- Sinéad SörvikYou're a little late
I'm already torn - Pseudo : Elina
Messages : 544
Points : 45
Faceclaim : Katheryn Winnick
Crédits : awona
Date d'inscription : 23/12/2020
Âge : 36 ans depuis le 17 novembre
Situation financière : Moyenne, elle ne roule pas sur l'or mais elle ne manque de rien
Situation amoureuse : Célibataire, tutrice de sa nièce de 20 ans
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Habitation : Adams Morgan, appartement 12 avec sa nièce, Soraya
Emploi/études : Mécanicienne dans un garage, elle donne également des cours de self-defense
Multicomptes : Elijah Collins (Bill Skarsgård), Maeva Espinosa (Jenna Ortega) & Mateo Redfield (Travis Fimmel)
Rps en cours :
Soraya ღ Sorën ღ Pablo ღ Serena ღ Sörvik ღ Sean ღ Kieran(2) ღ Nicholas(2)
Terminés : Nicholas(1) ღ Kieran(1)
Abandonnés : Amalrik ღ
Pablo & Sinéad
Surprise Honey
Tout part en vrille, ces derniers temps. Rien ne va. La vie de Sinéad est sans cesse bouleversée et ça commence sérieusement à faire beaucoup. Plus qu’elle ne peut le supporter. La coupe est pleine. Même quand on a l’habitude de tout garder pour soi, au bout d’un moment, l’esprit sature. En plus de tout le reste, aujourd’hui rien ne va. Les malchances se sont accumulées et c’est bien décidée à se vider la tête que Sin se rend dans l’un des bars de la ville pour boire et potentiellement rencontrer quelqu’un pour l’aider à se changer les idées. Arrivée à destination, elle s’installe au comptoir, commande un premier verre et laisse ses prunelles balayer les alentours à la recherche de quelqu’un avec qui passer du temps. Malheureusement personne ne sort du lot. Personne ne lui tape réellement dans l’œil. Comble de la poisse, un mec un peu lourd et déjà passablement éméché vient s’asseoir à côté d’elle. Elle ne peut s’empêcher de soupirer et de lever les yeux au ciel face à son cruel manque de savoir vivre mais qu’importe, il est déterminé à lui payer quelques verres, alors soit. C’est toujours ça d’économisé.
Après presque une heure de torture – et c’est déjà un exploit en soit d’avoir tenu aussi longtemps – Sin décide finalement de quitter les lieux. Bien sûr, l’homme tente sa chance et propose de la raccompagner mais le ton de la suédoise est tellement froid qu’il n’insiste pas. Ou peut-être que le doigt qu’elle vient de lui tordre a achevé de le convaincre de la laisser tranquille ? Quoi qu’il en soit, elle regagne sa voiture, dans une humeur encore plus mauvaise qu’au départ. Il y a des jours où il vaudrait mieux rester couché, c’est incroyable. Agacée par cette soirée désastreuse, elle reprend la route, musique à fond dans la voiture. Avec les quelques verres qu’elle a bu, il n’y a plus qu’à espérer qu’elle ne se fasse pas contrôler par la police. Il est encore trop tôt à son gout alors elle n’a pas forcément très envie de rentrer. Mais que faire ? Il semblerait que le karma ait décidé de la faire chier aujourd’hui. L’esprit qui cogite pour trouver une solution, elle ne fait pas trop attention à la route, si bien qu’involontairement, elle ne prend pas la direction de son appartement.
