- Kara I. WilliamsThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : lisaatx
Messages : 250
Points : 124
Faceclaim : Alexandra Park
Crédits : Brenda (signature); littlewildling-rpg (vava)
Date d'inscription : 31/10/2020
Âge : 27 printemps
Situation financière : Budget très serré, souvent à découvert
Situation amoureuse : Célibataire bléssée, ne souhaite faire entrer personne dans sa vie
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Habitation : Appartement N°12 à Anacostia
Emploi/études : Vendeuse chez Sephora, prend des cours de management et envisage de se lancer sur les réseaux sociaux
Multicomptes : Un avocat trentenaire du doux nom de Connor :
Rps en cours : En cours : River #1 | Nora #1 | Cole #1 | Nicholas #1
A venir : Elijah #2 | Elena #1 [ Léo #2
Terminés : Léo #1 | Joakim | Charlie #1 | Elijah #1 | TC event
Don't become a stranger !
Léo & Kara
Ne pas s’énerver, rester calme, inspirer profondément, expirer longuement. Cela faisait vingt minutes que mon service était terminé et pourtant ma dernière cliente, arrivée une heure et demie plus tôt ne semblait toujours pas décidée à passer en caisse. On pourrait croire que ce genre de personne est une bénédiction pour nous, car après autant de temps dans un magasin, il est presque certain qu’elle ne repartira pas les mains vides et le portefeuille plein. Mais la vérité était que cette charmante quadragénaire venait d’essayer la quasi-totalité des correcteurs vendus dans la boutique et qu’elle n’était toujours pas convaincue que ce produit fût fait pour elle. Alors après tous ces efforts, ces sourires et ces conseils, recevoir un simple « Je vais y réfléchir ! » n’est pas forcément la fin que j’avais espérer pour ma journée. Résultat, quelques minutes plus tard, après avoir salué mes collègues, je fus tentée de rentrer directement chez moi, de retrouver mon appartement et surtout mon canapé-lit pour ne plus le quitter jusqu’au lendemain…
Mais je m’étais promis de faire un tour à la caserne ce soir. Une claque mentale plus tard, je prenais le chemin de la sortie du Shopping Center. La caserne de pompier n’était qu’à quelques centaines de mètres et je ne mettrais pas plus de dix minutes à rejoindre l’endroit où j’avais atterri à mon arrivée à Washington. Cela me faisait toujours drôle de penser à la façon dont j’avais rencontré Léo, ce pompier qui m’avait recueilli alors que je m’apprêtais à passer ma première nuit dans la capitale à errer dans les rues jusqu’à ce qu’une agence immobilière ouvre au petit matin. Passer une nuit dans la rue ne me faisait pas peur, ce n’était pas la première fois que je me confrontais à ça. Mais cette nuit-là, le destin avait décidé de m’épargner, de m’offrir une petite porte de sortie, une petite lueur d’espoir représentée par cette grande caserne rouge brique.
A peine arrivée sur place, je croisais l’un des pompiers qui était là le soir de mon arrivée, quelques semaines en arrière. De toute évidence, cela ne devait pas arriver souvent qu’une fille comme moi frappe à leur porte car il me reconnut immédiatement. Après une accolade un peu gênante, il ne fut pas surpris que je sois à la recherche de Léo et m’indiqua le chemin des vestiaires. Souriante et heureuse de revoir celui qui m’avait sortie de la rue, je suivis les indications. Sur la route, j’eus l’opportunité de croiser plusieurs pompiers dont les visages me semblaient familiers alors que je n’avais pas passé plus de trois heures en leur compagnie l’autre fois. Mais l’ambiance de cette caserne était telle que je me sentais à l’aise et accueillie dans cet endroit plein de testostérone.
Arrivée dans les vestiaires après m’être trompée deux ou trois fois de portes, je fus déçue de constater que la pièce semblait déserte. Néanmoins, je tenta ma chance Léo ? Pas de réponse immédiate. Léo ? C’est Kara… Un bruit se fit entendre sur ma gauche…
Mais je m’étais promis de faire un tour à la caserne ce soir. Une claque mentale plus tard, je prenais le chemin de la sortie du Shopping Center. La caserne de pompier n’était qu’à quelques centaines de mètres et je ne mettrais pas plus de dix minutes à rejoindre l’endroit où j’avais atterri à mon arrivée à Washington. Cela me faisait toujours drôle de penser à la façon dont j’avais rencontré Léo, ce pompier qui m’avait recueilli alors que je m’apprêtais à passer ma première nuit dans la capitale à errer dans les rues jusqu’à ce qu’une agence immobilière ouvre au petit matin. Passer une nuit dans la rue ne me faisait pas peur, ce n’était pas la première fois que je me confrontais à ça. Mais cette nuit-là, le destin avait décidé de m’épargner, de m’offrir une petite porte de sortie, une petite lueur d’espoir représentée par cette grande caserne rouge brique.
