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Popeye A. Sörvik
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Message par Popeye A. Sörvik Mar 5 Jan - 3:16

Maybe i'm a little drunk

Les journées sont dures à supporter quand rien n'occupe son esprit. Parce qu'alors il pense à elle. Dahlia. Sa plus grande sœur. Il n'arrive pas à l'encaisser cet accident. Même sa nièce semble mieux l'encaisser que lui. Aussi loin qu'il se souvienne de toute façon il n'a jamais su les encaisser correctement les deuils. Il dérape à chaque fois. Il refuse la vérité mais elle se rappelle à lui constamment. Son père quand il était gamin, son meilleur pote quand il a atteint la vingtaine, et maintenant ça. Sa sœur. Aucun d'eux n'avaient l'âge de quitter ce monde, ils avaient tous encore une longue vie devant eux. Et y'a encore des putains de cons qui pensent que y'a un Dieu la haut ? Elle est où sa justice divine de ses couilles au barbus ? Parce que la y'en a aucune. Aucun d'eux ne méritait ça ! Il l'aurait probablement cent fois plus mérité qu'eux. Il est ou le karma dans cette histoire ? Quand les gens font des choses bien ils ne sont pas censé avoir de retour de karma dans la gueule, encore moins aussi violent. Que des conneries qu'on vend à tout le monde pour que les gens se tiennent à carreau. Parce qu'on peut pas compter sur leur conscience. Faut qu'ils aient la carotte derrière. Si ça peut les aider tant mieux pour eux. Mais lui il ne fait qu'accumuler la preuve que cette promesse de justice en fonction des actes de chacun n'est que la plus grosse arnaque de tout les temps. Sa peine est si forte qu'il en bouillonne de haine contre le monde entier. Il en vient même à être parano. Pour ça que ce matin il a accompagné sa nièce à son premier jour de boulot qu'elle le veuille ou non. Parce qu'il voulait voir où elle serait, et parler avec son employeur. Tâter le terrain. Il a peur qu'il lui arrive une couille, vu que, visiblement, personne ne semble être épargné autour de lui. Même l'enfant que sa sœur avait dans son ventre avait périt avant de voir le jour. La seule chose en quoi il voulait bien croire en cet instant c'était en la malédiction. Il ne sait même pas comment il arrive encore à tenir debout. Enfin.. Il passe parfois beaucoup trop de temps dans son lit à ne vouloir se lever. C'est trop récent. Il est à bout. S'il venait à perdre encore quelqu'un alors aucun doute qu'il s'effondrerait. Pas seulement moralement. Ses jambes plieraient sous le poids de la peine et il mettrait encore un peu plus de temps à se relever. Il n'y a qu'avec eux, ses proches, qu'il s'apaise. Quand il est seul alors ses pensées assombrissent tout à nouveau. Il tente à les dégager par divers moyens, notamment l'alcool. Ou peut-être bien qu'au lieu de les dégager en fait il les embrasse et s'y noie un peu plus. Gaïa, une pote, l'a emmené aux combats illégaux auxquels elle a l'habitude de participer dans l'après-midi. Il a pris quelques belles patates, il en a même le visage marqué surtout au niveau de la pommette et de l'arcade gauche, il peut le sentir. Mais ça lui a permis de bien se défouler aussi. Il s'est rendu compte qu'il avait énormément d'énergie à dépenser, lui qui se pensait totalement vidé. Il n'est pas rentré. Il a simplement envoyé un sms à Kai pour lui dire qu'il rentrerait tard avant de se rendre au bar gay qu'il a l'habitude de fréquenter. Son train de vie depuis a peu prêt deux semaines est celui d'une loque de la vie, c'est difficilement réfutable. Kai s'en préoccupe, il l'accompagne bien souvent mais il lui pourris déjà bien assez la vie comme ça dernièrement. Se mettre une race tout seul ça n'est pas un problème. Il dépense tout le cash qu'il a retiré un peu plus tôt. Enchaine les verres à alcool fort. Se laisse emporter par la musique. Puis boit à nouveau. Mais il ne parle pas beaucoup, pas très réceptifs à ceux qui viennent tenter l'approche. Certains soirs oui, mais pas ce soir. Il veut simplement anesthésier son cerveau en l'inondant. Et dire qu'après la mort d'Harvey, à cette heure ci il aurait déjà vomis. Faut croire que son corps commence à vraiment être habitué à ses doses d'alcool intenses. Un peu trop bien d'ailleurs parce qu'il n'arrive toujours pas à arrêter de penser. "Fuck" plus rien pour payer. Il n'a plus qu'à rentrer. D'une démarche un peu douteuse il avance vers la sortie du bar puis se rend jusqu'à sa bagnole. ...Après quelques tentatives il fini par la retrouver et met quelques très longues secondes de plus à retrouver la bonne clé pour l'ouvrir et s'y installer. Mais avant de fermer la portière il repense à Dahlia. Morte dans un accident de voiture. Il le sait qu'il a trop bu pour conduire. Si sa prétention le pousse à croire qu'il peut quand même faire le trajet il se dit que s'il a tord et qu'il crève ses sœurs vont devoir revivre un deuil. Kai aussi d'ailleurs, après avoir déjà perdu son frère. Il soupire lentement et attrape son portable pour appeler ce dernier "Kai c'est moi.." ouais précision inutile vu que son nom s'était affiché sur le portable du brun mais il n'en est pas à réfléchir à ce genre de détails "Faut que tu viennes me chercher, j'ai peut-être.. un peu trop bu" un léger rire lui échappe et il se masse l'arrête du nez. Merci Captain Obvious "J'suis dans ma voiture sur le parking du Dirty Goose, à toute suite ma biche" il raccroche et laisse aller sa tête en arrière contre le dossier du siège. Portière toujours ouverte pour avoir un peu d'air frais. Heureusement qu'il peut compter sur lui. Finalement il aura réussi à lui pourrir cette soirée aussi. Il ferme les yeux, les paupières trop lourdes à maintenir ouverte mais le sommeil refusant de le gagner.
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Message par Invité Mar 5 Jan - 21:53
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Tard. Il a dit qu’il rentrerait tard. Peut-être que finalement, il n’y a rien de plus abstrait. Tard, ce n’est pas tôt, ce n’est pas dans l’instant et ce n’est pas non plus bientôt. Tard, c’est tout ce temps qui vient après. Qui parfois, ne vient jamais. Le cœur serré, il aimerait pouvoir s’empêcher de s’inquiéter. Ses doigts s’allongent sur les touches bicolores. Ils paressent, se prélassent. Courent et parfois cavalent. Le long de son instrument. Ses prunelles évitent ce temps qui passe sur l’horloge mais les battements de son palpitant comptent tout de même ces longues minutes qui s’effacent. Tard, peut-être qu’à présent il est tôt. En tout cas, il est plus tard que tout à l’heure et il n’est toujours pas là. Le souffle étriqué, il aimerait pouvoir se persuader qu’il va bien. Mais rien n’est sûre, tout est incertain. Le fait est qu’il n’a aucune idée de là où il est, dans l’état dans lequel il l’est. Il sait seulement qu’il n’est pas là et qu’il est tard. Uniquement qu’il a sans nul doute, une fois encore laisser soin à son foie d’éponger sa peine. A ses reins de filtrer son deuil. Il avait demandé à Anna de prendre congés après qu’elle l’avait eu préparé le dîner. Un autre de ces échanges où il l’aiguise sa langue