- Ulysse T. DunLet the sunshine in
The sun shine in - Pseudo : Ajar
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Points : 129
Faceclaim : Julien Doré
Crédits : moi
Date d'inscription : 03/01/2021
Âge : 33 années lumières à rester le nez dans les étoiles
Situation financière : il n'a jamais manqué de rien. Au départ entretenu par ses parents, il n'a pas baissé les bras lorsqu'ils ont décidé qu'il était temps pour lui de se débrouiller par lui-même...
Situation amoureuse : Il n'a jamais pris la peine de s'attacher, prenant toujours le prétexte du travail ou "de ne pas être prêt à s'engager". Pourtant, ça n'a pas été faute d'avoir essayer. Marié à Darejani, il a divorcé peu de temps après. La famille, très peu pour lui... Pourtant, lui qui ne voulait pas de responsabilités se retrouve seul à élever un enfant, totalement malgré lui.
Orientation sexuelle : Hétéro. Pour le reste, il n'a jamais été difficile: pourquoi se prendre la tête?
Habitation : Maison, N°37 à Anacostia.
Emploi/études : Directeur de l'association "Animals' Den"
Multicomptes : Un beau comédien, un charmant illustrateur et une créatrice pleine de vie (Elli & Tam)
Une semaine. Une seule minuscule semaine avait suffit à le faire paniquer. Ulysse était paumé. Entre l'acceptation forcée de ce Polichinelle dans le placard et son néophytisme complet en matière de gosses de moins de douze ans, il avait l'impression de perdre pied et bien des fois, il avait hésité à jeter l'éponge. Après tout, appeler les services sociaux, dire qu'il avait trouvé ce gosse là, entre deux poubelles, c'était vite fait ! mais lorsque son regard croisait celui de son fils, il ressentait quelque chose d'étrange. Enfoui bien au fond de lui. Inexplicable, il n'avait encore jamais ressenti ça auparavant, pas même pour une fille. Avec cet enfant dans les bras, il se sentait entier, invincible. Pas parce qu'il allait s'en servir de bouclier humain, non. Plutôt car, pour la première fois de sa vie, il se sentait empli. Enfin, sa vie avait un sens.
Pas encore tout à fait prêt à l'accepter, il avait laissé Mathis à sa meilleure amie ce soir là. Juste une nuit. Pour son fils, l'occasion rêvée pour en écraser et... gueuler toutes les trois heures environ. Pour lui, l'occasion de picoler et... gueuler tous les trois grammes. Si d'aucun ressentaient le besoin de se reposer lorsqu'ils avaient un enfant, lui, ressentait le besoin de sortir, prendre l'air. Il était encore plus fort, plus incontrôlable qu'en temps normal, ce besoin. Et Ulysse ne se ferait certainement pas prier. Et puis, qui l'aurait cru ? il rencontrerait même, sans le savoir, la nouvelle baby-sitter de son fils! Blonde, plutôt jolie, Ulysse en aurait probablement fait son quatre heures, si la jeune femme avait eu quelques printemps de plus. Il la trouvait belle, c'était indéniable. Mais il entendait déjà son père : "Bon dieu, Ulysse ! elle a l'âge qu'aurait eu ta petite soeur si t'en avais eu une ! et parfois, j'me dis qu'on a eu raison d'se cantonner à un seul, quand on voit le désastre qu'est ta vie ! quand vas tu grandir ?!"
Il lui suffisait de l'imaginer pour soupirer. Pas ce soir. Il avait repris un verre et ils avaient sympathisé, échangeant sur sa mésaventure et sur le besoin de la blondinette de trouver un travail: elle avait l'air assez sérieuse pour qu'il lui laisse sa chance, et en attendant, ils avaient passé quelques jours à discuter sur instagram: qui avait dit que les réseaux sociaux détruisaient le lien social ?
Enfin, le grand jour était arrivé. Il s'était levé tôt. Nerveux comme à son propre entretien d'embauche, il avait déjà pris deux douches et bu quatre cafés lorsqu'on frappa à la porte. Se précipitant, il ouvrit rapidement:
"Salut Soraya ! entre, fais comme chez toi ! c'est super cool que tu sois venue. Tu m'sauve la vie, t'as pas idée !"
@Soraya Sörvik-Davis Pas encore tout à fait prêt à l'accepter, il avait laissé Mathis à sa meilleure amie ce soir là. Juste une nuit. Pour son fils, l'occasion rêvée pour en écraser et... gueuler toutes les trois heures environ. Pour lui, l'occasion de picoler et... gueuler tous les trois grammes. Si d'aucun ressentaient le besoin de se reposer lorsqu'ils avaient un enfant, lui, ressentait le besoin de sortir, prendre l'air. Il était encore plus fort, plus incontrôlable qu'en temps normal, ce besoin. Et Ulysse ne se ferait certainement pas prier. Et puis, qui l'aurait cru ? il rencontrerait même, sans le savoir, la nouvelle baby-sitter de son fils! Blonde, plutôt jolie, Ulysse en aurait probablement fait son quatre heures, si la jeune femme avait eu quelques printemps de plus. Il la trouvait belle, c'était indéniable. Mais il entendait déjà son père : "Bon dieu, Ulysse ! elle a l'âge qu'aurait eu ta petite soeur si t'en avais eu une ! et parfois, j'me dis qu'on a eu raison d'se cantonner à un seul, quand on voit le désastre qu'est ta vie ! quand vas tu grandir ?!"
Il lui suffisait de l'imaginer pour soupirer. Pas ce soir. Il avait repris un verre et ils avaient sympathisé, échangeant sur sa mésaventure et sur le besoin de la blondinette de trouver un travail: elle avait l'air assez sérieuse pour qu'il lui laisse sa chance, et en attendant, ils avaient passé quelques jours à discuter sur instagram: qui avait dit que les réseaux sociaux détruisaient le lien social ?
Enfin, le grand jour était arrivé. Il s'était levé tôt. Nerveux comme à son propre entretien d'embauche, il avait déjà pris deux douches et bu quatre cafés lorsqu'on frappa à la porte. Se précipitant, il ouvrit rapidement:
"Salut Soraya ! entre, fais comme chez toi ! c'est super cool que tu sois venue. Tu m'sauve la vie, t'as pas idée !"
- Popeye A. SörvikThere's nothing you can't say
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Situation financière : Il s'en sort
Situation amoureuse : Célibataire à dernière nouvelle
Orientation sexuelle : Complètement gay même s'il a mis du temps à le comprendre ainsi que plusieurs tentatives loupées avec des filles
Habitation : Duplex N°222 Dowtown avec Malakai
Emploi/études : En ce moment il faire le bookmaker. Il prend les paris pour quelques combats illégaux et parfois pour des courses. Il lui arrive également de temps en temps d'être celui qui va foutre la trouille à un mec pour qu'il règles ses dettes auprès de certains joueurs.