A peine arrivée sur place, je croisais l’un des pompiers qui était là le soir de mon arrivée, quelques semaines en arrière. De toute évidence, cela ne devait pas arriver souvent qu’une fille comme moi frappe à leur porte car il me reconnut immédiatement. Après une accolade un peu gênante, il ne fut pas surpris que je sois à la recherche de Léo et m’indiqua le chemin des vestiaires. Souriante et heureuse de revoir celui qui m’avait sortie de la rue, je suivis les indications. Sur la route, j’eus l’opportunité de croiser plusieurs pompiers dont les visages me semblaient familiers alors que je n’avais pas passé plus de trois heures en leur compagnie l’autre fois. Mais l’ambiance de cette caserne était telle que je me sentais à l’aise et accueillie dans cet endroit plein de testostérone.
Arrivée dans les vestiaires après m’être trompée deux ou trois fois de portes, je fus déçue de constater que la pièce semblait déserte. Néanmoins, je tenta ma chance Léo ? Pas de réponse immédiate. Léo ? C’est Kara… Un bruit se fit entendre sur ma gauche…
(c) DΛNDELION
- Léo RichardsonClap along if you feel
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Âge : Tu as vu le jour le 24 Décembre 1990. Un véritable petit miracle de Noël pour tes parents qui vient de fêter ses 30 ans.
Situation financière : Ton salaire te permet de vivre comme il se doit, sans toutefois te permettre trop d'excès. Sauver des vies est une vocation avant d'être un salaire.
Situation amoureuse : Un coeur brisé depuis le 8 février, après une rupture avec Elena très compliqué. Trois ans de relation jeté à la poubelle...
Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Tu n'as jamais eu d'autres attirances que pour les femmes, tu n'as donc jamais eu besoin de te questionner à ce propos.
Habitation : Un studio sans cachet mais qui fait parfaitement l'affaire pour le temps que t'y passe, au #14 Dupont Circle.
Emploi/études : Lieutenant pompier de l'équipe #13 à la Fire Station du Downtown de Washington.
Multicomptes : Abigail Barnes (Kaya Scodelario), Sigrid Sörvik (Katheryn Winnick)
Rps en cours :
Don't become a stranger
Kara & Léo
Après-midi chargée pour toi et tes collègues de la brigade 13. Vous aviez été appelés sur un feu d’entrepôt à Anacostia. Le feu s’était déjà bien propagé avant votre arrivée sur les lieux. Une partie du bâtiment menaçait déjà de s’effondrer avant même que vous ne commenciez à intervenir. Il vous avait fallut être très prudent. Les feux d’entrepôts étaient assez délicats à gérer, vous ne saviez que rarement ce qui se trouvait précisément dans les lieux et les structures étaient souvent fragiles. Vous aviez passé de longues de heures sur cette intervention avant de réussir à circonscrire le feu. Vous étiez tous éreintés et pourtant il vous restait encore à sécuriser l’endroit et nettoyer. Votre boulot était loin d’être facile mais vous étiez tous très fiers de le faire. La fatigue se faisait vraiment sentir quand vous êtes arrivés à la caserne. Pourtant avant de pouvoir vous détendre sous une bonne douche il vous fallait encore ranger et nettoyer les camions et vos équipements. De ton côté il fallait que tu rajoutes à ce programme un petit passage dans le bureau du chef pour faire ton rapport. C’était à toi de t’en charger cette fois-ci.
Quand tu arrivas enfin aux vestiaires, la plupart de tes collègues avaient déjà fini leur douche. Tu filas te glisser sous l’eau chaude et savoura ce moment. Cette intervention n’avait vraiment pas été de tout repos et pour une fois tu t’impatientais de rentrer chez toi pour oublier toute cette tension subit durant la mission. Alors que tu finissais de te rincer, tu semblas entendre une voix dans les vestiaires. Peut-être un de tes collègues qui te cherchait ? Tu coupas l’eau et enroula une serviette autour de ta taille. Afin que tu n’aies eu le temps de faire un pas de plus, tu entendis ton prénom, suivi d’un « c’est Kara ». Tu souris instinctivement. Ça te fait plaisir de savoir qu’elle est passée à la caserne. Tu voulais justement prendre de ses nouvelles. La pudeur ne te connaissant pas, et tes vêtements se trouvant de toutes façons dans ton casier, tu sortis de la zone de douche uniquement en serviette. « Hey Kara ! Ça me fait plaisir de te voir ! ». Tu t’avanças vers elle et la pris dans tes bras. Tu te reculas avant de faire passer ton regard de toi à elle. « Désolé pour la tenue peu conventionnelle mais je ne m’attendais pas à avoir une jolie demoiselle qui m’attend à la sortie de ma douche. ». Tu te dirigeas ensuite vers ton casier pour en sortir tes vêtements. Tu posas tes mains à l’endroit où la serviette était retenue, mais avant de faire quoique ce soit tu jetas un regard à Kara. « Ce n’est pas que je suis pudique, mais tu devrais peut-être sortir le temps que je m’habille ? ». Tu rigolas et attendis qu’elle sorte avant de retirer ta serviette.
