Zayn Phoenix Clarke
ft. Jensen Ackles
Prénom(s) Zayn Apparemment, c’est un nom qui signifie « beauté » en arabe. Peut-être que c’est ma mère qui l’a entendu d’une amie, a trouvé que j’avais belle gueule à la naissance et c’est ainsi que le nom est apparu, je ne l’ai jamais vraiment su.
Nom Clarke, simple prénom de mon paternel, nom que je n’ai pas toujours aimé porter, mais avec qui j’ai fait toute ma vie. Et puis, mon nom était court à écrire, est facile à signer sur des papiers. Il y a un bon côté à avoir un nom court qui s’écrit facilement.
Âge J’ai frappé la quarantaine il y a de cela un peu plus d’un an, ce qui fait en sorte que j’ai maintenant
quarante-et-un ans. Je sais que je ne les fais pas. Je sais que je ne les ferai jamais et c’est parfait comme ça.
Date & Lieu de naissance J’ai vu le jour le
vingt-deux mars mille neuf cent soixante-dix-neuf à
Alexandria, en Virginie, une petite ville à quelques minutes du centre de Washington DC. Puisque toute l’action s’y déroulait, c’est presque comme si j’étais né à Washington.
Métier / EtudesAprès le lycée, je suis entré à la
Metropolitan Police Academy, soit à la même académie où mes parents ont fait leurs études. C’est d’ailleurs la seule raison pour laquelle j’ai réussi à entrer, parce que j’étais loin d’avoir les résultats et qualifications pour le faire. Malgré tout, je suis parvenu à me frayer un chemin jusque dans le corps de police de la ville de Washington pour devenir inspecteur. Il y a trois ans, j’ai décidé de commencer à travailler seul. Depuis 2017, je suis donc
détective privé à mon compte, même s’il m’arrive parfois de collaborer avec la police sur certaines affaires.
Origines & Nationalité Mes deux parents sont nés au États-Unis comme leurs parents et leurs parents avant eux. J’y suis né également, faisant en sorte que je suis
américain d’origine et de nationalité
américaine. Que Dieu bénisse l’Amérique.
Orientation sexuelle Pour une raison que je ne comprends toujours pas, on croit parfois que je suis homosexuel, ou bisexuel. Ça doit être parce que je suis irrésistible aux yeux de tout le monde, homme, femme, panda, etc. Et pourtant, je suis attiré par des relations qu’avec des femmes, faisant en sorte que je suis
hétérosexuel.
Situation amoureuse Célibataire qui peut paraître pathétique aux yeux de certains. En effet, je n’ai jamais su garder une relation sérieuse. Même le hamster que j’avais gardé une fois pour un ami en avait assez de moi au bout d’un week-end. Je me suis résigné au fait que la petite famille parfaite, ce n’était pas pour moi. Est-ce que c’est une perte ? Pas nécessairement. Pas à mon avis pour le moment en tout cas.
Situation financière Travailler à mon compte n’est pas toujours facile, mais entre les dossiers qu’on me confie, la compensation que je reçois de la police lorsque je participe à certaines affaires, je suis capable de garder un compte en banque
suffisant pour payer les factures et parfois quelques petits plaisirs.
Caractère Nous vous demandons au moins 5 traits de caractère et de développer chacun d'entre eux avec au moins une petite phrase. Rancunier : Il y a bien des choses que je ne parviens pas à pardonner, parfois pour une raison valable, parfois pour une raison complètement ridicule.
Honnête : J’ai tendance à dire ce que je pense de la façon que je le pense, ce qui fait en sorte que parfois, je deviens un champion pour provoquer un malaise, ou dire quelque chose de complètement ridicule. Au moins, je m’assume.
Loyal: J’ai beau avoir de la difficulté à garder une relation stable, mais avec les gens que j’apprécie, c’est différent. Je suis prêt à faire bien des choses pour eux.
Exigeant : Je manque parfois d’organisation, mes choses semblent un peu brouillon, mais je ne pose pas de geste si je ne suis pas certain de ce que je fais et du résultat. Voici pourquoi je préfère travailler seul; parce que je n’ai pas à faire avec les erreurs des autres.
