- Gillian BrightThere's nothing you can't say
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Âge : quarante-huit printemps depuis le trente-et-un juillet.
Situation financière : confortable.
Situation amoureuse : célibataire, divorcée depuis six ans.
Orientation sexuelle : bisexuelle.
Habitation : #16, adams morgan.
Emploi/études : anciennement sage-femme, aujourd'hui reconvertie dans la sexologie, elle est aussi l'auteure de plusieurs bouquins.
Multicomptes : nicholas, pablo et junon, les trois bg de la night. (h. cavill, p. pascal et zendaya)
Rps en cours :
(5/5) : Les Vieilles Pies — Abigail — Gaby — Logian#2 — Cole — you ?
Terminés : Popeye — Logian #1 — Event #1
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Outfit – Les rendez-vous et les patients s’enchainent, la journée passe doucement. Pendant la pause déjeuner, de nouvelles idées pour son prochain livre lui viennent et s’affaire donc à les écrire sur son ordinateur. Puis lorsqu’il est l’heure, elle court chercher son neveu à l’école ; sur le chemin du retour, ils s’arrêtent devant un stand et s’offrent un pancake au chocolat et continuent joyeusement leur route. Arrivés à destination, la baby-sister les attend devant le portique de la petite maisonnette. Il est déjà presque l’heure de repartir car la journée est loin d’être terminée, aussi la sexologue prend le temps de se doucher et d’enfiler quelque chose d’un peu plus distingué pour l’entrevue qui va suivre. Ses cheveux indisciplinées lui donnent du fil à retordre mais une fois coiffée, maquillée et habillée, elle se dit que tous ses efforts en valaient tout de même la peine. Elle quitte la demeure familiale vers dix-huit heures, en rappelant bien à Ambrose et la baby-sitter de bien faire réviser la poésie pour le lendemain et de prendre son bain avant qu’elle ne soit rentrée, probablement en milieu de soirée si tout se passe bien.
L’idée de retrouver Logan est probablement le seul élément qui la motive à se rendre dans ce foutu bar. La dernière expérience dans un pub n’a pas été des plus réussis, ayant passée le reste de la nuit qui a suivi à vomir ses tripes. Mais elle sait d’or et déjà que les choses seront différentes aujourd’hui puisqu’il s’agit d’une rencontre un peu plus solennelle. Les deux femmes doivent en effet faire la connaissance d’une personne qui pourrait les aider dans leur combat contre le directeur de l’école où sont inscrits leurs enfants respectifs ; une jeune femme travaillant dans une association en lien avec l’éducation nationale ; quelqu’un qui a des contacts assez hauts placés donc.
Une fois sur place, ses yeux retrouvent rapidement la trace de Logan qu’elle salue avec un peu trop d’enthousiasme et de sourires chaleureux. Cette femme sait comment y faire pour lui faire perdre ses moyens et ça probablement sans même s’en rendre compte, ce qui est à la fois déconcertant et presque crispant. Elles s’installent tranquillement à une table, observant les clients entrant et sortent de l’établissement afin de repérer l’interlocutrice tant attendue. Il y a beaucoup de passage, essentiellement des hommes en costard et des femmes en jupe crayons, tous cartables en main et se retrouvant pour se détendre après le travail. Elles finissent par commander un verre, continuant à patienter et se racontant leur vie respective. Plus les minutes s’écoulent et plus l’espoir d’une rencontre s’amincisse, l’entrevue finissant presque par ressembler à un rencard entre elle et la professeure -ce qui ne serait pas pour lui déplaire finalement, mais encore faudrait-il l’admettre. Quoi qu’il en soit ses paroles finissent par dépasser ses pensées. « J’ai la nette impression qu’elle nous a soit posé un lapin, soit totalement oublié, non ? » Dit-elle alors sur un ton entre le sarcasme et l’agacement. Et dire qu’elle pourrait être dans son canapé, bien au chaud sous un plaid à manger un plateau télé avec son neveu. Un certain réconfort se trouve en la présence de Logan qui réchauffe un peu son coeur et ses joues, à moins que ça soit à nouveau l’alcool et qu’elle devienne de plus en plus intolérante avec l’âge ; d’un commun accord et sans nouvelles de leur rendez-vous, elles finissent par se lever pour payer leur note et rentrer chacune de leur côté.
Et puis c’est là qu’elle l’entend, les paroles de cette femme qui se plaint. Un peu plus loin, silhouette chétive semble se débattre face à un homme un peu trop collant. Tout le monde autour regarde, personne n’intervient, pas même le personnel. La sexologue jette un regard, sourcils froncés en direction de son amie. Elles n’ont pas besoin de parler pour se mettre d’accord et lui porter assistance. Leurs pas déterminés les avancent donc jusqu’à l’altercation ; elle est la première à prendre la parole. « Oi ! Il se passe quoi là ? » Dit-elle d’une voix sévère et froide, posant ses doigts sur l'épaule de l'homme, très probablement ivre, pour lui faire face. Ce dernier se retourne donc mais la repousse avec violence en posant l’une de ses mains crasseuses sur sa poitrine. La table juste derrière la soutient et l’empêche de tomber au sol malgré la collision, tandis que l’agresseur les regarde les deux amies, un air plutôt indescriptible sur le visage. « Casse-toi pétasse ! Tu vois pas que je parle avec ma chérie ? »
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- Logan McLeodEvery avalanche begins
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Emploi/études : Enseignante-chercheuse en histoire à l'université.
