirer et de laisser ma main rejoindre son bouton de plaisir afin de m’assurer qu’elle a eu le temps d’atteindre son plaisir le plus complet. Je constate immédiatement que j’ai largement satisfait la demoiselle et cela me fait sourire en coin, maintenant je suis parfaitement comblé. J’embrasse le haut de son épaule où se trouvent quelques taches de rousseur et je la regarde alors qu’elle tourne la tête. Le sourire que je découvre me fait rire doucement malgré que mes poumons soit toujours dans le besoin d’une assistance respiratoire, je la laisse me voler un baiser et je finis par me laisser tomber sur le canapé posant ma main sur mon ventre, sa remarque me fait sourire << Faut dire qu’on tient une activité physique presque journalière en ce moment >> dis-je en parlant du fait que nous nous voyons pratiquement tous les jours depuis quelque temps.

Je finis par me relever attrapant au sol mon haut et je m’essuie la main dessus avant de te l’envoyer afin que ma substance ne te coule pas le long des cuisses puis des jambes, je marche complètement nu vers le frigo que j’ouvre prenant une bouteille d’eau buvant celle-ci au goulot avant de revenir vers toi et te la tendre << Une bonne douche me semble déjà être une bonne idée ensuite on avise ? >> les plans sur la comète ce n’est pas ma tasse de  thé. Je la regarde la trouvant divinement magnifique, mais je me reprends en me raclant la gorge passant une main sur ma nuque << Tu as plutôt envie de rester tranquille ici où de bouger ? >> ils pourraient effectivement se mettre un film, jouer à la console ou alors sortir pour rejoindre les autres << Tu es dispo toute la journée/soirée où tu as des trucs à faire un peu plus tard ? >> je n’exclus pas le fait est qu’elle pourrait voir un autre homme ou avoir d’autre projet alors avant de trouver quoi faire je préfère être certain qu’elle sera à moi les heures suivantes.

Je sais que je ne dois pas arrêter de me torturer l’esprit avec toute cette histoire puisqu’entre elle et moi, il ne pourra jamais rien avoir, elle est bien trop jeune pour se poser avec un homme. Je sais ce que sait d’avoir 20 ans et surtout, j’ai vécu l’amour sur cette tranche d’âge et j’ai vu le résultat, il est vrai que mon ex s’est fait fourrer par son frère d’ailleurs j’en parle jamais ni d’elle ni de ce qu’elle a pu me faire quoi qu’il en soit je sais qu’il est peu probable qu’une autre femme se tape son frère, mais cela ne change rien à son infidélité parce qu’elle avait envie de vivre d’autres expériences et je reste certain que Soraya à également la même envie.

Elle est belle, elle est pleine de vie et elle doit attirer un tas d’hommes je le sais je ne suis pas né de la dernière pluie alors pourquoi s’emmerderait-elle avec un mec de neuf ans son aîné alors qu’elle a le monde à ses pieds ? Je sais aussi que me forcer à croire que notre accord est toujours sans faille n’est pas une solution alors finalement le mieux pour elle comme pour moi reste peut-être de mettre fin à ce que nous partageons, mais je ne suis pas encore prête à le faire, je ne suis pas encore en mesure de la laisser me glisser entre les mains.

Je sais que pour beaucoup les gens vont penser que c’est une question de sexe, mais c’est bien plus que ça à mes yeux, j’aime être avec elle que ce soit à l’heure du petit déjeuner comme à l’heure d’aller se coucher. Avec elle, c’est de la détente assurée, de la rigolade, c’est simplement un moment de bien être, j’aime être avec elle et j’aime à penser que c’est pareil pour elle puisqu’elle vient me voir de plus en plus souvent. Bon, il est vrai que nous profitons de l’un et de l’autre à chaque fois que nous avons l'occasion de nous voir en même temps, j’ai toujours faim d’elle, mais du coup l’idée que nous passons de plus en plus de temps ensemble parce qu’elle veut plus de sexe est pour moi une éventualité à prendre en compte.