sur le tranchant des syllabes russes. Ils avaient fait sa connaissance le premier jour de l’an. Elles n’avaient pas été trop de trois pour tout remettre en ordre après la soirée qu’il avait proposé de donner en l’occasion de la nouvelle année. S’il y avait mûrement réfléchi, s’il avait concédé de grincer des dents toute la soirée durant ; devant tous ces gens vagabondant dans son appartement. Le leur. A lui et à Poppy. Il avait tout de même eu recours à quelques litres pour cesser de s’en soucier. Saupoudré de quelques grammes de poussière de fée. Tout ce monde en ces lieux en son temple, relevant d’une épreuve du feu. C’est pour lui, qu’il l’a fait. Pour lui changer les idées. Rattraper ce temps où il avait dû s’éloigné, où il l’avait esseulé. Ce court séjour qu’il n’a pu échapper pour célébrer la naissance d’un môme qui n’a probablement jamais exister. Non, ça, ça avait été ça, l’épreuve du feu. A leur soirée, il s’était amusé. Là-bas, il avait cru crever. Ce fut le cocktail miracle d’Anna qui les avait remis sur pied, ce jour-là. S’il fut immonde, ce ne fut pas le cas du repas qu’elle leurs prépara. Une chaleur qu’il avait espéré retrouver ce soir avant qu’il lui dise qu’il rentrerait tard. L’estomac noué, c’est seul qu’il avait tout de même fini par dîner. Laissant au frigidaire, au rouquin, l’assiette intacte qu’il aurait le choix de réchauffer. Si jamais il rentrait tard et qu’il n’avait toujours pas mangé. Peut-être qu’il s’inquiète trop, peut-être qu’il ne s’est pas suffisamment répété à quel point Popeye était un grand garçon. Mais il le connait, assez pour connaître sa tendance à dépasser parfois ses propres limites. Peut-être que s’il l’ignorait à quel point cette pente sait se montrer glissante, il ne penserait même pas à angoisser. Et s’il boit, lui, ce soir, c’est peut-être pour les mêmes raisons que lui. Ou peut-être qu’il a son propre vide à combler, sa propre peine à noyer. Peut-être qu’il devrait se rappeler que dans cette vie, ou la prochaine. C’est chacun sa merde. Mais Poppy c’est pas pareil. C’est différent, ça l’a toujours été. Ses doigts ne s’épuisent, son esprit, non plus. Tard. « C’est un grand garçon. », il soupire, le jeune garçon. Tard. Il est définitivement plus tard encore à présent. Et il n’est toujours pas là. Les secondes passent, les minutes s’entassent. Et enfin il l’imagine, l’heure où Il trépasse. Please Lord, let him be fine…, pour lui, il le prierait ce dieu qu’il dénigre. Pour lui, il cesserait sa mélodie, il se mettrait à genoux. Enfoncerait ses coudes dans le cuir brûlant encore sa proximité. Les paupières closes, il chanterait cette litanie. « Please, lord… », il ne saurait l’dire, le temps qu’il prélasse le derrière sur le talon. « In the name of… », le blasphème, si aisée hors de ses lèvres. C’est la sonnerie de son téléphone qui l’extirpe hors de sa trans. [C’est lui, Poppy. Le cœur palpitant au creux de sa gorge, il décroche. "Kai c'est moi.." Sa voix semble lointaine, comme s’il l’appelait d’un autre monde. Ou peut-être est-ce lui qui n’y est plus. « Poppy… », il soupire, Kai. Parce qu’il est vivant. Tout simplement. Sa main passe sur son visage, chassant de ses prunelles ses mauvais présages. "Faut que tu viennes me chercher, j'ai peut-être.. un peu trop bu"  Trop bu, sur ça, il aurait en mis sa main à couper. Sa langue a cette particulière manière de caresser son palais. Mais il l’entend rire et il ne retient le sien. Plume, à présent qu’il le sait, qu’il va bien. he’s fine ! Il ne lui reste plus qu’à aller le chercher. « Dis-moi où t’es. », il s’est déjà relevé pour les étirer ses membres. Engourdis et endoloris par cette prière qu’il n’explique. « Hmmmmm… »,  De sa gorge gronde les cordes vocales qu’il a abîmé.  "J'suis dans ma voiture sur le parking du Dirty Goose, à toute suite ma biche" Le parking du Dirty Goose ? Alors peut-être que ça l’étonne qu’il s’y retrouve tout de même seul dans sa voiture. Il a déjà raccroché alors il l’écrit : J’arrive, mon chat. « Mon chat ? », pourquoi pas ? Un passage par la salle d’eau pour se brosser les dents. Ses clés de voitures, ses chaussures et son long manteau noir volant dans sa traîne, il est déjà sorti. L’ascenseur le descend directement au parking et il ne perd pas plus de temps qu’il ne le faut pour s’engouffrer dans sa voiture. Il espère seulement éviter l'alcootest quand il démarre et fait enfin son chemin à travers les rues de la ville. A moitié endormie, elle brille toujours même si le peu de vie qui persiste, vacille. Il a ouvert la fenêtre, une clope au bec, goûtant la menthe de son dentifrice. Il suit sur ses genoux le gps sur son téléphone. Peut-être qu’il aurait eu plus de simplicité à l’accrocher mais le trajet n’est pas si long et à dire vrai, peut-être qu’il le connait bien assez. Il va bien, il l’attend. Et il fini bien par arriver, Kai. Il n’a pas de mal à s’orienter vers sa voiture. La seule ouverte et l’une des rares qui subsiste encore. Son mégot s’écrase sous la semelle de ses bottines en cuir. Ses pas l’amènent à s’accroupir face à l’ouverture de l’habitacle. Pas une égratignure, il sourit. « Tu n’as trouvé personne d’autres pour s’occuper de tes fesses ? », si la question est légitime, il s’en fiche bien de la réponse. Ce n’est pas comme si ça le dérangeait qu’il fasse appel à lui. Pas comme si ça le gênait qu’il n’ait pas été finir sa nuit ailleurs que dans son propre lit. Au moins à présent, il peut à nouveau respirer. Parce qu’il a la certitude qu’il ne risque rien de plus qu’une méchante gueule de bois. Il lui tend sa main. « J’suis là », ils peuvent venir la chercher demain, la voiture. Elle ne risque probablement rien. Ses doigts repoussent doucement les mèches auburn du rouquin. « Allez, viens, je te ramène à la maison. », il s’est penché pour passer ses bras sous ses aisselles, accompagnant son mouvement sans qu’il ne se cogne la tête. Mais il semblerait qu’elle ait déjà été cognée sa tête. Il a adossé le rouquin contre sa propre ferraille. Maintenant son équilibre en l’immobilisant avec son propre corps. Il le regarde, Malakai. Les sourcils froncés. Ses doigts délicatement viennent emprisonnés son menton. Pas une égratignure? C’était sans compter sur le côté gauche de son visage. Il grimace, Kai. Comme si c’était lui qui avait été frappé. Comme s’il pouvait la partager sa douleur. Cette peine que ses sombres prunelles transpirent. Mais il va bien, il se souvient. Rien de bien méchant. Rien qu’il n’a jamais relevé sur ses traits auparavant. « T’étais déjà pas très beau, là, t’as touché le gros lot. Je comprend mieux pourquoi t’as eu besoin de m’appeler. », oui, peut-être que ça ne devrait pas autant le faire chier. « J’espère tout de même qu’il l’a bien payé. », celui qui a osé l’abîmer comme ça. Même s’il a conscience qu’il ne serait pas dans cet état s’il ne l’avait pas, au-delà d’avoir su l’éviter, quelque part désirer. Et ça, ce sentiment, peut-être qu’il peut le comprendre. « Viens, Chucky, je te ramène à la maison. », il l’invite à reposer sa charge sur ses épaules. Sur ses lèvres, sa bienveillance.