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OutfitComme souvent quand tu as hâte d’arriver à un point précis de ta journée, les heures s’écoulent à une lenteur effarante. Aujourd’hui ne fait évidemment pas exception. Le temps semble s’allonger alors que tu surveilles d’un œil attentif tes étudiants pendant leur examen. Le cours que tu donne l'après-midi te paraît traîner en longueur, malgré l’implication de tes élèves et l’intérêt que tu portes au sujet. Il faut dire que ton esprit est concentré sur ton rendez-vous de ce soir bien plus que sur ta journée. La fin de ta journée de travail arrive enfin, et tu expédies les dernières minutes de cours, ainsi que les quelques jeunes qui voulaient te poser des questions, prétextant être pressée. Ce qui, sémantiquement, n’est pas faux. Tu es bel et bien pressée d’y être. Mais tu n'es pas en retard. Comme tous les soirs, tu récupères ta fille à l’école, et tu la fait goûter, profitant du peu de temps que vous allez pouvoir passer ensemble aujourd’hui. Tu sais qu’elle sera sûrement endormie à ton retour, tu savoures donc ces quelques minutes en tête à tête. Puis, une fois le goûter fini et débarrassé, elle court vers le salon pour sortir ses poupées, pendant que toi tu en profites pour aller rapidement te doucher et te changer. Il est toujours important de faire bonne impression, et pour le coup, ça vaut autant pour ta sexologue favorite que pour la personne que vous êtes censées rencontrer.
Une fois la baby sitter arrivée, tu embrasses ta fille avant de te diriger vers le lieu du rendez-vous. Un bar, à nouveau, mais cette fois tu te fais la promesse de ne pas abuser de la boisson. Pas question de finir encore une fois la nuit sur le canapé d’un ami à déclamer ton admiration pour une femme que tu ne connais que depuis peu. Non, ce soir, le mot d’ordre est sobriété et modération. Tu retrouves donc Gillian au bar, et la simple vue de la jolie rousse amène un sourire à tes lèvres, et fait s’envoler le stress de ta journée. L’effet qu’elle a sur toi est déroutant. Personne jusqu’ici n’a eu à ce point d’emprise sur tes pensées et même sur ton cœur en dehors de ta fille. Et tu ne sais pas si tu dois t’en réjouir ou t’en inquiéter. En attendant, tu profites de l’instant et vous vous installez tranquillement, pour boire un verre et discuter, en attendant la jeune femme qui devait vous rejoindre. Seulement, les minutes passent, et aucun signe d’elle. Il semblerait bien, en effet, que votre rendez-vous vous ait complètement zappé. Volontairement ou pas, peu importe. Tu ne peux pas le nier, tu es déçue. Doublement déçue. D’abord parce que tu espérais que cette rencontre puisse faire avancer un peu votre affaire au sujet de l’école, mais aussi et surtout, parce que cela signifie que ton temps en compagnie de Gillian va être écourté. “Effectivement, je crains que notre vengeance ne soit pas pour aujourd’hui…” Après quelques minutes d’attente supplémentaires, vous vous décidez à abréger la soirée pour retourner à vos enfants respectifs. Non pas que tu aurais été contre l’idée de passer le restant de la soirée à la regarder avec des yeux de merlan frit mort d’amour dans la vase, mais évidemment, tu n’allais pas proposer ça.
Alors que vous vous apprêtez à payer, tu vois Gillian se retourner brusquement. Tu n’as rien entendu, mais tu fais de même, ton regard immédiatement attiré par la scène qui semble se dérouler dans l’indifférence générale. Enfin, indifférence, non, tout le monde regarde, mais personne ne bouge. Typique. Gillian se dirige d’un pas ferme vers le mec visiblement pas frais, et tu lui emboîte le pas sans même y réfléchir une seconde. Il faut bien que quelqu’un intervienne, et s’il faut que ce soit vous deux, et bien, tant pis pour lui. Gillian interpelle le gars et tu te plantes à côté d’elle sans un mot, n’ayant rien à ajouter. Tu adresses un regard que tu veux rassurant à la personne que vous êtes venues aider, avant de te retourner vers le type et d’afficher ton air le plus menaçant, celui que tu réserves aux abrutis ou à tes étudiants quand ils jouent un peu trop avec ta patience. En général, ça calme tout le monde. T’as un visage naturellement sévère, et un simple regard un peu froid suffit le plus souvent à convaincre les gens que tu n’hésiteras pas une seule seconde à les assassiner s’ils abusent de ta patience. Malheureusement, pour lui plus que pour toi d’ailleurs, l’homme ne semble pas conscient du danger que tu peux représenter. L’alcool n’aide sûrement pas ses neurones à faire la connection. Alors que tu te prépares mentalement à devoir argumenter avec un soulard - Ô joie - il ose poser ses mains sur Gillian, et par-dessus le marché, la traiter de pétasse. Autant dire qu’à tes yeux, il vient de commettre un crime de lèse-majesté. Personne ne peut s’en prendre à Gillian sans que tu ne leur tombe sur le râble.
Après t’être assurée d’un rapide coup d'œil que celle-ci n’avait rien, tu te retournes vers l’agresseur et t'attelles à lui expliquer le fond de ta pensée de ton ton le plus froid possible. “Premièrement, si tu touches, ou même adresse la parole à mon amie encore une fois, je vais me faire un plaisir de te briser les os un par un. Deuxièmement, celle que tu appelles ta “chérie” n’a visiblement aucune envie de te parler, donc tu lui fous la paix, ou je t’arrache les poils des couilles un par un. Compris ?” Son regard vide t’indique qu’à priori, les connexions ne se sont pas encore faites dans son cerveau. Puis d’un coup, ça fait tilt dans sa petite tête, et le vide sidéral semble faire place à une certaine colère. Il te lâche un “Mêle toi de ton cul, la vieille” assez mal articulé, avant d’essayer de te repousser à son tour. Sauf que cette fois, tu la vu venir, d’autant que ses réflexes ne sont pas des plus aiguisé, et tu te contente de prendre le bras qu’il dirige vers toi pour l’entraîner vers le sol, où il s’étale comme la merde qu’il est. Tu le laisses essayer de se relever tout seul, bien consciente qu’il n’en a sans doute pas terminé avec vous, et tu te tournes vers la femme qu’il importunait pour t’assurer qu’il ne lui a rien fait. “Tout va bien ?”