Quand tu arrivas enfin aux vestiaires, la plupart de tes collègues avaient déjà fini leur douche. Tu filas te glisser sous l’eau chaude et savoura ce moment. Cette intervention n’avait vraiment pas été de tout repos et pour une fois tu t’impatientais de rentrer chez toi pour oublier toute cette tension subit durant la mission. Alors que tu finissais de te rincer, tu semblas entendre une voix dans les vestiaires. Peut-être un de tes collègues qui te cherchait ? Tu coupas l’eau et enroula une serviette autour de ta taille. Afin que tu n’aies eu le temps de faire un pas de plus, tu entendis ton prénom, suivi d’un « c’est Kara ». Tu souris instinctivement. Ça te fait plaisir de savoir qu’elle est passée à la caserne. Tu voulais justement prendre de ses nouvelles. La pudeur ne te connaissant pas, et tes vêtements se trouvant de toutes façons dans ton casier, tu sortis de la zone de douche uniquement en serviette. « Hey Kara ! Ça me fait plaisir de te voir ! ». Tu t’avanças vers elle et la pris dans tes bras. Tu te reculas avant de faire passer ton regard de toi à elle. « Désolé pour la tenue peu conventionnelle mais je ne m’attendais pas à avoir une jolie demoiselle qui m’attend à la sortie de ma douche. ». Tu te dirigeas ensuite vers ton casier pour en sortir tes vêtements. Tu posas tes mains à l’endroit où la serviette était retenue, mais avant de faire quoique ce soit tu jetas un regard à Kara. « Ce n’est pas que je suis pudique, mais tu devrais peut-être sortir le temps que je m’habille ? ». Tu rigolas et attendis qu’elle sorte avant de retirer ta serviette.
@Kara I. Williams
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Léo & Kara
Soulagée d’enfin entendre du bruit dans ce vestiaire bien vide, je retins un rire en voyant Léo arrivé vêtu uniquement d’une serviette de bain enroulée autour de la taille. Le métier du jeune Richardson l’obligeait à se rendre régulièrement à la salle de sport, ce qui expliquait sans doute les abdos bien dessinés sur son torse ainsi que ses épaules larges et musclées. Mais je ne t’attardais pas sur ces beaux muscles alors que le jeune homme me serrait contre lui. Cela me faisait du bien de le voir et malgré la fin de journée pourrie que j’avais eu, je ne pouvais m’empêcher d’afficher un énorme sourire après cette accolade. Ca me fait plaisir de te voir aussi ! Je t’avais prévenu, on ne se débarrasse pas de moi aussi facilement qu’en me trouvant un appartement ! Je lui tirais la langue après cette allusion à la dernière fois que nous nous étions vus, sur le pas de sa porte, alors que je m’apprêtais à emménager dans mon propre appartement, trouvé par sa petite sœur, Haley. Léo s’excusa pour sa tenue peu conventionnelle. Tu préférerais un beau mec ? Je peux essayer de t’en trouver un, j’ai l’impression que ce n’est pas ce qui manque dans ton équipe… Il me faut juste plus de précisions sur tes goûts, grand ? brun ? blond ? tatoué ? Je lançais un regard taquin au jeune lieutenant, il était vrai que je n’aurais peut-être pas dû l’attendre à la sortie de sa douche mais pour ma défense, ses collègues ne m’avaient pas informée qu’il était à la douche, simplement qu’il était aux vestiaires. Dans le magasin où je travaillais, les vestiaires étaient également le lieu de pause, cela ne m’avait donc pas surprise ou inquiétée de devoir m’y rendre pour trouver Léo. Mais maintenant que j’y réfléchissais, les pompiers avaient définitivement un fonctionnement différent et ce vestiaire sentait assez fort la sueur et le gel douche pour comprendre qu’il ne servait que dans sa fonction primaire. Je ne me fis pas prier pour sortir du vestiaire pour que le jeune homme se change. Je t’attends près des camions ou dans la salle de pause si je parviens à la trouver ! Oui car pour moi, cette caserne état un véritable labyrinthe et je ne m’y étais rendu qu’une seule fois. J’avais ouvert une porte qui ressemblait à une salle de pause lors de ma recherche du vestiaire, il ne me restait plus qu’à rouvrir la bonne porte. Malheureusement, mon sens de l’orientation étant aussi nul que mon habilité à faire du sport, je finis par me retrouver dans le garage, accolée au camion-échelle de la brigade 13. Certains des hommes de Léo s’activaient à ranger tout le matériel et à vérifier que rien ne manquait suite à leur dernière intervention. A en juger par leur air hagard et perdu, ces jeunes gens ne devaient pas être dans la brigade depuis longtemps. L’un d’eux, un peu moins timide que les autres me demanda qui j’étais. Kara, enchantée, je suis venue voir Léo, c’est un ami. Et en parlant du loup, il finit par montrer le bout de son nez. Je lui adressais un sourire. Ca te dit qu’on aille dehors marcher un peu ? J’en peux plus de rester enfermée entre 4 murs… Techniquement je n’en pouvais plus de me tenir debout à sourire bêtement à tous les passants non plus mais je préférais tout de même aller dehors que d’être épiée par une vingtaine de pompiers.
