- Rosylia A. TorresThere's nothing you can't say
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Situation financière : Tu es médecin et ta famille est l'une des plus fortunées de Washington. Ton futur mari, l'est aussi. Que demander de mieux ? Il paraît que l'argent ne fait pas le bonheur, tu en es la plus belle preuve.
Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
Rps en cours :
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- Aedan TaylorThere's nothing you can't say
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Situation financière : Aisée
Situation amoureuse : en couple - plus ou moins - avec la jolie Elvyra ♥
Orientation sexuelle : le genre lui importe peu, voire pas du tout. S'il tombe amoureux, il tombe amoureux d'une personne, d'un être humain. C'est aussi simple que ça.
Habitation : Appartement n°15, Downtown
Emploi/études : Avocat, a son propre cabinet
Multicomptes : Jin-Soo
Rps en cours : Aeryn - Niklaus#2 - Nora - Elvyra#4 - Elena - Elijah#2
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Aedan & Rosylia
Aedan poussa un soupir de soulagement lorsque le procès s’acheva sur une victoire pour lui et donc, pour son client qui fut acquitté. Le jeune homme avait toujours été persuadé que son client était innocent et il avait réussi à le prouver, puis à convaincre le juge. Chaque victoire était toujours particulière et il en était content à chaque fois, peu importe la gravité des faits reprochés au départ. Bien sûr, il n’était pas infaillible et même s’il était plutôt doué, il lui arrivait de perdre. Sa conscience n’appréciait pas vraiment. Les clients concernés non plus. Mais aujourd’hui, c’était bel et bien victorieux qu’il sortit de la salle d’audience. Et il n’avait qu’une envie : quitter le bâtiment pour s’allumer une clope bien méritée. Ensuite, il rentrerait probablement pour fêter ça…avec son chat. Ça pouvait sembler un peu triste aux yeux de certains, mais Aedan n’avait pas besoin de plus. Et quand il lui arrivait de vouloir sortir, il pouvait toujours appeler un(e) pote pour lui tenir compagnie. Là, il était vraiment pressé. Il avait besoin de souffler, de se détendre après ce procès tout de même éreintant. Il se donnait toujours à fond et faisait toujours de son mieux. Il ne voulait pas décevoir les personnes qui comptaient sur lui ni se décevoir lui-même. Toujours très exigeant envers sa propre personne, il se devait d’être à 100% à chaque fois. Voire à 150%. Il n’avait d’ailleurs presque pas dormi la veille, trop occupé à passer le dossier en revue, encore et encore, pour être certain de n’avoir rien oublié et de n’avoir commis aucune erreur. Car la moindre erreur pouvait s’avérer fatidique. Par chance, tout s’était donc bien passé, cette fois.
Après avoir échangé quelques derniers mots avec son client à présent libre et avoir salué la partie adverse, il s’excusa et se dirigea vers la sortie du bâtiment, déjà prêt à sortir clope et briquet. Il descendit donc les escaliers d’un pas rapide jusqu’à entendre quelqu’un l’appeler. Une voix qu’il connaissait bien et qui, manifestement, n’en avait rien à faire de ne faire preuve d’aucune discrétion. Il était déjà presque arrivé à la porte lorsque la jeune femme le rattrapa en se plaignant d’avoir dû courir et d’avoir pu potentiellement perdre une chaussure. Aedan l’observa, amusé, alors qu’elle semblait essoufflée. Elle avait vraiment dû courir, alors… « Tu n’es pas Cendrillon et je ne suis pas le prince qui aurait ramassé ta chaussure. » N’importe quoi. Mais ça caractérisait bien l’humour un peu pourri d’Aedan. « Tu étais si pressée de me voir ? » Il la taquinait. Il aimait taquiner les gens qu’il appréciait et Rosy en faisait partie. Sans plus attendre, il sortit enfin du bâtiment, non sans avoir tenu la porte à son amie avant. Un vrai gentleman. « Enfin ! » Il souffla un coup, puis alluma cette clope tant attendue avant de tirer dessus, savourant cette première bouffée. « Mais attends. Qu’est-ce que tu fais là ? Tu as assisté à mon procès ? » Il n’avait pas l’habitude de voir la jeune femme ici et la possibilité qu’elle ait pu assister à l’audience lui paraissait assez mince tout de même. Mais on n’était jamais à l’abri d’une surprise, après tout.
« Désolé de t’avoir fait courir, Princesse. Ma clope m’appelait. Et oui, elle est plus importante que toi. » Il la charriait encore. Il s’en serait quand même voulu si elle était tombée en voulant le rattraper. « Mais finalement, tu tombes bien ! Je suis content de te voir. » C’était vrai. Après tout ce qu’ils avaient vécu, ils étaient plus proches que jamais et la voir était toujours un plaisir.
Après avoir échangé quelques derniers mots avec son client à présent libre et avoir salué la partie adverse, il s’excusa et se dirigea vers la sortie du bâtiment, déjà prêt à sortir clope et briquet. Il descendit donc les escaliers d’un pas rapide jusqu’à entendre quelqu’un l’appeler. Une voix qu’il connaissait bien et qui, manifestement, n’en avait rien à faire de ne faire preuve d’aucune discrétion. Il était déjà presque arrivé à la porte lorsque la jeune femme le rattrapa en se plaignant d’avoir dû courir et d’avoir pu potentiellement perdre une chaussure. Aedan l’observa, amusé, alors qu’elle semblait essoufflée. Elle avait vraiment dû courir, alors… « Tu n’es pas Cendrillon et je ne suis pas le prince qui aurait ramassé ta chaussure. » N’importe quoi. Mais ça caractérisait bien l’humour un peu pourri d’Aedan. « Tu étais si pressée de me voir ? » Il la taquinait. Il aimait taquiner les gens qu’il appréciait et Rosy en faisait partie. Sans plus attendre, il sortit enfin du bâtiment, non sans avoir tenu la porte à son amie avant. Un vrai gentleman. « Enfin ! » Il souffla un coup, puis alluma cette clope tant attendue avant de tirer dessus, savourant cette première bouffée. « Mais attends. Qu’est-ce que tu fais là ? Tu as assisté à mon procès ? » Il n’avait pas l’habitude de voir la jeune femme ici et la possibilité qu’elle ait pu assister à l’audience lui paraissait assez mince tout de même. Mais on n’était jamais à l’abri d’une surprise, après tout.