- Charlène BrennanShe's the devil's
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Âge : Ses pieds frôlent le sol de la Terre depuis déjà quarante-huit ans. Des années parsemées de hauts, mais principalement parsemées de difficultés.
Situation financière : Elle a longtemps connu les difficultés financières. Souvent, elle a compté ses derniers dollars pour joindre les deux bouts. Maintenant, elle vit aisément.
Situation amoureuse : Mariée à Tayron. Elle est comblée à ses côtés, bien plus qu'elle ne l'a jamais été. C'est en toute intimité qu'ils se sont dit "oui" pour le meilleur et pour le pire.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle qui n'en a jamais douté, bien qu'elle a eu besoin de temps pour se laisser à nouveau aller dans les bras d'un homme. Elle est donc seulement attirée par les courbes masculines
Habitation : Résidant dans une belle maison à Georgetown, elle y habite depuis seulement quelques années, depuis que sa carrière a prit son envol.
Emploi/études : À la tête d'une maison d'édition où elle a travaillé auparavant, elle s'épanouit sincèrement dans ce domaine auquel elle ne pensait pas particulièrement à l'origine puisque son rêve était de devenir danseuse..
Multicomptes : Gabriella (Vitaa) + Sophia (Margot Robbie) + Soraya (Abigail Cowen) + Laura (Eliana Ghen)
Rps en cours : "He said something about hell raining down on me. Never imagined hell would look like you."
Tayron #4 ~ Makayla ~ Tamara ~ Tamara #2 ~ Elvyra ~ Les vieilles pies ~ Charlie ~ Elena, Ben & Tayron ~ June & Tamara
Rps terminés : Tayron ~ Tayron #2 ~ Tayron #3
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À chaque fois qu't'es là j'ai juste envie d'me barrer. J'ai peur des autres, t'as gagné. Je reste toute la journée dans mon lit à t'écouter, parfois ma tête ne tient plus qu'à un fil. C'est peut-être parce que mon cœur est fébrile. Tu chasses en moi tout c'qui était facile, on finira tous les deux à l'asile. Et j'en ai marre de toi, je sais c'est dur mais c'est comme ça. Mais c'est pas moi, non c'est toi, moi j'allais bien avant tout ça.
Outfit ~ Après une longue journée de travail, tu es rentrée chez toi l'espace d'une petite afin de prendre une bonne douche chaude. Vu les événements, tu as besoin de te détendre, de penser à autre chose et heureusement, tu as un rendez-vous "professionnel" avec une grosse cliente, le genre de cliente auxquelles tu es habituée. De toute façon, ce n'est pas le premier livre que cette auteure souhaite sortir, tout comme ce n'est pas le premier que tu publies à son nom. C'est d'ailleurs pour ça que tu lui as donné rendez-vous dans ce bar où vous vous étiez déjà rendues auparavant. L'endroit est plus calme, moins professionnel tout en restant un lieu neutre, c'est parfait. L'eau chaude ruisselant sur ton corps te fait un bien fou mais pour autant, tu ne dois pas trainer. Ni une, ni deux, tu enfiles ta tenue avant de te maquiller tout en légereté. Avant de partir, tu manges rapidement un petit paquet de biscuit, le repas attendra ton retour. Enfin, tu iras sûrement chercher quelque chose dans un restaurant à proximité, autant faire dans la simplicité.. Pour te rendre jusqu'à destination, tu utilises donc ta voiture puisque tu n'as pas l'intention de boire énormément non plus. Un verre, c'est bien. D'autant plus que c'est un rendez-vous professionnel, ce n'est donc pas le moment de boire jusqu'à n'en plus pouvoir.
Arrivée à ce bar, tu t'installes sur une banquette pour deux personnes où tu attends donc ta cliente. D'habitude, elle n'est jamais en retard mais évidemment, ça peut arriver à n'importe qui. C'est pour cette raison que tu attends d'abord cinq minutes, puis dix minutes... Au bout de quinze minutes, tu te décides à consulter ton téléphone. Et là, tu constates que tu as reçu un message il y a plus d'une heure. Message en provenance de cette même cliente qui a eu un imprévu et ne peut donc pas venir. Si seulement tu avais eu l'intelligence de vérifier ton téléphone avant de partir... Mais non. Tu soupires donc, commandant un verre histoire de ne pas être venue pour rien. Optant pour un cocktail assez simple, le serveur s'en va afin de préparer ta commande pendant que toi, tu te plonges dans tes songes l'espace de quelques instants. Dès qu'il revient avec ta boisson, tu le remercies avec un sourire poli et courtois. Buvant une gorgée, tu observes tout autour de toi. Les gens discutent, rient, semblent simplement profiter de leur soirée. C'était plutôt calme, jusqu'à maintenant... Mais après le calme vient la tempête. Classique.
Un homme au visage un peu trop familier s'approche de toi. Tout mais pas ça, pas lui. Voilà ce à quoi tu penses dès que tu le reconnais. Comment oublier le visage du diable en personne. Alors que tu viens de finir ton verre, tu te lèves en attrapant ton sac en quatrième vitesse. Fuir. Ton instinct de dit de fuir. Sauf qu'il t'attrape assez violemment par le bras, te forçant ainsi à te tourner vers lui. Pas si vite. Sa voix te provoque une sensation de dégoût. Ton regard se plante dans le sien et ce que tu y vois t'effraies toujours autant qu'avant. Mais tu refuses de laisser paraître quoi que ce soit. Son haleine pue autant l'alcool que les dernières fois où tu avais pu le voir, c'est répugnant. Il est complètement saoul.Lâche moi. On a plus rien à se dire. Lui dis-tu assez froidement. Et pourtant, tu sais que face à lui, tu ne fais pas le poids. Pour autant, tu ne veux pas te laisser abattre face à lui. Hors de question qu'il puisse avoir une influence quelconque sur toi. Mais tu penses me tenir tête? Toujours aussi stupide et bonne à rien. Dit-il avec difficultés. Là, c'est trop. Tu le gifles devant tout le monde. Et visiblement, ça le met en colère. Sauf que même si vous êtes en public, tu vois que ce geste de ta part le met hors de lui.