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@Léo Richardson
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Tu ne t’attendais pas vraiment à avoir de la visite à la caserne et encore moins directement dans les vestiaires. C’est pourquoi tu apparus face à Kara tout juste vêtu d’une serviette autour de la taille, venant tout juste de terminer ta douche. Tu n’en étais pas moins content de la voir là. Depuis qu’elle était partie de chez toi pour emménager dans son propre appartement, vous n’aviez pas vraiment eu le temps de vous revoir. Alors cela te faisait plaisir de pouvoir avoir de ces nouvelles et passer un peu de temps avec elle. Bien que peu vêtu, tu allas directement à sa rencontre et l’enlaça brièvement en guise de bonjour. Tu lui fis part de ta joie de la voir et elle affirma qu’il en était de même pour elle. Le contraire aurait été étonnant puisqu’elle avait fait le choix de faire le déplacement jusqu’à la caserne pour venir te voir. Elle ajouta qu’elle t’avait prévenu qu’on ne débarrassait pas d’elle aussi facilement qu’en lui trouvant un appartement, tout en tirant la langue. Tu rigolas. « Mince… mon plan n’a pas fonctionné. » lui répondis-tu avec un sourire narquois. Tu t’excusas bien sûr de ta tenue, pas très présentable pour accueillir une invitée et, sans que cela ne t’étonne, elle saisi la perche pour te taquiner sur le fait que tu aies précisé que tu n’attendais pas « une jolie demoiselle ». Elle te proposa alors de te trouver un « beau mec » mais qu’il lui fallait quelques précisions sur tes goûts. Tu éclatas de rire. « Ca ira, j’ai déjà ma dose de testostérones quotidienne. Tu ne seras certainement pas étonnée si je te dis que la gente féminine a plus d’effet sur moi. ». Sur ses mots tu te dirigeas vers ton casier pour te changer. Mais avant de laisser tomber la serviette tu lui proposas de sortir. Non pas que cela te gênait plus que ça qu’elle se trouve dans la pièce pendant que tu te changes mais ce n’est pas parce qu’elle avait vécu quelques semaines chez toi que vous étiez suffisamment proche pour ne plus faire attention à ce genre de situation. Elle ne se fie donc pas prier et sortie en précisant qu’elle t’attendrait près des camions ou à la salle de pause, si elle parvenait à la retrouver. « Elle se trouve… ». Tu allais lui indiquer où trouver la salle de pause quand tu entendis la porte se refermer. Pas la peine de continuer, il y avait peu de chance qu’elle t’entende. Tu retiras donc ta serviette et enfilas un jean, un t-shirt et une veste. Tu passas brièvement vers les miroirs pour mettre un peu d’ordre dans tes cheveux et sortis du vestiaire. La salle de pause se trouvant sur ton chemin, tu ouvris la porte pour voir si Kara avait fini par trouver la dites pièce, mais tu n’y vis pas l’ombre d’un profil féminin. Tu continuas donc ta route vers le garage. Tu finis finalement par le retrouver adosser au camion de ton équipe, pendant que certains de tes collègues s’affairaient à ranger le matériel utiliser durant l’intervention. L’un d’eux semblait d’ailleurs être venu parler à la belle brune puisque tu le vis s’éloigner quand tu approchas. Tu la regardas avec un air taquin. « On a déjà une touche avec un membre de mon équipe ». Tu rigolas. Tu te doutais bien que cela n’avait rien à voir, ce dernier avait certainement dû vouloir juste l’interroger sur sa présence ici. Bien que ce soit assez connu, les pompiers ont une réputation de dragueur et tu ne peux pas dire le contraire, tu as fait honneur à la réputation il y a quelques années en arrière. Mais tout ceci était loin derrière toi maintenant, tu avais trouvé la femme de ta vie et pour rien au moins tu retournerais à tes anciens travers. Elle te proposa d’aller marcher à l’extérieur, précisant qu’elle n’en pouvait plus d’être enfermer entre 4 murs. En effet, avec son métier elle passait toute sa journée dans le magasin où elle travaillait et elle ne voyait à ce moment là que la lumière artificielle des spots présents pour mettre en valeur les produits. Tu acquiesças d’un signe de la tête et vous vous dirigèrent vers l’extérieur. Tu avais de toutes façons ton bip dans ta poche, donc s’il y avait une urgence, tu n’auras aucun mal à revenir rapidement. Une fois un peu éloignée des oreilles indiscrètes, tu entamas la conversation. « Alors comment vas-tu ? Ca se passe bien dans ton nouvel appartement ? Ca va, Haley n’est pas une voisine trop chiante à supporter ? ». Tu te doutais que ce n’était pas le cas, mais tu aimais bien taquiner ta sœur. Bien qu’elle ne soit pas là, tu supposais qu’il ne serait pas étonnant que cette remarque arrive jusqu’à ses oreilles prochainement et que tu recevrais donc un SMS assassin de la concernée.