« Désolé de t’avoir fait courir, Princesse. Ma clope m’appelait. Et oui, elle est plus importante que toi. » Il la charriait encore. Il s’en serait quand même voulu si elle était tombée en voulant le rattraper. « Mais finalement, tu tombes bien ! Je suis content de te voir. » C’était vrai. Après tout ce qu’ils avaient vécu, ils étaient plus proches que jamais et la voir était toujours un plaisir.
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Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
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Aedan & Rosylia
Aedan leva les yeux au ciel et poussa un soupir bien trop démonstratif et exagéré. « Tu te trompes, chérie. Ramasser les chaussures des gens ne fait pas partie de mes loisirs. Encore moins quand elles sentent les pieds. » Nouvelle pique. C’était commun entre eux. Rosy était d’ailleurs l’une des seules personnes avec qui Aedan était comme ça, l’une des seules personnes qu’il adorait taquiner à longueur de journée. Elle était juste différente de tous les autres. Privilégiée, sans doute. Oui, se faire dire qu’on puait des pieds était un privilège quand ça venait d’Aedan. Parfaitement. Rosylia continua son cinéma en s’accrochant à lui comme elle adorait le faire. Voilà en partie pourquoi la plupart des gens pensaient qu’ils étaient en couple. Certes, ils l’avaient fait croire pendant un temps, mais plus maintenant. Mais peu importe. Il se fichait bien de ce que pensaient les gens. « Ouais, ouais. Je sais que tu es totalement accro à moi, mais c’est pas trop handicapant au quotidien ? T’as pensé à aller en désintox ? » N’importe quoi. Mais ça lui faisait du bien de plaisanter de la sorte après ce procès. Il avait besoin de souffler, de penser à autre chose, de se détendre un peu. Certes, il y avait sa sainte clope, mais il y avait surtout Rosy. Et Rosy semblait être un peu le remède à tout.
Lorsqu’il l’interrogea sur sa présence ici, il s’attendait presque à ce qu’elle tente de lui raconter des histoires. Mais non. Elle lui avoua qu’elle avait oublié de payer une amende. Aedan leva les yeux au ciel, puis fit une pichenette sur le front de la jeune femme. « T’es pas possible ! Comment tu peux oublier de payer une amende ? Je suppose que tu as eu du bol… » Du bol aussi qu’elle n’ait pas eu besoin de faire appel à lui car il aurait été bien capable de l’envoyer balader. Mouais. C’était ce qu’il disait, mais au fond, tout le monde savait qu’il l’aurait aidée tout de suite. « Tu as fait quoi, cette fois ? Encore un excès de vitesse ? Faut vraiment que tu fasses gaffe si tu veux pas te retrouver sans permis un jour. Et ce jour-là, compte pas sur moi pour jouer les taxis ! » Il tira une nouvelle fois sur sa clope, puis proposa tout de même son paquet à la jeune femme. « T’en veux une ? » Manifestement, elle semblait avoir autre chose en tête. Non sans le traiter de goujat. « Ouais, ouais. Je suis le roi du romanticisme ! Tu ne sais seulement pas l’apprécier à sa juste valeur ! » Il était évident que s’il voulait vraiment se la jouer romantique, il s’y prenait totalement différemment. Mais sans doute que Rosylia se moquerait de lui à ce moment-là. De toute façon, il n’avait aucune intention de se montrer romantique avec elle.
Et puis, elle décréta qu’elle avait envie d’une glace. Aedan haussa un sourcil. « Sérieusement ? Gamine, va. » En plus, l’été était passé depuis un moment, maintenant. Peu importe, elle l’entraînait déjà vers le glacier qu’elle venait de repérer. « T’as de la chance, je suis libre pour le reste de la journée. » Enfin, pas tout à fait. Il n’avait plus d’obligations professionnelles, mais il avait prévu de retourner au bureau pour travailler sur d’autres dossiers. Tant pis, ce serait pour plus tard. Il ne pouvait rien refuser à Rosylia. Elle le savait et elle en profitait beaucoup trop. Ils arrivèrent donc devant le glacier et maintenant qu’il voyait tous les parfums proposés, ça lui donnait envie aussi. « Bon. Je vais me laisser tenter aussi. T’es vraiment le démon de la tentation ! » Il sourit bêtement. « On s’installe à l’intérieur ou on va se balader avec nos futures glaces ? » Qu’elle ne dise plus qu’il n’était pas un gentleman ou qu’il était un goujat ! Il la laissait choisir, après tout !
Lorsqu’il l’interrogea sur sa présence ici, il s’attendait presque à ce qu’elle tente de lui raconter des histoires. Mais non. Elle lui avoua qu’elle avait oublié de payer une amende. Aedan leva les yeux au ciel, puis fit une pichenette sur le front de la jeune femme. « T’es pas possible ! Comment tu peux oublier de payer une amende ? Je suppose que tu as eu du bol… » Du bol aussi qu’elle n’ait pas eu besoin de faire appel à lui car il aurait été bien capable de l’envoyer balader. Mouais. C’était ce qu’il disait, mais au fond, tout le monde savait qu’il l’aurait aidée tout de suite. « Tu as fait quoi, cette fois ? Encore un excès de vitesse ? Faut vraiment que tu fasses gaffe si tu veux pas te retrouver sans permis un jour. Et ce jour-là, compte pas sur moi pour jouer les taxis ! » Il tira une nouvelle fois sur sa clope, puis proposa tout de même son paquet à la jeune femme. « T’en veux une ? » Manifestement, elle semblait avoir autre chose en tête. Non sans le traiter de goujat. « Ouais, ouais. Je suis le roi du romanticisme ! Tu ne sais seulement pas l’apprécier à sa juste valeur ! » Il était évident que s’il voulait vraiment se la jouer romantique, il s’y prenait totalement différemment. Mais sans doute que Rosylia se moquerait de lui à ce moment-là. De toute façon, il n’avait aucune intention de se montrer romantique avec elle.