Les regards sont fixés sur vous depuis déjà quelques minutes, mais personne n'a osé s'interposé. Encore une fois, tu tentes de te débattre, de l'obliger à lâcher son emprise. Au lieu de ça, il la serre un peu plus à chaque fois.Tu me fais mal, laisse-moi ! Heureusement, deux femmes que tu n'as encore jamais rencontré se lèvent et s'interposent. Ce qui ne lui plait pas. Mais toi, tu te sens bien plus épaulée, pas livrée à toi-même, simplement. Il est donc contraint de relâcher son emprise sur toi. Tu te masses légèrement le bras sur lequel tu as la trace de ses doigts. S'il te lâche, c'est simplement pour leur faire face. Sauf qu'il repousse la rousse assez violemment. On a strictement rien à se dire, fous le camp. Maintenant. Tu es un peu sonnée par tout ce qu'il se passe. Heureusement, l'autre femme qui, elle, est brune, ne tarde pas à s'en mêler à son tour tout en le menaçant, le tout après avoir aider son amie. Il s'étale contre le sol sous ton regard. Pour une fois qu'il s'est fait mettre à terre, tu ne vas pas le plaindre. Ton regard se pose sur cette inconnue au vocabulaire bien imagé. Je crois que ça va oui... Merci à vous deux. Sincèrement.
Reportant ton attention sur cet homme que tu connais malheureusement trop bien, tu ne te gènes pas pour lui faire passer un dernier message.Au cas où le message n'était pas clair, dégage. Maintenant. Parce que j'ai une envie irrépressible de te dénoncer aux flics pour harcèlement, et tu sais autant que moi que je n'aurais aucune difficultés à te faire plonger. Alors fous le camp, je ne veux plus jamais te revoir. Pestes-tu à son égard. Il est clairement temps qu'il comprenne le message. Enfin, ton attention se reporte sur elles. Deux sauveuses qui t'ont probablement épargné de lourds moments ce soir. Et pourtant, cet imbécile ne s'en est pas pris qu'à toi. Elles ont aussi fait face à cet homme qu'on préférerait ne jamais connaître. Je suis désolée pour ce qu'il a pu vous dire ou vous faire, sincèrement. Est-ce que je peux vous remercier, ou me faire pardonner d'une quelconque manière? Et encore, les mots ne sont pas à la hauteur de la culpabilité éprouvée. Pauvre imbécile. Il mériterait de crever au fond d'une cellule tiens. Et si tu peux faire quoi que ce soit pour elles, ce serait de bonté. Y compris envoyé ce con à la SPA. Ah oui, merde. Les animaux de la SPA sont trop doux pour lui. Ouais, finalement, la prison, ça aurait pas été si mal.
Arrivée à ce bar, tu t'installes sur une banquette pour deux personnes où tu attends donc ta cliente. D'habitude, elle n'est jamais en retard mais évidemment, ça peut arriver à n'importe qui. C'est pour cette raison que tu attends d'abord cinq minutes, puis dix minutes... Au bout de quinze minutes, tu te décides à consulter ton téléphone. Et là, tu constates que tu as reçu un message il y a plus d'une heure. Message en provenance de cette même cliente qui a eu un imprévu et ne peut donc pas venir. Si seulement tu avais eu l'intelligence de vérifier ton téléphone avant de partir... Mais non. Tu soupires donc, commandant un verre histoire de ne pas être venue pour rien. Optant pour un cocktail assez simple, le serveur s'en va afin de préparer ta commande pendant que toi, tu te plonges dans tes songes l'espace de quelques instants. Dès qu'il revient avec ta boisson, tu le remercies avec un sourire poli et courtois. Buvant une gorgée, tu observes tout autour de toi. Les gens discutent, rient, semblent simplement profiter de leur soirée. C'était plutôt calme, jusqu'à maintenant... Mais après le calme vient la tempête. Classique.
Un homme au visage un peu trop familier s'approche de toi. Tout mais pas ça, pas lui. Voilà ce à quoi tu penses dès que tu le reconnais. Comment oublier le visage du diable en personne. Alors que tu viens de finir ton verre, tu te lèves en attrapant ton sac en quatrième vitesse. Fuir. Ton instinct de dit de fuir. Sauf qu'il t'attrape assez violemment par le bras, te forçant ainsi à te tourner vers lui. Pas si vite. Sa voix te provoque une sensation de dégoût. Ton regard se plante dans le sien et ce que tu y vois t'effraies toujours autant qu'avant. Mais tu refuses de laisser paraître quoi que ce soit. Son haleine pue autant l'alcool que les dernières fois où tu avais pu le voir, c'est répugnant. Il est complètement saoul.
Les regards sont fixés sur vous depuis déjà quelques minutes, mais personne n'a osé s'interposé. Encore une fois, tu tentes de te débattre, de l'obliger à lâcher son emprise. Au lieu de ça, il la serre un peu plus à chaque fois.
Reportant ton attention sur cet homme que tu connais malheureusement trop bien, tu ne te gènes pas pour lui faire passer un dernier message.