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Léo & Kara
Un sourire apparut sur mon visage à la blague du jeune lieutenant. Je doutais sérieusement qu’il est cherché à se débarrasser de moi en me trouvant un appartement. Je n’étais certes pas vouée à rester éternellement sa colocataire de fortune mais le courant était plutôt bien passé entre nous et entre moi et Liv’, sa dulcinée, je doutais donc fortement qu’il ne voulait plus de moi dans sa vie. Je lui assenai tout de même une petite tape sur le thorax pour avoir insinuer qu’il voulait se débarrasser de moi. Continue comme ça et cela fonctionnera ! lui annonçais-je en tirant la langue. Moi, une gamine ? Un peu parfois, je devais bien l’avouer. Je terminai bien vite ma grimace pour la remplacer par un sourire qui s’accentua lorsqu’il m’annonça que la gente féminine avait plus d’effet sur lui. Non pas vraiment étonnée, surtout que j’ai rencontré ta chérie donc je peux comprendre pourquoi tu ne t’es pas tourné vers les hommes. Il faut dire que Liv’ était vraiment canon et à eux deux, ils formaient un couple digne de figurer sur les grands magazines de mode. Mais pour le moment, c’était un autre type de magazine dans lequel je ne souhaitais pas voir Léo alors je filais pour le laisser enfiler une tenue plus décente. Perdue comme à mon habitude, je finis par atterrir auprès des camions et par discuter avec un jeune pompier qui rangeait le matériel quand Léo eut enfin fini de se faire beau. Je levais les yeux à sa remarque. Si tu n’avais pas pris autant de temps à te faire beau pour tes collègues, je n’aurais pas eu à attirer leur attention… Il faut dire qu’une femme dans une caserne de pompier, c’était assez rare. Encore plus une femme sur talons avec une bonne couche de maquillage et une odeur de parfumerie dans les cheveux. Oui car après six heures passées dans cette atmosphère, mes cheveux avaient définitivement absorbé l’odeur du nouveau Carolina Herrera et de ses concurrents par la même occasion. Et c’est avec joie que je suivis Léo à l’extérieur de la caserne pour discuter et prendre de ses nouvelles. Je souris à sa remarque sur sa petite sœur. Je dirais que c’est une voisine plutôt cool et puis je l’entends pas ronfler sur le canapé, elle, au moins. Un sourire et un regard moqueur plus tard, je pris le temps de répondre à sa question initiale. Ca va, je m’adapte doucement à la vie ici, dans la grosse ville. Je me perds tous les deux jours pour aller au travail mais je vais finir par y arriver. Sinon, j’aime beaucoup mon appartement, c’est plus grand que ce que j’avais à Pittsburgh et ça rentre pile dans mon budget donc c’est parfait ! Et toi, quoi de beau depuis tout ce temps ? Et comment va Liv’ ? Il faudra que je passe chez vous un de ces quatre pour la remercier de l’accueil et de votre aide ! D’ailleurs j’ai acheté un petit truc pour te remercier ! C’était probablement le cadeau le plus kitch du monde mais j'avais trouvé l’idée drôle compte tenu des métiers de Léo et Liv’. Je sortis donc un petit paquet de mon sac à main et le tendis au jeune pompier avec un grand sourire. J'avais hâte de voir sa réaction face au petit camion de pompier porte-pinceaux que j'avais dégotté dans une petite boutique de bric à brac. Je l’ai trouvé en me perdant pour rentrer du boulot le premier jour après mon déménagement… Comme quoi, le destin semblait de mon côté depuis mon arrivée à Washington. A croire que j'avais fait le bon choix en quittant Pittsburgh et tout ce qui me retenait là-bas, pour le meilleur mais surtout pour le pire…
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Kara & Léo
En termes de taquinerie vous vous étiez bien trouvé tous les deux. Aussi taquin l’un que l’autre, si commencer l’autre enchaînait sans mal, c’est pourquoi lorsque la brune tendit la perche de la possibilité que tu es cherché à de débarrasser d’elle en lui trouvant un appartement, tu ne pus t’empêcher de lancer que tes plans avaient donc échoués. Tu rigolas de plus bel quand Kara précisa que si tu continuais ainsi tu finirais par arriver à tes fins en te tirant la langue. Tu adorais cette douce entente que vous aviez alors que vous vous connaissiez pourtant depuis peu et que vos chemins n’étaient pas vraiment destinés à se croiser. Après t’être excusé pour ta tenue, c’est-à-dire une simple serviette autour de la taille, le sujet dériva sur ton attirance sexuelle. Kara était parfaitement au courant que tu n’avais d’yeux que pour les femmes, rien que par le fait que tu étais en couple avec une sublime dame du doux nom d’Elena. Et ce qu’elle confirma en s’exprimant sur le fait qu’elle comprenait parfaitement ton choix d’attirance vu ta chérie. Tu souris. Tu dois reconnaître que, si tu n’avais pas jeté ton dévolu sur elle pour son physique, tu n’étais pas pour autant perdant sur ce point. Elena était une belle et douce femme que tu aimais énormément. La seule qui avait réussi à te faire renoncer à tes habitudes de coureur de jupons.