(c) AMIANTE


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Message par Popeye A. Sörvik Mer 6 Jan - 2:15

Maybe i'm a little drunk

A peine a-t-il raccroché que sa tête repart déjà dans le gaz. Mais il fait quand même l'effort non mince de la relever quand il sent son portable vibrer entre ses mains. Il plisse les yeux puisque sans ça ils semblent incapable de lire les écritures noires du message sur ce fond blanc aveuglant. Mais quand il parvient à le lire un soufflement amusé s'échappe de ses nasaux avant que sa tête ne rebascule contre le dessus du dossier. Il n'a plus qu'à attendre. Ca ça ne demande pas d'effort après tout. Pas d'effort physique en tout cas. Il pourrait simplement s'endormir en attendant. Avec l'alcool qu'il a ingéré on aurait tendance à se dire que ça n'est pas un problème. Et effectivement parfois il est si KO qu'il pourrait s'endormir dans les endroits les plus improbable tel un ivrogne de dernière zone. Et parfois c'est l'inverse, l'estomac retourné et en proie à l'insomnie. Comme la. Son cerveau refuse de lâcher prise. S'il n'a pas assisté à l'accident de sa sœur il n'a pourtant de cesse de se l'imaginer. Comme s'il rêvait sans dormir. Les images s'animent d'elles même dans l'obscurité créée par ses paupières closes. Et elles ne cessent. Repassent en boucle jusqu'à ce que les formes se déformes et les couleurs virent à d'autres. Ce sont ses moments où il a l'impression de partir. Mais son cerveau le capte et le ramène à la réalité, chaque putain de fois. A croire qu'il n'a pas encore assez bu pour noyer ses alertes. Il entend une voix lointaine. Il ne prend pas la peine d'ouvrir les yeux. Il sait que ça n'est pas Kai. Il connait suffisamment sa voix. Alors histoire d'avoir la paix il se contente de relever l'avant bras pour présenter son majeur dressé. Réaction qui semble dissuader la personne de toute aide qu'elle aurait voulu lui apporter. Au moins il a la paix. C'est seulement quelques minutes plus tard qu'il reconnait sa voix. Ou peut-être quelques dizaines de minutes plus tard, il n'en sait rien, il a un peu perdu la notion du temps, tout semble assez confus à ce niveau la. « Tu n’as trouvé personne d’autres pour s’occuper de tes fesses ? » Son sourire s'étire. Pas de doute c'est bien lui "Pourquoi faire quand tu t'en occupes si bien" c'est vrai qu'il s'occupe bien de lui depuis l'accident. Il est au petit soin, littéralement. Il s'en rend compte. Il s'en rend compte même s'il est à moitié en train de déprimer et à moitié en train de se saouler la gueule, il les voit tous ses efforts et ses attentions envers lui. C'est un bon gars Kai, comme l'était son frère. Il rouvre enfin les yeux pour les poser sur le bouclé « J’suis là » c'est bien ce qu'il se disait juste avant, il est la. "Ben oui j'ai vu p'tite tête" ce qu'il n'a pas vu en revanche c'est la main qu'il lui a tendu mais il prend les choses en mains tout seul Kai. Non sans lui avoir.. caressé le visage ? Bon. Okay. « Allez, viens, je te ramène à la maison. » il y met un peu d'énergie à se lever. Il sait qu'il n'est pas léger alors s'il fait le poids mort ça ne sont pas les petits bras de son ami qui vont le sortir de la bagnole. Ses pieds retrouvent le sol, semblerait d'ailleurs qu'il est des fourmis dans l'une de ses jambes qui devaient être mal positionnée. Appuyé contre la carrosserie et se masse les paupières de son pouce et de son index histoire de se réveiller un peu plus. Peut-être même qu'il pense que ça va le désaouler un peu "Hm ?" il hausse les sourcils quand le brun lui attrape le menton. Mais qu'est ce qu'il fait ? Il va lui rouler une pelle ou quoi ? C'est l'haleine d''alcoolique ? « T’étais déjà pas très beau, là, t’as touché le gros lot. Je comprend mieux pourquoi t’as eu besoin de m’appeler. » ses abdos se contracte quand il rigole et sur le moment s'en est presque douloureux. Il avait presque oublié qu'il avait la gueule abimée. Non, pas presque, il avait oublié. "Moi qui pensait que ça me rendait plus sexy" quoi ça donne un côté bad boy non ? En général ça plait !  « J’espère tout de même qu’il l’a bien payé. » oh.. c'est vrai qu'il ne lui en a pas parler. Il doit penser qu'il s'est battu avec un type au bar. "En fait c'est moi qu'ai été payé" Il plonge sa main dans sa poche dans le but d'en sortir les billets gagnés mais se souvient qu'il a tout dépensé "Shit. Enfin bref, c'tait un combat organisé, je me suis trop défoulé je pense mais au moins j'ai gagné !" il aurait dû garder cet argent pour lui payer un coup à boire « Viens, Chucky, je te ramène à la maison. » Il rit à nouveau, main sur le ventre. S'il dégueule ça sera sa faute, qu'on se le dise ! Il se décolle de la voiture. Sa jambe a l'air un peu plus apte à le porter. "Att une seconde" il se penche pour attraper son portable tombé du siège et reprend également ses clés, n'ayant pas envie de se faire piquer sa bagnole. Portable glissé dans la poche arrière de son jean il ferme la portière et verrouille la voiture "Okay on est bon !" Chucky ready ! Il passe son bras sur les épaules de Kai, plus par fainéantise qu'autre chose d'ailleurs parce qu'il arrive encore à marcher même s'il titube un peu. Mais dès qu'il peut il se poser sur le siège passager du brun il s'y affaisse "T'as pas une clope ?" à défaut de pouvoir boire encore. Il sait que c'est faux mais il a l'impression que ça lui fera du bien. "Allez Frodon, ramène mon anneau jusqu'à mon pieu" oui c'est bien de son cul qu'il parle. Ou de son trou du cul pour être plus précis. Il étire son dos en tirant ses épaules vers l'arrière et tourne la tête vers lui "Merci vieux" Pas de blague cette fois ci, il est sérieux. Parce qu'il sait le reconnaitre quand même, qu'une fois de plus, il s'est bougé le cul pour lui. Vu l'heure qu'il était probablement il avait même dû sortir de son lit. Calant sa clope entre ses lèvres il reprend "Tu sais que t'as le droit de m'envoyer bouler des fois quand je te réclame comme si t'étais ma mère" c'est vrai qu'il abuse parfois. Il en est conscient. Il allume le cul de sa clope et tire une longue latte dessus.
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Message par Invité Jeu 7 Jan - 0:26