Multicomptes : Le control freak aka Klaus ft. Evan Peters & Le drogué aka Taz ft. Rami Malke
Rps en cours : OVERCOMPLET Séphiros • Sörvik Family • Milo
RPS TERMINÉS: Soraya & Ulysse • Rytis • Tamara • Gillian • Malakai • Andrea • Nora • Jesabel • Gaïa
Vous pouvez prendre tout tant qu'on est entre nous
Calé dans sa voiture, à l'arrêt devant l'immeuble où vie sa sœur il attend la petite blondinette. Il est en avance mais il veut être certain qu'elle ne se barre pas sans lui. Le temps de patienter il baisse une fenêtre et se grille une clope. La veille quand il est tombé sur les commentaires dans son insta il n'a pas pu s'empêcher de lui envoyer des sms pour lui poser quelques questions. Peut-être qu'il a un peu trop joué les tontons protecteur, un peu trop flic, c'est vrai. Il en est conscient mais.. Il vient de perdre sa grande sœur, la mère de Soraya. Il a l'impression de vivre perte sur perte et ça a déclenché un côté un peu parano. Ca finira sûrement par se calmer mais en attendant il a peur qu'une merde arrive à sa nièce et qu'il la perde elle aussi. Alors il se méfie assez facilement. Il ne sait pas qui c'est ce mec et elle va aller chez lui directement. Hors de question qu'il ne sache pas où elle est exactement. Vu comme il lui parle c'est pas juste une relation d'employeur normale, il n'est pas non plus le dernier des abrutis. Il a presque l'impression que c'est du flirt. Ca peut très bien être un pervers qui tente de l'amadouer et joue les gentils et arrangeants employeurs pour mieux la mettre en confiance. Y'en a tellement que ça ne le surprendrait pas. Mais si c'est le cas il est hors de question qu'il laisse faire. Avoir l'adresse ça sera déjà bien. Si jamais elle ne répond plus ou qu'elle l'appelle au secours il pourra débouler. Il a peur qu'elle soit trop naïve et qu'elle ne voit pas le danger s'approcher s'il y en a un. Elle a beau lui avoir répété qu'elle a grandit et qu'elle n'est plus une petite fille ça n'est pas pour autant qu'elle ne peut pas se faire avoir. Peut-être qu'il se trompe et franchement il espère. Il espère juste que c'est un mec cool, qui se le joue un peu plus détente qu'à la raisonnable avec ses employés mais sans idée derrière la tête. Mais si ça n'est pas le cas il n'hésitera pas à agir. Et il ne sera probablement pas le seul d'ailleurs. Une crinière blonde fini par attirer son attention dans son champ de vision et son sourire s'étire en la voyant s'approcher "Salut toi !" il jette sa cigarette et se penche pour déverrouiller sa portière afin qu'elle puisse prendre place à ses côtés. Il lui colle un bisou sur la joue avant de démarrer "Ceinture" s'il n'est pas toujours des plus prudents il l'est toujours quand il est avec elle. Hors de question de risquer un autre accident malheureux "Bon alors c'est quoi l'adresse ?" une fois en route il tape la discute, lui demande surtout comment elle va et si elle ne stress pas trop pour ce premier jour. Non parce qu'il n'a pas vraiment dû l'aider à se détendre avec ses suscitions et il sait qu'elle aurait préféré qu'il ne l'accompagne pas. Parce que, comme pour tous les ados "C'est la honte" sauf que la négociation n'est pas possible. Pas pour ce premier jour. Une fois arrivé il se gare et sort de la voiture pour aller jusqu'à la porte accompagné de Soraya. Le temps qu'on vienne lui ouvrir il s'adosse au mur. Probablement pour ça que l'homme qui ouvre, Uly_Corn, ne le vois pas tout de suite et s'adresse directement à la jeune fille. "Salut Soraya ! entre, fais comme chez toi ! c'est super cool que tu sois venue. Tu m'sauve la vie, t'as pas idée !" lui sauve la vie ? Putain mais c'est quel genre de boulot qu'il veut lui faire faire ? Il se décolle du mur pour apparaître derrière sa nièce "Salut, Popeye, je suis son oncle" il lui tend la main. Uniquement pour lui serrer. Il n'a tout de même pas l'idée de l'agresser avant de l'avoir jaugé tout de même. "Elle m'a dit qu'elle venait bosser ici alors j'ai voulu passer voir avec qui elle allait passer la journée, histoire d'être sûr qu'elle soit entre de bonnes mains" son ton est calme, il est même plutôt souriant. Okay, mi-souriant. Mais le sous entendu lui, est suffisamment clair. Si les bonnes mains sont finalement des mains baladeuses il sait où il habite. "Vous allez lui faire faire quoi du coup exactement ?" si c'est pour le masser il repart avec elle.
- Soraya Sörvik-DavisYou're a little late
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Âge : Le début de la vingtaine à peine entamée, elle a fêté ses vingt ans à date du 15 décembre. Elle a encore un tas de belles choses à vivre.
Situation financière : Stable et ça se passe pas trop mal. Elle n'est pas aisée, mais elle n'est pas non plus dans la misère.. C'est déjà pas mal.
Situation amoureuse : Célibataire qui rêve au prince charmant. Pourtant, pour l'instant, elle n'est pas particulièrement prête à s'engager dans une relation.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, elle n'a jamais douté de son attirance envers la gente masculine.
Habitation : Elle habite dans un appartement à Adams Morgan avec sa tante, Sinéad.
Emploi/études : Étudiante en musique ayant le rêve de devenir une pianiste de renom. Elle passe son temps libre auprès d'enfant, étant babysitter. Elle fait également partie d'un groupe de musique.
Multicomptes : Gabriella (Vitaa) + Sophia (Margot Robbie) + Charlène (Lara Fabian) + Laura (Eliana Ghen)
Rps en cours :
Ulysse (2) ~ Sinéad ~ Maeva ~ Ben ~ Jin-Soo
Rps terminés : Elliott ~ Ulysse ~ Tamara
Vous pouvez prendre tout tant qu'on est entre nous
Tu pourras me dire tout ce que tu veux, sous tes fous rires et tes grands airs. C'est pas la peine, tu peux mentir à qui tu veux, tu souris trop pour être heureux. Tu me fais de la peine. ı @Ulysse T. Dun & @Soraya Sörvik-Davis (avec une apparition de Poppy )
Après t'être préparée d'un pull à manches longues, d'un jeans et d'une paire de baskets, il est temps de te maquiller. En toute légèreté, évidemment. Ensuite, tu quittes donc l'appartement afin de rejoindre la voiture de ton oncle, Poppy. Parce que oui, il a décidé de t'accompagner jusque là en voiture. Pire, il veut même adresser un mot ou deux à ton patron. Vingt ans, tu as déjà vingt ans et malgré ça, il continue de te voir comme une enfant. Évidemment, tu peux comprendre qu'il s'inquiète pour toi et ça te touche, mais se faire conduire à son boulot par son oncle pour le premier jour? C'est légèrement la honte, bien que tu l'aimes de tout ton coeur. Pour autant, tu n'as pas cherché à argumenter davantage et tu as cédé à son obligation. Enfin, il ne t'as pas vraiment laissé le choix non plus. En même temps, ce n'est que du babysitting avec un mec avec qui tu as sympathisé en ligne et à une soirée, rien de plus. Le pauvre t'as rapidement parlé de son histoire et tu as gentiment proposé de lui filer un coup de main, tout simplement. Mais il est vrai que tu n'es pas rentrée dans les détails en expliquant ceci à Poppy, hier. Enfin. Tu rejoins sa voiture avec le sourire, un sourire que tu forces un peu depuis quelques jours, il faut l'admettre.