Et puis, elle décréta qu’elle avait envie d’une glace. Aedan haussa un sourcil. « Sérieusement ? Gamine, va. » En plus, l’été était passé depuis un moment, maintenant. Peu importe, elle l’entraînait déjà vers le glacier qu’elle venait de repérer. « T’as de la chance, je suis libre pour le reste de la journée. » Enfin, pas tout à fait. Il n’avait plus d’obligations professionnelles, mais il avait prévu de retourner au bureau pour travailler sur d’autres dossiers. Tant pis, ce serait pour plus tard. Il ne pouvait rien refuser à Rosylia. Elle le savait et elle en profitait beaucoup trop. Ils arrivèrent donc devant le glacier et maintenant qu’il voyait tous les parfums proposés, ça lui donnait envie aussi. « Bon. Je vais me laisser tenter aussi. T’es vraiment le démon de la tentation ! » Il sourit bêtement. « On s’installe à l’intérieur ou on va se balader avec nos futures glaces ? » Qu’elle ne dise plus qu’il n’était pas un gentleman ou qu’il était un goujat ! Il la laissait choisir, après tout !
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Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
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Aedan & Rosylia
Ah Rosy. Rosy. Rosy. Cette fille qui le rendait à la fois dingue et heureux. Oui, heureux. Car quand il était avec elle, il pouvait oublier ses soucis, il pouvait oublier les merdes éventuelles rencontrées pendant ses heures de travail, une éventuelle défaite à un procès, un client trop chiant ou tout un tas d’autres choses. Il pouvait juste souffler, être lui-même et passer du bon temps. Ils s’étaient bien trouvés, ces deux-là, même si, à première vue, pas mal de choses les opposaient. Mais ne disait-on pas que les opposés s’attirent ? Il aimait leur relation, même si, au tout début, il n’aurait jamais imaginé tout ça. Parfois, il se disait même qu’il était pleinement satisfait avec la situation actuelle et que, finalement, il n’avait pas besoin de rencontrer quelqu’un d’autre. Certes, il aimait Rosy, mais il l’aimait comme une amie, voire une meilleure amie avec qui il pouvait s’amuser, se détendre et, parfois, passer une folle nuit quand ils en ressentaient l’envie ou le besoin. Sans doute n’étaient-ils pas prêts que tout ça s’arrête du jour au lendemain. Pas pour le moment, en tout cas. Toutefois, on ne savait jamais ce que la vie pouvait nous réserver, n’est-ce pas ? Dans tous les cas, il était content de la voir, même s’il tentait de faire semblant du contraire. Pas très crédible. Et puis, elle le connaissait mieux que quiconque, elle savait très bien quand il mentait. « Comment tu peux oublier de mettre ton kit mains libres ? Tu es consciente du danger ? » Il soupira et leva les yeux au ciel. Sans doute que le juge lui avait déjà passé un savon similaire, il n’avait pas besoin d’en rajouter, mais il n’avait pas pu s’en empêcher pour autant. « Sérieusement, Rosy. Fais attention. Je ne voudrais pas que tu te retrouves en prison parce que tu auras renversé quelqu’un. » Mais assez parlé de ça, assez joué les rabat-joie.
Il leva une nouvelle fois les yeux au ciel lorsque la jeune femme imita se tentative d’amadouer le flic qui l’avait arrêtée. « Je suppose que c’était un flic intelligent qui a tout de suite compris ton stratagème. Ou alors, il était gay. » Il haussa les épaules avant de rire doucement. Ça restait une possibilité, après tout. En réalité, il connaissait très peu d’hommes qui ne craqueraient pas devant Rosylia. Certaines femmes aussi.
« Tu essaies de me décourager indirectement, c’est ça ? Tu ne souhaites donc pas mon bonheur ? » Il plaisantait, évidemment. Mais il était vrai qu’il ne se comportait certainement pas de la même façon avec Rosy qu’avec une potentielle conquête.
Quoiqu’il en soit, il céda à son envie d’aller manger une glace. Comme à chaque fois, en fait. Il cédait tout le temps. Et elle le savait. Elle le savait et elle en jouait, elle en profitait. Alors, pour la forme, Aedan râlait, faisait genre que ça le dérangeait, mais personne n’était dupe, de toute façon. « Bah quoi ? Je sais apprécier les bonnes choses ! Et ce serait triste de te regarder manger toute seule. Je te rends service, en fait ! » N’importe quoi.
Ils s’installèrent donc à l’intérieur. C’était agréable, plus que de rester dehors, même si Aedan n’avait rien contre un peu d’air frais. En plus, il n’y avait pas trop de monde, c’était parfait. D’ailleurs, Rosy sut tout de suite quoi commander, ce qui fit doucement rire Aedan. Quelle gourmande, celle-là ! Pour sa part, il opta finalement pour un café glacé, simple, mais efficace et c’était parfait pour son addiction à la caféine, non ? Avec supplément chantilly, s’il vous plait.
« Tu abuses. Ça ne fait pas si longtemps ! Mais je sais que pour toi, chaque minute passée loin de moi est déjà un drame. » Il lui adressa un petit sourire idiot avant de sortir son portable. « Selfie ? » Il aimait prendre des selfies débiles avec ses amis et surtout Rosy. Ça faisait toujours de bons souvenirs plus tard. Une fois le cliché pris, il rangea son portable après avoir vérifié qu’il soit bien sur silencieux. Il n’avait pas envie d’être dérangé et voulait simplement profiter de ce petit moment avec la jeune femme. « Tu rentres avec moi, tout à l’heure ? » Était-ce une invitation ? Totalement. Ça ne voulait pas nécessairement dire que ça finirait au lit, mais il avait envie de passer la soirée avec Rosylia, vautrés dans le canapé, sous un bon plaid, devant une série et plus si affinités. C’était un bon programme, non ?