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Peut-être qu’il aurait dû commencer par le remercier de l’avoir appelé. Il n’ose véritablement imaginer dans quel état il l’aurait retrouvé. Si jamais ce soir, finalement, Poppy avait choisi de prendre le volant. Il n’ose imaginer la quantité de liqueur qu’il a dû ingurgité mais pour qu’il en soit là. Il le devine bien que le rouquin a une fois de plus été plus loin que le seuil raisonnable. Et il remercie le ciel, Malakai, qu’il lui eut resté quelques centilitres de raison dans son esprit pour qu’il pense tout de même à la préserver sa vie. Ce ciel qui n’abrite probablement pas plus d’anges que la terre se peuplent de démons. Cet exploit, peut-être qu’il la doit à cette récente tragédie. Celle qui a commencé par mettre son ami plus bas que terre de prime abord. Il y a ces choses qu’il n’a pas besoin de lui dire, ces choses qu’il peut seulement ressentir. Ces choses qu’ils ont tout les deux quelques part déjà vécu. Individuellement, à l’époque. La différence est que le brun, lui, s’il a connu les victimes. Il n’avait pas cette proximité qui avait lié Poppy et Harvey. "Pourquoi faire quand tu t'en occupes si bien" , il sourit, le jeune héritier. Ce, même si le rouquin lui en bouche un coin. Jour et nuit, il est vrai qu’il s’applique à l’être, cet ami pour lui. S’il sourit c’est parce qu’il apprécie simplement de savoir qu’il peut faire ces choses biens. Ces choses qui sont anodines pour d’autres mais qu’il s’est durement inculqué à exercer. Ces choses qui étaient si faciles pour Harvey. Il n’avait simplement qu’à exister pour faire fondre les cœurs de chaleur. Lui, qui brillait plus que le soleil. Peut-être qu’il a envie de croire que cet ange, aujourd’hui, appartient au ciel. Peut-être. Mais alors, il devrait se rappeler que l’âme de celui qui s’est condamné n’appartient qu’aux flammes des enfers. "Moi qui pensais que ça me rendait plus sexy" C’est à son tour de rire. « Le fait est, tu te retrouves avec nul autre compagnie que la mienne. Et moi, je ne donne pas dans les méchants garçons. », et il ment, surtout. C’est tout particulièrement, s’il doit se référer à ses précédentes attractions, le style qu’il préfère. Mais ils déconnent. Poppy le sait bien qu’il ne l’a probablement jamais trouvé laid. Parce qu’il a, un jour, contribué à faire pencher la balance. Si Popeye l’ignore, il ne peut l’oublier, lui, ce qu’il a ressenti quand il attendait après lui. Il a bien conscience d’être injuste dans la mesure où ils n’ont de compte à se rendre. Mais comment le contrôler, le fait de s’inquiéter ? Ce n’est là, pas forcément une affliction qu’il a pour habitude de nourrir. Les sourcils froncés, il regarde la paume vide de son ami. C’est lui qui a été payé ? Il n’est pas certain de suivre.  "Shit. Enfin bref, c'tait un combat organisé, je me suis trop défoulé je pense mais au moins j'ai gagné !" Il soupçonne donc, qu’il a tout dépensé. Un combat organisé ? D’habitude, il se contente seulement de réunir les paris lors de ces rencontres sportive clandestine. Mais ça l’égaye d’en parler, il peut l’voir que ça lui a véritablement permis de décompresser. Une infime part de cette colère qui l’immole à petit feu. Celle contre l’injustice de cette vie de merde. Contre laquelle, ils ne peuvent rien faire. Et il aimerait pouvoir le féliciter mais il n’est pas certain de vouloir l’accourager à s’abîmer un peu plus qu’il ne l’a déjà fait. Alors il sourit. Parce que lui, il sourit. Et s’il secoue la tête, ça n’est jamais que pour la forme. Pour sa connerie qui n’en fini. Mais c’est sa vie et dans la finalité, il fera bien ce qui lui fait envie. Alors il ne dit rien, parce qu’il ne trouve rien de plus à en dire si ce n’est. « T’abuses, t’aurais au moins pu me payer un verre. » Non, à la place il préféré boire seul. Il ne sait pas ce qu’il doit en comprendre et il essaie réellement de ne pas être le centre du monde. Après s’être assurer de ses capacités, il s’est écarté, Kai. Bien qu’il reste tout près, à longueur de ses bras. Prêt à le retenir si jamais, Popeye venait à chuter plus bas.  « Viens, Chucky, je te ramène à la maison. » Si son bonheur n’est qu’artifice, son rire est communicatif. Plié en deux, les joues aussi flamboyantes que sa crinière. Il peine de le réaliser, qu’avant, il n’avait pas besoin de boire autant pour rire aussi simplement. Att une seconde" Les bras croisés, il patiente. Ses orbes azuréens analysant le degré d’ébriété du rouquin. Malakai l’a très certainement observé bien plus bourré que ça. Et définitivement, il la raille l’éventualité de le voir s’écrouler sous l’éthanol. "[/b]Okay on est bon ![/b]" Et quand il lui revient, il lui cède de bon cœur ses épaules. Bien qu’il ne semble réellement en avoir besoin de son frêle soutient. Et peut-être que c’est tant mieux. Il n’est pas certain qu’il aurait pu trainer Poppy bien loin. Ensemble, ils trainent leurs deux carcasses et ne se séparent seulement que pour prendre place à l’intérieur de son automobile ébène. Sa batmobil laisse son Robin prendre ses aises et il en profite, Kai, pour en faire de même. Le moteur ronronne et il frotte l’une contre l’une, ses mains, en même temps qu’il le règle le chauffage. T'as pas une clope ?" Il plonge, ensuite, ses doigts dans sa poche pour leurs sortir une cigarette chacun. Les fenêtre ouverte, il laisse enfin la flamme de son briquet venir lécher le cul de sa clope. "Allez Frodon, ramène mon anneau jusqu'à mon pieu" Et il croit s’étouffer, Kai. Ses prunelles brûle quand la fumée s’échappe de ses orifices alors qu’il a déjà bien assez honte de rire de sa connerie. « Oh dear lord, j’arrive pas à croire que t’as osé. », ses poumons se révoltent et il finit bien par recracher toute la fumée. « Holy shit… », d’une pichenette, il l’envoie valser dehors son cône à peine entamée. L’envie lui ait étrangement passée. Frodon et son anneau unique. Sa main vient couvrir ses yeux, l’enfoiré, il a osé. "Merci vieux" Il découvre son visage, Malakai. Tournant sa tête vers lui, haussant simplement ses épaules. Il n’a pas besoin de le remercier. Il a besoin de lui, il est là. Peut-être que c’est aussi simple que ça.  "Tu sais que t'as le droit de m'envoyer bouler des fois quand je te réclame comme si t'étais ma mère" Son hilarité souffle par ses narines et il secoue la tête, Kai, ses prunelles au ciel. Il se penche vers lui, envahit son espace pour tirer sur la ceinture qu’il vient lentement sangler. Il inhale la distillerie. Le nouveau parfum de sa tristesse. Et c’est peut-être pour ça que ça le débecte. « Quand on rentre, je peux te donner le biberon, si tu veux. », il retrouve sa place et démarre enfin. Il se départi d’un dernier petit rire quand il quitte le parking. Il l’a repris, son sérieux. « Ecoutes, je m’en fiche. Appelle moi, même, maman, si tu veux. Tant que tu continue à me réclamer quand t’as besoin de moi. », comme ce soir. Il ne veut toujours pas imaginer d’alternative à cette soirée. Il est essentiel qu’il le sache qu’il sera là pour lui autant de temps qu’il le pourra. Et peut-être que c’est ce qu’il pourrait lui faire de plus cruel. L’habituer à sa présence, comme s’ils l’avaient, l’éternité. Ses épaules se secoue à nouveau, cette fois, il glousse sans joie. « J’étais en train de d’attendre, tu sais. J’ai même  pris le temps d’emballer ton dîner. », merde, et il le réalise à haute voix. « Peut-être que j’me prend vraiment pour ta mère. », et ça, peut-être que là, ça devient problématique. Et il fini bien par se garer. A présent qu’ils sont arrivés. Pour venir appuyer ses mots, il a pris le soin de détacher sa ceinture. « Mais qu’est-ce qu’on en a à faire des relations saines ? », un rictus au coin de ses lèvres, sur ses épaules rebondissent sa désinvolture et sa nonchalance.