Sans réellement s’en rendre compte, la voilà dans le quartier d’Anacostia. Il y a quelques bars ici aussi mais son regard se pose plutôt sur un immeuble qu’elle connait. Elle ralentit et l’illumination la frappe. Quitte à passer du bon temps avec quelqu’un, autant que ce soit avec une connaissance. Ça lui évitera de tomber sur des abrutis. A cette heure, Pablo est surement chez lui, non ? Elle pourrait lui envoyer un message pour s’en assurer mais aujourd’hui ce n’est pas le jour. Sin commence à en avoir marre de perdre son temps. La patience ne fait pas toujours partie intégrante de ses qualités mais ce soir, elle a atteint ses limites. Déterminée à se rendre chez lui, elle se gare sur le parking et ne tarde pas à rejoindre son domicile. A destination, elle frappe à la porte, un peu plus vivement que prévu. Après un temps qui lui parait infini en raison de sa patience inexistante ce soir, la porte finit par s’ouvrir, laissant apparaitre Pablo dans l’encadrement. Ravie de le trouver chez lui, un grand sourire illumine son visage. « Merci mon Dieu. » Lance-t-elle joyeusement en l’agrippant aussitôt par le col de son t-shirt pour l’attirer à elle. Encore une fois, pas de temps à perdre. Ses lèvres se posent sur les siennes pour l’embrasser avec une passion démesurée, résultant d’une journée entière de frustration. Elle s’éternise plus que de raison et laisse ses doigts glisser le long de son cou et dans ses cheveux. Après quelques minutes d’apnée – ou presque – elle recule légèrement son visage pour caresser le visage de Pablo. « J’ai passé une sale journée, la soirée n’était pas mieux, j’ai besoin de ton expertise et de tes doigts de fée pour me vider la tête. » En réalité, c’est l’année qui commence mal et toutes ses galères ne datent pas d’aujourd’hui seulement. Et évidemment, elle ne fait pas allusion à son potentiel soutien psychologique pour penser à autre chose. On ne peut pas dire que la communication verbale fasse partie intégrante de leur relation. Un sourire aux lèvres, elle se décolle de lui, lui tape légèrement les fesses et entre dans l’appartement comme si elle rentrait chez elle. Après tout, ce n’est pas la première fois qu’elle vient ici.
- Pablo RiveraThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : @//
Messages : 430
Points : 176
Faceclaim : pedro charming pascal.
Crédits : @tag pour l'avatar, @oldmoney pour la sign.
Date d'inscription : 25/01/2021
Âge : 41 yo.
Situation financière : très loin de rouler sur l'or ; né dans la pauvreté, l'opulence relève plus de la légende pour lui. mais personne ne l'a jamais entendu se plaindre, se contentant de peu, existant au travers de ce que la vie peut lui offrir et de ce qu'il possède déjà.
Situation amoureuse : chaos est-il un statut marital ? ses relations amoureuses ne sont qu'une suite d'échec cuisant ; ce n'est pas les efforts qui manquent pourtant mais c'est à croire qu'aphrodite se joue continuellement de lui. célibataire ; espoir, doux espoir demeure cependant intact au creux de son coeur, continuant à battre inlassablement.
Orientation sexuelle : sans concession hétérosexuel, les femmes sont les plus belles créatures terrestres à ses yeux ; aimant leur plaire et ne se lassant pas de les courtiser, elles tombent dans ses bras mais n'atteignent que rarement son coeur.
Emploi/études : collectionneur de petits boulots en tout genre depuis la fin de l'adolescence. école arrêtée à quatorze ans pour aider la mamá. il a finir par entamer une formation d'ambulancier et c'est encore le métier exercé par l'homme aujourd'hui.
Multicomptes : nicholas (h. cavill), gillian (m. otto) et junon (zendaya) aka les trois autres meilleurs persos du fofo.
Rps en cours :
Cover me in sunshine, shower me with good times ; tell me that the world's been spinning since the beginning, and everything will be alright.
(5/6) : SANTANA — LES MISÉRABLES#1 — MAEVA#2 — SINÉAD — LA VILLA DES SECOURISTES — you ?
Terminés : ZACH — MARNIE#1 — ELENA — MAEVA#1
À venir : Milo.
Surprise honey ;
Outfit – Les yeux somnolents, l’esprit dérive dans les limbes à mesure que les secondes passent ; il est à peine minuit mais l’homme assis sur son canapé en vieux cuir, presque englouti par ce dernier, plonge peu à peu dans les méandres du sommeil. Le programme à la télévision ne l’aide en aucun cas à ne pas vaciller et la fatigue accumulée des derniers jours n'arrange pas les choses ; si seulement la motivation y était, ses jambes pourraient le conduire jusqu’à la petite cuisine. Boire un café pourrait le maintenir éveillé mais en a-t-il seulement l’envie ? Sa fille a fini par s’écrouler après un acharnement certain pour ne pas s’endormir des heures durant ; qui a dit qu’élever un enfant serait une partie de plaisir ? Pourtant pour rien au monde il n’échangerait ces moments pour d’autres plus faciles. Il pourrait simplement se lever et rejoindre son lit, mais un sourire satisfait se dessine sur ses lèvres tandis qu’il lâche prise, laissant ses pensées divaguer vers des contrées lointaines.
