- Elliott S. CollinsClap along if you feel
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Crédits : javajunkie ♥ (gifs Tumblr, pas de crédit)
Date d'inscription : 20/10/2020
Âge : 28 ans
Situation financière : A l'abri du besoin
Situation amoureuse : Célibatard
Orientation sexuelle : Hétéro
Habitation : Un loft
Emploi/études : Comédien aux yeux de tous, médecin aux yeux de son père
Multicomptes : Tamara, Ulysse, Milan, Archie
Rps en cours :
Seize heures. Elliott regarda son horloge, gratouillant le dos de Shakespeare. L'ennui était mor-tel. Il attrapa sa guitare, ses doigts glissant contre le manche pour des accords qui ne mèneraient nulle-part, peut-être encore à tromper le temps qui refusait de passer. En réalité, jouer était, lors des après-midis comme celui-ci suffisant à tromper cette sensation désagréable que le comédien pouvait ressentir lors de moments d'inaction prolongée. Pourtant, cette fois-ci, il en était tout autrement. Il commença à faire les cent pas dans son loft. Ce qu'il voulait, lui, c'était sortir. Voir du monde, bouger. Mais depuis ses dernières frasques, il évitait de se faire remarquer: c'était ainsi que ça devait se passer, s'il voulait espérer revoir son reflet dans la machine à pression de l'un de ses bars favoris, un jour. Roman le tenait en laisse. Et ça le rendait dingue.
Dingue, et en même temps admiratif. Il fallait bien admettre que cette fois ci, son agent avait su taper là où ça faisait mal. Mais à tourner et virer autant, Elliott commençait à comprendre la douleur de ces lions qui tournaient en cage dans les zoos. Pas vraiment l'éclate, il se surprit à espionner ses voisins d'en face, restant figé à la fenêtre, comme ces silhouettes flippantes que l'on pouvait voir dans les films d'horreur dont Elliott s'amusait, en général d'un "putain, mais c'est pas réaliste ! qui, mais QUI reste comme ça à sa fenêtre ?!" visiblement, lui. Il soupira. Et plutôt que de prendre cent cinquante ans de plus à s'encroûter dans son appartement, il envoya un message à son frère:
Et c'était PAS négociable. Il avait besoin de sortir, voir du monde. Décompresser et surtout: voir son frère avec qui il avait toujours fait les quatre cent coups: déjà, il sentait l'odeur des ennuis, des souvenirs flous du lendemain.
Dix-huit heures. Arrivé calmement, de sorte à ne pas attirer les soupçons -il en arrivait même à se demander, parfois, si Roman ne le suivait pas ! il était monté, entrant rapidement:
- Salut frangin ! prêt à faire trembler les rues de Washington et nos gosiers ?
Le gang des Elli' était prêt à frapper. Il en jubilait d'avance !
@Elijah Collins Dingue, et en même temps admiratif. Il fallait bien admettre que cette fois ci, son agent avait su taper là où ça faisait mal. Mais à tourner et virer autant, Elliott commençait à comprendre la douleur de ces lions qui tournaient en cage dans les zoos. Pas vraiment l'éclate, il se surprit à espionner ses voisins d'en face, restant figé à la fenêtre, comme ces silhouettes flippantes que l'on pouvait voir dans les films d'horreur dont Elliott s'amusait, en général d'un "putain, mais c'est pas réaliste ! qui, mais QUI reste comme ça à sa fenêtre ?!" visiblement, lui. Il soupira. Et plutôt que de prendre cent cinquante ans de plus à s'encroûter dans son appartement, il envoya un message à son frère:
Mec ! on sort ce soir, j'en peux plus ! même la momie, dans les films de Brenda Fraser, elle a l'air plus vivante que moi !
PS: pas un mot à Roman, ou j'suis un homme mort !
Et c'était PAS négociable. Il avait besoin de sortir, voir du monde. Décompresser et surtout: voir son frère avec qui il avait toujours fait les quatre cent coups: déjà, il sentait l'odeur des ennuis, des souvenirs flous du lendemain.
Dix-huit heures. Arrivé calmement, de sorte à ne pas attirer les soupçons -il en arrivait même à se demander, parfois, si Roman ne le suivait pas ! il était monté, entrant rapidement:
- Salut frangin ! prêt à faire trembler les rues de Washington et nos gosiers ?
Le gang des Elli' était prêt à frapper. Il en jubilait d'avance !
- Elijah HawkinsLet the sunshine in
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Situation financière : Pas terrible, il flambe le peu qu'il a et il taxe à droite à gauche
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Habitation : Appart 15 à Dupont Circle
Emploi/études : L'art d'enchainer les petits boulots sans les garder bien longtemps, il est actuellement barman au Manhole
Multicomptes : Sinéad Sörvik (Katheryn Winnick), Maeva Espinosa (Jenna Ortega) & Mateo Redfield (Travis Fimmel)
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Nora(2) ✘ Sorën ✘ Léo(2) ✘ Nora(3) ✘ Jesabel ✘ Kara(2) ✘ Aedan(2) ✘ Keoni ✘ Emily
Terminés : Elvyra ✘ Léo(1) ✘ Kara(1) ✘ Nora(1) ✘ Joakim ✘ Aedan(1)
Abandonnés : Haley ✘ Autumn ✘ Elliott
Collins Brothers
we are here to drink your beer
Recevoir un message de son frère qui lui propose de sortir le soir même, c’est clairement la bonne nouvelle de la journée. En le lisant, un sourire s’est automatiquement dessiné sur son visage. Elijah a toujours adoré emmené Elliott dans ses conneries et ce, depuis leur plus jeune âge. Eli a toujours été la tornade qui embarquait tous les autres Collins dans son sillage. Au grand dam de leur père. A l’adolescence et malgré son passage en centre de redressement, l’ainé de la famille ne s’est pas calmé. A part peut-être quand il était avec Nora. Quelques mois de calme et de répit avant que la tempête Collins ne recommence à se déchainer. Si beaucoup s’assagissent en passant à l’âge adulte, ça n’a jamais été vrai pour Elijah. Bien au contraire. La majorité lui a offert bien plus de libertés qu’il n’en avait jamais eu dans sa vie.