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Message par Popeye A. Sörvik Jeu 7 Jan - 23:08

Maybe i'm a little drunk

Kai c'est une valeur sûre, il peut toujours conter sur lui. En tout cas il ne se rappelle pas avoir été un jour déçu quand il a eu besoin de lui. Il fait probablement un bien piètre exemple à côté de lui. Après tout, si Kai avait été dans la merde actuellement il n'aurait pas été dans un super état pour venir lui porter secours. Il aurait tout de même essayé soyons clair mais aucune réussite de garantis. Il espère quand même que le brun ne se prive pas histoire de pouvoir le surveiller correctement tant qu'il ne va pas mieux. Bon il l'accompagne assez régulièrement dernièrement donc il se prend des cuites aussi mais le reste du temps ? Il se demande. Et si ? Ouais, un boulet, c'est ce qu'il est depuis deux trois semaines. « Le fait est, tu te retrouves avec nul autre compagnie que la mienne. Et moi, je ne donne pas dans les méchants garçons. » Sa tête se penche en avant et ses sourcils se hausse mais il ne le lâche pas du regard, un léger sourire aux coins des lèvres. "Espèce de gros mytho va" ça va il le connait son esprit tordu et son attirance pour ce qui n'a rien de sage. Il est même bien placé pour le savoir "Mais si tu veux j'peux nous trouver de la compagnie à l'un comme à l'autre en dix minutes chrono !" il a pris ça comme un défis le con. En plus il surestime probablement un peu trop ses capacités "J'peux te trouver un p'tit rat de bibliothèque pompette vu que c'est ton délire" il ne peut retenir un léger rire, encore. « T’abuses, t’aurais au moins pu me payer un verre. » ouais, c'est ce qu'il s'est dit aussi en captant qu'il n'avait plus rien dans sa poche. Il aurait carrément pu oui. Il aurait peut-être même dû quelque part. Il lui tapote l'épaule "T'en fais pas, je t'en payerai un quand on sera à la maison, avec ton alcool, promis" comment ça ça fonctionne pas ? Bon ils allaient commencer par rentrer, il improviserait au moment voulu. S'il ne marche pas super droit ça aurait quand même pu être pire. Mais il est bien mieux une fois son cul cale dans le siège. Il le remercie d'un geste de la tête pour la clope. Il ne sait pas ce qu'il a foutu des siennes. Il était persuadé qu'il lui en restait mais peut-être bien qu'il a fini le paquet dans la journée. Ou bien qu'on lui a chourré. Mais il n'avait plus rien pour fumer ce soir. « Oh dear lord, j’arrive pas à croire que t’as osé. Holy shit… » rire silencieux qui fait trembler son ventre à son rythme "T'as oublié à qui tu parlais" c'est pas si surprenant que ça venant de lui non ? Bien sûr qu'il a osé cette connerie ! Il aurait regretté s'il ne l'avait pas faite. Il le voit levé au ciel, mais il est sincère quand il lui dit qu'il n'est pas obligé de toujours volé à sa rescousse. Pour autant il doute qu'il ne le fasse pas un jour. Suffis de le voir à aller jusqu'à lui attacher sa ceinture de sécurité. Pire qu'une maman, une maman poule. Mais c'est mignon quelque part. Et puis, il lui en est reconnaissant. Ses sœurs aussi y'a des chances. « Quand on rentre, je peux te donner le biberon, si tu veux. » oh really. C'est l'alcool qui rend son esprit plus tordu ou bien Kai ne s'est réellement pas douté de ce que ça pouvait sous entendre ? Noon il l'a fait exprès c'est obligé. C'est original ceci dit. Sucer son biberon. C'est bien la première fois qu'il l'entend celle la "T'as du lait à évacuer ?" bien évidemment qu'il se devait de rebondir dessus. Mais bien vite il doit se concentrer sur la route pour s'éviter quelques nausées. « Ecoutes, je m’en fiche. Appelle moi, même, maman, si tu veux. Tant que tu continue à me réclamer quand t’as besoin de moi. » et il le détache tout de même de la route son regard, pour le poser sur l'ami-maman. Il est sérieux cette fois ci. Bon sang il doit vraiment lui faire vivre un enfer s'il s'inquiète autant « J’étais en train de d’attendre, tu sais. J’ai même  pris le temps d’emballer ton dîner. » Quoi ? Il lui a préparé le dîné, lui a emballé et l'a attendu ? Mais il aurait pu ne rentrer qu'à cinq heure du mat ! Il l'aurait attendu jusque la ? Ou peut-être qu'il se serait endormi dans le canapé. Mais pourquoi est ce qu'il fait ça ? Il va réellement finir par culpabiliser la « Peut-être que j’me prend vraiment pour ta mère. » un léger souffle s'extirpe de ses narines. On dirait bien ouais. Il capte qu'ils sont arrivés seulement au moment où il lui détache sa ceinture « Mais qu’est-ce qu’on en a à faire des relations saines ? » il dit ça rapport à la maman et le biberon ? "J'm'en branle la nouille de ce qu'est pas sain mais j'suis pas un enfant tu sais" l'effort lui parait bien pire qu'il ne l'est réellement mais il arrive à s'extirper de la voiture. Il tire sur sa clope qu'il a presque oublié avoir entre les doigts et glisse son autre main en marchant jusqu'à l'entrée "J'suis un adulte, si j'fais des conneries je les assumerai comme un grand garçon" Il a tout de même encore ses clés, c'est déjà ça. Il ouvre et se rend jusqu'à leur duplex. Enfin à la maison. Il pue à mort. Une douche ne lui fera pas de mal, s'il ne s'effondre pas avant. Mais savoir qu'il a une assiette de prête le fait se diriger vers la cuisine dans un premier temps "Déjà que tu m'offres un toit contre un loyer de misère" cent balle. Juste histoire de dire. Il le sait bien. Il sait aussi que s'il n'avait pas insisté il aurait été foutu de l'héberger gratuitement. Il ouvre le frigo et ses yeux divaguent sur ce qui s'y trouve "Ca fait grave plaisir d'avoir.." il sort l'assiette dont il lui a parlé et la lève dans le but de lui montrer "..une assiette déjà toute prête quand je rentre. C'est cool j'ai juste à poser mon cul de princesse et à bouffer. Mais faut que t'arrête de faire tout ça pour moi" il lance le micro-onde, l'assiette à l'intérieur et se tourne vers lui en haussant les épaules "Tu peux pas penser tout le temps pour moi, préparer pour moi ce que je ne prépare pas, m'attendre, tout ça... Penses à toi un p'tit peu Kai" s'il se met à l'attendre à chaque fois en ce moment, il ne va pas beaucoup dormir. Dès que le micro-onde sonne il reprend l'assiette qu'il pose sur le plan de travail, se choppe des couvert et l'entame, penché en avant, appuyé sur ses avant-bras contre l'îlot. "Putain ch'est bon par contre !" et ça fait du bien de bouffer. Un bien fou. Il finit sa bouchée et repose ses yeux sur lui en soupirant "J'sais que je t'ai beaucoup sollicité ces derniers temps, j'suis désolé, c'est un peu ma faute tout ça"
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Message par Invité Jeu 14 Jan - 16:01
I'm giving you a night call to tell you how I feel. I'm gonna drive you through the night, down the hills...

"Espèce de gros mytho va" Il se marre, Kai. Il ne peut le nier qu’il a menti et il n’a nullement prévu de rectifier le tir. A quoi bon, quand c’est Poppy qui lui fait face ? Sur cette terre, il est probablement cette personne qui pourrait se vanter de véritablement le connaître. Entièrement, totalement, intégralement. Presque. Il a quelques ombres qui ne se traduisent sur son cœur. Ces spectres qui ne hantent que lui. Ceux, qu’ils se réserve de porter seul. Les deux années qui se sont écoulés leurs a offert, malgré l’immense espace de leur appartement, une meilleure proximité, une chaleureuse amitié. Ils se connaissaient déjà avant, depuis peut-être une bonne décennie. Mais Poppy n’a pas toujours été son ami à lui. Il n’y a pas un jour qui passe sans qu’il ne le regarde pour se rappeler ce qu’ils ont tous les deux perdus. Cet autre parti d’eux qu’ils ne retrouvent aujourd’hui que chez l’autre. Sa présence peut-être autant bénéfique qu’il s’avère être un supplice. Mais il l’a, la tendresse de son cœur. Il l’a sa loyauté et sa fraternité. Avec lui, il a appris à le partager son intimité. Auprès de lui, il est avec sa famille. Celle qu’il se choisi, celle qui le choisi. Et Poppy les connaît. Ces quelques mystères qu’il n’a jamais eu besoin de lui cacher. Poppy les connait ses travers, ses déviances. Ses envies, ses préférences. Il l’admet toutefois qu’il connaît, peut-être bien une autre personne qui pourrait l’évaluer sur le sujet qu’inspirent la succession de ces mots. Peut-être qu’il ne pourrait être plus pathétique qu’à cet instant. L’instant où, il se demande si ça compte réellement s’il paie cette personne pour l’apprendre par cœur. Probablement, pas. "Mais si tu veux j'peux nous trouver de la compagnie à l'un comme à l'autre en dix minutes chrono !" S’il ne rebondit, c’est parce qu’il espère que l’idée finira par le lasser. Ce soir, de toute manière, il a désiré nul autre compagnie que la sienne. "J'peux te trouver un p'tit rat de bibliothèque pompette vu que c'est ton délire" Cette fois-ci, c’est son tour à lui de sourire en coin de lèvres. Petit rat de bibliothèque pompette, ça lui ressemble étrangement. Ce soir comme beaucoup d’autres soir, indéniablement, il a conscience que c’est ce qu’il inspire. Il n’a pas la carrure d’un mauvais garçon. Et ne l’aura sans doute jamais, il a mieux eu fait de l’accepter. Il a un jour pensé que s'il arrêtait de manger, il pourrait disparaître. Il a espéré être de cette légèreté qui élève jusqu'au cieux. Jusqu'à ce soleil qui lui brûlerait ses ailes. Bien avant ça, le souvenir de ces caresses sur ce corps qu'il a, un jour, trouvé désirable. Poppy. Du moins, entre ses mains, il fut si aisé de l’être. « Hmm, je te le laisse, j’sais bien qu’ils ne t'ont pas toujours laissés indifférent. », il accompagne ses mots d’un clin d’œil. Son espièglerie visible au creux de ses pupilles brillantes. Un éclat qui traverse seulement un instant ses prunelles, en miroir à la mélancolie de son ami. Le rouquin est sorti ce matin pour accompagner Soraya et il devine, qu’il n’a fait que s’abimer après ça. S’il comprend Malakai, il peut uniquement lui reprocher d’avoir mené l’expérience seul. "T'en fais pas, je t'en payerai un quand on sera à la maison, avec ton alcool, promis" L’arnaque, il a levé les yeux au ciel, le gamin. Haussant les épaules, le sourire en coin. Parce que ça lui convient. La bouteille repose encore à côté de son verre sur la queue de son piano. Ils ne feront Je reprendre la soirée, là, où ils l’ont tous deux laissés. « Ne m’oublie pas, cette fois. », à ses lèvres de murmurer sa plus grande crainte… Son sérieux s’effrite, vol en éclat contre les fragments de son hilarité. Et il l’en remercie, de l’éloigner des rives de sa mélancolie. Même s’il passe sa figure sous sa main. Sous cette honte qu’il feint à s’esclaffer aussi simplement. Parce que Poppy fait de lui le Frodon qui escortera son anneau unique jusqu’à son lit. La perspective où Son précieux serait l’antre de chaire de son chère colocataire lui donne étrangement envie de jouer avec le feu du destin. "T'as oublié à qui tu parlais", vrai. Mais sera-t-il jamais au bout de ses peines quand la connerie de son ami ne connaît sans nul doute aucune limite ? Si, la sienne n’est pas en reste, celle du rouquin l’emporte peut-être haut la main. "T'as du lait à évacuer ?" Du lait… à évacuer… lui, ne parle pas de la bouteille qu’il leur a préalablement ouvert. Sous cet angle, il est difficile de ne pas comprendre à quoi est-ce que Poppy fait référence. Sa subtilité crue. Ses sourcils se sont haussés, comme si ça le surprenait. Et ce n’est pas seulement lui, il semblerait qu’Elles ont raison quand elles disent qu’Ils ne pensent qu’à ça. Aussi décevant que ça l’est pour lui de le constater. Vrai, qu’il n’a pas véritablement évacuer depuis quelques temps… Il se garde de le préciser ou de l’affirmer. Il s’accoude sur son Silence, sur un fond de radio classique prenant le volant.