Puis des coups se font entendre, quelqu’un frappe à la porte avec vivacité et acharnement. Soubresauts à travers tout son corps qui le sortent de l’assoupissement pourtant bien mérité de l’homme. Alerte, il lui faut encore quelques secondes pour comprendre ce qu’il se passe et que tout ceci n’est pas le simple fruit de son imagination. L’acharnement sur la porte d’entrée continue un moment durant lequel il se résout à se lever, marmonnant des grossièretés en traînant ses pieds jusqu’à la source du bruit ; ses mains balayent ses cheveux souples et son visage encore un peu endoloris. Puis les coups cessent, baignant le petit appartement dans un étrange et soudain silence. Le mexicain est persuadé que c’est encore un de ses voisins rentrant ivrogne d’une soirée qui s’est trompé d’endroit et il s’apprête déjà à le sermonner en fronçant les sourcils, lui rappelant qu’un enfant en bas âge vit ici et que son père aurait bien besoin d’un peu de repos.
D’un geste vif, l’entrée s’ouvre donc, laissant apparaître non pas la silhouette désoeuvrée d’un soulard mais bien celle d’une femme qu’il commence à connaître sous toutes les coutures. « Merci mon Dieu. » S’exclame-t-elle en le voyant apparaître dans son champ de vision, les yeux de l’hôte s'écarquillent légèrement tandis que son interlocutrice s’approche déjà dangereusement de lui, accrochant ses mains au col de son pull. « Je t’ai déjà dis que tu pouvais simplement m’appeler Pablo. » A-t-il seulement le temps de répondre, taquinerie dégainée avec vélocité avant que la jeune femme n’écrase ses lèvres contre les siennes. Ce n’est certainement pas le scénario imaginé en premier lieu mais va-t-il s’en plaindre ? Beaucoup de personnes aimerait avoir l’occasion d’ouvrir leur porte au beau milieu de la nuit pour tomber nez-à-nez sur cette sublime femme ; soupire d’aise contre sa bouche tandis que son emprise se referme sur le dos courbé de sa convive et que ses doigts se baladent sur le creux de ses reins, l’attirant davantage contre lui.
Puis elle se détache, féline et désirable bien que son souffle sent un peu l’alcool. « J’ai passé une sale journée, la soirée n’était pas mieux, j’ai besoin de ton expertise et de tes doigts de fée pour me vider la tête. » Ajoute-t-elle en caressant sa joue puis en tapotant les fesses de l’homme. Il n’avait pas vraiment besoin de justification supplémentaire pour se laisser convaincre de lui céder le passage de chez lui, bien qu’un petit message avant son arrivée aurait été le bienvenu ; mais l’imprévu a aussi son lot de charme, d’autant plus lorsque ce dernier prend les traits du joli minois de la suédoise. « Je t’en prie, fais comme chez toi. » Lui répond-il avec humour lorsqu’elle pénètre les lieux sans même attendre une quelconque autorisation. Derrière eux, la porte se referme après un derrière regard jeté vers le couloir de l’immeuble. Toute son attention se dirige ensuite vers la jeune femme et il la convie de s’étaler sur son moelleux et confortable canapé après s’être rassis dessus en premier lieu. Une fois tous les deux installés, ses mains habiles s’attardent à retirer les chaussures des pieds de la suédoise puis à lui masser les petons, remontant ses attentions jusqu’en haut de ses chevilles délicates et posant ses pédicules sur ses propres cuisses. « J'voudrais pas paraître ingrat cariño, crois-moi j’suis très reconnaissant que parmi tous les hommes de Washington ce soit sur moi que t’aies jeté ton dévolu ce soir, mais ça va au moins ? Tu veux peut-être d’abord parler de ce qu’il t'est arrivé avant, ou j’sais pas ? » Lui propose-t-il par simples actes de politesse et de bienveillance. L’ambulancier a beau être direct voire parfois irréfléchi et leurs premières rencontres peu élaborées en termes de mot, ce n’est pas non plus un sauvage cupide. Ceci étant dit, la jeune femme n’a pas de couteau sous la gorge et si elle préfère ne rien lui dire, il s’en contentera tout autant.