En fin de journée, il file dans la salle de bain pour se préparer. Un tour sous la douche et un passage devant le miroir pour parfaire son apparence. Pas de quoi se mettre sur son trente et un, mais un minimum de classe ne fait jamais de mal. Jean sombre et t-shirt de la même couleur, le tout surmonté d’une veste noir, inutile de trop se couvrir parce qu’il fait toujours très vite chaud dans les bars – surtout avec de l’alcool dans le sang. Une touche de parfum et il quitte la pièce pour retourner dans le salon. C’est d’ailleurs à ce moment que son frère fait irruption dans son appartement en bordel. « Salut Bro’ ! » Wow quelle énergie. « Putain tu m’as l’air survolté déjà. Tu te faisais chier à ce point là ? » Visiblement oui, à moins qu’il ne soit impatient de se mettre la tête à l’envers avec son aîné. Avec Elijah, c’est la garantie de passer une bonne soirée. Rapidement, il récupère son manteau et enfile ses chaussures. « Bon, tu as déjà une idée de l’endroit où tu veux aller ? Ou ce que tu veux faire ? » Parce que sortir c’est bien, mais savoir où c’est mieux. Récupérant ses papiers qu’il fourre dans sa poche ainsi que les clés de son appart, il attrape une cigarette qu’il coince entre ses lèvres tout en se dirigeant vers la sortie. Pas de temps à perdre. « On prend ta caisse, flemme de conduire. » Quitte à rentrer en taxi s’ils sont trop déchirés pour faire le chemin inverse. A moins qu'il ne soit venu à pied ? Ce serait peu probable. Une fois sortis de l’appart, Elijah verrouille sa porte et prend quelques secondes pour allumer sa clope. « Allez je te suis l’artiste. » Lance-t-il tout sourire en rangeant son briquet et ses clés dans ses poches. Joignant le geste à la parole, il entame sa marche pour sortir de l’immeuble, bien décidé à rendre cette soirée mémorable.
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Se faire chier à ce point là ? c’était le moins qu’il pouvait dire. Elliott était en réalité comme un lion en cage. Pas qu’il ait un besoin irrépressible d’alcool ! En réalité, ça, il n’en avait pas grand-chose à foutre. C’était le contact humain, qui lui manquait. Ce bon vieux contact qui faisait que les choses devenaient tout de suite plus supportables, parfois même, promesses de fin de soirées agréables avec de belles demoiselles… Enfermé chez lui par son agent, Elliott était frustré. Pourtant, il lui arrivait, de ne pas sortir pendant quelques jours. Mais c’était quand lui l’avait décidé ! Là, c’était clairement imposé et Elliott avait de l’énergie à revendre : à tourner en rond dans son appartement, il aurait pu produire de l’électricité pour tout le quartier, s’il avait été raccordé à une dynamo. Adressant un visage faussement désespéré à son frère, il arqua un sourcil :
« Oh. Et bien plus, encore ! Là, t’es bien loin de la réalité ! » riant légèrement, il attrapa son portefeuilles, il réfléchit avant de lancer « non… j’ai pas de préférence. Juste… un endroit où on est sûrs de pas croiser « Pôpa » » lanca-t-il amusé en appelant son agent de la sorte, puis précisa « les leçons de morale, j’ai déjà donné ! » fermant derrière eux, il grimaça : « bon, ok, mais c’est bien parc’que c’est toi. Et aussi parce que d’hab, c’est moi qu’ai la flemme. » ricanant, il attrapa le paquet de clopes des mains de son frère et lui en tira une « même pas on propose au frérot ? j’te félicite pas ! » ricanant, il attrape son briquet dans sa poche, allumant sa cigarette en route tandis qu’il descend les marches quatre à quatre, excité comme une puce : « c’que j’ai envie de faire… prendre l’air et pourquoi pas une bière. On verra la suite plus tard, t’en penses quoi ? »
Arrivés au rez-de chaussée, il déverrouilla sa voiture et s’y installa, espérant trouver une idée lumineuse pour une virée avec son frère qui soit digne de ce nom.
« Oh. Et bien plus, encore ! Là, t’es bien loin de la réalité ! » riant légèrement, il attrapa son portefeuilles, il réfléchit avant de lancer « non… j’ai pas de préférence. Juste… un endroit où on est sûrs de pas croiser « Pôpa » » lanca-t-il amusé en appelant son agent de la sorte, puis précisa « les leçons de morale, j’ai déjà donné ! » fermant derrière eux, il grimaça : « bon, ok, mais c’est bien parc’que c’est toi. Et aussi parce que d’hab, c’est moi qu’ai la flemme. » ricanant, il attrapa le paquet de clopes des mains de son frère et lui en tira une « même pas on propose au frérot ? j’te félicite pas ! » ricanant, il attrape son briquet dans sa poche, allumant sa cigarette en route tandis qu’il descend les marches quatre à quatre, excité comme une puce : « c’que j’ai envie de faire… prendre l’air et pourquoi pas une bière. On verra la suite plus tard, t’en penses quoi ? »
Arrivés au rez-de chaussée, il déverrouilla sa voiture et s’y installa, espérant trouver une idée lumineuse pour une virée avec son frère qui soit digne de ce nom.
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Si Elliott a envie de sortir, c’est parce qu’il se fait chier. C’est souvent pour cette raison qu’il fait appel à son frère pour partir à la conquête des bars ou de n’importe quel endroit de la ville où il est possible de se mettre la tête à l’envers. Après tout, Elijah a toujours des bons plans et il sait toujours où il est possible de s’amuser. Son job au Manhole est un atout majeur pour récolter ce genre d’info mas au-delà de ça, il a le flair pour savoir où il faut aller. En même temps, en véritable fêtard invétéré qu’il est, ce serait dommage qu’il passe à côté des informations cruciales. C’est simple, quand on a besoin de se changer les idées, de sortir pour s’aérer l’esprit, le moyen le plus efficace d’y parvenir sans risquer d’être déçu, c’est de contacter Elijah Collins. Alors il sait pertinemment ce qu’Elliott attend de cette soirée.