Je ris quand elle me dit que c’est de ma faute puisque je la rends insatiable << Mais bien sûr ! N’importe quel homme sur cette planète te dira la même chose Sora’, c’est toi qui nous rends fous ! >> je la laisse essuyer son intimité en la regardant du coin de l'œil non pas pour la surveiller, mais simplement parce que j'aime ce que je vois. Son petit cul est une putain de merveille, je reviens du frigo avec la bouteille d’eau que je lui tends et je la laisse boire tranquillement avant de lui confirmer qu’une douche s’impose, je sens encore la sueur sur ma nuque pétiller sur ma peau << Tu sais bien que tu n’as pas besoin d’invitation pour venir avec moi sous la douche >> je lui fais un clin d’œil d’autant plus que pour moi, il est clair qu’elle doit venir avec moi sous la douche , mais je m’amuse quand je l’entends me trouver une excuse totalement absurde en soit puisque je ne cherche pas à faire des économies autrement je n’offrirais pas le couvert et le confort à Maeva une fois de temps en temps << Des économies tu dis ? >> je lève un sourcil sachant déjà que les économies ne seront pas pour aujourd’hui ! En même temps, qui ferait des économies avec une déesse pareille sous la douche ?

Je finis par lui demander ce qu’elle souhaite faire ce soir puisqu’elle est libre d’avoir ses occupations, mais il est vrai que j’espère qu’elle reste avec moi et dans le fond j’espère qu’elle me réponde qu’elle ne souhaite voir personne, alors quand j’entends sa douce voix me dire ce que je rêvais d’entendre je me demande le temps d’un instant si j’ai pensé à haute voix, mais je sais bien que ce n’est pas le cas alors finalement peut-être qu’elle est pareil que moi.
Je souris grandement, elle caresse mon égo en me disant qu’elle souhaite profiter de ma présence et je lui demande, si elle a d’autres choses à faire sa réponse me confirme bien qu’elle sera toute à moi du coup la soirée qui se profile à l’horizon me semble parfaite. Je hausse les épaules << Je ne sais pas peut-être que tu pourrais rester pour la nuit enfin… Si tu as famille est OK avec l’idée et si tu en as envie bien sûr >> toute manière tu avais déjà prévue de lui faire à manger ce soir s’était d’ailleurs la base de sa venue qui finalement a été avancée << Autrement, tu me dis ton couvre-feu et je t'accompagnerais chez toi >> il est hors de question pour moi de laisser la demoiselle rentrée tardivement seule, c’est simplement inconcevable.

Je m’approche d’elle et je me penche vers elle comme pour l’embrasser, mais je lui attrape les bras je la tire tout en me redressant. J’attrape sa taille et d’un seul coup je la soulève comme une plume vu qu’elle est légère, je la pose sur mon épaule comme un sac à patates << A la douche vilaine fille ! >> dis-je en lui donnant une tape sur les fesses en souriant marchant vers la salle de bain << Allons faire des économies >>

C’est fou ce que je ressens pour la demoiselle présente à mes côtés, quand j’y pense je me dis que c’est dingue de ne pas avoir vu les choses me tomber dessus avant d’entendre les battements de mon palpitant s’emballer en sa présence… Quand j’y réfléchis, je ne comprends pas comment cela a pu se produire puisque j’ai toujours eu le sentiment d’être sur mes gardes afin de protéger mon cœur. Je n’ai pas su remarquer que les choses dépassait notre deal, mais je sais exactement a quel moment mon cœur à rater son premier battement pour elle, je sais exactement l’heure et le jour où j’ai entendu la première notre mélodieuse de mon palpitant me murmurer ce qu’il ressent.

J’étais là comme un con devant l’immeuble dans la sixième avenue, j’attendais les mains dans les poches de mon manteau qu’elle descende pour me rejoindre, mais elle avait du retard puisque les parents du mioche qu’elle gardait ce soir-là avaient eux-mêmes du retard alors je suis aller dans le petit magasin en face nous acheter de quoi manger un bout sur le chemin du retour et quand je suis sortie de la petite épicerie sachet à la main, je l’ai vu ouvrir la porte de l’immeuble. Le vent à directement souffler dans sa chevelure rousse, elle portait un jeans noir accompagner d’un pull rouge et sa veste en cuir celle qui me semble être son fétiche était sur ses épaules.
Je me suis arrêté sur le trottoir pour l’observer, elle a regardé à droite et à gauche avant de sortir son portable de la poche arrière de son jeans, c’est le mien qui a sonné alors j’ai décroché, elle m’a demandait où j’étais et je lui ai dit de regarder devant elle. C’est à ce moment-là que mon regard croisa les siens et elle a souri, son sourire. Mon Dieu, il était digne d’une œuvre d’art et c’est à ce moment précis sur ce morceau de trottoir que je l’ai entendu pour la première fois ce n’était que l’ombre d’un murmure, mais l’écho qui résonnait en moi était rempli de douceur. Elle a couru ensuite pour me rejoindre avec le sourire aux lèvres et depuis, depuis ce soir-là mon cœur poursuit cette douce partition qu’elle seule est en mesure de faire naître.