codage par aqua
- Sinéad SörvikYou're a little late
I'm already torn - Pseudo : Elina
Messages : 544
Points : 45
Faceclaim : Katheryn Winnick
Crédits : awona
Date d'inscription : 23/12/2020
Âge : 36 ans depuis le 17 novembre
Situation financière : Moyenne, elle ne roule pas sur l'or mais elle ne manque de rien
Situation amoureuse : Célibataire, tutrice de sa nièce de 20 ans
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Habitation : Adams Morgan, appartement 12 avec sa nièce, Soraya
Emploi/études : Mécanicienne dans un garage, elle donne également des cours de self-defense
Multicomptes : Elijah Collins (Bill Skarsgård), Maeva Espinosa (Jenna Ortega) & Mateo Redfield (Travis Fimmel)
Rps en cours :
Soraya ღ Sorën ღ Pablo ღ Serena ღ Sörvik ღ Sean ღ Kieran(2) ღ Nicholas(2)
Terminés : Nicholas(1) ღ Kieran(1)
Abandonnés : Amalrik ღ
Pablo & Sinéad
Surprise Honey
Sinéad sait soigner ses entrées. Marquer les esprits, elle sait faire. Passer inaperçue et se fondre dans la masse, c’est un concept qu’elle ne maitrise pas en revanche. Pablo, lui, est un petit comique. Il a le sens de l’humour et c’est un trait de caractère que la blonde apprécie – en plus de beaucoup d’autres choses chez lui. Pas le temps de rebondir sur sa plaisanterie cependant. Pas de temps à perdre tout court, en réalité. Après une journée pareille, et un début d’année chaotique, Sin a grand besoin de se changer les idées. Et rapidement. C’est la raison pour laquelle elle se jette aussi vite sur lui, sans lui laisser le temps de poser la moindre question. Il ne se fait pas prier pour répondre à son baiser et pour l’attirer davantage contre lui. Voilà de quoi elle a besoin en cet instant. Oublier ses problèmes pour se fondre dans les bras de quelqu’un sans penser à autre chose qu’à cette étreinte. Avec l’alcool, ça reste l’un des meilleurs moyens de se vider la tête et de se détendre.
Sauf qu’ils ne vont pas rester sur le palier de sa porte. Taquine et joueuse, elle finit par se détacher de lui pour entrer dans son appartement. Lentement, elle déambule dans l’entrée jusqu’à rejoindre le salon. Arrivée à destination, elle laisse glisser son manteau le long de ses bras pour le poser négligemment sur une chaise. Dévoilant ainsi une jolie robe noire sortie tout spécialement pour l’occasion. Impossible pour elle de sortir dans un bar ou en soirée habillée de façon négligée. Coquette malgré son métier plutôt masculin, elle aime se mettre en valeur quand elle sort. Ce soir ne fait pas exception. Dans le salon, Pablo s’installe dans son canapé et il l’invite à faire de même. Bien sûr, elle ne se fait pas prier et elle s’y allonge à moitié. Plutôt attentionné, le propriétaire des lieux attrape ses pieds pour lui retirer ses chaussures et commence à les lui masser. Quelle délicate attention. Attendrie et reconnaissante qu’on s’occupe d’elle, Sin relève les yeux vers son visage en écoutant les mots qu’il prononce. Ils ne parlent pas souvent tous les deux, il faut bien le reconnaitre. Leurs échanges sont principalement physiques la plupart du temps. Mais ce soir, il est si doux. Et elle en a tellement gros sur le cœur, avec tout ce qui lui tombe dessus depuis un moment maintenant. N’est-ce pas le moment de se confier un peu ? « T’es adorable, Pablo. Tu le sais ? » Un sourire se dessine sur son visage. « Tu ne serais pas psy par hasard ? » Non, ils n’ont jamais évoqué leur métier respectif. Ce serait sacrément ironique qu’il soit psychologue ou psychiatre. « On va dire que ce n’était pas mon jour aujourd’hui. J’ai accumulé les galères entre ma panne de réveil, l’absence d’eau chaude, mon retard à mon boulot, les clients pénibles et insistants, et ce gros lourd que j’ai dû calmer dans ce bar. Ma patience a atteint ses limites aujourd’hui. » Elle lève les yeux au ciel et se redresse pour s’asseoir et se rapprocher de Pablo. « Mon année a également mal commencé, ou plutôt, la précédente s’est mal terminée. Depuis… On va dire que c’est compliqué. » Quand le karma a décidé de s’acharner, on ne peut pas vraiment lutter. « Je crois que j’ai du mal à supporter l’accumulation de tout ça. » Mais elle n’a pas vraiment envie de s’épancher sur le sujet. Elle a bien d’autres choses en tête. « Bref. Et toi ? C’est moi ou tu as l’air un peu dans le gaz ? » Est-ce qu’il dormait déjà quand elle est arrivée ? Est-ce qu’elle l’a réveillé ?