Mains dans les poches, il observe son frère qui déborde déjà d’énergie à peine arrivé. Ça promet. « Ton agent te fait toujours chier ? Jamais il te lâche la grappe celui-là ? Il est psychorigide ou quoi ? » Haussant un sourcil, un sourire finit par se dessiner sur le coin de ses lèvres. « Il devrait pourtant sortir avec nous ou tirer son coup, ça lui ferait du bien. Je connais plein de nanas prêtes à écarter les cuisses en cas de besoin si jamais ça l’intéresse. Peut-être qu’il est frustré, qui sait ? » Et cette frustration, il la reporte sur Elliott en le bridant un peu trop ? C’est une hypothèse tout à fait valable. « Un mec mal baisé ou qui ne pécho personne ça peut vite devenir casse-couille. » Et il sait de quoi il parle. Lui-même quand il est en manque peut devenir exécrable rapidement. Les Collins sortent de l’appartement et verrouillent derrière eux, direction l’un des bars du quartier ? Enfin, la voiture d’Elliott dans un premier temps, même si ce n’est pas très prudent en sachant qu’ils risquent de finir totalement torchés. « Je savais que tu pouvais rien me refuser, mon choupinou. Tu m’aimes trop pour ça. » Evidemment, le surnom ridicule est lancé pour le faire chier. Tout le monde sait que le barman aime emmerder son monde, à commencer par ses proches. C’est dans sa nature.
En chemin, Elliott récupère une cigarette dans le paquet qu’Elijah ne lui a pas tendu. Simple oubli. Ou réflexe stupide quand il se promène avec des non fumeurs. « Je me préoccupe de ta santé. » Fausse excuse, évidemment. Au fond, ça l’amuse plus qu’autre chose. Les escaliers sont rapidement descendus et l’air frais fouette bientôt leurs visages. Eli récupère sa clope entre ses doigts et glisse son autre main dans sa poche. « Une bière pour commencer, pourquoi pas. Mais on sait tous les deux qu’on ne s’arrêtera pas là. Une bière, puis deux, puis trois, puis on passe à un level supérieur. » L’alcool plus fort tel du whisky et ça finit en shoots de tequila en cascade. « On va rouler sous les tables, Elliott, j’espère que t’es prêt. » Calant de nouveau sa cigarette entre ses lèvres, il s’approche de son frère pour passer son bras autour de ses épaules. « Ce soir, on picole et on fait ce qu’on sait faire de mieux. » A savoir, n’importe quoi avec de l’alcool dans le sang. « Je peux même relever le défi de te trouver une petite nana sympa pour la nuit ou même un p'tit gars, si ça te dit. » A moins que passer la soirée et la nuit à picoler avec son frère lui suffise. Dans ce cas, ça lui va aussi à Eli. Lâchant son frère, il lui donne une tape sur les fesses et se dirige vers sa voiture pour s’y installer. « Allez, direction le Dirty Goose mon gars ! » Un bar gay, tout pour faire chier son frère parce qu'au fond, ça le ferait mourir de rire de voir Elliott se faire draguer par un mec.
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Ils avaient toujours fonctionné ainsi, Elli et lui. Lorsque l’un se faisait chier à mourir, l’autre débarquait en fanfare, tambours, trompette et à peu près tout et n’importe quoi, tant que ça divertirait le second : qu’est ce qu’on ne ferait pas, pour sa famille… Cette fois, c’était Elliott. A deux doigts de virer dingue tant les restrictions que Roman faisait peser sur lui lui tapaient sur le système. Il avait essayé de tenir, bien sûr. Mais après tout, merde à la fin. Trop, c’était trop. Il n’allait tout de même pas passer sa vie à rester enfermé là, entre quatre murs ! Même Shaky avait plus de libertés. Et pourtant, Shakespeare était un chat d’appartement. Ca donnait une idée.
Soupirant, Elliott avait haussé les épaules : « hm. Non, il est rien de tout ça. T’sais comment il est, en vrai, il est même pire que moi. L’avantage d’rester dans l’ombre. L’truc, c’est que j’y ai p’t-être été un peu fort. Et si j’tombe, il tombe aussi. Il sauve son cul et le mien. J’peux pas lui en vouloir pour ça, si ? » Elliott tentait de relativiser, mais pourtant, il était dégoûté. Ricanant, il arqua un sourcil « crois moi. Il s’en sort très bien d’ce côté là.J’AI VU DES CHOSES . » se mit il a expliquer faussement traumatisé. Petit jeu entre Roman et lui depuis qu’ils étaient ados, se raconter des histoires, vraies ou non. Ils s’agissait plus de taquineries de collège que de véritable concurrence entre eux : ils avaient passé l’âge. Et inventer des conneries toujours plus énormes, jusqu’à voir l’étincelle dans le regard de son ami percutant qu’Elliott racontait absolument n’importe quoi, ça n’avait pas de prix, pour le comédien qui adorait se moquer de son agent qui était avant tout son meilleur pote depuis l’enfance.
Une fois à l’extérieur, Elliott arqua un sourcil, lançant un regard incrédule à son frère : « oh,je vois que tu m’as grillé… mon lapinou des îles ! » avait il répondu impassible, amusé par la taquinerie de son frère. Elli avait piqué une cigarette à Elijah « hmhm. Bien évidemment. Du coup, j’imagine que j’dois éviter de te parler de la beuh qui est sous mon lit ?… OUPSY. » avait il lancé, moqueur, avant d’écouter, plus que concerné le programme que son frère avait établi pour la soirée. Et ce programme, c’était carrément… de la boooooombe ! Des jours entiers, qu’Elliott rêvait d’une sortie comme celle là et voilà que son frère lui servait sur un plateau ! Qu’espérer de mieux ? « Oh putain. Mais en fait… t’es mieux qu’un frère ! t’es le Père Noël Underco ! Avoue que c’est toi, c’est bon, j’le sais, arrête de faire genre ! » Bon, un père noël non conventionnel ok, mais un père noël quand même, et ça, c’était tout ce qui comptait ! Hochant la tête, Un sourire s’étira sur le visage d’Elliott. S’il avait eu la bouche assez grande, celui-ci se serait probablement arrêté à ses oreilles ! « faire ce qu’on sait faire de mieux. Ca envoie carrément du rêve ton histoire ! » Elliott savait pertinemment, que c’était une invitation au grand n’importe quoi. Et pour être tout à fait honnête, il y répondait avec un enthousiasme qu’il avait d’ailleurs du mal à ne pas laisser paraître. Arquant un sourcil, il éclata de rire, mettant un coup de poing dans l’épaule de son frère « j’te remercie de te soucier de l’état de ma jauge de drague, mais… 1) j’suis un grand garçon, j’sais me débrouiller et 2) si tu me ramène un gars, tu t’en débrouille ! » il se mit à rire légèrement. Pas du genre homophobe pour un sou (il partait du principe que chacun faisait ce qu’il voulait avec qui il voulait), l’idée de passer la nuit avec un gars ne l’emballait pas plus que ça.