Colérique: Je sais depuis longtemps que j’ai tendance à me fâcher rapidement et ma situation des trois dernières années ne m'a pas aidé à me rendre plus calme et plus posé. J’essaie de développer des méthodes pour tenter de gérer ma colère, mais ça ne fonctionne pas toujours.
Groupe Miranda Priestly
anecdotes
IUn. Tous les amateurs de séries et livres d’action auraient aimé avoir ma famille, mes parents en particulier. Tous deux sont des détectives renommés et respectés. Mon père, pour la police de Washington, ma mère pour le FBI. Il travaillait aux homicides et ma mère, pour les drogues. Chaque soir, quand je pouvais les voir, ils rentraient à la maison avec plein d’histoires. Mes parents étaient des héros, bottaient le derrière de plein de gens, j’étais en sécurité, j’avais les meilleures présentations en classe. Tout semblait aller pour le mieux. Deux. Je n’ai pas de frère ou soeur. Parfois, je me dis que ma naissance était probablement un accident en soi. Mes parents étaient particulièrement occupés, si bien que souvent, ils me laissaient avec une baby-sitter, une amie de la famille qui s’occupait de moi quand ils n’étaient pas là. Elle était gentille, elle avait un fils avec qui je m’entendais bien. Je ne m’en faisais pas trop, je pensais vivre une belle vie malgré tout. Trois. Tout s’arrêta soudainement quand j’avais douze ans. Ma mère partit pour une mission et elle ne revint jamais, assassinée par un des malfaiteurs qu’elle comptait mettre derrière les barreaux. Quatre. Mon père a souffert de la perte de sa femme, j’ai souffert de la perte de ma mère. Et naïvement, j’avais cru que nous saurions quand même nous soutenir, lui et moi. On ne parlait pas beaucoup, mais je ne pensais pas qu’on avait des différends importants. Je m’étais trompé. Cinq. Ç’avait commencé par des regards froids, des paroles sèches. C’était supportable pendant un temps, puis ça ne fit qu’empirer. Ce n’était plus qu’une distance due à un deuil. C’était de la torture physique et psychologique. Six. Ma situation familiale ne vint pas m’aider à l’école. D’un élève moyen, j’étais devenu un individu arrogant, au-dessus de tout, au-dessus de ses cours. J’étais beau garçon, j’avais l’attention des filles, mais je n’avais pas celle de mes enseignants, pas la plus positive qui soit. Mon avenir ? Je m’en moquais. Parfois, je rentrais le soir en me demandant si j’allais avoir ne serait-ce qu’un lendemain. Sept. Tout finit par se retourner contre moi. À défaut d’avoir des résultats acceptables et un dossier complet, aucune université ne voulait m’accepter. Pour moi, ça pourrait le faire, je ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie. Mon père, lui, ne le prit pas comme ça. Demandant une faveur à son alma mater, il s’assura de me faire entrer à l’académie de police. Tout ce que je voulais, c’était fuir mon père, et je n’y étais pas arrivé. Huit. Surveillé de près à l’Académie, je fus obligé de me forcer à bien faire mes classes et graduer. Je devins policier, restant à Washington, tout près. Heureusement, mon père avait été muté entre-temps. Je ne l’avais pas suivi, j’avais refusé de le suivre. Ce simple changement avait été visiblement suffisant pour me motiver à bien faire les choses. Neuf. Ce qui vint m’aider à pleinement m’épanouir dans ma profession, ce ne fut pas tant le départ de mon père, mais aussi, et surtout, mon partenaire de travail. Alors que j’étais mieux seul, lui, il était parvenu à me faire changer d’avis. Je le connus quand je passai inspecteur, il y a de cela environ huit ans. Nous avions fait l’Académie ensemble, sans toutefois prendre le temps de faire connaissance. Nous étions désormais inséparables, et je me voyais déjà travailler avec lui jusqu’à ma retraite. Dix. C’était il y a cinq ans. Nous étions en mission, il arriva à mon partenaire la même chose qui était arrivé à ma mère; il fut assassiné en service. J’étais là, quand il était décédé. Je l’avais senti partir, j’avais été obligé - ou plutôt, j’avais senti l’obligation - de l’annoncer