Libérant ses pieds, elle s’installe à côté de lui pour venir se blottir dans ses bras et caler sa tête dans le creux de son cou. « Tu crois que la roue tourne parfois ? Ou certains sont condamnés à en chier éternellement ? » Comme elle, par exemple. Non pas que des drames surgissent tous les quatre matins, mais ces derniers temps, c’est un véritable acharnement. Elle reste contre lui quelques minutes avant de relever la tête et d’ancrer ses prunelles claires dans les siennes. Doucement, elle vient poser sa main sur sa joue. « Enfin peu importe. » Ce soir, elle n’a pas envie de réfléchir ou de se prendre la tête avec des réflexions philosophiques. Elle n’est pas là pour ça. Le regard de nouveau espiègle, elle fond sur ses lèvres parce que parler c’est bien, mais elle préfère qu’il utilise sa langue pour autre chose.
- Pablo RiveraThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : @//
Messages : 430
Points : 176
Faceclaim : pedro charming pascal.
Crédits : @tag pour l'avatar, @oldmoney pour la sign.
Date d'inscription : 25/01/2021
Âge : 41 yo.
Situation financière : très loin de rouler sur l'or ; né dans la pauvreté, l'opulence relève plus de la légende pour lui. mais personne ne l'a jamais entendu se plaindre, se contentant de peu, existant au travers de ce que la vie peut lui offrir et de ce qu'il possède déjà.
Situation amoureuse : chaos est-il un statut marital ? ses relations amoureuses ne sont qu'une suite d'échec cuisant ; ce n'est pas les efforts qui manquent pourtant mais c'est à croire qu'aphrodite se joue continuellement de lui. célibataire ; espoir, doux espoir demeure cependant intact au creux de son coeur, continuant à battre inlassablement.
Orientation sexuelle : sans concession hétérosexuel, les femmes sont les plus belles créatures terrestres à ses yeux ; aimant leur plaire et ne se lassant pas de les courtiser, elles tombent dans ses bras mais n'atteignent que rarement son coeur.
Emploi/études : collectionneur de petits boulots en tout genre depuis la fin de l'adolescence. école arrêtée à quatorze ans pour aider la mamá. il a finir par entamer une formation d'ambulancier et c'est encore le métier exercé par l'homme aujourd'hui.
Multicomptes : nicholas (h. cavill), gillian (m. otto) et junon (zendaya) aka les trois autres meilleurs persos du fofo.
Rps en cours :
Cover me in sunshine, shower me with good times ; tell me that the world's been spinning since the beginning, and everything will be alright.
(5/6) : SANTANA — LES MISÉRABLES#1 — MAEVA#2 — SINÉAD — LA VILLA DES SECOURISTES — you ?
Terminés : ZACH — MARNIE#1 — ELENA — MAEVA#1
À venir : Milo.
Surprise honey ;
Outfit – Tout d’abord étonné de la voir sur le palier de sa porte et surpris de la férocité avec laquelle elle se jette sur lui, il se rappelle bien rapidement qu’après tout c’est Sin et que ça a toujours été comme ça depuis le début entre eux. Si sa peau, ses cheveux et ses yeux n’étaient pas aussi clairs il songerait vivement à lui demander les origines de ses ancêtres, sachant qu’il n’aurait pas été impossible que certains soient hispaniques puisqu’elle lui fait penser aux filles de son pays natal ; farouche et sans gêne, qui ne s’encombre pas de frivolités ni de fantaisie. Ceci étant dit, le mexicain n’a pas rencontré beaucoup d’autres suédois dans sa vie, mais peut-être que de la même façon, partagent-ils pour la plupart ce point commun ?