Enfin, ils étaient montés dans la voiture, et Elliott arqua un sourcil en entendant son frère prononcer les mots dirty goose « mais… pourquoi ? » il éclata de rire, se doutant qu’à tous les coups, son frère voulait le faire rager. Et en réalité, il le prenait plutôt bien. Mieux, ça l’amusait. Il n’en avait pas grand-chose à faire, pour être tout à fait honnête. Haussant une épaule, il hocha la tête « ok. Le Dirty Goose. »un quart d’heure plus tard, ils arrivaient sur place, et Elliott regardait son frère du coin de l’oeil, fronçant les sourcils, tentant de découvrir par quel moyen il allait décider de le faire chier « je te jure que si tu me fous un gars dans les pattes … J’me vengerai ! j’sais pas encore comment, mais t’as pas interêt ! » marmonna-t-il, un peu plus nerveux qu’il n’aurait aimé l’admettre, mais enthousiaste en imaginant déjà les conneries qu’ils feraient tous les deux.
Soupirant, Elliott avait haussé les épaules : « hm. Non, il est rien de tout ça. T’sais comment il est, en vrai, il est même pire que moi. L’avantage d’rester dans l’ombre. L’truc, c’est que j’y ai p’t-être été un peu fort. Et si j’tombe, il tombe aussi. Il sauve son cul et le mien. J’peux pas lui en vouloir pour ça, si ? » Elliott tentait de relativiser, mais pourtant, il était dégoûté. Ricanant, il arqua un sourcil « crois moi. Il s’en sort très bien d’ce côté là.J’AI VU DES CHOSES . » se mit il a expliquer faussement traumatisé. Petit jeu entre Roman et lui depuis qu’ils étaient ados, se raconter des histoires, vraies ou non. Ils s’agissait plus de taquineries de collège que de véritable concurrence entre eux : ils avaient passé l’âge. Et inventer des conneries toujours plus énormes, jusqu’à voir l’étincelle dans le regard de son ami percutant qu’Elliott racontait absolument n’importe quoi, ça n’avait pas de prix, pour le comédien qui adorait se moquer de son agent qui était avant tout son meilleur pote depuis l’enfance.
Une fois à l’extérieur, Elliott arqua un sourcil, lançant un regard incrédule à son frère : « oh,je vois que tu m’as grillé… mon lapinou des îles ! » avait il répondu impassible, amusé par la taquinerie de son frère. Elli avait piqué une cigarette à Elijah « hmhm. Bien évidemment. Du coup, j’imagine que j’dois éviter de te parler de la beuh qui est sous mon lit ?… OUPSY. » avait il lancé, moqueur, avant d’écouter, plus que concerné le programme que son frère avait établi pour la soirée. Et ce programme, c’était carrément… de la boooooombe ! Des jours entiers, qu’Elliott rêvait d’une sortie comme celle là et voilà que son frère lui servait sur un plateau ! Qu’espérer de mieux ? « Oh putain. Mais en fait… t’es mieux qu’un frère ! t’es le Père Noël Underco ! Avoue que c’est toi, c’est bon, j’le sais, arrête de faire genre ! » Bon, un père noël non conventionnel ok, mais un père noël quand même, et ça, c’était tout ce qui comptait ! Hochant la tête, Un sourire s’étira sur le visage d’Elliott. S’il avait eu la bouche assez grande, celui-ci se serait probablement arrêté à ses oreilles ! « faire ce qu’on sait faire de mieux. Ca envoie carrément du rêve ton histoire ! » Elliott savait pertinemment, que c’était une invitation au grand n’importe quoi. Et pour être tout à fait honnête, il y répondait avec un enthousiasme qu’il avait d’ailleurs du mal à ne pas laisser paraître. Arquant un sourcil, il éclata de rire, mettant un coup de poing dans l’épaule de son frère « j’te remercie de te soucier de l’état de ma jauge de drague, mais… 1) j’suis un grand garçon, j’sais me débrouiller et 2) si tu me ramène un gars, tu t’en débrouille ! » il se mit à rire légèrement. Pas du genre homophobe pour un sou (il partait du principe que chacun faisait ce qu’il voulait avec qui il voulait), l’idée de passer la nuit avec un gars ne l’emballait pas plus que ça.
Enfin, ils étaient montés dans la voiture, et Elliott arqua un sourcil en entendant son frère prononcer les mots dirty goose « mais… pourquoi ? » il éclata de rire, se doutant qu’à tous les coups, son frère voulait le faire rager. Et en réalité, il le prenait plutôt bien. Mieux, ça l’amusait. Il n’en avait pas grand-chose à faire, pour être tout à fait honnête. Haussant une épaule, il hocha la tête « ok. Le Dirty Goose. »un quart d’heure plus tard, ils arrivaient sur place, et Elliott regardait son frère du coin de l’oeil, fronçant les sourcils, tentant de découvrir par quel moyen il allait décider de le faire chier « je te jure que si tu me fous un gars dans les pattes … J’me vengerai ! j’sais pas encore comment, mais t’as pas interêt ! » marmonna-t-il, un peu plus nerveux qu’il n’aurait aimé l’admettre, mais enthousiaste en imaginant déjà les conneries qu’ils feraient tous les deux.
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Qui aime bien châtie bien. Pour Elliott et Elijah, c’est une expression qui leur correspond à merveille. Toujours à se chercher, à se taquiner, à se balancer des surnoms ridicules juste pour le plaisir d’emmerder l’autre. C’est ainsi depuis leur enfance. Ce n’est pas maintenant que les choses vont changer. Ça reste affectif et avouons-le, c’est drôle. C’est de cette fonctionne qu’Elijah fonctionne de toute manière. Même avec Aedan son meilleur ami, il a ce genre de relation où la franchise et le manque de tact sont parfois écrasants. Les mots doux et réconfortants, les encouragements, ce n’est pas pour Eli. Dehors, les deux frères ne sont pas encore dans la voiture que la bonne humeur est déjà très présente. Amusé par la réplique de son cadet à propos de la beuh potentiellement cachée sous son lit, il ne peut pas s’empêcher de rire légèrement. « Tu dois surtout partager avec ton grand frère ouais ! Radin ! » Il lui arrive d’en consommer de temps en temps, en soirée ou chez lui quand il n’arrive pas à dormir.