Niagara
- Ulysse T. DunLet the sunshine in
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Situation financière : il n'a jamais manqué de rien. Au départ entretenu par ses parents, il n'a pas baissé les bras lorsqu'ils ont décidé qu'il était temps pour lui de se débrouiller par lui-même...
Situation amoureuse : Il n'a jamais pris la peine de s'attacher, prenant toujours le prétexte du travail ou "de ne pas être prêt à s'engager". Pourtant, ça n'a pas été faute d'avoir essayer. Marié à Darejani, il a divorcé peu de temps après. La famille, très peu pour lui... Pourtant, lui qui ne voulait pas de responsabilités se retrouve seul à élever un enfant, totalement malgré lui.
Orientation sexuelle : Hétéro. Pour le reste, il n'a jamais été difficile: pourquoi se prendre la tête?
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Il avait tout préparé. La veille au soir, il avait remis un peu d’ordre dans sa maison (comprenez ici : passé un coup de balai entre les cartons empilés et pas encore déballés, son emménagement étant tout frais) , rédigé une liste de toutes les choses que Soraya devrait savoir à propos de Mathis aimantée soigneusement au frigo, lavé Jackie et Michel après les avoir promenés. Enfin, il avait passé la soirée dans son canapé, surveillant son fils du coin de l’oeil qui dormait à poings fermés dans son lit parapluie… Moment de répit tant attendu, lui qui espérait profiter s’était endormi la tête sur l’accoudoir, réveillé en sursaut par les cris de Mathis, vers deux heures du mat’… « va falloir qu’on cause tous les deux mon p’tit pote ! Si tu me laisse écraser la nuit, double ration de lait. Deal ? » il fondait devant les grands yeux ronds de ce petit. Lui qui n’avait pas signé pour ce genre d’aventure, contraint et forcé d’accepter son sort, force était de constater que peu à peu, il devenait gaga du p’tit. Ca lui faisait bizarre, lui qui n’avait jamais du s’occuper que de lui même et faillait très souvent à cette simple mission, voilà qu’il se transformait en véritable elfe de maison ! Après lui avoir donné son biberon, il était allé se coucher, ayant fait migrer le berceau dans sa chambre par flemme évidente de bouger la nuit. Lorsqu’il s’était réveillé le matin, tout avait beau être sous contrôle, il était mort de stress.
Lorsque la sonnette retentit, il n’a pas tout de suite compris, que Soraya n’était pas seule. Mais en détournant le regard dans l’encadrement de la porte, il avait compris. La famille. Paye ta confiance. Et en même temps, ce type n’avait pas tort : il valait toujours mieux savoir à qui l’on avait affaire. Surtout avec une fille aussi jolie que Soraya. Pourtant, il ne put réprimer un sourire en coin, peut-être légèrement moqueur. Calmement, il se cala contre le rebord de la porte « Ulysse. Enchanté. » et hochant la tête au moindre des mots de Popeye, lui offrant un regard incrédule , un vague sourire amusé dont il ne parvenait pas à se défaire, il observa Soraya en coin. Le plus mal à l’aise dans l’histoire, ce n’était sans doute pas lui ! Mais lorsque l’oncle de la blondinette lui posa la question fatidique, Ulysse ne put s’empêcher de le taquiner. Très sérieux, il lança d’un ton détaché, regardant ses ongles « eh bien… Dans un premier temps… il faudra qu’elle me douche. qu’elle me donne à manger… et, je serai intraitable sur ce point : qu’elle me change et qu’elle me raconte des histoires… au petit. Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce qu’elle s’occcupe de mon fils de 3 mois , j’espère ? » le strip-tease, ce sera si on a le temps, pensa-t-il. Mais il préféra se taire. Pas certain que le tonton soit friand de ce genre de vanne. Réprimant un rire, il se retourna en entendant Soraya revenir : « je vous présente Mathis. Il est la raison de la présence de Soraya chez moi. Globalement, elle sera autonome, j’lui fais confiance. Pendant ce temps là, je déferai mes cartons : nous venons d’emménager lui et moi. Ensuite, je devrai m’absenter : je m’occupe d’une association et aujourd’hui, j’y ai quelques choses à faire. Mais globalement, je ne serai jamais très loin, si elle a besoin de quoique ce soit. » adressant un clin d’oeil à Soraya, il poursuivit : « Soraya, tu trouveras une liste des choses à faire avec Mathis sur le frigo. Peut-être voudriez-vous visiter, monsieur ? » La situation l’amusait plus qu’autre chose, mais malgré tout, il tentait d’estomper le malaise. Pas pour lui, mais pour Soraya. Il savait combien les proches pouvaient être étouffants, parfois même gênants, à vouloir régir notre vie entière, lorsqu’on était jeune… Lui, il l’avait vécu jusqu’à l’arrivée de Mathis : son souvenir de gênance ne pouvait pas être plus récent !