Une fois son manteau ôté, Sinéad se retrouve allongée sur son canapé, ses pieds massés par son hôte au petit soin. Avant toute chose ce dernier lui demande si elle souhaite discuter de ce qui ne va pas sans la forcer pour autant ; le but étant aussi de jauger à quel point sa convive est alcoolisée et donc consciente de ses actes. « Tu es adorable tu sais? » Un large sourire s’inscrit sur son visage satisfait et il secoue sa tête et ses épaules, guilleret. Bien rapidement ensuite, il se met à rire lorsque la suédoise émet l’hypothèse que ce dernier soit psychologue ou psychiatre. Peut-être aurait-il apprécié avoir un lien plus étroit dans le domaine de la santé mais certainement pas avec ce métier-là en tout cas ; il trouve qu’il y a quelque chose d’ennuyant à devoir constamment écouter les tracas quotidiens des autres. « Moi, psy ? Non pas du tout, je suis ambulancier. » Répond-il amusé ; par ailleurs il ne connaît pas non plus l’activité professionnelle de son interlocutrice, si tant est qu’elle est en une. La seule chose qu’il sait par déduction pour avoir parcouru son corps à plusieurs reprises, c’est qu’elle est du genre assez sportive.
La suite de la conversation est plus sérieuse, la jeune femme expliquant en quoi sa journée fut rude sur tous les points, à l’égal de la fin d’année terminée et du début de la nouvelle tout juste entamée. « Eh bah, tu as brisé un miroir récemment ? Tu devrais poser un grand verre d’eau sur ton réfrigérateur ou derrière une porte, c’est comme ça qu’on fait au Mexique pour conjurer le mauvais sort. » Dit-il avec légèreté tout en haussant les épaules et comme s’il s’agissait d’une banalité quelconque, tant les superstitions de son pays sont ancrées en lui. L’invitée noctambule se hasarde ensuite à lui retourner la question, comme si elle cherchait à soudainement changer de sujet. L’homme ne creuse pas davantage, se laissant guider dans la conversation. « Je vais bien, j’étais en train de m’endormir devant la télévision. Mais contrairement à elle, tu as su trouver comment me garder éveillé encore un petit moment, on dirait. » Ajoute-t-il d’un air badin, sourire en coin et sourcils relevés de manière espiègle, pleins de sous-entendus.
Sinéad se love ensuite aux creux de son cou et l’homme l’encercle alors avec l’un de ses bras, caressant ses cheveux blonds à l’aide de sa main tout en reposant son menton sur le haut de sa tête. « Tu crois que la roue tourne parfois ? Ou certains sont condamnés à en chier éternellement ? » A-t-elle entendu lorsqu’il lui a dit qu’il n’était pas psy ? Comment répondre à ce genre de question alors que lui-même se l’est déjà posée à de nombreuses reprises au cours de sa vie sans trouver de réponse concrète ; À part lui balancer des généralités surfaites, il ne voit pas trop quoi dire en premier lieu. Une chose est en tout cas sûre ; ses paroles sonnent de manière totalement censées, éventrant ainsi l'hypothèse qu'elle soit ivre, bien que ses mots soient un peu déprimants. Il pose ses doigts sur les siens parcourant sa joue en la regardant. « Si elle était là, ma mère te dirait sûrement quelque chose comme "Les voies du seigneur sont impénétrables". » Commence-il à dire, imitant sa mère en prenant une voix grave, très solennelle et délibérément humoristique. « Franchement, cariño, j’en sais rien. P’t’être que certains ont juste moins de chance que d’autre. J’suis du genre à penser qu’il faut pas abandonner pour autant. Mais bon, si tu cherches à faire de l’esprit tu t'adresses à la mauvaise personne. » Conclue-t-il rapidement, avant de dire une bêtise ou de la vexer d’une quelconque manière. Au final ils se connaissent très peu et il ne peut en aucun cas anticiper ses réactions ; peut-être que ça viendra, si tant est qu’ils se côtoient assez longtemps pour ça.