J’ai cru un moment pouvoir contrôler quelque chose qui ne se contrôle pas et finalement je me suis fait avoir puisque j’ai totalement craqué pour elle, si notre relation était une partie d’échecs je serais le premier à tomber parce que oui, je suis tombé pour elle sans même le vouloir.
Et maintenant, je n’ai plus envie qu’elle reparte après nos échanges, j’ai simplement envie qu’elle reste encore et encore pour avoir le plaisir de la regarder dormir, pour pouvoir lui caresser la joue alors que le sommeil l'apaise. Dans le fond, je suis en colère contre moi parce que j’ai conscience que je ne suis pas censé ressentir tout cela et que je suis le connard qui a merdé ! Comme quoi être plus âgé ne signifie pas être en mesure de contrôler le monde.

Quand elle sous-entend que je suis l'exclusivité, ma surprise est grande puisque je n’ai pas le souvenir d’avoir un jour eu une conversation sur ce sujet. À mon sens et bien que cette idée m’emmerdait royalement, elle avait d’autres partenaires << Essais-tu de me faire croire que tu ne vois personne d’autre que moi ? >> j’ai du mal à y croire pourquoi ? Peut-être parce qu’elle est jeune et qu’il me semble normal qu’elle ait envie de profiter de sa jeunesse. Puis son petit discours sur l’économie que je peux faire en prenant une douche avec elle m’amuse particulièrement et je ne tarde pas à soulever le sujet et sa réponse me fait rire << Entre nous, je crois que ça va être la douche la moins économique du monde >> mon sourire accentue le fond de ma pensé.
Elle sait tout comme moi que je suis en mesure de la reprendre dans les cinq minutes qui suivent puisque cela ne serait pas la première fois et l’idée de la douche me semble être pas mal pour cela.

Pourtant, je prends le temps de lui demander ses projets pour la soirée et j’immisce en même temps une invitation à passer la nuit ici en ma compagnie et quand elle me répond positivement, je suis contente putain ouais que je suis content ! Pourtant, ce n’est rien ce n’est qu’une nuit rien de plus… Cela ne veut rien dire et pourtant cela veut tout dire quand on regarde d’un autre côté. Je ne sais pas si elle a remarqué que notre relation à changer depuis le départ et je sais que je ne trouve pas le bon moment pour lui en parler, mais ce qui est certain, jamais je ne lui aurais proposé de rester dormir, il y a encore quelques semaines << Tu préviendras quand même ta tante histoire qu’elle ne s’inquiète pas >> la famille je connais, ma mère m’a plutôt appris de bonnes bases à ce sujet-là.

Je finis par m’approcher d’elle pour lui faire croire que je vais l’embrasser, mais au lieu de ça je l’attrape avec facilité et je la porte en lui donnant une tape sur les fesses, le rire qu’elle laisse éclater me fait rire également. Une fois dans la salle de bain, je la pose au sol et j'attrape deux serviettes que je prépare pour la sortie de la douche, je pose tout sur la machine et je me tourne en l’entendant dire que je l’ai privée de quelque chose << Quoi donc ? >> dis-je juste avant de sentir ses lèvres contre les miennes directement je souris contre ses lèvres avant de sentir ta bousculade, je recule sous le coup et je sens l’eau chaude sur ma peau << Ouh, tu prends les devants ? >> dis-je en souriant en coin attrapant ses mains pour la tirer contre moi.  