Il leva une nouvelle fois les yeux au ciel lorsque la jeune femme imita se tentative d’amadouer le flic qui l’avait arrêtée. « Je suppose que c’était un flic intelligent qui a tout de suite compris ton stratagème. Ou alors, il était gay. » Il haussa les épaules avant de rire doucement. Ça restait une possibilité, après tout. En réalité, il connaissait très peu d’hommes qui ne craqueraient pas devant Rosylia. Certaines femmes aussi.
« Tu essaies de me décourager indirectement, c’est ça ? Tu ne souhaites donc pas mon bonheur ? » Il plaisantait, évidemment. Mais il était vrai qu’il ne se comportait certainement pas de la même façon avec Rosy qu’avec une potentielle conquête.
Quoiqu’il en soit, il céda à son envie d’aller manger une glace. Comme à chaque fois, en fait. Il cédait tout le temps. Et elle le savait. Elle le savait et elle en jouait, elle en profitait. Alors, pour la forme, Aedan râlait, faisait genre que ça le dérangeait, mais personne n’était dupe, de toute façon. « Bah quoi ? Je sais apprécier les bonnes choses ! Et ce serait triste de te regarder manger toute seule. Je te rends service, en fait ! » N’importe quoi.
Ils s’installèrent donc à l’intérieur. C’était agréable, plus que de rester dehors, même si Aedan n’avait rien contre un peu d’air frais. En plus, il n’y avait pas trop de monde, c’était parfait. D’ailleurs, Rosy sut tout de suite quoi commander, ce qui fit doucement rire Aedan. Quelle gourmande, celle-là ! Pour sa part, il opta finalement pour un café glacé, simple, mais efficace et c’était parfait pour son addiction à la caféine, non ? Avec supplément chantilly, s’il vous plait.
« Tu abuses. Ça ne fait pas si longtemps ! Mais je sais que pour toi, chaque minute passée loin de moi est déjà un drame. » Il lui adressa un petit sourire idiot avant de sortir son portable. « Selfie ? » Il aimait prendre des selfies débiles avec ses amis et surtout Rosy. Ça faisait toujours de bons souvenirs plus tard. Une fois le cliché pris, il rangea son portable après avoir vérifié qu’il soit bien sur silencieux. Il n’avait pas envie d’être dérangé et voulait simplement profiter de ce petit moment avec la jeune femme. « Tu rentres avec moi, tout à l’heure ? » Était-ce une invitation ? Totalement. Ça ne voulait pas nécessairement dire que ça finirait au lit, mais il avait envie de passer la soirée avec Rosylia, vautrés dans le canapé, sous un bon plaid, devant une série et plus si affinités. C’était un bon programme, non ?
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Aedan & Rosylia
Aedan n’imaginait tout simplement pas sa vie sans Rosylia. Elle était une amie inestimable et il savait qu’il pouvait toujours compter sur elle, quoiqu’il arrive. Bien entendu, l’inverse était valable également et il était loin de se douter à quel point lui aussi était important pour elle. Mais en même temps, ils avaient traversé pas mal de choses et il avait toujours été là pour la soutenir. Un lien comme ça résistait à tout. Et le jeune homme espérait bien qu’il résisterait jusqu’à la fin, jusqu’à ce qu’ils soient tous deux vieux et ridés. Cette pensée le fit bêtement sourire l’espace d’un instant. Parfois, il se disait même que c’était dommage que leur relation n’ait jamais été plus loin. Ils seraient parfaits ensemble, il fallait être aveugle pour ne pas le voir. Mais entre eux, il n’y avait jamais eu de sentiments amoureux, juste de la tendresse, une profonde amitié et une grande confiance.
Quoiqu’il en soit, les voilà donc attablés, passant commande avant d’attendre qu’on la leur apporte. Manifestement, Rosylia n’était pas d’accord avec son choix. Sa remarque le fit d’ailleurs doucement rire. « J’en ai envie, c’est tout ! Et puis si je me souciais de mes abdos, là, tout de suite, je n’aurais pas commandé de supplément chantilly. Ha ! Qu’est-ce que tu réponds à ça ? » Quel gamin. Vraiment. Il était vrai qu’il apportait une attention toute particulière à son physique, mais ça ne voulait pas dire qu’il se forçait à faire un régime pour autant. Au contraire, il mangeait un peu tout ce dont il avait envie. Certes, le lendemain, il se donnait à fond à la salle ensuite, mais ça valait le coup, de toute manière. « Et puis, tu ne vas pas me dire que tu n’apprécies pas la vue. » Il esquissa un petit sourire en coin, suivi d’un clin d’œil. On aurait pu croire qu’il flirtait avec elle, mais non. C’était juste sa façon d’agir face à elle, sa façon à lui de la taquiner.
« Idiot ? Je crois qu’au contraire, je suis plutôt intelligent. » Il afficha un air faussement hautain avant d’éclater de rire, incapable de garder son sérieux bien longtemps. Il était assez sérieux au boulot, alors il pouvait bien se détendre en présence de Rosylia. « Tu ne trouveras jamais quelqu’un de mieux que moi. Quelqu’un qui acceptera toutes tes lubies et qui supportera ta présence. » Une nouvelle fois, il plaisantait, mais au fond, il pensait le contraire. Du moins, il espérait bien que la jeune femme trouve un jour chaussure à son pied. Elle le méritait. Malgré son sale caractère. « Plus sérieusement…le jour où tu trouveras quelqu’un, je serai le premier à te féliciter. » Il lui sourit avant de lui proposer un selfie. Une fois fait, il envoya la photo à Rosylia en guise de souvenir. Leur commande arriva enfin et Aedan lorgna sur la montagne de chantilly qu’on lui avait mise. « Ils sont pas radins ici ! » Il attrapa sa cuillère et commença à manger la chantilly, non sans proposer à son amie de passer la soirée chez lui. Sa réponse le fit une nouvelle fois rire. « Ah ouais ? Tu m’as pris pour ton chef personnel ? » Mais ils savaient tous les deux qu’il le ferait. Il aimait cuisiner quand il en avait le temps et surtout quand il n’était pas seul. C’était un peu pourri de passer des heures derrière les fourneaux juste pour soi-même. « Tu as une envie particulière ? » Qu’il sache s’ils devaient s’arrêter dans une supérette pour acheter quelques ingrédients ou s’il avait ce qu’il fallait chez lui.