Finalement, à peine a t’il le temps de terminer sa phrase qu’elle l’embrasse à nouveau avec passion et il ne peut qu’y consentir dans un premier temps, traçant tout d’abord la ligne de son élégant cou ; puis ses doigts s’accrochent ensuite à la naissance de ses cheveux blonds au niveau de sa nuque lorsque le baiser devient plus effréné. « ¡ Por Dios ! Quelle impatiente tu fais... » La taquine-t-il tout en considérant que lui-même est aussi du genre à vouloir tout précipiter. Il la tire un peu plus contre son corps, l’incitant à grimper sur lui. « Dis-moi, c’est mon charme naturel qui fait que tu ne résistes jamais longtemps à l’envie de me sauter dessus ? » Faisant référence à leur rencontre, et aux autres fois qui ont suivi ; ceci étant dit, ce n’est pas pour lui déplaire. Il l’embrasse, de sa mâchoire jusqu’à sa clavicule, parsemant baisers et quelques légères morsures ; Ses mains s’aventurent ensuite sur le tissu recouvrant les hanches de la jeune femme, appréciant le toucher doux et satiné sous ses doigts rugueux. « Jolie robe, au fait. » S’enquiert-il d’ajouter en souriant malicieusement, bien que d'ici peu il s'imagine déjà bien l’en débarrasser.
codage par aqua
- Sinéad SörvikYou're a little late
I'm already torn - Pseudo : Elina
Messages : 544
Points : 45
Faceclaim : Katheryn Winnick
Crédits : awona
Date d'inscription : 23/12/2020
Âge : 36 ans depuis le 17 novembre
Situation financière : Moyenne, elle ne roule pas sur l'or mais elle ne manque de rien
Situation amoureuse : Célibataire, tutrice de sa nièce de 20 ans
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Habitation : Adams Morgan, appartement 12 avec sa nièce, Soraya
Emploi/études : Mécanicienne dans un garage, elle donne également des cours de self-defense
Multicomptes : Elijah Collins (Bill Skarsgård), Maeva Espinosa (Jenna Ortega) & Mateo Redfield (Travis Fimmel)
Rps en cours :
Soraya ღ Sorën ღ Pablo ღ Serena ღ Sörvik ღ Sean ღ Kieran(2) ღ Nicholas(2)
Terminés : Nicholas(1) ღ Kieran(1)
Abandonnés : Amalrik ღ
Pablo & Sinéad
Surprise Honey
Pablo a quelque chose de rassurant, dans sa façon d’être, sa façon de sourire, de parler, de regarder le monde. Un simple coup d’œil dans sa direction et cela suffit parfois à lâcher prise, à laisser les tourments du moment se volatiliser. C’est exactement ce qu’elle a ressenti, la toute première fois que ses prunelles se sont accrochées aux siennes. Ce jour funeste où on lui a annoncé le décès de sa sœur et de son mari. Ce jour terrible où pour faire taire sa peine, elle s’est rendue dans le bar le plus proche pour boire jusqu’à l’épuisement. Alcoolisée, elle a alors croisé Pablo et s’est dirigée vers lui. Un sourire sur le visage, son regard de biche et un tact aux abonnés absents. Pas de bonjour, pas de présentation. Ses premiers mots à son égard ont été une invitation à passer la nuit avec elle. Dans le genre direct, on fait rarement mieux. Elle n’explique pas cette attraction qu’elle a ressentie ce jour là. C’est comme si le mexicain avait été un phare allumé dans une nuit sombre et obscure. Depuis, il est sa lumière dans les ténèbres. Celle vers qui elle peut se tourner quand elle se sent de nouveau sombrer.
Ce soir ne fait pas exception.
« Ambulancier. » Répète-t-elle en hochant doucement la tête, comme s’il s’agissait là de l’évidence même. « Bien, j’en prends note. » C’est donc lui qui viendra si elle a un accident ? Ou si elle appelle les secours ? Très bien. Ça ne doit pas être un métier de tout repos. Cependant, c’est à Sin de parler d’elle à présent. Ou plutôt des malheurs de sa journée. S’ils ne dataient que d’aujourd’hui, ce serait moins dramatique. Qu’a-t-elle donc fait pour s’attirer les foudres du destin ? Rien pourtant. « Je n’ai rien brisé, à part le nez de quelques abrutis. » Oui, elle a la main légère – ou plutôt le poing – quand des mecs se croient trop malins et l’importunent en se la jouant machos et raclures de bas étage. Le problème c’est qu’avec Sinéad, ils tombent vite sur un os. Malgré tout, elle est intéressée par cette histoire de grigri. « Ça marche vraiment cette histoire de verre d’eau ? Eau froide ? Eau chaude ? Est-ce que ça a une importance ? Tu sais, j’en suis arrivée à un stade où je prends tout. Je peux toujours tester. » Elle se redresse légèrement. « C’est marrant toutes ces croyances. Ma mère est irlandaise et à chaque Noël, on devait mettre une bougie à chaque fenêtre. Selon elle, c’était pour éloigner le mauvais œil. Elle n’oubliait jamais. » Et son père suédois avaient ses propres superstitions aussi. Ça pouvait donner des scènes plutôt amusantes.