Le programme de la soirée énoncé, la réaction de l’acteur étire les lèvres de son aîné en un large sourire. « S’il te faut juste une soirée bourrage de gueule pour suffire à ton bonheur alors ok j’suis le Père Noël ! Mais putain, je constate surtout que tu bosses trop ! » A-t-il perdu l’habitude pour s’émerveiller à ce point pour si peu ? Son agent le fait-il trop travailler ? « Ça va pas Bro, faut remédier à ça. » D’ailleurs à ce propos, qui dit charge de boulot excessive, dit moins de sortie et par extension, moins de rencontres. Donc moins de parties de jambes en l’air. Et ça, c’est un véritable problème aux yeux d’Elijah. Comment son frère fait-il pour vivre sans sexe ? N’est-il pas frustré ? C’est peut-être pour cette raison qu’il se montre à ce point enthousiaste, non ? Le sourire d’Eli ne quitte pas ses lèvres face à la pseudo mise en garde de son petit frère. S’il pense qu’Elijah va rester tranquille sans tenter quoi que ce soit pour l’aider à pécho, il se fourre le doigt dans l’œil. « Elliott, Elliott, Elliott… Si tu sais si bien te débrouiller que ça, fais tes preuves, je veux voir ça ! Ce soir, vu que t’as l’air chaud comme la braise là. » Un sourire en coin, il lui adresse un clin d’œil avant de prendre place dans la voiture direction un endroit précis. Un bar gay. Pour le plus grand plaisir de voir son frère se faire potentiellement draguer par un mec. De son côté, Elijah est un client plutôt régulier de ce bar, il ne s’est jamais vraiment caché d’être attiré par les deux sexes. « Pourquoi pas ? » Se contente-t-il de répondre, un sourire filant au coin de ses lèvres.
Il leur faut quelques minutes de trajet avant d’arriver sur place. Satisfait, le barman s’extirpe de la voiture et pose ses prunelles claires sur la devanture du bar qu’il connait si bien. Mains dans les poches, c’est la voix de son frère à ses côtés qui le sort de sa contemplation. Toujours autant amusé la par situation, il hausse un sourcil, faussement offensé. « J’accepte gentiment de te faire sortir de ton traintrain quotidien, je te propose une soirée de rêve et tu oses me menacer ? » Pour se donner un air théâtral, il pose une main sur son torse. « C’est tellement pas mon genre de te faire ce genre de coup foireux ! » La malice brillant au fond de son regard, il est assez facile de percevoir l’ironie de sa réplique. Un fin sourire sur les lèvres, il rejoint son cadet pour passer son bras autour de son cou et avancer avec lui jusqu’à l’intérieur du bar. « Si ça se trouve, ça te plairait. Tu peux pas juger si t’as pas testé mon lapin. Je connais plein de types super sympas si tu veux. Toute nouvelle expérience est bonne à prendre ! » Il le taquine, évidemment. Il sait parfaitement de quel bord est son frère. Cependant, l’imaginer tenter de se dépêtrer d’une drague masculine l’amuse beaucoup trop pour passer outre. Fier de sa connerie, il le lâche et se dirige vers le comptoir pour s’y installer. Assis sur un tabouret, il tapote la place à côté de lui pour l’inviter à en faire de même. Bien sûr, il ne perd pas une seconde pour laisser ses prunelles balayer les environs pour du repérage. « Tu bois quoi ? J’te préviens, me sors pas une bière ou une connerie du genre. Tu tapes lourd d’entrée de jeu. » Autant y aller à fond dès le départ. « Leurs mojitos sont pas mal ici. » C’est sans doute ce qu’il commandera en premier pour lui, en attendant de passer à quelque chose de plus corsé, comme des shots de tequila. « Et avoue que ce bar est cool, ils passent de la bonne musique et tu verras que leurs cocktails sont top. »
- Elliott S. CollinsClap along if you feel
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Orientation sexuelle : Hétéro
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Emploi/études : Comédien aux yeux de tous, médecin aux yeux de son père
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Depuis qu’ils étaient gosses, Elliott et Eli passaient leur temps à se chambrer. Enfants ? Parce que c’était marrant, de jouer à la bagarre. Ados, peut-être y avait il eu entre les deux frères une forme de rivalité, qui malgré tout s’adoraient. Adultes… c’était surtout de la déconnomanie, une façon de se montrer combien il s’aimaient, sans qu’aucun d’entre eux ne perde sa virilité… Et surtout, une façon se se rapprocher à coup de paris tous plus cons les uns que les autres.
Lorsqu’Elliott provoqua son frère sur la fumette, il arqua un sourcil. Il avait imaginé toutes les réponses possibles, pourtant, celle qu’Elijah lui offrait… Il ne l’avait carrément pas prévue. Bon, après, franchement, avec un peu de recul, il n’était pas pour autant surpris que ce qu’il voulait bien montrer. Arquant un sourcil, il hocha la tête « ouais sauf que t’oublies le plus important : en général, c’est toi qui fournis le p’tit frère. » il se mit à ricaner, lui assénant un coup de coude dans les côtes, amusé, il continua de conduire, les menant sûrement vers le bar proposé par son frère.
Il avait beau se montrer blasé, peut-être même un peu vexé, tout ce la n’était en réalité que des apparences : Elliott était heureux de passer du temps avec Elijah, son frère et surtout son partenaire de conneries depuis la naissance… ou presque. Il s’imaginait déjà le déroulement de la soirée. En même temps, il fallait dire qu’elles étaient sensiblement toujours les mêmes : les Elli refusaient de s’arrêter simplement à cette limite fine entre « être saoul » et le fameux point de non retour : une fois passé du côté obscure de la force, Elliott savait pertinemment que les pires idées qui émergeraient de leurs esprits fatigués seraient réalisées... à deux, ils étaient les cavaliers de l’apocalypse, et ça faisait mourir le comédien de rire. Continuant son trajet, prenant un air triste, Elliott passa le dos de la main sur son front, prenant un air dramatique « oui… je suis si surmené, que parfois, je ne sais plus comment je m’appelle … Barbara, c’est bien moi ? » et éclatant de rire, il hocha la tête « j’ai toujours su qu’t’étais le vieux crado barbu, vu ton intérêt pour les mioches, ça se voit direct ! » clin d’oeil entendu. Elliott se gara devant le bar et arquant un sourcil, il finit par lancer :
« Ce ne sont pas des menaces, mon chéri, ce sont des promesses ! » il pinça la joue de son frère qu’il tapota doucement, avant de plonger sa main dans sa poche et de reprendre, nonchalant : « nooon jamais de la vie ! Les coups en traitre, jamais on s’en fait nous ! » et lui adressant un clin d’oeil, il conclut dans un sourire : « j’avoue. Pourquoi pas. j’suis sûr que tu cherches à me déstabiliser. Mais… au risque de te surprendre, j’ai embrassé un mec, l’autre soir ! » ricanant, il se concentra de nouveau sur la route. Bon, ce qu’il se gardait bien de raconter à son frère, c’était encore que le gars en question était le meilleur pote de ce dernier, et que le but de ce baiser était de faire fuir une fan un peu trop collante. Mais toute vérité était-elle utile à dire ? La réponse pour le brun était clairement : NON . D’ailleurs, il était assez coutumier du fait, allant jusqu’à cacher à son père la nature de son véritable métier. Mais après tout, quelle importance ? Pourquoi ne pas se contenter du fait qui ferait probablement marrer son frère, voire même : apporterait de l’eau au moulin de sa moquerie ?