Alors qu’ils dégustaient leurs desserts, Rosylia l’interrogea sur son procès, non sans lui proposer un massage ensuite. « Ah, tu t’intéresses enfin un peu à ma petite personne ! » Il regarda sa cuillère avec de la chantilly dessus, puis Rosy, puis à nouveau sa cuillère. Oups. Il avait envie de faire une connerie. L’instant d’après, il avait mis de la chantilly sur le nez de la jeune femme avant d’afficher un air des plus innocents. « Je ne dis jamais non à tes massages, tu le sais bien ! Et après la journée que j’ai passée, j’en ai vraiment besoin ! » Personne n’arrivait à la cheville de Rosylia quand il s’agissait de massages. Bon, en même temps, elle était un peu la seule à lui en faire. Mais c’était un détail.
Quoiqu’il en soit, les voilà donc attablés, passant commande avant d’attendre qu’on la leur apporte. Manifestement, Rosylia n’était pas d’accord avec son choix. Sa remarque le fit d’ailleurs doucement rire. « J’en ai envie, c’est tout ! Et puis si je me souciais de mes abdos, là, tout de suite, je n’aurais pas commandé de supplément chantilly. Ha ! Qu’est-ce que tu réponds à ça ? » Quel gamin. Vraiment. Il était vrai qu’il apportait une attention toute particulière à son physique, mais ça ne voulait pas dire qu’il se forçait à faire un régime pour autant. Au contraire, il mangeait un peu tout ce dont il avait envie. Certes, le lendemain, il se donnait à fond à la salle ensuite, mais ça valait le coup, de toute manière. « Et puis, tu ne vas pas me dire que tu n’apprécies pas la vue. » Il esquissa un petit sourire en coin, suivi d’un clin d’œil. On aurait pu croire qu’il flirtait avec elle, mais non. C’était juste sa façon d’agir face à elle, sa façon à lui de la taquiner.
« Idiot ? Je crois qu’au contraire, je suis plutôt intelligent. » Il afficha un air faussement hautain avant d’éclater de rire, incapable de garder son sérieux bien longtemps. Il était assez sérieux au boulot, alors il pouvait bien se détendre en présence de Rosylia. « Tu ne trouveras jamais quelqu’un de mieux que moi. Quelqu’un qui acceptera toutes tes lubies et qui supportera ta présence. » Une nouvelle fois, il plaisantait, mais au fond, il pensait le contraire. Du moins, il espérait bien que la jeune femme trouve un jour chaussure à son pied. Elle le méritait. Malgré son sale caractère. « Plus sérieusement…le jour où tu trouveras quelqu’un, je serai le premier à te féliciter. » Il lui sourit avant de lui proposer un selfie. Une fois fait, il envoya la photo à Rosylia en guise de souvenir. Leur commande arriva enfin et Aedan lorgna sur la montagne de chantilly qu’on lui avait mise. « Ils sont pas radins ici ! » Il attrapa sa cuillère et commença à manger la chantilly, non sans proposer à son amie de passer la soirée chez lui. Sa réponse le fit une nouvelle fois rire. « Ah ouais ? Tu m’as pris pour ton chef personnel ? » Mais ils savaient tous les deux qu’il le ferait. Il aimait cuisiner quand il en avait le temps et surtout quand il n’était pas seul. C’était un peu pourri de passer des heures derrière les fourneaux juste pour soi-même. « Tu as une envie particulière ? » Qu’il sache s’ils devaient s’arrêter dans une supérette pour acheter quelques ingrédients ou s’il avait ce qu’il fallait chez lui.
Alors qu’ils dégustaient leurs desserts, Rosylia l’interrogea sur son procès, non sans lui proposer un massage ensuite. « Ah, tu t’intéresses enfin un peu à ma petite personne ! » Il regarda sa cuillère avec de la chantilly dessus, puis Rosy, puis à nouveau sa cuillère. Oups. Il avait envie de faire une connerie. L’instant d’après, il avait mis de la chantilly sur le nez de la jeune femme avant d’afficher un air des plus innocents. « Je ne dis jamais non à tes massages, tu le sais bien ! Et après la journée que j’ai passée, j’en ai vraiment besoin ! » Personne n’arrivait à la cheville de Rosylia quand il s’agissait de massages. Bon, en même temps, elle était un peu la seule à lui en faire. Mais c’était un détail.
- Rosylia A. TorresThere's nothing you can't say
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Date d'inscription : 25/10/2020
Âge : J'ai 29 ans
Situation financière : Tu es médecin et ta famille est l'une des plus fortunées de Washington. Ton futur mari, l'est aussi. Que demander de mieux ? Il paraît que l'argent ne fait pas le bonheur, tu en es la plus belle preuve.
Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
Rps en cours :
You here ?
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☆ ★ ☆
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- Aedan TaylorThere's nothing you can't say
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Âge : 30 ans
Situation financière : Aisée
Situation amoureuse : en couple - plus ou moins - avec la jolie Elvyra ♥
Orientation sexuelle : le genre lui importe peu, voire pas du tout. S'il tombe amoureux, il tombe amoureux d'une personne, d'un être humain. C'est aussi simple que ça.