Lorsque la sonnette retentit, il n’a pas tout de suite compris, que Soraya n’était pas seule. Mais en détournant le regard dans l’encadrement de la porte, il avait compris. La famille. Paye ta confiance. Et en même temps, ce type n’avait pas tort : il valait toujours mieux savoir à qui l’on avait affaire. Surtout avec une fille aussi jolie que Soraya. Pourtant, il ne put réprimer un sourire en coin, peut-être légèrement moqueur. Calmement, il se cala contre le rebord de la porte « Ulysse. Enchanté. » et hochant la tête au moindre des mots de Popeye, lui offrant un regard incrédule , un vague sourire amusé dont il ne parvenait pas à se défaire, il observa Soraya en coin. Le plus mal à l’aise dans l’histoire, ce n’était sans doute pas lui ! Mais lorsque l’oncle de la blondinette lui posa la question fatidique, Ulysse ne put s’empêcher de le taquiner. Très sérieux, il lança d’un ton détaché, regardant ses ongles « eh bien… Dans un premier temps… il faudra qu’elle me douche. qu’elle me donne à manger… et, je serai intraitable sur ce point : qu’elle me change et qu’elle me raconte des histoires… au petit. Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce qu’elle s’occcupe de mon fils de 3 mois , j’espère ? » le strip-tease, ce sera si on a le temps, pensa-t-il. Mais il préféra se taire. Pas certain que le tonton soit friand de ce genre de vanne. Réprimant un rire, il se retourna en entendant Soraya revenir : « je vous présente Mathis. Il est la raison de la présence de Soraya chez moi. Globalement, elle sera autonome, j’lui fais confiance. Pendant ce temps là, je déferai mes cartons : nous venons d’emménager lui et moi. Ensuite, je devrai m’absenter : je m’occupe d’une association et aujourd’hui, j’y ai quelques choses à faire. Mais globalement, je ne serai jamais très loin, si elle a besoin de quoique ce soit. » adressant un clin d’oeil à Soraya, il poursuivit : « Soraya, tu trouveras une liste des choses à faire avec Mathis sur le frigo. Peut-être voudriez-vous visiter, monsieur ? » La situation l’amusait plus qu’autre chose, mais malgré tout, il tentait d’estomper le malaise. Pas pour lui, mais pour Soraya. Il savait combien les proches pouvaient être étouffants, parfois même gênants, à vouloir régir notre vie entière, lorsqu’on était jeune… Lui, il l’avait vécu jusqu’à l’arrivée de Mathis : son souvenir de gênance ne pouvait pas être plus récent !
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Oui d'accord peut-être qu'il abuse un peu en allant jusqu'à lui dire de lui mettre sa ceinture. Il ne le faisait pas avant mais depuis l'accident... Il préfère être sûr. Même s'il roule prudemment avec elle il n'est pas impossible qu'un autre chauffeur fasse de la merde alors il est un peu lourd sur la sécurité mais il ne peut pas faire autrement. Pas encore. C'est encore trop frais. Alors tant pis il va être un peu plus chiant et protecteur le temps que ça aille mieux. Si ses parents étaient encore la il ne se serait pas mêlé de ça aujourd'hui, il aurait laissé la responsabilité à ses parents. Mais il se trouve qu'ils ne sont plus et que lui il ne sait pas encore comment se placer vis à vis de la jeune fille. Même si la tutelle revient à Sin, ils vont devoir à eux trois remplacer un peu ses parents. Est ce qu'ils l'auraient accompagné eux pour son premier jour ? Il n'en sait rien, mais dans le doute. Puis les messages qu'il a vu sur insta.. Il connait assez bien les mecs pour trouver son inquiétude légitime. Si le type n'a rien à se reprocher tant mieux mais vu la façon familière dont il lui parle et vu qu'elle va être chez lui, il préfère s'en assurer un minimum. En tout cas elle a l'air en forme elle. Ca lui fait plaisir. Il ne sait pas si elle s'en remet mieux que lui, peut-être bien qu'elle arrive simplement à mieux le cacher. Devant elle il arrive à paraître a peu prêt normal si on enlève son côté surprotecteur qui chercher à s'adapter à sa nouvelle place à ses côtés. Mais le reste du temps.. Entre déprime et nez dans le verre il est encore bien loin de s'en remettre. Arrivé jusqu'à chez son employeur celui ci attrape la main qu'il lui tend « Ulysse. Enchanté. » Et ben on peut dire qu'ils ont tout les deux des prénoms originaux au moins ! Alors justement c'est ça le soucis. On commence par un striptease puis... je te passe les détails même s'il a tiqué au mot strip-tease il a tout de suite compris qu'elle le faisait marcher, et juste pour le faire chier. Quelle peste celle la ! Il lui fout une pichnette, à défaut d'avoir un bonnet à lui enfoncer sur la tête "Putain t'es bien la nièce de ton oncle toi" tout pour provoquer. « eh bien… Dans un premier temps… il faudra qu’elle me douche. qu’elle me donne à manger… et, je serai intraitable sur ce point : qu’elle me change et qu’elle me raconte des histoires… » et l'autre qui s'y met aussi, putain ils se sont bien trouvé ces deux la « … au petit. Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce qu’elle s’occcupe de mon fils de 3 mois , j’espère ? » tout ça pour ça, d'accord d'accord super vanne youpi. Comme s'ils avaient élevé les cochons ensemble. Bon d'accord, c'est le genre d'humour qu'il peut lui même avoir quand il veut enquiquiner quelqu'un, pour autant sa question attendait une vrai réponse. Son gosse donc. Il baisse les yeux sur la petite tête blonde que ramène sa petite tête blonde à lui. « je vous présente Mathis. Il est la raison de la présence de Soraya chez moi. Globalement, elle sera autonome, j’lui fais confiance. Pendant ce temps là, je déferai mes cartons : nous venons d’emménager lui et moi. Ensuite, je devrai m’absenter : je m’occupe d’une association et aujourd’hui, j’y ai quelques choses à faire. Mais globalement, je ne serai jamais très loin, si elle a besoin de quoique ce soit. » il hoche la tête "Parfait, de toute façon moi non plus j'serais pas très loin si elle a besoin de quoi que ce soit" ou s'il lui arrive quoi que ce soit. Oui il se permet ce petit sous entendu histoire d'être bien clair. Il tien à ce qu'elle soit en sécurité et étant sous son toit, il le jugera responsable s'il lui arrive quoi que ce soit. « Soraya, tu trouveras une liste des choses à faire avec Mathis sur le frigo. Peut-être voudriez-vous visiter, monsieur ? » Monsieur ? Il est plus vieux que lui wesh.. Il secoue la tête. Il en a pas grand chose à foutre de savoir s'il a une double vasque ou un aquarium "Non ça ira, je l'accompagnais seulement" il va pas faire la police à ce point quand même. Il a ce qu'il voulait, l'endroit où elle est ainsi qu'un petit mot à son employeur histoire d'être sûr que tout se passe bien. Il a pas l'air bien méchant, après tout, l'humour de merde n'est pas un délit. Il se tourne vers la blondinette et se penche pour lui coller un bisou sur la tête "Allez travaille bien ma belle" inutile de lui répéter que si elle a besoin elle l'appelle, il lui a déjà rabâché. Il tourne les talons pour rejoindre sa voiture. Prend tout de même soin de noter l'adresse avant de démarrer pour repartir vaquer à ses occupations qui, comme il l'a dit, ne sont pas très loin d'ici.
- Soraya Sörvik-DavisYou're a little late
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Âge : Le début de la vingtaine à peine entamée, elle a fêté ses vingt ans à date du 15 décembre. Elle a encore un tas de belles choses à vivre.
Situation financière : Stable et ça se passe pas trop mal. Elle n'est pas aisée, mais elle n'est pas non plus dans la misère.. C'est déjà pas mal.