à sa femme. Ce fut ainsi que je perdis mon meilleur ami, ma raison d’aller travailler chaque matin, en sachant que qu’importe ce qui se passait, ce serait une belle journée. Onze. Boire et fumer, c’était quelque chose que je faisais occasionnellement, pour passer les nerfs, sans abuser. Mais plutôt que d’être une activité limite récréative, cela devint un échappatoire, pas le meilleur qui soit. L’envie occasionnelle devint progressivement une dépendance, qu’importe le moment de la journée. Pendant deux ans, je n’avais pas été sobre, pas une seule fois. Même si c’était tout près, ce n’était jamais parfait. Douze. J’aurais pu continuer ainsi et être encore alcoolique, narcotique encore longtemps, puisque je ne réfléchissais pas, je ne savais pas comment j’allais passer au travers. Puis, tard un soir, je patrouillais, seul pour une fois. En fait, je ne me souvenais même pas si je patrouillais ou si je faisais seulement chercher le chemin pour rentrer chez moi. Je me retrouvai devant des individus qui avaient consommé plus que moi. Les échanges de paroles sont flous dans ma tête, je n’ai pas de souvenirs précis de ce qui a été dit. Je n’ai pas non plus de souvenirs de ce qui s’est passé. Un coup, un second, j’étais tombé au sol. Puis, je les avais laissés frapper, fermant les yeux, comme si j’espérais que leurs coups aient raison de moi, une bonne fois pour toutes. Treize. Je m’étais réveillé quelques jours plus tard. Verdict ? Hématomes, côtes fêlées, poignet cassé, commotion cérébrale. C’était qu’un bref aperçu de tout ce qui m’avait été infligé pendant cet incident, ou cette tentative de suicide imprévue. Et pour la première fois dans cet hôpital, j’étais sobre. Et ce fut dans ce moment de lucidité que je pris la décision de prendre le dessus sur mes tourments, reprendre ma vie en main. Quatorze. Après avoir obtenu mon congé de l’hôpital, je ne retournai pas au commissariat tout de suite, prenant un temps pour moi, pour repenser ma vie. Lorsque j’y retournai, c’était avec une lettre de démission. Une lettre qui avait surpris mon capitaine, si bien qu’il me demanda de ne pas complètement couper les ponts, rester non loin, aider au besoin. Je n’avais pas su refuser. Puis je rentrai chez moi, pour mettre en place ce que j’avais en tête. Quinze. Z. Clarke, détective privé. Voilà mon grand plan. Grand plan qui était probablement ridicule, mais qui me semblait le plus approprié pour continuer à utiliser mes talents de déduction, travailler avec et pour ma propre personne. Seize. Les premiers mois avaient été loin d’être simples. Heureusement qu’on m’offrait d’agir à titre de consultant sur certains dossiers. Puis, ç’avait commencé par un dossier, une femme qui voulait vérifier si son mari la trompait. Quelque chose de simple, mais qui avait été bon pour faire mousser mes affaires. Dix-sept. Cela fait trois ans que je vis de ma propre affaire, avec mon bureau dans mon appartement. Parfois, c’est occupé, parfois moins. Mais je m’organise, je n’ai pas de contraintes d’emploi du temps, je peux travailler comme je le souhaite, et ça me plait ainsi. Dix-huit. Lorsque je me sens dans une impasse psychologiquement et que j’ai envie de revenir à mes vieilles habitudes, il m’arrive de me rendre à des rencontres pour alcooliques et narcotiques anonymes. Parfois, je ne partage pas, je ne fais qu’écouter, et c’est suffisant pour que je me sente un peu moins seul. Dix-neuf. Lorsque j'ai arrêté de consommer, j’ai découvert le plaisir de manger des pâtisseries. Il a fallu que que j’apprenne à me contrôler sur ça aussi, mais il n’est pas rare qu’une boîte de donuts traine sur le plan de travail de la cuisine, ne demandant qu’à se faire vider. Vingt. Habitué aux voitures utilisées par les policiers, j’ai choisi d’en avoir une dans le même genre, soit un Dodge Challenger noir. Il m’arrive d’avoir encore le réflexe de chercher le bouton pour activer la sirène, même si ça fait un bon moment que je ne l’ai plus.
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