Sur le retour, sa langue se délie et ils finissent bien par arriver. La réalisation cuisante qu’il a, effectivement, pris soin ces dernière semaines à abriter son ami sous son aile. L’euphémisme, peut-être, pour dire qu’il l’a couvé. Comme une mère poule. Si ce n’est probablement sain pour aucun d’eux. Malakai n’envisage une alternative à ses actions. S’il devait le refaire, il le referait. Et il ne compte certainement pas s’arrêter. "J'm'en branle la nouille de ce qu'est pas sain mais j'suis pas un enfant tu sais" Un grand garçon. Il sait, au moins, à présent qu’il se l’ai répété toute la journée que ce fait n’y change rien. Le moteur cesse de ronronner et il fait son chemin hors de l’habitacle. Le soin de fermer ses rétroviseurs et de verrouiller, pris, avant que ses grandes jambes rejoignent les pas du rouquin. "J'suis un adulte, si j'fais des conneries je les assumerai comme un grand garçon" Un grand garçon, encore une fois, toujours rien. Il s’extirpe de son manteau qu’il accroche sans un pli. Et de la cuisine, il peut encore l’entendre, Poppy.  "Déjà que tu m'offres un toit contre un loyer de misère" Bla,bla, bla…Qui n’en a pas fini. Lui, il s’est retiré vers la salle d’eau. La trousse de secours, sous le bras. Par le salon, il récupère son verre, ainsi que la bouteille. Quand il le rejoint enfin, il sourit de constater qu’il semble avoir trouver la part de lasagne qu’il lui avait réservé. Le micro-onde en marche, lui, il s’est débarrassé les mains sur l’îlot central. Du placard, il a joint un verre au sien qu’il abreuve généreusement. "Tu peux pas penser tout le temps pour moi, préparer pour moi ce que je ne prépare pas, m'attendre, tout ça... " Si, il le peut. Et il continuera de le faire aussi longtemps qu’il le faudra. C’est sans remord ou culpabilité, aucune, qu’il soutient son regard.  "Penses à toi un p'tit peu Kai", Penser à lui… il ne voit pas le rapport. Le froncement de ses sourcils le souligne. Il ne voit pas pourquoi est-ce que les deux seraient dissociable. Le fait est qu’il a renoncé à des certains projets et repousser quelques plans dans le seul but de rester auprès de Poppy. De l’épauler, à chaque instant, son ami. La réalité est criante de vérité. Le fait est qu’il s’est véritablement délaissé au profit de son meilleur ami. Mais ce temps dont il se départie, aussi précieux soit-il, ne l’est peut-être pas autant que Lui. Le micro-onde cri et ainsi, il se dérobe pour détacher deux feuilles de sopalin. Il sourit. « Bien que j’aimerais m’en attribuer le mérite, c’est au povar Anna que tu dois ce délice. », sa langue articule, chef, en russe. Et de ce sourire, il ne s’en départi. Ses prunelles se régalent seulement de le voir apprécier ces maigres forces qu’il s’accorde. Mais il finit bien par le regarder, un soupire hors des lèvres. Les sourcils froncés, c’est à son tour de soupirer. Il n’a certainement pas à s’excuser et c’est encore moins à lui de porter la faute de quoique ce soit. Il tend doucement le sopalin pour départir de sa joue, la sauce tomate qu’il y a laissé s’étaler. Il repose le papier sur la table pour lui prendre le visage entre ses mains. « Maintenant, écoutes-moi bien. Je suis un grand garçon, aussi. Et tu n’y ai pour rien si je choisi de penser à toi jour et nuit. », il a seulement haussé les épaules quand il l’a relâché pour rapprocher d’eux, leurs potions. « Ce serait pas la première fois que tu m’obsèdes. », ses épaules, cette fois, tremble son hilarité. Il est derrière lui, le temps où il en a rougi. Le temps où il pensait qu’Harvey s’en était senti trahi. Derrière lui… Ses doigts font le tour de sa fourchette, il réuni une bouchée qu’il fait voler jusqu’à ses lèvres, où il patiente. Ses prunelles au fond des siennes. « open your mouth for mommy. », qu’y aurait-il de si mal qu’il le sollicite aussi souvent ?

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Message par Popeye A. Sörvik Jeu 14 Jan - 20:48