Situation amoureuse : Célibataire qui rêve au prince charmant. Pourtant, pour l'instant, elle n'est pas particulièrement prête à s'engager dans une relation.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, elle n'a jamais douté de son attirance envers la gente masculine.
Habitation : Elle habite dans un appartement à Adams Morgan avec sa tante, Sinéad.
Emploi/études : Étudiante en musique ayant le rêve de devenir une pianiste de renom. Elle passe son temps libre auprès d'enfant, étant babysitter. Elle fait également partie d'un groupe de musique.
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Tu pourras me dire tout ce que tu veux, sous tes fous rires et tes grands airs. C'est pas la peine, tu peux mentir à qui tu veux, tu souris trop pour être heureux. Tu me fais de la peine. ı @Ulysse T. Dun & @Soraya Sörvik-Davis (avec une apparition de Poppy )
De toute façon, tu t'es toujours attachée en voiture. Rien n'a changé à ce niveau là, mais tu comprends tout de même cette remarque venant de lui. Impossible d'oublier vu les événements récents en même temps, puisque tu t'es retrouvée orpheline du jour au lendemain. Heureusement que malgré tout, tu n'es pas seule étant donné que tu peux compter sur ta famille. Si tu sembles en forme ce matin, c'est simplement parce que tu joues des apparences afin de ne pas montrer que non, ça ne va pas forcément. Cette situation est suffisamment pesante à elle seule, tu ne vas pas en rajouter une couche. Loin de toi l'envie qu'ils s'inquiètent pour toi. Il faudra du temps, parait-il. Comme si le temps soigne les blessures. Comme si ça allait suffit à ce que tu puisses t'en remettre. Non. Ta manière à toi d'essayer d'encaisser, c'est de te plonger tête baissée dans la musique et de t'occuper d'enfants. Comme tu envies leur innocence. Enfin, en parlant d'enfants, c'est exactement la raison de ta venue chez Ulysse aujourd'hui puisque tu fais du baby-sitting pour lui, à présent. Mais à la place de dire honnêtement ce que tu es venue faire ici, tu l'as un peu fait marcher avant d'entrer pour aller récupérer Mathis, le fils d'Ulysse. Et autant dire que sa bouille d'ange te fait craquer. Visiblement, tu reviens pile au bon moment puisque tu reviens au moment où ton employeur dévoile la supercherie à ton oncle, un petit sourire satisfait te pendant aux lèvres.
Niagara
- Ulysse T. DunLet the sunshine in
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Situation financière : il n'a jamais manqué de rien. Au départ entretenu par ses parents, il n'a pas baissé les bras lorsqu'ils ont décidé qu'il était temps pour lui de se débrouiller par lui-même...
Situation amoureuse : Il n'a jamais pris la peine de s'attacher, prenant toujours le prétexte du travail ou "de ne pas être prêt à s'engager". Pourtant, ça n'a pas été faute d'avoir essayer. Marié à Darejani, il a divorcé peu de temps après. La famille, très peu pour lui... Pourtant, lui qui ne voulait pas de responsabilités se retrouve seul à élever un enfant, totalement malgré lui.
Orientation sexuelle : Hétéro. Pour le reste, il n'a jamais été difficile: pourquoi se prendre la tête?
Habitation : Maison, N°37 à Anacostia.
Emploi/études : Directeur de l'association "Animals' Den"
Multicomptes : Un beau comédien, un charmant illustrateur et une créatrice pleine de vie (Elli & Tam)
Ulysse hésitait entre la crise de rire et partir, le plantant là, sans plus d’explications. Après tout, s’il n’était pas chez lui, peut-être que le tonton un peu trop collant se détendrait ? Malgré tout, il resta calme, tentant de le rassurer comme il le pouvait. La raison pour laquelle il le faisait était d’ailleurs évidente : mettre à l’aise autant que possible. Pas seulement l’oncle flippé -et flippant, par la même occasion ! d’ailleurs, Ulysse se dit que la blondinette qu’il avait rencontrée en soirée avait bien du courage, de supporter un truc pareil. Est-ce que toute sa famille était aussi déjantée ? Parce que non, clairement, il ne se voyait pas, chaque jour, ouvrir à une personne différente et encore plus cheloue que l’oncle. Un seul du genre suffisait, ne fut-ce que pour la santé mentale de la jeune femme ! - mais surtout, pour Soraya, qui devait probablement se sentir toute petite dans ses chaussures. Calmement, Ulysse la regarda partir du coin de l’oeil. Agréablement surpris par sa mise au travail rapide et naturelle, il croisa les bras, toujours adossé à l’encadrement de porte. Il donnait les quelques informations nécessaires au rouquin posté là, devant lui, tantôt se payant sa tête, tantôt sérieux : car s’il l’avait voulu, il lui aurait véritablement fait visiter la maison : de toutes façons, elle était vide ! Et puis, Ulysse n’avait rien à cacher. Il n’était pas de ceux qui planquaient des trucs louches et assumait tout ce qu’il faisait. Même les trucs les plus douteux commis en soirée…
Adressant un sourire à Soraya, il regrettait presque son arrivée : troller le tonton avait été son activité préférée durant les quelques dernières minutes qu’il venait de passer tantôt mal à l’aise, tantôt amusé, notamment par l’évocation du striptease, à laquelle il avait manqué de s’étouffer. Bordel. Tonton Sörvik allait le détester, c’était certain. Mais franchement, ça en valait le coup. Ulysse était prêt à prendre sur lui pour ça. Il hocha la tête lorsque Soraya lui assura qu’elle remplirait les demandes de la liste avant le soir, et sourit : « pas de stress. J’ai confiance. Et puis, c’est ton premier jour. Prends tes marques. Si tu n’as pas le temps de tout faire, j’t’en tiendrai pas rigueur, tu sais ? Que tu t’occupes de Mathis pendant que je termine de m’installer, c’est déjà énorme. » Enfin, Ulysse termina sa discussion avec l’oncle de la jeune femme et le salua lorsqu’il lui signala son départ. Fermant la porte contre laquelle il s’adossait, il soupira de soulagement : « NOM DE DIEU ! j’ai cru qu’il n’allait jamais partir ! Il est toujours comme ça ? Non parce que franchement, j’m’attends à le voir débouler avec une hâche juste « au cas où », à tout moment ! » il se mit à rire et ouvrit les rideaux : « ou… p’t-être même qu’il est en train d’épier aux fenêtres pour vérifier qu’on fait pas des trucs chelous ? » il traversa de nouveau le salon en direction de la cuisine où le café terminait de passer. Seconde cafetière de la journée, à à peine huit heures : Ulysse mourrait probablement d’une rupture d’anévrisme avant la fin de cette journée. Se servant une tasse, il passa une main dans sa tignasse avant de s’étirer et soupirer : « enfin bref ! Tu veux boire quelque chose ? j’ai … du café, du jus de fruits, du thé... »