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Outfit – La frustration de s’être faite poser un lapin est bien vite remplacée par la violente adrénaline émanant de cet homme. Le temps de reprendre ses esprits après sa récente bousculade et la revoilà déjà de la partie, prête à dégainer sa meilleure réplique pour l’avoir traitée de pétasse, ou même son poing dans la figure s’il le faut et ce malgré qu’elle n’aime pas user d’agressivité d’ordinaire ; celui-là le mériterait, pourtant. Elle s’apprête à riposter malgré sa confusion dû au choc au niveau de ses reins, ses mains fermement posées sur la table derrière elle, mais c’est finalement Logan qui réagit la première. Prenant clairement sa défense et faisant bondir son coeur d'un battement étouffé, le ton de la professeure est encore plus glaciale qu’une tempête de neige en Russie. Sa répartie est parfaite, tellement aiguisée qu’une pointe de fierté se lit dans la lueur des yeux de son amie. Un sourire aurait presque pu se dessiner si l’homme ne s’était pas empresser de riposter par un « Mêle toi de ton cul, la vieille », le bras levé vers Logan et dont la réponse ne se fait pas attendre ; la seconde d’après, ce dernier est au sol grâce à l’agilité de la femme aux cheveux bruns. Gillian n’a qu’à peine le temps d’enregistrer la suite des derniers événements que son amie se dirige déjà vers la femme importunée, lui demande si tout va bien. Aux yeux de la sexologue, cette dernière se comporte comme une parfaite héroïne de fiction, à la fois habile et chevaleresque. Elle rejoint ses deux homologues, prenant soin d’écraser avec son talon de chaussure, l’une des mains de l’homme toujours à terre au passage. « Je crois que ça va oui... Merci à vous deux. Sincèrement. » Répond alors la femme aux cheveux blonds, vraisemblablement encore sous le choc de ce qu’il vient d’arriver. De son côté, la sexologue acquiesce en lui souriant doucement et se tourne vers son amie, son regard plein d’admiration. « Tu m’avais caché ton passif de maître kung-fu, dis donc. Tu as été incroyable. » Rétorque-t-elle d’une voix presque euphorique, faisant des grands yeux.
L’attention se porte ensuite à nouveau sur l’homme reprenant à peine ses esprits lorsque l’inconnue lui adresse à nouveau la parole. « Au cas où le message n'était pas clair, dégage. Maintenant. Parce que j'ai une envie irrépressible de te dénoncer aux flics pour harcèlement, et tu sais autant que moi que je n'aurais aucune difficultés à te faire plonger. Alors fous le camp, je ne veux plus jamais te revoir. » Ses méninges percutent à ce moment-là que l’homme n’en est, soit pas à son coup d’essai avec l’autre femme, soit un proche à cette dernière, avec qui ça aurait vraisemblablement tourné au vinaigre. Une question à garder pour plus tard, peut-être. En tout cas, le lascar se relève et prenant conscience que l’intégralité des clients et du personnel l’observent à ce moment précis avec mépris, il se décide à partir de l’établissement, s’exclamant tout d’abord d’un « On n’en a pas fini, Charlène ! » avant de s’éloigner de quelques pas. C’est au tour de Gillian de s’exprimer, s'avançant et croisant ses bras et lui lançant un regard noir, qui pourrait effrayer à ce moment la faucheuse elle-même. « Je vous déconseille de vous approcher à nouveau d’elle, sinon ce n’est pas que les poils des couilles que l’on vous arrachera, très cher Monsieur. » L’homme marmonne quelque chose dans sa barbe d’inaudible et de sûrement parfaitement inutile et finit par disparaitre de son champ de vision. Puis, se tendant compte que tout le monde les observe encore, elle fronce à nouveau les sourcils. « C’est bon, le spectacle est terminé ! » Rétorque-t-elle alors, les gens alentours reprenant alors leurs activités l'air de rien, avant de se concentrer à nouveau sur la dénommée Charlène. Très sensible à la cause des femmes, la sexologue n’a pas l’intention de la laisser repartir tout de suite dans la sauvagerie de cette ville de fous, surtout après ce qu’il vient de se passer et sans s’être assurée qu’elle va bien. Pourtant, l’inconnue semble surtout soucieuse des deux femmes l’accompagnant dans ce périple, puisque lorsqu’elle reprend la parole, ce n’est que pour proliférer excuse et diverses marques de gratitude, cherchant apparemment à se faire pardonner alors qu’elle n’y est tout bonnement pour rien. « Je vous en prie ! Ce n’est pas à vous de vous excuser, voyons… mais je ne dirais pas non l’idée de nous assoir un instant toutes les trois pour prendre un autre verre si vous n’y voyez pas d’objection. Je crois que nous en avons toutes bien besoin, n’est-ce pas ? » Dit-elle en s’étirant le dos et en grimaçant de douleur. De toute évidence, ce bougre ne l’a pas ménagé.
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- Logan McLeodEvery avalanche begins
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Girls know how to fight ft. les Vieilles Pies (@Gillian Bright, @Charlène Stappord)
OutfitT’as jamais suivi de cours d’art martiaux. Toi ton truc enfant, c’était la course à pied, puis par la suite, à l’adolescence et depuis, le tir sportif. Mais ton frère à fait de l'aïkido pendant plusieurs années, et il t'a appris quelques trucs, quand vous jouiez à vous battre, durant vos week-ends à la campagne. Jusqu’à présent, ça ne t'avait jamais servi, mais il faut un début à tout. Si en plus ça peut permettre d’apprendre une leçon à un abruti, c’est tout bénéf ! Un mec qui s’en prend violemment à une femme, qui ensuite s’en prend à Gillian et l’insulte, avant d’essayer de faire pareil, ça ne mérite pas mieux. Il a cherché les emmerdes, et il les a trouvées. “Je crois que ça va oui... Merci à vous deux. Sincèrement.” Elle a l’air bien secouée, mais ne semble pas être blessée, ce qui est déjà une bonne chose. “Mais c’est normal voyons, on ne pouvait pas laisser faire ça …” Tu regardes Gillian vous rejoindre et écraser la main du type encore à terre avec un sourire satisfait. « Tu m’avais caché ton passif de maître kung-fu, dis donc. Tu as été incroyable. » Malgré toi tu rougis. Tu n’as évidemment pas fait ça pour les compliments, mais tu ne peux pas nier que d’avoir suscité l’admiration de la belle rousse te procure un certain plaisir et une certaine fierté.