Maybe i'm a little drunk

« Hmm, je te le laisse, j’sais bien qu’ils ne t'ont pas toujours laissés indifférent. » aaah l'enfoiré ! Il l'a pas volé. "Bien vu Sherlock !" dire le contraire serait probablement aussi crédible que de l'entendre dire que les mauvais garçons n'étaient pas son style. Ils sont tout les deux suffisamment bien placés pour savoir par quoi l'autre peut être attiré. Son regard dévie d'ailleurs sans gêne sur le corps du brun à ce rappel de l'époque où il ne l'a pas parcourus qu'avec ses yeux. Ca lui fait du bien qu'il soit la. Qu'ils plaisantent ensemble. Ca le distrait, l'éloigne de ces tourments qui profitent de chaque moment de silence pour le hanter. « Ne m’oublie pas, cette fois. » quoi comment ça cette fois ? Il parle du fait qu'il n'ai pas gardé l'argent pour lui payer un verre ou bien du fait d'être sortis sans lui ? Il est quand même pas déçu parce qu'il est allé boire seul ? Oh non il va faire comme si ça n'était pas le cas. Il a pas la force de partir dans cette discussion maintenant, et puis peut-être qu'il se fait des films en plus. Au pire ils en parleront plus tard. La il préfère rester dans la plaisanterie, c'est léger, c'est agréable et d'ailleurs le rire leur revient rapidement à tout les deux. Permettant à ce petit doute de s'envoler avec les autres tracas. Il se contente de sourire quand il le voit hausser les sourcils. Pourquoi ne répond-il pas ? Il n'y croit pas à cette surprise feinte par le bouclé. Il se contente de vanner de toute façon, il ne parle pas sérieusement. Quoi que.. ça l'amuse de se dire qu'en fait ça pourrait tout aussi bien devenir sérieux que ça ne le gênerait pas le moins du monde. Après tout, ils ont déjà couché ensemble, même si ça fait un moment. Il en garde de bon souvenirs, suffisamment bons pour ne pas se promettre de ne plus recommencer, que leur relation ai changé ou non aujourd'hui. Ce qui est le cas. Ils se connaissent de façon bien différente qu'à l'époque. Plus intime malgré le fait qu'ils ne couchent plus ensemble. C'est peut-être un peu chelou en sachant qu'il le voit un peu comme un frère à présent, voir comme une mère en fait dernièrement. En parlant de ça il commence à s'étaler sur le sujet le roux, tout en envahissant l'espace cuisine pour se rassasier. C'est vrai il ne peut que le constater un peu plus ce soir. Il a prévu une assiette pour lui, il a voulu attendre pour être sûr qu'il aille bien. Qui fait ça ? En dehors des partenaires de couples ou des parents ? Malgré les drames il lui reste encore de la famille pour flipper pour lui. Si Kai s'y met aussi ça va juste lui pourrir la vie. Puis lui il va finir par s'en vouloir de l'inquiéter. Sauf qu'il a pas envie de ce privé de ces soirées qui lui permettent de se vider la tête. Il est pas encore prêt. Son regard dévie sur ce qu'il pose sur l'îlot. Une bouteille et un verre, ça ça lui plait ! Mais, une trousse de secours ? Pourquoi faire ? Il arque un sourcil "Tu t'es blessé ?" oubliant totalement son propre visage abimé. Le regard ancré dans le sien il a comme l'impression qu'il s'en branle bien de ce qu'il lui dit, du moins jusqu'à ce que ses sourcils se froncent comme s'il avait dit quelque chose de bizarre. Mais pour lui ce qu'il lui dit est parfaitement logique. Il récupère l'assiette qu'il lui a gardé de côté dès qu'elle est chaude et s'installe. Enfin si on peut appeler ça s'installer mais il est confortable comme ça. « Bien que j’aimerais m’en attribuer le mérite, c’est au povar Anna que tu dois ce délice. » c'est à son tour de froncer les sourcils. Qu'est ce qu'il lui raconte ? "J'sais pas ce que c'est le povarana" bref il s'en fout bien de l'ingrédient mystère qu'il a pu rajouter pour rendre ça délicieux. Il le remercie simplement. Et pas que d'ailleurs. Il s'excuse aussi. Parce qu'il sait qu'il n'y est pas pour rien si Kai en est arrivé à tenir ce rôle. Il l'a laissé le tenir, encore ce soit il l'a appelé pour venir le chercher. Il l'a laissé le chouchouter parce que ça l'arrangeait bien et que c'était agréable d'avoir quelqu'un sur qui compter en toute circonstance. Mais il s'en rend bien compte maintenant qu'il a abusé et qu'il lui a foutu son poids sur les épaules. Sur ces si frêles épaules qui pourtant soutiennent beaucoup plus que les siennes en ce moment. Il a un léger mouvement de recule, Poppy, quand il voit sa main si proche de son visage avec ce sopalin avant de comprendre ce qu'il fait. Cette fois ci dans son regard on peut clairement y lire son "sérieusement ?" oui, sérieusement ? Il en est à ce point la dans l'investissement maternel ? A lui essuyer la bouche quand il se goinfre comme un goret ? En revanche il ne bouge pas d'un pouce quand Kai prend son visage entre ses mains « Maintenant, écoutes-moi bien. Je suis un grand garçon, aussi. Et tu n’y ai pour rien si je choisi de penser à toi jour et nuit. » c'est pas possible il doit vraiment avoir l'esprit très tordue mais ça sonne vraiment ambiguë la dans sa tête. Dans tout les cas c'est faux, il y est pour quelque chose. « Ce serait pas la première fois que tu m’obsèdes. » cette fois ci ses traits se détendent, il ne peut qu'en rire. "C'est vrai que c'était devenue une foutue obsession" mais ça ne l'a pas vraiment dérangé malgré la surprise d'apprendre qu'il l'avait maté en train de sucer avant de fantasmer sur lui pendant huit putain de mois. Il lui choppe son verre avant qu'il ne le prenne et le lève devant lui "Je t'avais dis, c'est moi qui offre" cadeau ! D'accord d'accord il est peut-être un peu dans l'abus. Enfin, peut-être pas autant que lui quand il vient lui donner à béquer, finalement. "T'aurais au moins pu faire l'avion" mais il l'a prend sa bouchée. Ouvre la bouche pour refermer ses lèvres sur la fourchette et ne la libérer que parfaitement propre sans le lâcher une seconde du regard. Il reprend la fourchette pour la reposer avant de boire une gorgée de son verre et bordel, ça aussi c'est bon ! Mais il ne s'y attarde pas vraiment, se redressant pour venir se mettre derrière le brun. Ses bras s'avançant de part et d'autre de lui pour que ses mains s'appuient contre le rebord de l'îlot. Il avance sa tête au dessus de son épaule, son nez venant caresser la courbe externe de son oreille "Alors comme ça tu choisis de penser à moi jour et nuit.. ?" murmure chaud qui fend ses lèvres d'un sourire. Son bassin il vient le presser contre ses fesses. Peut-être que c'est l'alcool qui le fait s'enflammer aussi vite mais il bande. Lentement, paupières closes, il inspire, respire la naissance de ses cheveux "Si tu veux ce soir c'est moi qui m'occupe de toi" s'il en a envie oui, bien sûr. Mais ce soit il a les idées un peu troubles, il a du mal à distinguer la limite entre leurs taquineries amicales et le flirt.
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Message par Invité Jeu 14 Jan - 23:52
I'm giving you a night call to tell you how I feel. I'm gonna drive you through the night, down the hills...

"C'est vrai que c'était devenue une foutue obsession" Il l’était peut-être devenu. Le recul des années fait qu’il ne peut vraisemblablement le nier. Il faut dire qu’il n’a plus cherché à le cacher depuis bien longtemps. Sa foutue obsession. Huit longs mois fut assez long pour une vie. Il l’a conservé, le souvenir de leurs corps lié, étroitement entremêlé. Dans cet album où il entrepose ces choses qu’il n’a le souhait d’oublier. Ces précieux gemmes qu’il aimerait pouvoir, avec lui, emporté. Quand il s’en irait, quand il s’envolerait. Là, où, il ne saurait même plus l’épeler son propre nom. Là, haut, illuminant le firmament, finalement insouciant. Tel le lâche, qu’il est. La vérité, c’est qu’il a peut-être plus besoin de Poppy qu’il n’aura jamais besoin de lui. Chaque jour, il l’observe être plus fort que lui ne sera jamais. Et il ne sait quoi en penser, Malakai. Parfois, quand il s’allonge dans son lit. Après qu’il l’y eu déposé dans le sien. Qu’il ne ferme l’œil de la nuit. Qu’il se retourne et se tourne à la recherche Morphée. Les cernes aussi sombres que ces partitions qu’il noirci pour s’alléger de ses soucis. A la poursuite de ces pensées qui n’en finissent. Parfois quand il s’allonge dans son lit, il lui arrive si souvent de penser à Lui. Poppy. La crinière coquelicot, les prunelles rougis de perles salines. Frappé par cette tragédie qui l’a détruit. Le myocarde en éclat, pour ces pétales qui se sont fané. Les prunelles jamais loin de lui, le cœur au bord du néant. Le souffle immolant ses poumons. Il nourri seulement l’espoir de le voir se relever. Hypocritement, là, où, lui-même s’est laissé enterrer. Et le soir, il s’allonge dans son lit, la nuit, quand véritablement, il pense à Lui. Il n’a pas menti. Jour et nuit. Quand il y pense, il se demande s’il pourrait s’en aller en sachant qu’il ne sera plus là, la prochaine fois qu’il devra se relever. Il se demande s’il pourrait délibérément lui refaire subir ça. Mais qu’est-ce qu’il ferait d’une vie, s’il doit mourir dans tous les cas ? Sa foutue obsession, l’a un soir guidé, là, où il n’avait pas le droit d’aller. Entre ses mains, elle a reprit naissance. Cette partie de lui qu’on l’avait sommet de sacrifié. Quand il s’allonge, la nuit, quand il ne peut taire son esprit. Il se le demande s’il le pourrait, continuer à exister, ici. Mais il le sait, que tôt ou tard, viendra le moment où Popeye la reprendra le cours de sa vie. Il avancera chaque jour, plus brave que la précédente. Parce qu’il l’est, n’est-ce pas, plus fort que lui ne sera jamais. "Je t'avais dis, c'est moi qui offre" Alors il lui sourit, « Tu me gâtes bien trop. », lui prend de sa main libre le verre qu’il a tout de suite reposé pour déplier la grâce de son bras pour faire papillonner la bouchée de lasagne jusqu’à ses lèvres. Un geste lu et visionner, uniquement à travers la fiction d’un roman ou d’un long-métrage. "T'aurais au moins pu faire l'avion" Sa lèvre se plie, peut-être qu’il peut lui accorder le point pour sa bonne volonté. Il a réellement essayé ! Mais il ouvre la bouche, Poppy. For Mommy. La bouche entrouverte, il la regarde la fourchette disparaître entre ses lèvres. Ces lèvres qui ont hantés tant de ses rêves. Qu’y aurait-il de si mal qu’il le sollicite aussi souvent ? Le couvert reflète la lumière quand sa chaude bouche le libère. Et quand il le regarde, ce souvenir, il peut le voir danser dans son esprit. L’étincelle de cette flamme qui les a un jour immolés. Celle qui s’est pourtant éteinte, il y a si longtemps. Le feu s’était déclaré et en trois jours avaient tout emporté. Trois jours, c’est tout ce qu’ils avaient eu. Trois jours, jusqu’à aujourd’hui, ça leur avait suffi. Il lui laisse prendre la fourchette de sa main. Accaparé par ses iris, il ne songe à opposer aucune résistance. Le contact rompu, il s’est lui aussi emparé de son verre. Il ne se contente d’une unique gorgée, lui, c’est la moitié de sa quantité qu’il vide dans son gosier. Il grimace, les paupières closes. Un regard, un seul… « Poppy… ? », il peut le sentir l’envahir son espace. La chaleur de son souffle sur sa peau hérisse sa peau. Le corps au bord des lèvres, le crépitement au creux des reins. Emprisonné entre ses mains, ses hanches creusent l’îlot de bois. Sa fragrance l’envahi pour lui filer le tournis. Il frémit en sentant la pointe de son nasale dessiner l’arabesque de son oreille. Il n’a pas bougé, good lord, il n’ose même plus respirer. "Alors comme ça tu choisis de penser à moi jour et nuit.. ?"  Son timbre vibre contre son tympan. Jour et nuit, sa foutue obsession… Qu’y aurait-il de si mal qu’il le sollicite aussi souvent ? Qu’y a-t-il de mal là-dedans ? Ses mains viennent agripper, elles aussi, le bord de bois. Prisonnier contre le corps de Poppy. Il remarque à quel point est-ce qu’il est toujours aussi large autour de lui. Ils ne sont plus ces enfants et pourtant, quand il fond ainsi contre lui. Il n’y a rien de bien différent. Large… comme ce qu’il est venu aplatir contre ses lunes. Le souffle lui échappe. Peut-être trop bruyamment. Il blâme sa surprise quand ses prunelles roulent vers leurs orbites. "Si tu veux ce soir c'est moi qui m'occupe de toi" Non, non, non… peut-être qu’à cet instant, il y a bien des choses dont il devrait se rappeler. A comment par les raisons pour lesquelles ils n’ont en sept ans opté pour ne jamais renouveler cette expérience. En partie, parce qu’il n’en a plus ressenti l’envie. En partie, parce qu’ils n’auraient fait que compliquer cette cohabitation. Parce qu’ils auraient peut-être compromis leur si particulière amitié. Mais principalement, parce qu’il ne sait plus vraiment… « Dear lord… please, help me… », il le sait, pourtant, qu’il a bu. Mais quand, entre ses bras, il se retourne pour lui faire face. Pour laisser leurs queues se bécoter, raides sous leurs jeans. Ses prunelles s’élargissent, disparaissent. « Jour et nuit… », il murmure. Jamais ainsi. Pourtant à cet instant, ça lui semble bien qu’évident. Leurs souffles se sont emmêlés et son cœur… peut-être qu’il peut l’sentir cogner. S’il le veut… s’il le veut ? Ses mains, jusqu’alors toujours dans son dos rejoignent les siennes, qu’ils remontent doucement. « Fais-le. », il articule doucement. Ses mains glissent contre son cuir chevelu. Il les décolle ses racines quand il l’attire son visage jusqu’au sien. Peut-être que son cœur va exploser, peut-être qu’il l’a déjà fait. «Fais-le… », peut-être qu’il supplie. Sa foutue obsession...