Adressant un sourire à Soraya, il regrettait presque son arrivée : troller le tonton avait été son activité préférée durant les quelques dernières minutes qu’il venait de passer tantôt mal à l’aise, tantôt amusé, notamment par l’évocation du striptease, à laquelle il avait manqué de s’étouffer. Bordel. Tonton Sörvik allait le détester, c’était certain. Mais franchement, ça en valait le coup. Ulysse était prêt à prendre sur lui pour ça. Il hocha la tête lorsque Soraya lui assura qu’elle remplirait les demandes de la liste avant le soir, et sourit : « pas de stress. J’ai confiance. Et puis, c’est ton premier jour. Prends tes marques. Si tu n’as pas le temps de tout faire, j’t’en tiendrai pas rigueur, tu sais ? Que tu t’occupes de Mathis pendant que je termine de m’installer, c’est déjà énorme. » Enfin, Ulysse termina sa discussion avec l’oncle de la jeune femme et le salua lorsqu’il lui signala son départ. Fermant la porte contre laquelle il s’adossait, il soupira de soulagement : « NOM DE DIEU ! j’ai cru qu’il n’allait jamais partir ! Il est toujours comme ça ? Non parce que franchement, j’m’attends à le voir débouler avec une hâche juste « au cas où », à tout moment ! » il se mit à rire et ouvrit les rideaux : « ou… p’t-être même qu’il est en train d’épier aux fenêtres pour vérifier qu’on fait pas des trucs chelous ? » il traversa de nouveau le salon en direction de la cuisine où le café terminait de passer. Seconde cafetière de la journée, à à peine huit heures : Ulysse mourrait probablement d’une rupture d’anévrisme avant la fin de cette journée. Se servant une tasse, il passa une main dans sa tignasse avant de s’étirer et soupirer : « enfin bref ! Tu veux boire quelque chose ? j’ai … du café, du jus de fruits, du thé... »
- Soraya Sörvik-DavisYou're a little late
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Âge : Le début de la vingtaine à peine entamée, elle a fêté ses vingt ans à date du 15 décembre. Elle a encore un tas de belles choses à vivre.
Situation financière : Stable et ça se passe pas trop mal. Elle n'est pas aisée, mais elle n'est pas non plus dans la misère.. C'est déjà pas mal.
Situation amoureuse : Célibataire qui rêve au prince charmant. Pourtant, pour l'instant, elle n'est pas particulièrement prête à s'engager dans une relation.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, elle n'a jamais douté de son attirance envers la gente masculine.
Habitation : Elle habite dans un appartement à Adams Morgan avec sa tante, Sinéad.
Emploi/études : Étudiante en musique ayant le rêve de devenir une pianiste de renom. Elle passe son temps libre auprès d'enfant, étant babysitter. Elle fait également partie d'un groupe de musique.
Multicomptes : Gabriella (Vitaa) + Sophia (Margot Robbie) + Charlène (Lara Fabian) + Laura (Eliana Ghen)
Rps en cours :
Ulysse (2) ~ Sinéad ~ Maeva ~ Ben ~ Jin-Soo
Rps terminés : Elliott ~ Ulysse ~ Tamara
Vous pouvez prendre tout tant qu'on est entre nous
Tu pourras me dire tout ce que tu veux, sous tes fous rires et tes grands airs. C'est pas la peine, tu peux mentir à qui tu veux, tu souris trop pour être heureux. Tu me fais de la peine. ı @Ulysse T. Dun & @Soraya Sörvik-Davis
Tu as beau aimer ton oncle de tout ton coeur et de toutes tes forces, tu comprends aussi son inquiétude au sujet d'Ulysse, mais pour autant, cette situation a clairement pu te mettre mal à l'aise, même si tu as préféré ne rien dire à ce sujet. Autant laisser passer, de toute façon, Poppy n'allait pas en démordre et tu t'en doutes bien. Alors tu as préféré laisser ce moment se produire, en espérant que ça se termine vite. Le plus rapidement possible même. D'un côté, tu réalises aussi que même si les manières ne sont pas forcément les meilleures qui puissent exister, le bon fond est présent. C'est tout ce qui compte. Puis, que ferais-tu sans lui? Sans ta famille? Rien. Absolument rien. Heureusement que tu peux trouver un peu refuge auprès de cet adorable petit garçon qu'est le fils d'Ulysse. Mathis a une bouille à faire craquer n'importe qui, c'est une certitude. Alors forcément, tu es impatiente de pouvoir commencer ta journée en t'occupant de lui.
Niagara
- Ulysse T. DunLet the sunshine in
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Situation amoureuse : Il n'a jamais pris la peine de s'attacher, prenant toujours le prétexte du travail ou "de ne pas être prêt à s'engager". Pourtant, ça n'a pas été faute d'avoir essayer. Marié à Darejani, il a divorcé peu de temps après. La famille, très peu pour lui... Pourtant, lui qui ne voulait pas de responsabilités se retrouve seul à élever un enfant, totalement malgré lui.
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Nettement moins stressé, Ulysse profita de tourner le dos quelques instant à la blondinette pour souffler un coup. Bien évidemment, il comprenait les craintes de l’oncle de Soraya. Mais il fallait tout de même bien admettre que là, il avait eu l’impression étrange d’être suspecté, comme Michaël Jackson aux abords d’une école maternelle. L’impression de malaise s’était peu à peu dissipée, et il préférait en rire. Ne pas mal le prendre. AU CONTRAIRE ! Peut-être même pouvait-il être flatté : après tout, si Popeye avait pris tant soin de vouloir lui faire peur, c’était sans doute qu’il voyait en lui une éventuelle menace pour Soraya. Et s’il voyait une menace en lui… c’était donc qu’il le trouvait beau gosse?? un sourire idiot s’afficha sur son visage. Il avait envie de rire de cette pensée ridicule, mais ne voulait pas avoir à justifier ce genre de débilité à Soraya : c’était trop tôt, et elle s’apercevrait de sa folie bien assez tôt, inutile d’en rajouter.
Adressant un sourire bienveillant à Soraya, il lui adressa un clin d’oeil avant d’affirmer : « Il a l’air pour ! » attendri par les sourires et les regards du petit, il lui fit une grimace pour le faire rire, et éclata de rire à la remarque de Soraya, jouant la carte de la déception jouée à outrance : « quel dommage ! Moi qui pourtant suis exhibitionniste… j’attendais que ça, moi ! » il se mit à rire de nouveau avant de rassurer Soraya : « ne t’en fais pas. Je le comprends. Et ça ne fait rien du tout. Même s’il devait faire ça tous les jours… c’est ton oncle. Et par les temps qui courent, à sa place, je ne serais probablement pas chaud de te laisser seule avec un inconnu. » et préparant le thé de la jeune femme, il ajouta : « pour être tout à fait honnête… si t’avais été ma nièce… j’aurais été pire ! » riant légèrement, il déposa leurs tasses sur la table et apporta sucre et petits gâteaux, avant de servir l’eau bouillante dans la tasse de la demoiselle. « Madame est servie ! » il s’installa tranquillement sur une chaise avant de piquer un gâteau dans la boite. Gourmand ? Lui ? Jamais de la vie !