“Au cas où le message n'était pas clair, dégage. Maintenant. Parce que j'ai une envie irrépressible de te dénoncer aux flics pour harcèlement, et tu sais autant que moi que je n'aurais aucune difficulté à te faire plonger. Alors fous le camp, je ne veux plus jamais te revoir.” Au moins ça a le mérite d’être clair. Elle semble sacrément remontée, et il y a de quoi. D’autant que de ce que tu en comprends, ce n’est pas la première fois que ça arrive. Mais il y a bien intérêt à ce que ce soit la dernière, sinon tu n’hésiteras pas à t’assurer personnellement de l’ablation de ses attributs masculins. « On n’en a pas fini, Charlène ! » Des menaces, en plus ! Il n’a vraiment pas peur d’aggraver son cas. Certes, il est torché et ne se rend probablement pas compte qu’il est en train de s’enfoncer, mais ça c’est son problème, pas le votre. « Je vous déconseille de vous approcher à nouveau d’elle, sinon ce n’est pas que les poils des couilles que l’on vous arrachera, très cher Monsieur. » Et bien il semblerait que Gillian et toi ayez eu la même idée … Ce qui n’a rien de surprenant mais te fais sourire. Elle est particulièrement remontée, et tu ne peux pas te mentir, tu trouves ça particulièrement séduisant. Ce n’est cependant malheureusement ni le lieu ni le moment pour aller plus loin dans ce genre de considération. Surtout que vous êtes encore entourés de tous les clients du bar qui ont observé toute la scène sans bouger le petit doigt. Tu les aurais presque oubliés, si Gillian ne s’était pas chargé de les faire se disperser. « C’est bon, le spectacle est terminé ! » Il se sont cru au spectacle ou quoi ? La plupart du public improvisé s’éloigne à peine ces mots prononcés, mais deux ou trois intrépides restent planté sur place, jusqu’à ce que tu leur sortes un “Faut vous le dire en quelle langue ?” d’un ton peu amène.
“Je suis désolée pour ce qu'il a pu vous dire ou vous faire, sincèrement. Est-ce que je peux vous remercier, ou me faire pardonner d'une quelconque manière?” Ton amie exprime immédiatement ce que vous pensez toutes les deux. C’est malheureux qu’encore aujourd'hui, ce soit les personnes agressées qui ressentent le besoin de s’excuser et non pas les agresseurs. Un problème de société qui remonte à des siècles et qui ne semble pas prêt de se résoudre. « Je vous en prie ! Ce n’est pas à vous de vous excuser, voyons… mais je ne dirais pas non l’idée de nous asseoir un instant toutes les trois pour prendre un autre verre si vous n’y voyez pas d’objection. Je crois que nous en avons toutes bien besoin, n’est-ce pas ? » Quelle bonne idée ! Tu t’étais jurée de ne pas trop boire, mais là, c’est un cas de force majeur. “Gillian a raison, vous n’y êtes absolument pour rien, vous n’avez pas à vous excuser. Et en effet, je ne dirais pas non à un petit remontant” En disant cela, tu remarques la grimace que fait Gillian en s’étirant, ce qui ne manque pas de t’alarmer. "Ça va Gillian ? Il t’a fait mal ?” Il est encore temps de le rattraper et de lui infliger la trempe de sa vie. S’il a blessé ne serait-ce qu’un peu Gillian, les chances qu’il s’en sorte avec toutes ses dents sont minces.
- Charlène BrennanShe's the devil's
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Âge : Ses pieds frôlent le sol de la Terre depuis déjà quarante-huit ans. Des années parsemées de hauts, mais principalement parsemées de difficultés.
Situation financière : Elle a longtemps connu les difficultés financières. Souvent, elle a compté ses derniers dollars pour joindre les deux bouts. Maintenant, elle vit aisément.
Situation amoureuse : Mariée à Tayron. Elle est comblée à ses côtés, bien plus qu'elle ne l'a jamais été. C'est en toute intimité qu'ils se sont dit "oui" pour le meilleur et pour le pire.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle qui n'en a jamais douté, bien qu'elle a eu besoin de temps pour se laisser à nouveau aller dans les bras d'un homme. Elle est donc seulement attirée par les courbes masculines
Habitation : Résidant dans une belle maison à Georgetown, elle y habite depuis seulement quelques années, depuis que sa carrière a prit son envol.
Emploi/études : À la tête d'une maison d'édition où elle a travaillé auparavant, elle s'épanouit sincèrement dans ce domaine auquel elle ne pensait pas particulièrement à l'origine puisque son rêve était de devenir danseuse..
Multicomptes : Gabriella (Vitaa) + Sophia (Margot Robbie) + Soraya (Abigail Cowen) + Laura (Eliana Ghen)
Rps en cours : "He said something about hell raining down on me. Never imagined hell would look like you."
Tayron #4 ~ Makayla ~ Tamara ~ Tamara #2 ~ Elvyra ~ Les vieilles pies ~ Charlie ~ Elena, Ben & Tayron ~ June & Tamara
Rps terminés : Tayron ~ Tayron #2 ~ Tayron #3
Girls know how to fight
À chaque fois qu't'es là j'ai juste envie d'me barrer. J'ai peur des autres, t'as gagné. Je reste toute la journée dans mon lit à t'écouter, parfois ma tête ne tient plus qu'à un fil. C'est peut-être parce que mon cœur est fébrile. Tu chasses en moi tout c'qui était facile, on finira tous les deux à l'asile. Et j'en ai marre de toi, je sais c'est dur mais c'est comme ça. Mais c'est pas moi, non c'est toi, moi j'allais bien avant tout ça.