Quand Kara disparu des vestiaires, tu en profitas pour te changer et finir de te préparer pour être de nouveau prêt en cas de nouvelle intervention. Tu passas ensuite par la salle de pause pour voir si elle avait fini par en trouver le chemin mais ne l’y voyant pas tu te dirigeas directement au garage. Tu souris en voyant qu’elle était en pleine discussion avec un membre de ton équipe était en train de ranger du matériel. En même temps, ce n’était pas souvent que des femmes, surtout apprêtée comme Kara l’était, passent à la caserne. Et la plupart du temps elle faisait toute sensation. Avant que tu les atteignes, le jeune Steven était retourné à ses occupations. Tu ne pus t’empêcher de la taquiner sur le fait qu’elle avait déjà tapé dans l’œil d’un de tes collègues. Tu rigolas à la réponse de la jeune femme. « Malgré mes efforts, il ne semble continuer à ne voir que toi. ». Tu voyais bien que de nombreux regards étaient braqués sur vous. De toutes façons il était quasiment impossible de faire quoique se soit ici sans quelqu’un ne le voit et encore plus dans le garage où bon nombre d’hommes s’affairaient pour préparer une intervention, soit pour nettoyer et ranger après l’une d’entre elles. C’est pourquoi quand Kara te proposa d’aller marcher plutôt que de rester ici, tu pris immédiatement la direction de l’extérieur de la caserne. Tu ne pouvais pas trop t’éloigner car tu pouvais être appeler à tout moment, mais tu pouvais quand même sortir un peu. Quand vous vous retrouvèrent enfin un peu éloigné de tous ces regards indiscrets tu entamas la conversation. Tu lui demandas comment elle allait, si cela se passait bien dans son nouvel appartement et avec sa nouvelle voisine qui n’était d’autre que ta petite sœur. Kara ne manqua pas de faire remarquer que contrairement à lorsqu’elle était chez toi, elle n’entendait pas Haley ronfler. Tu rigolas à cette attaque mais tu ne pouvais pas nier. « Je ne pouvais pas être totalement parfait, il me fallait bien un défaut. ». Tu lui fis une grimace avant de la laisser enchaîner. Tu laissas échapper un petit rire quand elle te dit qu’elle se perdait encore tous les jours pour aller au travail. Ce n’était pas moqueur mais l’anecdote était quand même marrante. Sinon dans l’ensemble tout semblait aller bien pour elle et tu étais heureux de l’entendre. Se retrouver du jour au lendemain dans une grande ville telle que Washington DC sans connaître personne, ce n’était vraiment pas évident. Tu ne l’avais certes jamais vécu mais tu pouvais quand même t’imaginer un peu ce que cela pouvait faire. « Je suis heureux d’entendre que tout semble se passer pour le mieux pour toi alors. De toutes façons tu sais que tu pourras toujours compter sur moi si jamais il se passe quoique se soit, même rien de grave. ». Tu lui souris. Elle t’interrogea à son tour et te demanda des nouvelles d’Elena avant de préciser qu’il faudrait qu’elle passe un de ces jours chez vous pour la remercier de votre accueil. A ce moment là elle sortit de son sac à main un petit sachet et te le tendit. Ton sourit s’agrandit un peu plus et avant que tu sortes l’objet qui s’y trouvé, Kara précisa qu’elle l’avait trouvé le lendemain son déménagement alors qu’elle s’était perdue sur le chemin du retour. Cela te fit rigoler légèrement avant que tu ne plonges ta main dans le petit sachet pour en sortir un petit camion de pompier dans lequel on semblait pouvoir mettre des objets telle que des stylos – ou des pinceaux mais l’homme que tu étais n’y pensas même pas –. Tu souris grandement à la vue de l’objet, ce petit clin d’œil était fort sympathique. « Oh merci beaucoup, tu es adorable ! Tu n’aurais pas dû, vraiment. J’ai hâte de le montrer ce soir à Elena ! ». Tu rangeas le petit camion dans son sachet que tu glissas dans la poche ventrale de ton sweat-shirt. « Elena va très bien et de mon côté, c’est la routine. Pas mal de boulot quand même en ce moment, la fatigue commence à se faire sentir chez certains membres de l’équipe mais ça va quand même. On s’en sort. ». C’est vrai que cette fin d’année était assez mouvementée sur DC. Vous enchaîniez pas mal d’interventions de toutes sortes et vous étiez forcés de faire pas mal d’heures supplémentaires pour arriver à tout gérer. « Tu as eu l’occasion un peu de rencontrer de nouvelles personnes ? Ou il va falloir prévoir quelques soirées dans des bars pour que tu puisses te faire quelques connaissances ici ? ». Tu n’étais pas contre l’idée de devoir réserver quelques soirées pour sortir avec Kara, Haley et pourquoi pas aussi Elena. Cela ne pouvait pas faire de mal, même si tu te doutais que la brune était suffisamment grande pour se débrouiller toute seule.