Une fois à l’intérieur, Elliott observa les lieux, ses prunelles se posant ça et là au hasard des clients qui circulaient dans le bar. Et s’asseyant enfin à côté de son frangin, il haussa les épaules « tu me prends pour un fragile ou quoi ? » posant son regard sur les bouteilles derrière le barman, il fronça les sourcils « tu sais quoi… j’prendrai un mojito tout à l’heure. Pour le moment, j’ai juste envie d’un rhum. » Se prenait-il pour un pirate ? Ouais. Très probablement. En tous cas, son frère ne pourrait pas dire qu’il tapait bas. Moqueur, il tapa doucement son épaule : « alors… c’est qui la chochotte ? » lui tirant la langue, il hocha la tête aux affirmations d’Elijah « j’avoue… j’étais jamais venu, ou du moins pas souvent mais...en tous cas, tu marques un gros point là ! c’est super cool ! Tu viens souvent toi ? »
Lorsqu’Elliott provoqua son frère sur la fumette, il arqua un sourcil. Il avait imaginé toutes les réponses possibles, pourtant, celle qu’Elijah lui offrait… Il ne l’avait carrément pas prévue. Bon, après, franchement, avec un peu de recul, il n’était pas pour autant surpris que ce qu’il voulait bien montrer. Arquant un sourcil, il hocha la tête « ouais sauf que t’oublies le plus important : en général, c’est toi qui fournis le p’tit frère. » il se mit à ricaner, lui assénant un coup de coude dans les côtes, amusé, il continua de conduire, les menant sûrement vers le bar proposé par son frère.
Il avait beau se montrer blasé, peut-être même un peu vexé, tout ce la n’était en réalité que des apparences : Elliott était heureux de passer du temps avec Elijah, son frère et surtout son partenaire de conneries depuis la naissance… ou presque. Il s’imaginait déjà le déroulement de la soirée. En même temps, il fallait dire qu’elles étaient sensiblement toujours les mêmes : les Elli refusaient de s’arrêter simplement à cette limite fine entre « être saoul » et le fameux point de non retour : une fois passé du côté obscure de la force, Elliott savait pertinemment que les pires idées qui émergeraient de leurs esprits fatigués seraient réalisées... à deux, ils étaient les cavaliers de l’apocalypse, et ça faisait mourir le comédien de rire. Continuant son trajet, prenant un air triste, Elliott passa le dos de la main sur son front, prenant un air dramatique « oui… je suis si surmené, que parfois, je ne sais plus comment je m’appelle … Barbara, c’est bien moi ? » et éclatant de rire, il hocha la tête « j’ai toujours su qu’t’étais le vieux crado barbu, vu ton intérêt pour les mioches, ça se voit direct ! » clin d’oeil entendu. Elliott se gara devant le bar et arquant un sourcil, il finit par lancer :
« Ce ne sont pas des menaces, mon chéri, ce sont des promesses ! » il pinça la joue de son frère qu’il tapota doucement, avant de plonger sa main dans sa poche et de reprendre, nonchalant : « nooon jamais de la vie ! Les coups en traitre, jamais on s’en fait nous ! » et lui adressant un clin d’oeil, il conclut dans un sourire : « j’avoue. Pourquoi pas. j’suis sûr que tu cherches à me déstabiliser. Mais… au risque de te surprendre, j’ai embrassé un mec, l’autre soir ! » ricanant, il se concentra de nouveau sur la route. Bon, ce qu’il se gardait bien de raconter à son frère, c’était encore que le gars en question était le meilleur pote de ce dernier, et que le but de ce baiser était de faire fuir une fan un peu trop collante. Mais toute vérité était-elle utile à dire ? La réponse pour le brun était clairement : NON . D’ailleurs, il était assez coutumier du fait, allant jusqu’à cacher à son père la nature de son véritable métier. Mais après tout, quelle importance ? Pourquoi ne pas se contenter du fait qui ferait probablement marrer son frère, voire même : apporterait de l’eau au moulin de sa moquerie ?