Outfit ~ Heureusement qu'elles ont été là pour intervenir. Vu l'état de ton ex-mari ce soir, tu n'oses même pas imaginer jusqu'où il aurait pu aller. Tu ne veux pas particulièrement savoir non plus. Par chance, leur intervention a permis d'éviter d'en arriver au pire, à des violences que tu as déjà connues auparavant et que tu fuis comme la peste. Si tu les évites autant, ce sont pour des raisons évidentes, cela va de soi. Quoi qu'il en soit, il ne pourra rien tenter. Pas ce soir. Et il est quand même probable que tu décides d'aller voir les flics. Combien de maris violents n'ont pas tué leur femme après tout? Ça, puis tu ne veux pas le laisser détruire tout ce que tu t'es démenée à construire. Hors de question de tout perdre pour un con. Mais évidemment, malgré tout, tu restes sous le choc. Jamais il n'avait tenté de s'en prendre à toi publiquement avant aujourd'hui. Et si ça semble normal pour elles, c'est encore tout nouveau pour toi. En soi, tu n'as pas forcément l'habitude d'obtenir une aide extérieur, quelle qu'elle soit. C'est d'ailleurs pour ça que tu tenais à les remercier, tout simplement. Il est clair que vous avez assuré. Je suis admirative de cette manière avec laquelle vous l'avez mis à terre. Tu aurais aimé pouvoir faire pareil, tiens. Il l'a bien mérité en plus. Sale type.
Vu comment il a pu te traiter alors que vos chemins étaient supposés se séparer, il est évident que tu es en colère. Même si tu as peur, tu ne le laisses pas paraître. Ça lui apporterais bien trop de satisfaction et tu t'en doutes, c'est pour ça que lui montres ce côté bien plus remonté. Lorsqu'il te menaces, tu roules des yeux. Ton instinct parle pour toi au vu de ta réponse.Continue les menaces, tu vas moins rire bientôt. Va bien te faire foutre et ramasse ta dignité en partant ! D'habitudes, tu veilles toujours à être polie mais là, ça t'as échappé. Et sans regret d'ailleurs. Il l'as cherché. L'époque où il avait de l'emprise sur toi est révolue, il est hors de question que tu te laisses faire, tout comme tu te refuses de vivre dans la peur à cause de lui. La rousse en a rajouté une couche, de quoi lui faire comprendre le message assez vite, en soi. D'autant plus que là, vous êtes trois. C'est seulement lorsqu'il quitte cet endroit que tu te sens un petit peu mieux. Rien de fou, mais tu peux enfin souffler et c'est déjà une bonne chose. Les gens ne tardent pas à retourner à leurs occupations suite aux demandes des deux femmes et c'est pas plus mal. Toi qui déteste être au centre de l'attention d'une quelconque manière, c'est un peu raté pour ce soir.
Tristement, tu as l'art de t'excuser même si ce n'est pas de ta faute. Tu n'y peux rien s'il est complètement stupide, s'il est violent et macho. Qu'il brûle en Enfer, c'est pas comme s'il manquera à quelqu'un en partant de toute manière. Il a été un père exécrable à donner le mauvais exemple à vos enfants, tout comme il a été un époux lamentable. Fort heureusement, tu as réussi à fuir et à te reconstruire. Dieu seul sait où tu en serais si tu n'avais pas trouvé ce courage. Et honnêtement, même toi tu ne veux pas savoir ce que tu serais devenue. Même si tu avais juré que tu ne consommerais pas plus qu'un verre, il s'agit un peu d'un cas de force majeure, non? Un verre n'est pas de refus, surtout en compagnie des deux femmes qui t'ont sauvée la mise.Un verre à trois, ça me va ! Je pense que ça nous fera un peu de bien vu ce qu'il s'est passé. Pour vous remercier, c'est moi qui offre. J'y tiens. Et tu n'en démordras pas. Et vu comment il l'a poussée, tu rejoins les paroles son amie. Surtout que tu es bien du genre à t'inquiéter pour les autres, bien plus que pour toi-même. J'espère qu'il ne vous a pas fait mal, vraiment. Il est complètement stupide. Digne d'un alcoolique depuis de nombreuses années. Digne d'un mec qui a préféré tout perdre en privilégiant la boisson et la violence. Lamentable. Tu roules des yeux. Quand tu es tombée amoureuse de lui, tu aurais dû le fuir. Vraiment. Quelle erreur, mais quelle erreur ! Mais le mal est fait, tu ne peux pas revenir en arrière.
En plus, tu n'as même pas eu l'occasion de te présenter un peu mieux que ça, vu qu'elles ont probablement entendu ton nom sortir de cette bouche infâme.Je constate que même s'il m'a appelée par mon prénom, je n'ai même pas pris la peine de me présenter. Je m'appelle donc Charlène, comme il l'a mentionné. Question de principe, c'est normal de te présenter à elles. Surtout vu ce qu'elles viennent de faire pour toi sans même te connaitre, alors que d'autres ont juste pris la peine d'observer la scène silencieusement. Vous préférez qu'on aille s'installer dès maintenant afin de continuer cette discussion? On y sera plus à l'aise, je pense. Puis, c'est toujours plus agréable pour reprendre un verre. Ça, puis tu te sentiras un peu plus à l'aise qu'avec toutes ces oreilles inscrites appartenant aux mêmes gens qui ont simplement regardé la scène. Tu attends leur réponse avant de te diriger vers une banquette de leur choix.
Vu comment il a pu te traiter alors que vos chemins étaient supposés se séparer, il est évident que tu es en colère. Même si tu as peur, tu ne le laisses pas paraître. Ça lui apporterais bien trop de satisfaction et tu t'en doutes, c'est pour ça que lui montres ce côté bien plus remonté. Lorsqu'il te menaces, tu roules des yeux. Ton instinct parle pour toi au vu de ta réponse.