Habitation : Appartement n°15, Downtown
Emploi/études : Avocat, a son propre cabinet
Multicomptes : Jin-Soo
Rps en cours : Aeryn - Niklaus#2 - Nora - Elvyra#4 - Elena - Elijah#2
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Aedan & Rosylia
Aedan éclata de rire face aux propos de Rosylia. Elle pouvait vraiment être infernale, parfois. Souvent. Toujours. Mais il ne la changerait pour rien au monde. Il l’aimait comme elle était, même si ce n’était pas l’amour auquel la plupart des gens pensaient. « Hé, doucement, on se calme ! Je ne compte pas t’épouser, désolé pour tes parents ! Mais tu es à jamais dans mon petit cœur. » Il porta démonstrativement sa main à son cœur avant de se remettre à rire. Il n’y avait qu’avec elle qu’il se lâchait totalement. Et avec Elijah vu que c’était son meilleur ami, mais c’était encore différent. Très différent. Déjà, Rosy était la seule à avoir l’honneur de pouvoir partager son lit. Ou son canapé. Ou sa douche. Ou le comptoir de sa cuisine. Ou… oui, bon, on a compris. D’ailleurs, en parlant de cuisine…la jeune femme avait limite exigé qu’il lui fasse à manger, ce soir. S’en suivit une nouvelle séance de taquineries en tout genre. A croire qu’ils ne savaient faire que ça lorsqu’ils étaient ensemble. Le jeune homme afficha un air faussement outré lorsque Rosy parla de larbin. « Ah ouais ? Tu oserais ? Ma foi…quelle chance j’ai ! La grande Rosylia Torres m’apprécie un minimum ! Wouaaah ! » Comment ça, il en faisait trop ? Pas du tout, voyons. Bon…peut-être un tout petit peu. Mais il avait besoin de se lâcher, de rigoler, de se détendre après cette journée.
« Ouais, c’est déjà tout trouvé. Je vais te servir la pâtée du chat. » Il rit à nouveau comme l’idiot qu’il était avant de s’amuser à mettre de la chantilly sur le nez de la jeune femme. Evidemment, elle ne se laissa pas faire et répliqua en lui en mettant plein la joue. Aedan afficha un air outré tandis qu’elle affirmait que c’était le nouveau fond de teint en vogue à Paris. « Parce que tu crois que j’ai besoin de fond de teint ? Tsss. Ma peau est parfaite. Contrairement à la tienne ! » Ouch. Petite pique gratuite. Mais c’était affectueux. Il attrapa sa serviette et s’essuya la joue, puis donna un léger coup de pied à Rosylia sous la table. Très léger. Il voulait juste l’emmerder, pas lui faire mal. « Oh, tu sais…je crois que j’en ai chez moi… » Il lui adressa un petit clin d’œil rempli de sous-entendus. Il n’y avait bien qu’avec elle qu’il se permettait ce genre de remarques et ce genre de choses, tout court.
Aedan soupira en évoquant la journée fatigante qu’il venait de passer et en entendant les propos de la jeune femme. Puis, il haussa un sourcil. « Fais gaffe. Je pourrais croire que tu es jalouse. » Il lui sourit bêtement avant d’enchaîner. « Tu sais bien que je n’accepte jamais des affaires dans le genre, sauf s’il y a eu erreur médicale ou des complications. » Quoi ? elle n’avait pas fini ? Le jeune homme leva les yeux au ciel, puis se pencha vers Rosylia et lui pinça bêtement le nez. A croire qu’il avait quelque chose avec son nez, aujourd’hui. « Mais tu me fais une vraie crise de jalousie là, ou je rêve ? » Il la lâcha, un large sourire aux lèvres. « Tu es la seule femme de ma vie, tu le sais bien ! » Puis, il se pencha vers son oreille pour murmurer. « Par contre, j’ai peut-être un homme quelque part aussi, qui sait. » Il se remit à rire en se rasseyant correctement. Quel idiot, mais quel idiot !
Finalement, ils terminèrent de se régaler et s’apprêtèrent à partir. Mais Rosylia fonça littéralement pour payer. Aedan secoua la tête et l’observa, amusé. « On dirait que ta vie est en jeu. » Il se moquait gentiment, puis quitta l’établissement après avoir remercié le personnel. Une fois dehors, il passa un bras autour des épaules de Rosylia tout en prenant la direction de son immeuble qui n’était qu’à quelques minutes de marche. Du coup, ils ne tardèrent pas à arriver. Aedan entra le code de l’entrée, puis ils montèrent jusqu’à son appartement. A peine entrés que son chat vint les accueillir à coups de miaulements. « Hey, salut, toi ! Je t’ai manqué ? » Il attrapa le chat et le souleva pour lui faire quelques papouilles avant de le reposer par terre et de se tourner vers Rosy. « Je pense que je n’ai pas besoin de te dire de faire comme chez toi… » Il sourit, puis retira ses chaussures et son manteau, invitant la jeune femme à faire de même. Ensuite, sans prévenir, il l’attrapa par la taille et lui roula une pelle digne de ce nom avant de la relâcher en souriant comme un con. « C’est bon ? Finie la crise de jalousie fictive ? »
« Ouais, c’est déjà tout trouvé. Je vais te servir la pâtée du chat. » Il rit à nouveau comme l’idiot qu’il était avant de s’amuser à mettre de la chantilly sur le nez de la jeune femme. Evidemment, elle ne se laissa pas faire et répliqua en lui en mettant plein la joue. Aedan afficha un air outré tandis qu’elle affirmait que c’était le nouveau fond de teint en vogue à Paris. « Parce que tu crois que j’ai besoin de fond de teint ? Tsss. Ma peau est parfaite. Contrairement à la tienne ! » Ouch. Petite pique gratuite. Mais c’était affectueux. Il attrapa sa serviette et s’essuya la joue, puis donna un léger coup de pied à Rosylia sous la table. Très léger. Il voulait juste l’emmerder, pas lui faire mal. « Oh, tu sais…je crois que j’en ai chez moi… » Il lui adressa un petit clin d’œil rempli de sous-entendus. Il n’y avait bien qu’avec elle qu’il se permettait ce genre de remarques et ce genre de choses, tout court.
Aedan soupira en évoquant la journée fatigante qu’il venait de passer et en entendant les propos de la jeune femme. Puis, il haussa un sourcil. « Fais gaffe. Je pourrais croire que tu es jalouse. » Il lui sourit bêtement avant d’enchaîner. « Tu sais bien que je n’accepte jamais des affaires dans le genre, sauf s’il y a eu erreur médicale ou des complications. » Quoi ? elle n’avait pas fini ? Le jeune homme leva les yeux au ciel, puis se pencha vers Rosylia et lui pinça bêtement le nez. A croire qu’il avait quelque chose avec son nez, aujourd’hui. « Mais tu me fais une vraie crise de jalousie là, ou je rêve ? » Il la lâcha, un large sourire aux lèvres. « Tu es la seule femme de ma vie, tu le sais bien ! » Puis, il se pencha vers son oreille pour murmurer. « Par contre, j’ai peut-être un homme quelque part aussi, qui sait. » Il se remit à rire en se rasseyant correctement. Quel idiot, mais quel idiot !