Adressant un sourire bienveillant à Soraya, il lui adressa un clin d’oeil avant d’affirmer : « Il a l’air pour ! » attendri par les sourires et les regards du petit, il lui fit une grimace pour le faire rire, et éclata de rire à la remarque de Soraya, jouant la carte de la déception jouée à outrance : « quel dommage ! Moi qui pourtant suis exhibitionniste… j’attendais que ça, moi ! » il se mit à rire de nouveau avant de rassurer Soraya : « ne t’en fais pas. Je le comprends. Et ça ne fait rien du tout. Même s’il devait faire ça tous les jours… c’est ton oncle. Et par les temps qui courent, à sa place, je ne serais probablement pas chaud de te laisser seule avec un inconnu. » et préparant le thé de la jeune femme, il ajouta : « pour être tout à fait honnête… si t’avais été ma nièce… j’aurais été pire ! » riant légèrement, il déposa leurs tasses sur la table et apporta sucre et petits gâteaux, avant de servir l’eau bouillante dans la tasse de la demoiselle. « Madame est servie ! » il s’installa tranquillement sur une chaise avant de piquer un gâteau dans la boite. Gourmand ? Lui ? Jamais de la vie !
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Tu pourras me dire tout ce que tu veux, sous tes fous rires et tes grands airs. C'est pas la peine, tu peux mentir à qui tu veux, tu souris trop pour être heureux. Tu me fais de la peine. ı @Ulysse T. Dun & @Soraya Sörvik-Davis
Visiblement, pour ton oncle, tout le monde peut être capable du pire. Et il n'a probablement pas tord. Peut-être es-tu simplement trop naïve à ce sujet ? Dans tous les cas, tu es presque certaine de ne pas te tromper au sujet d'Ulysse. C'est quelqu'un de bien, même s'il a parfois un humour un peu lourd. Ce n'est rien de méchant pour autant. Tout comme ça ne te gêne pas d'ailleurs. Quoi qu'il en soit, Poppy est parti et tu vas donc pouvoir commencer ta toute première journée de travail. Tu es tout de suite un peu moins stressée maintenant que la pression redescend progressivement. Tu reportes ton attention sur cet adorable petit bout. Il est relativement calme, plutôt bien éveillé selon toi. Puis, cette bouille si craquante te fais fondre encore plus vite qu'une glace au soleil en pleine période de canicule.
Niagara
- Ulysse T. DunLet the sunshine in
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Situation amoureuse : Il n'a jamais pris la peine de s'attacher, prenant toujours le prétexte du travail ou "de ne pas être prêt à s'engager". Pourtant, ça n'a pas été faute d'avoir essayer. Marié à Darejani, il a divorcé peu de temps après. La famille, très peu pour lui... Pourtant, lui qui ne voulait pas de responsabilités se retrouve seul à élever un enfant, totalement malgré lui.
Orientation sexuelle : Hétéro. Pour le reste, il n'a jamais été difficile: pourquoi se prendre la tête?
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Ulysse ne pouvait pas vraiment en vouloir à Popeye d’avoir réagi comme il l’avait fait. D’ailleurs, avec le recul, il aurait probablement été pire. Car non, son aveu faussement naïf à Soraya n’avait pas été fait par hasard : il était sincère, et peut-être qu’à travers ses mots, il tentait de lui demander de ne pas trop en vouloir à son oncle. Pas qu’il ait vu en elle une quelconque colère, mais comme disait l’adage, mieux vaut prévenir que guérir, hm ?
Enfin, de toutes façon, l’oncle était maintenant parti, faisant, par la même occasion, de cette histoire un souvenir dont ils pourraient probablement rire, dans quelques temps. Quand ils auraient pris le recul nécessaire.
En attendant de se remettre de leurs émotions, Ulysse part tranquillement préparer le thé tandis que Soraya récupérait Mathis. Du coin de l’oeil, le blond les observait discrètement. L’air de rien. Et à la remarque de la rouquine, il s’était mis à rire « Oh. Ca, j’en doute pas. T’essayer, c’est t’adopter, hm ? » il lui adressa un clin d’oeil amusé. Pourtant, il n’y avait aucun sous entendu dans sa phrase, malgré ce qu’on aurait pu croire. Simplement, il imaginait le regard menaçant du tonton, qui pourrait débarquer à tout moment : il n’en aurait absolument pas été surpris.
Bras croisés sur le torse, il avait étalé ses jambes à côté de la table, croisées l’une sur l’autre, grignotant un gateau, haussant les épaules alors que la jeune femme lui demandait d’être plus clair. Il fronça les sourcils, avant de lui expliquer : « disons que… t’es jeune. T’es jolie. En toute objectivité, hein, appelle pas ton oncle ! Promis, j’te fais pas du rentre dedans ! » avait il lancé, moqueur, avant de poursuivre « et… tout le monde n’a pas de bonnes intentions. C’est normal d’être méfiant. Pour ma part… j’aurais juste… trollé le charognard qui se serait approché un peu trop près de ma nièce hypothétique ! » avait il conclu en riant, avant de prendre une gorgée de sa boisson, relevant les yeux sur son fils, lui adressant un sourire : « ah oui… tu trouves ? Ben… j’prendrai ça comme un compliment alors ! » avait il lancé en souriant. Au moins, s’il devait ressembler à un de ses parents, autant qu’il ressemble à celui qui l’élèverait. Peut-être était-ce pour cette raison, que sa mère ne s’était pas senti de garder l’enfant ; souvenir trop douloureux ou simple acte trop difficile à assumer ? Dans tous les cas, Ulysse, grâce à son petit bout, en apprenait un peu plus tous les jours. Mieux, il devenait enfin responsable, qui l’eut cru ?
Enfin, de toutes façon, l’oncle était maintenant parti, faisant, par la même occasion, de cette histoire un souvenir dont ils pourraient probablement rire, dans quelques temps. Quand ils auraient pris le recul nécessaire.
En attendant de se remettre de leurs émotions, Ulysse part tranquillement préparer le thé tandis que Soraya récupérait Mathis. Du coin de l’oeil, le blond les observait discrètement. L’air de rien. Et à la remarque de la rouquine, il s’était mis à rire « Oh. Ca, j’en doute pas. T’essayer, c’est t’adopter, hm ? » il lui adressa un clin d’oeil amusé. Pourtant, il n’y avait aucun sous entendu dans sa phrase, malgré ce qu’on aurait pu croire. Simplement, il imaginait le regard menaçant du tonton, qui pourrait débarquer à tout moment : il n’en aurait absolument pas été surpris.