Je sais que je ne vais pas pouvoir continuer bien longtemps à cacher ce que je ressens puisque c’est de plus en plus fort, je sais aussi que je ne vais pas réussir à voiler la face éternellement et à la   À la fin de cette histoire, je sais déjà comment ça va se terminer. Elle prendra le peu d'affaires qui traîne à elle ici et on ne se verra bien, je ne vois pas d’autre sortie à cette histoire… Et moi ? Je vais me retrouver comme un con le cœur en vrac une fois de plus !   Bon les choses seront différentes puisque Soraya ne se sera pas comporté comme une salope en me trompant, mais dans la finalité je vais souffrir tout autant de son absence. Je ne sais pas ce qui va plus me manquer chez elle quand elle ne fera plus partie de ma vie… Peut-être son sourire ? Son parfum ? Sa peau douce ? Je n’en ai aucune idée, mais je sais qu’elle va me manquer et que pendant un temps je ne la verrais plus puisque je vais probablement éviter les potes le temps de me remettre émotionnellement.  

 T’façon, je sais que je suis dans la merde puisque j’ai perdu à mon propre jeu ! En même temps, c’est de ma faute quel con j’ai été de croire que je pourrais contrôler l’amour… C’était vraiment absurde comme idée et je m’en rends compte maintenant, maintenant que je ne peux plus faire marche arrière, maintenant qu’elle m’a piqué je suis simplement foutu.   D’ailleurs, le moment qui suit me prouve une fois de plus que je suis à l’aise avec elle puisque je la laisse me pousser sous la douche en temps normal, je me méfie des femmes qui peuvent venir chez moi, mais elle ? Dans le fond ici c’est un peu comme chez elle également sauf qu’elle ne le sait pas et qu’elle n’a pas vraiment d'affaires personnelles dans mon appartement. Évidemment entendre de sa bouche que je suis une exclusivité me plait, mais je n’ai pas pris le temps de lui dire qu’elle était la même chose pour moi peut-être parce que sur l’instant je n’ai pas voulu prendre le risque qu’elle comprenne qu’elle est bien plus importante à mes yeux qu’une amie.  Je pense que c’est ça et du coup j’ai enchaîné avec l’idée qu’elle prévienne sa tante pour son absence nocturne, je sais trop bien ce qu’une personne qui nous aime peut ressentir quand elle n’a pas de nouvelle surtout dans le monde actuel… J’ai eu l'occasion de voir la panique plus d’une fois dans le regard de ma mère alors que je suis un mec alors pour une demoiselle ? Je n’imagine même pas l’état mental dans lequel Sinéad pourrait se retrouver, si Sora ne l’informait pas sa position. Je sais que je ne pourrais pas passer une nuit tranquille avec l’idée en tête que rien n’est fait dans les règles pourtant, je suis le premier à ne pas respecter les règles de base… Mais ça, c’est mon problème.   Nous sommes donc dans la douche, elle vient de me pousser sous l’eau et je souris en soulevant le fait qu'elle prend les devants ! Elle ne sait pas combien j’aime quand elle est la maîtresse du moment, j’apprécie également être le maître, mais c’est d’extrême niveau sensation et bordel quand elle mène à sa guise la barque elle pourrait me rendre précoce tellement elle sait y faire. C’est fou mine de rien puisque je me doute qu’elle n’a pas non plus 100 000 milles bornes aux compteurs, mais elle est douée même plus que ça, elle est parfaite.   Je l’ai laisse se coller contre moi de toute façon tu ne demandes que ça l’avoir contre toi pour la protéger encore et encore de ce qui pourrait lui tomber dessus, c’est ça que tu veux, tu veux être son bouclier, son gilet par balle son putain de paratonnerre. Les doigts entrelacés aux siens je serre un peu cette étreinte laissant mes lippes se mouvoir sur les siennes, elle finit par me priver de la douceur de ses lippes pour venir caresser le cou de son souffle et de ses lèvres, je ne peux me contrôler et j’inverse les rôles venant doucement la plaquer contre le mur pour ensuite laisser mon corps se coller au sien. L’eau coule doucement sur vos corps unis, tu colles ton front contre le sien en plongeant ton regard dans le sien créant ainsi un moment qui se passe de toute parole seule le moment est suffisant, lourd de sens. Nos doigts sont toujours entrelacés tandis que je déglutis et m'efforce d’enchaîner mon palpitant qui s’emballe et se rythme dans un tempo totalement inapproprié par rapport à ce que nous sommes elle et moi. Je finis par briser ce regard qui laisse bien trop d’ouverture sur mon âme, je sais qu’elle a sûrement dû lire certaines choses dans le fond de mes yeux, mais je ne suis pas prêt à ce qu’elle sache avec certitude que je suis le maillon faible de notre histoire. C’est en plaquant mes lèvres contre les siennes que je sauve ma peau.