Finalement, ils terminèrent de se régaler et s’apprêtèrent à partir. Mais Rosylia fonça littéralement pour payer. Aedan secoua la tête et l’observa, amusé. « On dirait que ta vie est en jeu. » Il se moquait gentiment, puis quitta l’établissement après avoir remercié le personnel. Une fois dehors, il passa un bras autour des épaules de Rosylia tout en prenant la direction de son immeuble qui n’était qu’à quelques minutes de marche. Du coup, ils ne tardèrent pas à arriver. Aedan entra le code de l’entrée, puis ils montèrent jusqu’à son appartement. A peine entrés que son chat vint les accueillir à coups de miaulements. « Hey, salut, toi ! Je t’ai manqué ? » Il attrapa le chat et le souleva pour lui faire quelques papouilles avant de le reposer par terre et de se tourner vers Rosy. « Je pense que je n’ai pas besoin de te dire de faire comme chez toi… » Il sourit, puis retira ses chaussures et son manteau, invitant la jeune femme à faire de même. Ensuite, sans prévenir, il l’attrapa par la taille et lui roula une pelle digne de ce nom avant de la relâcher en souriant comme un con. « C’est bon ? Finie la crise de jalousie fictive ? »
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Situation financière : Tu es médecin et ta famille est l'une des plus fortunées de Washington. Ton futur mari, l'est aussi. Que demander de mieux ? Il paraît que l'argent ne fait pas le bonheur, tu en es la plus belle preuve.
Situation amoureuse : Fiancée malgré toi. Un arrangement entre ton paternel et le sien. Une situation que tu n'acceptes pas. Tu es censée passer devant l'hôtel bientôt, alors que ton cœur est ailleurs. Cet homme, que tu as connu pendant tes études, obsède tes pensées. Ca te torture jour après jour.
Orientation sexuelle : Tu es full hétéro. Tu ne t'es jamais posé de question et tu ne t'en poseras certainement jamais.
Habitation : Tu habites dans une villa luxueuse, dans le quartier de Georgetown.
Emploi/études : Tu es médecin urgentiste à l'hôpital de Washington et photographe à tes heures perdues.
Rps en cours :
You here ?
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Âge : 30 ans
Situation financière : Aisée
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Orientation sexuelle : le genre lui importe peu, voire pas du tout. S'il tombe amoureux, il tombe amoureux d'une personne, d'un être humain. C'est aussi simple que ça.
Habitation : Appartement n°15, Downtown
Emploi/études : Avocat, a son propre cabinet
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Aedan & Rosylia
Aedan éclata de rire face à la réaction de Rosylia. Il la trouvait juste trop drôle à taper des crises de jalousie imaginaires qui n’avaient pas lieu d’être. Parfois, il se demandait quand même si elle était sérieuse ou pas, c’était difficile à dire avec elle. Mais dans tous les cas, ça l’amusait et il ne s’en cachait pas, au contraire, il lui riait au nez. Ah, l’amour vache. Ou l’amitié vache, en l’occurrence. Il se disait souvent que sans la jeune femme, sa vie serait bien plus triste et il était heureux de l’avoir dans sa vie. Lorsqu’ils s’étaient rencontrés pour la première fois par le biais de leurs parents qui avaient espéré les voir se marier, jamais le jeune homme n’aurait cru qu’ils développeraient une telle relation. Finalement, ils pouvaient remercier leurs vieux. « Bien sûr, bien sûr. Tu es très crédible. » Il lui tira la langue tel un gamin, adorant la taquiner. Ça faisait partie du jeu. De toute façon, il savait très bien qu’elle ne ferait pas la gueule bien longtemps. Elle en était incapable et puis, Aedan savait toujours comment lui faire oublier pourquoi elle était en colère ou pourquoi elle avait fait un caprice totalement ridicule. Ils quittèrent donc l’établissement, mais Rosylia l’avait devancé et avait réglé la note. Ma foi, il le ferait la prochaine fois. « On dirait qu’on joue au loto ou je ne sais pas quoi. Tu me fais rire, Rosy. » Il lui sourit bêtement, alors qu’il sortaient pour se diriger vers l’immeuble qui abritait son appartement.
A peine entrés et à peine eut-il salué le chat qu’Aedan attrapa Rosylia par la taille pour l’embrasser. Une pulsion soudaine. Et puis, il savait que ça ne dérangerait aucunement la jeune femme, au contraire. Il pouvait toutefois se vanter de l’avoir surprise et il en était plutôt fier. Oui, il lui en fallait peu, parfois. C’était de petites victoires comme ça qui rendaient son quotidien intéressant. Oui, bon, n’importe quoi. « Un terrain glissant ? Vraiment ? Tu crois que ça me fait peur ? » Il lui sourit, taquin. Depuis le temps qu’ils s’adonnaient à ce genre de petit jeu, il n’avait plus peur de rien. D’ailleurs, elle répliqua bien vite en s’amusant à le narguer à son tour. Non, elle le chauffait carrément. Mais il avait commencé, alors il n’allait pas s’en plaindre. Ses gestes le firent légèrement frissonner et il sentait l’envie monter en lui, peu à peu. Ils n’allaient certainement pas passer une soirée tranquille devant la télé. C’était joué d’avance. Mais là encore, il n’allait pas s’en plaindre. Il savait très bien que c’était un risque quand il invitait Rosylia chez lui. Il y avait des jours où il ne se passait rien, où ils restaient sages, où ils se contentaient de chiller devant Netflix, blottis l’un contre l’autre. Et puis, il y avait des jours comme aujourd’hui.