Quand Kara disparu des vestiaires, tu en profitas pour te changer et finir de te préparer pour être de nouveau prêt en cas de nouvelle intervention. Tu passas ensuite par la salle de pause pour voir si elle avait fini par en trouver le chemin mais ne l’y voyant pas tu te dirigeas directement au garage. Tu souris en voyant qu’elle était en pleine discussion avec un membre de ton équipe était en train de ranger du matériel. En même temps, ce n’était pas souvent que des femmes, surtout apprêtée comme Kara l’était, passent à la caserne. Et la plupart du temps elle faisait toute sensation. Avant que tu les atteignes, le jeune Steven était retourné à ses occupations. Tu ne pus t’empêcher de la taquiner sur le fait qu’elle avait déjà tapé dans l’œil d’un de tes collègues. Tu rigolas à la réponse de la jeune femme. « Malgré mes efforts, il ne semble continuer à ne voir que toi. ». Tu voyais bien que de nombreux regards étaient braqués sur vous. De toutes façons il était quasiment impossible de faire quoique se soit ici sans quelqu’un ne le voit et encore plus dans le garage où bon nombre d’hommes s’affairaient pour préparer une intervention, soit pour nettoyer et ranger après l’une d’entre elles. C’est pourquoi quand Kara te proposa d’aller marcher plutôt que de rester ici, tu pris immédiatement la direction de l’extérieur de la caserne. Tu ne pouvais pas trop t’éloigner car tu pouvais être appeler à tout moment, mais tu pouvais quand même sortir un peu. Quand vous vous retrouvèrent enfin un peu éloigné de tous ces regards indiscrets tu entamas la conversation. Tu lui demandas comment elle allait, si cela se passait bien dans son nouvel appartement et avec sa nouvelle voisine qui n’était d’autre que ta petite sœur. Kara ne manqua pas de faire remarquer que contrairement à lorsqu’elle était chez toi, elle n’entendait pas Haley ronfler. Tu rigolas à cette attaque mais tu ne pouvais pas nier. « Je ne pouvais pas être totalement parfait, il me fallait bien un défaut. ». Tu lui fis une grimace avant de la laisser enchaîner. Tu laissas échapper un petit rire quand elle te dit qu’elle se perdait encore tous les jours pour aller au travail. Ce n’était pas moqueur mais l’anecdote était quand même marrante. Sinon dans l’ensemble tout semblait aller bien pour elle et tu étais heureux de l’entendre. Se retrouver du jour au lendemain dans une grande ville telle que Washington DC sans connaître personne, ce n’était vraiment pas évident. Tu ne l’avais certes jamais vécu mais tu pouvais quand même t’imaginer un peu ce que cela pouvait faire. « Je suis heureux d’entendre que tout semble se passer pour le mieux pour toi alors. De toutes façons tu sais que tu pourras toujours compter sur moi si jamais il se passe quoique se soit, même rien de grave. ». Tu lui souris. Elle t’interrogea à son tour et te demanda des nouvelles d’Elena avant de préciser qu’il faudrait qu’elle passe un de ces jours chez vous pour la remercier de votre accueil. A ce moment là elle sortit de son sac à main un petit sachet et te le tendit. Ton sourit s’agrandit un peu plus et avant que tu sortes l’objet qui s’y trouvé, Kara précisa qu’elle l’avait trouvé le lendemain son déménagement alors qu’elle s’était perdue sur le chemin du retour. Cela te fit rigoler légèrement avant que tu ne plonges ta main dans le petit sachet pour en sortir un petit camion de pompier dans lequel on semblait pouvoir mettre des objets telle que des stylos – ou des pinceaux mais l’homme que tu étais n’y pensas même pas –. Tu souris grandement à la vue de l’objet, ce petit clin d’œil était fort sympathique. « Oh merci beaucoup, tu es adorable ! Tu n’aurais pas dû, vraiment. J’ai hâte de le montrer ce soir à Elena ! ». Tu rangeas le petit camion dans son sachet que tu glissas dans la poche ventrale de ton sweat-shirt. « Elena va très bien et de mon côté, c’est la routine. Pas mal de boulot quand même en ce moment, la fatigue commence à se faire sentir chez certains membres de l’équipe mais ça va quand même. On s’en sort. ». C’est vrai que cette fin d’année était assez mouvementée sur DC. Vous enchaîniez pas mal d’interventions de toutes sortes et vous étiez forcés de faire pas mal d’heures supplémentaires pour arriver à tout gérer. « Tu as eu l’occasion un peu de rencontrer de nouvelles personnes ? Ou il va falloir prévoir quelques soirées dans des bars pour que tu puisses te faire quelques connaissances ici ? ». Tu n’étais pas contre l’idée de devoir réserver quelques soirées pour sortir avec Kara, Haley et pourquoi pas aussi Elena. Cela ne pouvait pas faire de mal, même si tu te doutais que la brune était suffisamment grande pour se débrouiller toute seule.
@Kara I. Williams
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Emploi/études : Vendeuse chez Sephora, prend des cours de management et envisage de se lancer sur les réseaux sociaux
Multicomptes : Un avocat trentenaire du doux nom de Connor :
Rps en cours : En cours : River #1 | Nora #1 | Cole #1 | Nicholas #1
A venir : Elijah #2 | Elena #1 [ Léo #2
Terminés : Léo #1 | Joakim | Charlie #1 | Elijah #1 | TC event
Don't become a stranger !