Tristement, tu as l'art de t'excuser même si ce n'est pas de ta faute. Tu n'y peux rien s'il est complètement stupide, s'il est violent et macho. Qu'il brûle en Enfer, c'est pas comme s'il manquera à quelqu'un en partant de toute manière. Il a été un père exécrable à donner le mauvais exemple à vos enfants, tout comme il a été un époux lamentable. Fort heureusement, tu as réussi à fuir et à te reconstruire. Dieu seul sait où tu en serais si tu n'avais pas trouvé ce courage. Et honnêtement, même toi tu ne veux pas savoir ce que tu serais devenue. Même si tu avais juré que tu ne consommerais pas plus qu'un verre, il s'agit un peu d'un cas de force majeure, non? Un verre n'est pas de refus, surtout en compagnie des deux femmes qui t'ont sauvée la mise.
En plus, tu n'as même pas eu l'occasion de te présenter un peu mieux que ça, vu qu'elles ont probablement entendu ton nom sortir de cette bouche infâme.
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- Gillian BrightThere's nothing you can't say
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Âge : quarante-huit printemps depuis le trente-et-un juillet.
Situation financière : confortable.
Situation amoureuse : célibataire, divorcée depuis six ans.
Orientation sexuelle : bisexuelle.
Habitation : #16, adams morgan.
Emploi/études : anciennement sage-femme, aujourd'hui reconvertie dans la sexologie, elle est aussi l'auteure de plusieurs bouquins.
Multicomptes : nicholas, pablo et junon, les trois bg de la night. (h. cavill, p. pascal et zendaya)
Rps en cours :
(5/5) : Les Vieilles Pies — Abigail — Gaby — Logian#2 — Cole — you ?
Terminés : Popeye — Logian #1 — Event #1
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Outfit – Le malotru finit par déguerpir, non pas sans difficultés puisqu’il semble aussi collant et possessif qu’une moule accrochée à son rocher -et avec le même coefficient intellectuel. Charlène les remercie et s’excuse une autre fois auprès des deux femmes qui l’ont secourues, avant que ces dernières ne la reprennent, l’implorant de ne pas s’en vouloir puisqu’au final c’est bien elle la victime. La sexologue propose ensuite qu’elles retournent s’assoir pour prendre un petit remontant, le bas de son dos la faisant grimacer en silence. Ferme et pleine d’assurance dans sa position, l’inconnue tient alors à leur offrir un verre, ce à quoi Gillian répond à la positive tout en passant une main au niveau de ses reins. « Eh bien si vous y tenez, je ne vais pas me faire prier dans ce cas. » Répond-elle en souriant doucement, une pointe légère dans le voix. Son regard clair se dirige ensuite vers son amie qui ne manque pas de s’inquiéter pour son état, lui demandant si elle va bien ; de la même façon, la femme à leur côté formule la même préoccupation, ce à quoi sa tête acquiesce encore, ne souhaitant pas les alarmer plus que ses interlocutrices ne le semblent déjà. « Je me suis pris le coin de la table lorsqu’il m’a poussé. Mais je vais bien, c’est juste qu’avec l’adrénaline du moment, je n’ai pas senti la douleur tout de suite. » Elle risque au mieux d’avoir un petit bleu et au pire d’être bloquée du dos le lendemain ; et si tel est le cas, elle enverra la facture de son ostéopathe à cet abruti sans cervelle. L’affolement soudain de Logan pour sa propre personne la touche en tout cas. Spontanément, l’envie de lui attraper les mains pour la rassurer et celle d’embrasser sa joue pour la remercier se font omniprésentes dans son esprit mais elle se retient ; ce n’est certainement ni l’endroit ni le moment pour s’adonner à ce genre de spectacle.
La femme reprend ensuite la parole, afin de se présenter correctement ; il est vrai qu’au final, même si les deux amies ont déjà eu connaissance de son prénom, subsiste un manque aux bonnes manières tandis que Charlène ne sait encore rien de ses deux nouvelles acolytes. « Enchantée Charlène. J’aurais aimé vous connaitre dans de meilleures conditions que celle-ci, mais on ne peut en tout cas pas reprocher l’originalité de cette rencontre. » Elle marque une petite pause, un léger sourire en coin. Elle ajoute ensuite des paroles à ses gestes pour se désigner elle et la professeure. « Je suis Gillian et voici mon amie, Logan. » La plus belle et la plus fabuleuse des femmes sur cette planète, en tout objectivité bien entendue. Puis vient une autre intervention de la femme aux cheveux blonds, proposant à ses sauveuses d’aller d’installer dans un coin du bar pour continuer leur conversation. La sexologue serait bien sortie fumer une cigarette en premier, le manque de nicotine se faisant de plus en plus pressant surtout après un tel moment de tension ; mais elle peut bien se retenir encore un peu. Elle hoche donc à nouveau la tête, approuvant les paroles de Charlène. « Vous avez raison, allons-y. » Les trois femmes prennent donc la direction d’une table au fond de la salle, bien à l’écart des yeux et oreilles curieux qui trainent un peu partout en ces lieux.
Gillian soupire de soulagement lorsqu’elle s’assoit enfin sur la banquette, plutôt confortable. Son regard navigue entre son amie et leur nouvelle connaissance avant qu’elle ne pose ses mains bien à plat sur la petite table. Attendant que le serveur prenne leur commande, elle ne peut s’empêcher de s’immiscer dans une affaire qui, au premier abord, ne la regarde pas vraiment ; mais c'est bien au dessus de ses compétences que de se muer dans le silence. « J’espère que vous avez vraiment l’intention de porter plainte, Charlène. Même s’il a fini par se résoudre à partir, il ne faut pas laisser impuni les actes d’un tel homme… sinon il recommencera. » Elle hésite à lui demander quel est le lien l’unissant à ce goujat, puisque de toute évidence ils se connaissent et cela ne fait aucun doute ; mais ses dents mordent violemment l’intérieur de sa joue pour réfuter cette question, peut-être un peu trop indiscrète pour le moment.
codage par aqua