Une fois à l’intérieur, Elliott observa les lieux, ses prunelles se posant ça et là au hasard des clients qui circulaient dans le bar. Et s’asseyant enfin à côté de son frangin, il haussa les épaules « tu me prends pour un fragile ou quoi ? » posant son regard sur les bouteilles derrière le barman, il fronça les sourcils « tu sais quoi… j’prendrai un mojito tout à l’heure. Pour le moment, j’ai juste envie d’un rhum. » Se prenait-il pour un pirate ? Ouais. Très probablement. En tous cas, son frère ne pourrait pas dire qu’il tapait bas. Moqueur, il tapa doucement son épaule : « alors… c’est qui la chochotte ? » lui tirant la langue, il hocha la tête aux affirmations d’Elijah « j’avoue… j’étais jamais venu, ou du moins pas souvent mais...en tous cas, tu marques un gros point là ! c’est super cool ! Tu viens souvent toi ? »
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Âge : 30 ans (21/06/90)
Situation financière : Pas terrible, il flambe le peu qu'il a et il taxe à droite à gauche
Situation amoureuse : Célibataire, amoureux de sa liberté
Orientation sexuelle : Bisexuel
Habitation : Appart 15 à Dupont Circle
Emploi/études : L'art d'enchainer les petits boulots sans les garder bien longtemps, il est actuellement barman au Manhole
Multicomptes : Sinéad Sörvik (Katheryn Winnick), Maeva Espinosa (Jenna Ortega) & Mateo Redfield (Travis Fimmel)
Rps en cours :
Nora(2) ✘ Sorën ✘ Léo(2) ✘ Nora(3) ✘ Jesabel ✘ Kara(2) ✘ Aedan(2) ✘ Keoni ✘ Emily
Terminés : Elvyra ✘ Léo(1) ✘ Kara(1) ✘ Nora(1) ✘ Joakim ✘ Aedan(1)
Abandonnés : Haley ✘ Autumn ✘ Elliott
Collins Brothers
we are here to drink your beer
D’aussi loin qu’il se souvienne, Elijah a toujours aimé emmerder son petit frère. D’ordinaire, dans une fratrie n’est-ce pas le plus jeune qui fait souvent chier le plus vieux ? Visiblement ce schéma ne fonctionne pas chez les Collins. Du moins l’aîné n’est pas en reste lorsqu’il s’agit de faire chier le monde. Eli n’a jamais eu l’étiquette du fils modèle, de celui qu’il fallait suivre dans la perfection de ses choix et son rôle de montrer l’exemple. Elijah Collins n’a rien du fils parfait. Des conneries, il en a fait des tonnes dans sa vie et il en fait toujours à l’heure actuelle. Il a plutôt tendance à entrainer son cadet dans les plans foireux et ce, depuis l’adolescence, alors ce n’est pas maintenant que ça va changer même en passant le cap de la trentaine. Certaines personnes s’assagissent en vieillissant. Ce n’est visiblement pas le cas de tout le monde. Il faut bien des exceptions qui confirment la règle.
Arrivé sur le parking du bar, les taquineries reprennent de plus bel. Un renvoi de balle incessant entre frères. La force de l’habitude. « Clairement pas ! Pas de coup de pute entre nous voyons ! Jamais ! » L’ironie empeste à plein nez mais c’est amusant de faussement nier l’évidence. Elijah a bel et bien une idée derrière la tête en emmenant Elliott dans un bar gay, pourtant il est réellement surpris d’entendre la révélation que le plus jeune lui sert en cet instant. Surpris, il hausse les sourcils. « Tu déconnes ? Toi t’as embrassé un mec ? Tu oses me dire ça maintenant alors que j’ai raté ce moment épique ! » Alors ça, ça aurait clairement valu le coup d’œil ! « T’es au courant que tu peux pas me dire ça et passer à autre chose sans me donner plus de détail, mec. » A ses mots, il se rapproche de son frère et passe un bras autour de ses épaules. « Fais moi rêver Elliott, c’était qui ? Dans quelles circonstances ? Pourquoi ? Des détails, des détails. » Il claque des doigts pour rythmer ses mots et encourager son cadet en à en dire plus. Il ne peut décemment pas le laisser sur sa faim comme ça, ce serait cruel. D’autant que s’il refuse de cracher le morceau, peut-être le fera-t-il plus tard. Après tout, l’alcool délie les langues, il suffira juste de patienter un peu s’il refuse de se mettre à table tout de suite.
Assis tous deux au comptoir, il est temps de passer aux choses sérieuses et de commencer à picoler. « J’te prends surtout pour un crétin qui ne sort pas assez souvent. Tu vas perdre les habitudes c’est pas bon. » Ce serait con de perdre sa capacité à encaisser l’alcool. Elliott se décide finalement pour un verre de rhum. Pourquoi pas. Il commence fort effectivement, ce n’est pas plus mal. D’ailleurs sa tape sur l’épaule et la taquinerie qui la suit arrache un léger rire à Elijah. « Je vais prendre la même chose que toi, fais pas ton malin. » D’ailleurs le barman ne tarde pas à les rejoindre pour prendre leur commande. Il ne lui faut ensuite que quelques secondes pour leur servir leurs deux verres de rhum. Une nouvelle fois, Eli hausse les sourcils, dubitatif aux paroles de son frère. « T’es jamais venu ou pas souvent ? C’est l’un ou l’autre. Soit t’as déjà foutu les pieds dans cet endroit, soit jamais ! » Voilà qu’il galère déjà à aligner ses pensées alors qu’il n’a pas encore bu ? Ça commence bien. « Je vais pas dire que je viens souvent non plus, pas toutes les semaines en tout cas. Mais je viens régulièrement ouais. » Il ne vient pas assez souvent pour être considéré comme un habitué mais le barman le reconnait maintenant, tout comme d’autres clients. Elijah n’a jamais caché son attirance pour les hommes à qui que ce soit. Elliott ne fait pas exception. D’ailleurs, le sujet précédent lui revient en mémoire et il est réellement curieux d’en savoir plus. « Alors comme ça mon petit Elliott, tu embrasses des mecs et tu me dis rien. » Sourire taquin au coin des lèvres, il attrape son verre entre ses doigts. C'est mal connaitre Elijah que d'imaginer qu'il va lâcher l'affaire. « Alors ? T’as eu le déclic ? Ça t’a plu ? Ou l’autre n’était pas assez doué ? » Le sujet est d’autant intéressant quand on sait dans quel endroit ils se trouvent.