Bras croisés sur le torse, il avait étalé ses jambes à côté de la table, croisées l’une sur l’autre, grignotant un gateau, haussant les épaules alors que la jeune femme lui demandait d’être plus clair. Il fronça les sourcils, avant de lui expliquer : « disons que… t’es jeune. T’es jolie. En toute objectivité, hein, appelle pas ton oncle ! Promis, j’te fais pas du rentre dedans ! » avait il lancé, moqueur, avant de poursuivre « et… tout le monde n’a pas de bonnes intentions. C’est normal d’être méfiant. Pour ma part… j’aurais juste… trollé le charognard qui se serait approché un peu trop près de ma nièce hypothétique ! » avait il conclu en riant, avant de prendre une gorgée de sa boisson, relevant les yeux sur son fils, lui adressant un sourire : « ah oui… tu trouves ? Ben… j’prendrai ça comme un compliment alors ! » avait il lancé en souriant. Au moins, s’il devait ressembler à un de ses parents, autant qu’il ressemble à celui qui l’élèverait. Peut-être était-ce pour cette raison, que sa mère ne s’était pas senti de garder l’enfant ; souvenir trop douloureux ou simple acte trop difficile à assumer ? Dans tous les cas, Ulysse, grâce à son petit bout, en apprenait un peu plus tous les jours. Mieux, il devenait enfin responsable, qui l’eut cru ?
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Situation financière : Stable et ça se passe pas trop mal. Elle n'est pas aisée, mais elle n'est pas non plus dans la misère.. C'est déjà pas mal.
Situation amoureuse : Célibataire qui rêve au prince charmant. Pourtant, pour l'instant, elle n'est pas particulièrement prête à s'engager dans une relation.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, elle n'a jamais douté de son attirance envers la gente masculine.
Habitation : Elle habite dans un appartement à Adams Morgan avec sa tante, Sinéad.
Emploi/études : Étudiante en musique ayant le rêve de devenir une pianiste de renom. Elle passe son temps libre auprès d'enfant, étant babysitter. Elle fait également partie d'un groupe de musique.
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Tu pourras me dire tout ce que tu veux, sous tes fous rires et tes grands airs. C'est pas la peine, tu peux mentir à qui tu veux, tu souris trop pour être heureux. Tu me fais de la peine. ı @Ulysse T. Dun & @Soraya Sörvik-Davis
L'inquiétude de ton oncle est compréhensible, tu ne peux pas lui en vouloir simplement car il se méfie et qu'il souhaite te protéger. Sauf que malheureusement, il ne pourra pas te protéger à tout jamais. Il n'a pas la capacité de te protéger de tout et n'importe quoi. Non pas qu'il n'en ait pas envie, simplement car ce n'est pas possible. Il va devoir te laisser vivre ta vie et te faire tes propres opinions, tes expériences. Et ce, qu'il le veuille ou non. Car même s'il a beau pensé que tu es restée bloquée à l'âge de douze ans, ce n'est pas le cas. Poppy est parti, te laissant donc seul avec Ulysse ainsi qu'avec ton fils. Ton attention se porte d'ailleurs sur ce dernier. Cela ne date pas d'hier, tu as toujours eu un très bon feeling avec les enfants, surtout avec les bébés et Mathis n'y fait visiblement pas exception. À la remarque d'Ulysse, tu exploses de rire. Niagara
- Ulysse T. DunLet the sunshine in
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Le plus important à cet instant ? Détendre l’atmosphère. Ulysse comprenait l’oncle de Sury, mais se doutait qu’à cet instant, elle ne devait pas être des plus à l’aise non plus.
Satisfait en voyant que la jeune femme entrait dans son jeu, Ulysse haussa les épaules : « Tout dépend… t’aspire les miettes ou pas du tout ? » ricanant, il lui adressa un clin d’oeil, sirotant quelques gorgées de son thé qu’il… toussa. Après tout, ça se comprenait, non ? Elle venait tout bonnement de le menacer de coup d’escarpin dans sa masculinité et c’était assez imagé pour qu’il puisse l’imaginer sans aucun problème. En forçant un peu, il avait d’ailleurs même imaginé la douleur. Il grimaça, plissant du nez et secoua la tête : « on va éviter, hein ? d’ailleurs… j’parlais pas de toi, pour l’aspirateur tu es si adorable, comment te troller ? » brosser dans le sens du poil pour éviter de se faire castrer ? Check. « heureusement… j’sais que tu déconnais. » il ouvrit de grands yeux, demandant : «rassures moi. Tu déconnais, n’est ce pas ? » il se mit à rire, avant de reprendre son sérieux, lorsque la discussion dévia sur son fils. Son fils. Une expression à laquelle il n’avait pas eu d’autre choix que de s’accoutumer, et pourtant. En regardant son petit bout, il ne pouvait pas s’empêcher d’y voir sa mère, ce jour où elle avait frappé à sa porte, faisant basculer toute sa vie. Si Soraya savait. Pas sûr qu’elle penserait que du bien de cette histoire. Mieux valait ne rien dire pour le moment. Qui sait, peut-être qu’un jour, Ulysse aurait le courage de lui expliquer le comment du pourquoi ? Pour le moment, les discussions empruntes de blagues toutes plus nulles que les autres lui convenaient très bien. Bien plus en tous cas, que celles qui auraient pu remuer le couteau dans des plaies encore bien trop fraîches qu’il s’obstinait à éviter. Faire l’autruche ? Belle stratégie, Ulysse, vraiment ! Ou pas. Il soupira légèrement, hochant la tête : « merci… c’est gentil. J’trouve qu’il ressemble beaucoup à sa mère pour ma part. Mais.. tu seras obligée de me croire sur parole, là dessus ! » lui adressant un clin d’oeil, il sourit : « alors. Qu’est ce que tu as prévu de faire avec lui d’ailleurs ? Bon, pour le moment, il ne peut pas encore discuter avec toi du dernier album de Katy Perry, mais c’est pas faute de l’entraîner, tu peux me croire ! » il se mit à rire, et termina sa tasse tranquillement. Une fois que la demoiselle lui eut expliqué ce qu’elle comptait faire avec le petit, il sourit et terminant sa tasse qu’il apportait au lave vaisselle, Ulysse avait débarassé la table avant de conclure : « Comme tu le sais, je dois continuer de défaire mes cartons. Mais si tu as besoin de quoique ce soit… tu me trouveras jamais très loin de toutes façons ! » et après lui avoir adressé un clin d’oeil bien veillant il s’était mis au travail, ayant hâte de terminer au plus vite !
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