Léo & Kara
La remarque du jeune lieutenant me fis sourire. Il est vrai que les yeux de ses collègues semblaient plus tourner vers moi que vers lui, malgré tous ses efforts pour se faire beau et être présentable devant eux. Après un rapide coup d’œil à ceux qui nous entouraient, je lançais un regard taquin à mon ami et sauveur. Un peu de maquillage, des talons hauts et une bonne perruque et le tour est joué, ils n’auront d’yeux que pour toi, belle gosse ! Je ris à ma propre bêtise. Le monde des pompiers était un monde de testostérone et ma présence en ces lieux était étrange et fascinante pour la plupart d’entre eux. Je n’étais pas spécialement belle, pas spécialement spéciale tout court mais j’étais une femme en talons hauts qui portaient des vêtements près du corps. Alors oui, pour eux, je ne faisais pas partie du décor, pas partie de leurs habitudes et de ce fait, je suscitais leur intérêt. Leurs intentions n’étaient pas mauvaises, la plupart étant juste guidés par la curiosité de me trouver là et de ma relation avec leur lieutenant. Mais leurs regards insistants ne permettaient pas d’avoir une conversation posée avec Léo, nous nous retrouvâmes donc très vite à l’extérieur de la caserne, loin de l’agitation du lieu et des hommes dirigés par le jeune homme. J’étais contente d’être venue le voir, malgré une journée éreintante à marcher sur des talons et à écouter des pimbêches se plaindre que la couleur qu’elle voulait n’existait pas et qu’il fallait que je l’invente sur le champ pour leur fournir tout aussi rapidement, le pompier semblait avoir un aspect apaisant sur moi, me permettant de relâcher les tensions de la journée et de profiter de l’instant présent. Après tout c’était à ça que servait les amis non ? A ça et à vous révéler vos défauts secrets. C’est pour cela que je partageai avec Léo sa mauvaise habitude de ronfler sur le canapé. Je riais à sa façon de prendre la nouvelle, il ne semblait pas vraiment s’en vexer, acceptant avec philosophie son unique défaut selon lui. Un défaut ? C’est tout ? J’ai du mal à te croire sur ce point mais je suis sûre qu’Elena pourra m’en dire plus… ajoutais-je en lui adressant un sourire. J’enchainais en lui racontant mes aventures de ces derniers jours. C’était bizarre pour moi d’être à Washington, bizarre d’être dans une aussi grande ville, bizarre d’être entourée d’autant de gens et de se sentir pourtant si seule comme si la vie en ville était un paradoxe ambulant. J’avais pourtant toujours vécu en ville, logeant en plein centre de Pittsburgh depuis mes dix-huit ans mais la dynamique de la petite ville de Pennsylvanie n’avait rien à voir avec le monde de la capitale fédérale. Et savoir que j’avais quelqu’un sur qui compter en cas de pépin me faisait énormément de bien, je souris au pompier. Merci beaucoup Léo ! Pour tout ce que tu as fait pour moi et pour avoir accepté de loger la paumée de Pennsylvanie Ces remerciements n’étaient pas suffisants par rapport à l’aide que le jeune homme, sa compagne et sa sœur m’avait apporté dans mes premières semaines à DC mais je pouvais toujours essayer. Et le cadeau que je venais de tendre à Léo était un autre essai de « remboursement ». Je souris au jeune homme. Tu me diras ce qu’elle en a pensé ? Je sais que c’est un peu kitsch mais ça pourra agrémenter sa collection de porte pinceaux avec une petite pensée pour toi en même temps ! J’écoutais ensuite mon ami évoquer son quotidien et celui de sa compagne. J’ai du mal à croire qu’il existe une routine quand on est pompier… Chaque journée doit être si différente, jamais le temps de s’ennuyer ! Surtout dans une ville comme ici. Tu as un peu de vacances pour les fêtes ? Ou tu passeras le réveillon à sauver des vieilles dames qui se sont étouffées avec la dinde de Noël et les vieux oncles beauf et racistes qui se sont battus avec leurs neveux globetrotter ? Est-ce que j’avais une image un peu biaisé des réveillons de Noël et de la nouvelle année ? Complétement mais c’était probablement parce que de mon côté, ces deux soirées ressemblaient à toutes les autres, devant ma télé ou devant mon miroir, à trainer sur les réseaux ou à tester un nouveau maquillage. Je souris à mon ami face à sa proposition. Ecoute, je suis toujours partante pour aller dans un bar ! Et puis tes collègues semblent plus fun que les miennes… Ajoutais-je alors que mon regard se porta sur un des collègues de Léo qui sortait de la caserne, un tuyau enroulé sur l’épaule. Aucun doute que les collègues de mon ami était plus intéressant que les miens, et puis quelle femme ne rêvait pas de passer la soirée dans un bar accompagné de plusieurs pompiers ? Et puis avec un peu de chance, j’arriverais à convaincre Matthias de venir et tu pourras le rencontrer ! Mon meilleur ami serait sans doute moins emballé que moi pour passer la soirée avec des pompiers mais je savais y faire pour le convaincre. Ce serait en plus une bonne occasion pour se revoir en terrain neutre et renouer un peu nos liens comme avant son déménagement même s’il faudrait plus d’une soirée pour y parvenir. Soudain, alors que Léo n’avait pas eu le temps de me répondre, la sonnerie de la caserne se fit entendre. L’unité 13 était appelé sur les lieux d’un accident de voiture impliquant 3 véhicules. Je savais que c’était l’unité de Léo et entendait déjà ses hommes s’affairer derrière les portails du garage, celui qui était sorti quelques instants plus tôt avait d’ailleurs abandonné son exercice d’entrainement avec son tuyau et courrait à l’intérieur de la caserne, probablement pour enfiler son uniforme et partir secourir les citoyens de cette ville. Je souris au jeune lieutenant. Je crois que tu vas devoir jouer les héros encore une fois… Je le pris rapidement dans mes bras. On se revoit bientôt, bon courage et fais attention à toi ! Reprenant la route par laquelle j’étais venue et qui me permettrait de rentrer dans mon humble demeure, j’entendis les sirènes des camions hurler en dehors de la caserne et se diriger dans la direction opposée de la mienne. C’était sympa d’avoir vu Léo même si notre échange avait été interrompu par l’accident. J’espérais sincèrement le revoir très vite mais il fallait encore que je trouve un moyen de le remercier lui et sa femme de leur aide, et une petite babiole de décoration n’était clairement pas suffisante…
(c) DΛNDELION
@Léo Richardson
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