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Popeye A. Sörvik
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Message par Popeye A. Sörvik Ven 15 Jan - 2:28

Maybe i'm a little drunk

« Tu me gâtes bien trop. » si ironique qu'il ne peut retenir un petit rire "Bien sûr, on le sait tout les deux que c'est moi qui t'entretient" Lui. Lui qui vis quasiment à son crochet. Lui qui paye à peine sa chambre pour profiter de tout le duplex. Lui qui l'appelle dès qu'il a besoin dernièrement. Lui qui lui offre un verre de son propre alcool. Bien sûr qu'il le gâte. Quel cadeau il fait. Boulet à ses pieds qu'il semble pourtant ravis de trainer. C'est réellement ce qu'il est, surtout en ce moment. Il ne se fait pas d'illusion. Il s'en rend encore plus compte ce soir. Une évidence qu'il a sous les yeux. Les yeux qu'il a plus ou moins gardé fermés jusqu'à maintenant. Quel piètre ami il fait à ne se soucier que de lui même. A faire de lui sa parfaite petite maman. A deux doigts de lui faire l'avion pour qu'il mange. Et il la mange, cette fourchetée qui sagement attend devant ses lèvres. Peut-être qu'il est un peu trop ivre et peut-être qu'il capte des signaux qui n'en sont pas. Peut-être bien qu'il est le seul à flirter. Si c'est le cas il ira se coucher sans faire d'histoire. Mais pour l'instant il se permet, il ose ainsi venir se glisser dans son dos tel un prédateur affamé attiré par l'odeur de sa proie « Poppy… ? » Hm oui, c'est bien lui, il peut le dire encore, il aime ça. Comme il aime sentir la pression de ses deux fesses qu'il creuse de son sexe déjà raide. Malgré la barrière des fringues qu'ils portent encore. Il peut le sentir, ce petit cul qu'il a autrefois défloré. Pour le coup, même l'esprit embourbé il s'en souvient encore parfaitement de ça. Il se souvient à quel point il était serré autour de sa queue et se mord la lèvre. Lèvres qui s'étirent doucement quand le brun se tourne face à lui et que ça n'est plus ses lunes qu'il sent. De toute évidence il ne s'est pas complètement trompé. Il n'est pas le seul à être excité dans cette pièce, et à dernière nouvelle ils ne sont que deux. « Jour et nuit… » il expire lentement par le nez. C'est fou l'effet que ça lui fait dès qu'il occulte le fait que c'était pour s'inquiéter qu'il pensait à lui. Parce que l'autre option lui fait lever la queue. Parce que ça lui a toujours plu de l'imaginer penser à lui quand il est seul. Dans son lit. Pendant qu'il se touche. Y'a-t-il quelque chose qui l'excite plus que de savoir qu'on fantasme sur lui ? Alors il se l'imagine, même si ça n'est qu'une demi vérité arrangée. Jours et nuits. Il pense à lui. Alors que ses yeux refusent de dévier de son visage, alternant entre les prunelles noires et ses lèvres roses, il sent les mains du brun parcourir sa peau, remonter ses bras. « Fais-le. » Même s'il ne doutait plus vraiment, il l'a enfin cette confirmation de ne pas être seul dans son délire. Il lui arrache un frisson quand ses doigts envahissent ses cheveux. Le visage encore plus proche du sien, lèvres entrouvertes « Fais-le... » il bande plus fort. Ses mains descendent agripper ses fesses et le serrer un peu plus contre lui alors qu'il effleure ses lèvres "Compte sur moi" un murmure "J'vais m'occuper de toi.." c'est à son tour. Il va bien s'occuper de lui. Sa main remonte sur sa fine gorge qu'il fait attention à ne pas trop serrer et il s'empare de ses lèvres. Ca faisait longtemps. Contre celles ci il soupire cette frénésie qui en lui grimpe. Mais sa gorge il l'a lâche bien vite pour aller défaire le jean du bouclé. Il tente de calmer un peu son impatience, de ne pas trop se précipiter. Il a l'envie de le prendre sans ménagement, serré contre lui, leurs soupires s'entremêlant. Mais il a dit qu'il s'occuperait de lui, pas juste qu'il le baiserait brutalement. Il le baisse son froc avant de glisser ses mains sous ses cuisses et de le soulever pour l'asseoir sur l'îlot. Jambes décollées du sol il peut ainsi lui retirer son pantalon. Les verres envoyés plus loin, l'assiette également il revient s'accaparer ses lèvres. Comme affamé. Sa main remonte le long de son torse, retroussant le tissus de son tee-shirt avec son poignet, son autre mains dans ses cheveux il appuie sur son torse pour l'incliner vers l'arrière jusqu'à ce qu'il soit allongé et qu'il retire sa main de sous sa tête. Il se penche, embrassant sa peau de porcelaine, attardant sa langue sur l'un de ses tétons. Machinalement il défait son propre pantalon, se sentant trop à l'étroit. Ses lèvres elles, continuent à descendre alors que son excitations, elle, ne fait que monter. Cette flamme enfiévrant son corps de l'intérieur. Arrivé au niveau de son sexe il glisse une main sur ses boules, les caressant, et remonte sa langue jusqu'à son gland. Il le regarde, le démon de la luxure enfermé sous ses pupilles. "Tu veux me baiser ou... ?" il glisse sa bite entre sa joue et ses dents, lentement, pour ne pas créer de frottement désagréable, puis suce doucement son gland. "Ou bien tu veux que.." l'un de ses doigts vient appuyer contre son anneau à lui, son précieux. Un léger sourire aux lèvres "Que j'te prenne sauvagement" attendant sa réponse, sa langue patiente sur la longueur de ses veines.
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