« Le regretter ? Je ne crois pas. Je n’ai jamais regretté un seul instant avec toi, ça ne va pas commencer maintenant. » Il lui sourit, puis répondit au baiser langoureux qu’elle lui offrit, ses mains posées sur sa taille. Lorsque le baiser prit fin, la jeune femme reprit la parole et Aedan la regarda avec des yeux de merlan frit l’espace de quelques secondes. « Sérieusement ? » Puis, il éclata de rire. Il voyait clair dans son jeu. Du moins, il le pensait. Elle voulait le faire languir, ne pas lui céder tout de suite, jouer avec lui et avec ses nerfs. Il ne la connaissait que trop bien, il savait qu’elle adorait faire ça et que, donc, elle en était tout à fait capable. « Tu m’as pris pour un Chippendale ? » Dans tous les cas, il en avait le physique, c’était certain. Secouant la tête en riant doucement, il la suivit jusque dans la cuisine où elle sortit deux verres de vin. « Ça tombe bien, j’ai mis une bouteille au frais avant de partir au boulot. A croire que j’avais deviné que tu viendrais. » Il sourit bêtement, puis alla chercher ladite bouteille pour la débouchonner et verser un peu de vin dans chaque verre. Il prit ensuite le sien et le fit tinter contre celui de la jeune femme, sans rien dire. Il se contenta de lui sourire tout en la regardant droit dans les yeux. Un regard qui en disait long. Il porta le verre à ses lèvres et en but quelques gorgées avant de le reposer sur le comptoir. « Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? « Il parlait évidemment du repas de ce soir. « Hum, attends. Je vais déjà voir ce qu’il me reste dans le frigo. » C’était peut-être une bonne idée, non ? Il ouvrit donc le frigo et en observa le contenu avant de se tourner vers Rosylia. « J’ai de quoi faire du saumon avec des légumes. Ça te va ? » Il n’attendit même pas la réponse avant de sortir les ingrédients du frigo pour les poser sur le plan de travail. « Ah. Oui. » Elle voulait qu’il tombe la chemise ? Eh bien, il allait tomber la chemise. Et puis, ce serait dommage de cacher tous ces jolis muscles pour lesquels il travaillait dur, non ? En plus de ça, Rosyloa allait avoir un aperçu de son tatouage. Il retira donc sa chemise et la balança sur la jeune femme pour l’emmerder. « Y a quelque chose de nouveau. Sauras-tu le trouver ? » Quel idiot. Il suffisait qu’il lui tourne le dos pour qu’elle voie la « nouveauté ».
A peine entrés et à peine eut-il salué le chat qu’Aedan attrapa Rosylia par la taille pour l’embrasser. Une pulsion soudaine. Et puis, il savait que ça ne dérangerait aucunement la jeune femme, au contraire. Il pouvait toutefois se vanter de l’avoir surprise et il en était plutôt fier. Oui, il lui en fallait peu, parfois. C’était de petites victoires comme ça qui rendaient son quotidien intéressant. Oui, bon, n’importe quoi. « Un terrain glissant ? Vraiment ? Tu crois que ça me fait peur ? » Il lui sourit, taquin. Depuis le temps qu’ils s’adonnaient à ce genre de petit jeu, il n’avait plus peur de rien. D’ailleurs, elle répliqua bien vite en s’amusant à le narguer à son tour. Non, elle le chauffait carrément. Mais il avait commencé, alors il n’allait pas s’en plaindre. Ses gestes le firent légèrement frissonner et il sentait l’envie monter en lui, peu à peu. Ils n’allaient certainement pas passer une soirée tranquille devant la télé. C’était joué d’avance. Mais là encore, il n’allait pas s’en plaindre. Il savait très bien que c’était un risque quand il invitait Rosylia chez lui. Il y avait des jours où il ne se passait rien, où ils restaient sages, où ils se contentaient de chiller devant Netflix, blottis l’un contre l’autre. Et puis, il y avait des jours comme aujourd’hui.
« Le regretter ? Je ne crois pas. Je n’ai jamais regretté un seul instant avec toi, ça ne va pas commencer maintenant. » Il lui sourit, puis répondit au baiser langoureux qu’elle lui offrit, ses mains posées sur sa taille. Lorsque le baiser prit fin, la jeune femme reprit la parole et Aedan la regarda avec des yeux de merlan frit l’espace de quelques secondes. « Sérieusement ? » Puis, il éclata de rire. Il voyait clair dans son jeu. Du moins, il le pensait. Elle voulait le faire languir, ne pas lui céder tout de suite, jouer avec lui et avec ses nerfs. Il ne la connaissait que trop bien, il savait qu’elle adorait faire ça et que, donc, elle en était tout à fait capable. « Tu m’as pris pour un Chippendale ? » Dans tous les cas, il en avait le physique, c’était certain. Secouant la tête en riant doucement, il la suivit jusque dans la cuisine où elle sortit deux verres de vin. « Ça tombe bien, j’ai mis une bouteille au frais avant de partir au boulot. A croire que j’avais deviné que tu viendrais. » Il sourit bêtement, puis alla chercher ladite bouteille pour la débouchonner et verser un peu de vin dans chaque verre. Il prit ensuite le sien et le fit tinter contre celui de la jeune femme, sans rien dire. Il se contenta de lui sourire tout en la regardant droit dans les yeux. Un regard qui en disait long. Il porta le verre à ses lèvres et en but quelques gorgées avant de le reposer sur le comptoir. « Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? « Il parlait évidemment du repas de ce soir. « Hum, attends. Je vais déjà voir ce qu’il me reste dans le frigo. » C’était peut-être une bonne idée, non ? Il ouvrit donc le frigo et en observa le contenu avant de se tourner vers Rosylia. « J’ai de quoi faire du saumon avec des légumes. Ça te va ? » Il n’attendit même pas la réponse avant de sortir les ingrédients du frigo pour les poser sur le plan de travail. « Ah. Oui. » Elle voulait qu’il tombe la chemise ? Eh bien, il allait tomber la chemise. Et puis, ce serait dommage de cacher tous ces jolis muscles pour lesquels il travaillait dur, non ? En plus de ça, Rosyloa allait avoir un aperçu de son tatouage. Il retira donc sa chemise et la balança sur la jeune femme pour l’emmerder. « Y a quelque chose de nouveau. Sauras-tu le trouver ? » Quel idiot. Il suffisait qu’il lui tourne le dos pour qu’elle voie la « nouveauté ».
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