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Ca avait toujours été comme ça, entre les Collins. Quand ce n’était pas le petit qui faisait des coups bas, c’était le grand qui s’y mettait, en faisant voir de toutes les couleurs à son cadet. Et quand ils ne jouaient pas dans des camps différents, les deux frères composaient une équipe redoutable. De celles qui avaient les pires idées, pour en faire voir des vertes et des pas mûres à quiconque déciderait de se mettre en travers de leur route. A eux deux, ils étaient les cavaliers infernaux. Et Elliott, il adorait ça. Chien et Chat, cette complicité qu’il avait toujours su garder avec son frère, il en était fier comme jamais, et à en juger par les piques qui volaient entre eux dans la voiture, ping-pong verbal dignes des plus grands rap-contenders ; elle n’était pas prête de s’arrêter de sitôt : Eminem et Dr Dre n’avaient qu’à bien se tenir. Mort de rire, Elliott arqua un sourcil : il savait que les propos de son frère étaient à prendre à la légère : parce que les coups de pute entre eux, c’était tout simplement leur façon de se montrer qu’ils tenaient l’un à l’autre, aussi débile cela puisse-t-il être. C’était ainsi qu’ils fonctionnaient, et entendre Elijah le nier arracha un soufflement de nez à son cadet qui secoua la tête, incrédule. Devant le bar, Elliott finit par cracher le morceau. Oh, pas que la nouvelle fut incroyable. Non, elle était plutôt même assez drôle. Et si Elli s’amusait de cette petite mésaventure qui lui avait tout de même permis de retrouver Aedan après toutes ces années, elle n’en resterait pas moins qu’une anecdote : Elliott aimait bien trop les femmes pour les abandonner du jour au lendemain. Pourtant, à voir son frère en redemander, il ne put s’empêcher de mettre les pieds dans le plat, se délectant des réactions d’Elijah « non, j’suis on ne peut plus sérieux ! c’est pas donné qu’à môôôsieur Elijah Collins premier du nom, d’aimer tout le monde ! Et ouais, j’ose t’annoncer ça sans ménagement. Rassure moi, pas trop violent pour ton coeur d’ancêtre ? Il tient le coup, ou tu veux t’asseoir ? » il lui adressa un clin d’oeil moqueur, avant de reprendre, toujours aussi sérieux « c’était un peu après que Roman ne commence son délire et me retienne prisonnier dans mon propre salon. J’étais malgré tout sorti : exactement comme ce soir, si on y réfléchit deux secondes. » il se mit à rire, avançant dans la file « j’me faisais clairement chier, j’voulais rentrer : j’commençais à regretter d’avoir suivi les potes, mais tu sais comment c’est dans ces cas là. Généralement, on reste au bar, on attend que ça se passe pendant que les autres partent à la chasse aux mignonnes et quand tout le monde est bien fatigué... » il haussa les épaules : inutile de poursuivre : il savait qu’Elijah avait autant de pratique que lui, si ce n’était pas plus. « j’étais seul, je buvais mon premier whisky de la soirée quand un type ; baraqué, métis, assez canon est venu s’asseoir à côté de moi et a engagé la discussion, et de fil en aiguille... » il marqua une pause, lui faisant comprendre que ça avait été LE moment. « J’sais pas, j’avais jamais ressenti un truc comme ça pour un gars, c’était in-croy-yable. On doit se revoir d’ailleurs !» intérieurement mort de rire, attendant avec impatience la réaction de son aîné. Surtout : ne pas craquer.
Sa fable enfin racontée, Elliott observa avec intêret le barman qui préparait leurs verres : « j’fais pas mon malin : j’sais juste que j’vais te mettre la misère, c’est écrit ! » et ricanant, il se gratta la tête « ok. Touché. J’crois qu’j’ai bien du venir une fois ou deux. Toi qui sembles si tatillon sur le sujet, j’suis en revanche au regret de te dire que je ne sais plus à quand ça remonte ! » il se mit à rire et remercia le serveur qui vint leur donner leurs boissons, éclatant de rire, surpris lorsqu’Elijah manifesta un intêret certain à ce bisou qu’il venait de lui raconter. Mort de rire, il était incapable de garder son sérieux d’avantage : « OK ! Ok ! j’te dois la vérité ! y’avait une meuf qui me collait en soirée, tu sais, le genre de fan chelou qui découpe tes photos dans les magazines et leur roule des pelles ? c’est de ça, qu’on parle. Une psycho ! j’venais de renverser malencontreusement mon verre sur le type à côté de moi, que j’aidais à s’éponger. Mais quand j’ai vu que l’autre continuait de me coller… j’ai usé de mes talents de comédien pour faire croire à un baiser langoureux avec ce pauvre type. » il prit une gorgée de son verre, avant de conclure, amusé rien qu’à repenser à tout ça : « le lendemain, quand j’ai désaoulé, j’ai envoyé un message au type pour m’excuser -on avait sympathisé dans la soirée et il m’avait laissé sa carte- quand j’ai vu son nom sur la carte, j’me suis tapé la plus grosse barre de ma vie : ce gars que j’ai malmené toute la soirée : c’était Aedan ! j’suis d’ailleurs grave étonné qu’il ne t’en ait pas parlé ! » et adressant un sourire amusé à son frère, pas peu fier de son petit effet, il leva son verre « désolé frérot. J’aime encore bien trop les filles pour leur faire des infidélités ! » et lui adressant un clin d’oeil, il conclut : « aux gars, aux filles et… à tout ce qui peut nous rendre heureux ; être réducteur, c’est de la merde ! Santé Eli ! »
Sa fable enfin racontée, Elliott observa avec intêret le barman qui préparait leurs verres : « j’fais pas mon malin : j’sais juste que j’vais te mettre la misère, c’est écrit ! » et ricanant, il se gratta la tête « ok. Touché. J’crois qu’j’ai bien du venir une fois ou deux. Toi qui sembles si tatillon sur le sujet, j’suis en revanche au regret de te dire que je ne sais plus à quand ça remonte ! » il se mit à rire et remercia le serveur qui vint leur donner leurs boissons, éclatant de rire, surpris lorsqu’Elijah manifesta un intêret certain à ce bisou qu’il venait de lui raconter. Mort de rire, il était incapable de garder son sérieux d’avantage : « OK ! Ok ! j’te dois la vérité ! y’avait une meuf qui me collait en soirée, tu sais, le genre de fan chelou qui découpe tes photos dans les magazines et leur roule des pelles ? c’est de ça, qu’on parle. Une psycho ! j’venais de renverser malencontreusement mon verre sur le type à côté de moi, que j’aidais à s’éponger. Mais quand j’ai vu que l’autre continuait de me coller… j’ai usé de mes talents de comédien pour faire croire à un baiser langoureux avec ce pauvre type. » il prit une gorgée de son verre, avant de conclure, amusé rien qu’à repenser à tout ça : « le lendemain, quand j’ai désaoulé, j’ai envoyé un message au type pour m’excuser -on avait sympathisé dans la soirée et il m’avait laissé sa carte- quand j’ai vu son nom sur la carte, j’me suis tapé la plus grosse barre de ma vie : ce gars que j’ai malmené toute la soirée : c’était Aedan ! j’suis d’ailleurs grave étonné qu’il ne t’en ait pas parlé ! » et adressant un sourire amusé à son frère, pas peu fier de son petit effet, il leva son verre « désolé frérot. J’aime encore bien trop les filles pour leur faire des infidélités ! » et lui adressant un clin d’oeil, il conclut : « aux gars, aux filles et… à tout ce qui peut nous rendre heureux ; être réducteur, c’est de la merde ! Santé Eli ! »
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