A son tour, il répond à sa question et Sin n’est pas étonnée d’apprendre qu’il était justement en train de s’endormir. « Je m’en doutais. J’ai remarqué ton air à moitié endormi quand tu as ouvert la porte. » Evidemment, il est bien éveillé à présent. Ce serait presque vexant qu’il souhaite retourner dans les bras de Morphée alors qu’une jolie blonde se trouve dans son canapé. « Ravie d’apprendre que je suis plus intéressante que ta télé. » Lance-t-elle en grimaçant légèrement, faussement outrée. Encore heureux qu’il n’ait plus envie de dormir à présent. Dans ses bras, elle laisse malgré elle ses pensées s’échapper à voix haute. Ce n’est pas intentionnel, elle n’a pas envie de parler philosophie même si sa vie part dans tous les sens en ce moment. C’est vrai quoi, qu’a-t-elle bien pu faire pour que le sort s’acharne autant contre elle ? Ainsi que sur sa famille, en définitive. Alors qu’elle n’attend pas une quelconque réponse, Pablo s’y risque quand même, imitant sa mère dans un premier temps. Elle se redresse légèrement pour pouvoir le regarder alors qu’il continue sur sa lancée. « Ce n’est pas vraiment mon intention, j’ai surtout pensé à voix haute. » Non, ce n’est pas le moment d’aborder ce genre de sujet, elle n’est pas venue là pour ça.
D’ailleurs son empressement à lui sauter dessus reprend vite le dessus. Pas de temps à perdre, pas le temps de respirer. Sin a une façon bien particulière de se vider la tête et cela inclut la coopération de Pablo. Comme toujours avec elle, les choses ne se font pas systématiquement en douceur, chose que le mexicain ne tarde pas à souligner. « Continue de me parler en espagnol, c’est tellement exotique, j’adore. » Même si elle n’en comprend pas un traitre mot. Suivant le mouvement, elle se redresse pour s’asseoir à califourchon sur lui, plaçant ses jambes pliées de part et d’autre des siennes. A sa question, un sourire s’étire au coin de ses lèvres. Plaçant ses avant bras sur les épaules de Pablo, elle joint ses mains derrière sa tête, glissant de temps en temps ses doigts dans ses cheveux bruns. « Peut-être, qui sait ? A moins que ça ne soit à cause de cette petite moustache qui te va à ravir ? Alors qu’en général, je ne suis pas très fan. A croire qu’il y a des exceptions. » Elle le taquine, pourtant, il est vrai que ce style de pilosité ne va pas à tous les hommes. De nouveau, les lèvres se scellent pour quelques secondes avant que chacune d’elles ne prennent un chemin différent. Sin se rapproche de son corps pour venir se perdre dans son cou et remonter pour venir mordiller son oreille. La blonde relève la tête lorsqu’il complimente sa robe. Il est vrai qu’elle a fait quelques efforts ce soir. Un léger rire s’échappe alors qu’elle jette un œil à la tenue de Pablo. « Prend le temps de l’admirer, je ne compte pas la garder très longtemps. » Ses prunelles tombent sur quelque chose qui la fait doucement rire. « Joli pull toi aussi, même si tu ne sais visiblement pas manger correctement. Il y a quelques tâches. » Elle pose son doigt dessus pour la lui montrer. Sourire aux lèvres, elle remonte son doigt le long de son torse, de son cou, son menton pour se poser sur le bout de son nez. « Il y a du laisser aller, Señor Rivera. Ça ne va pas du tout. » Habituée à rouler les R en suédois, elle ne rencontre pas vraiment de difficulté à recopier l’accent espagnol. Tâche ou pas, a-t-il besoin de ses vêtements ? Pas le moins du monde. Attrapant le bord de son pull, elle le remonte le long de son corps pour le lui retirer. « Voilà qui est mieux. » Nettement mieux. Tellement mieux qu’elle revient à l’assaut de son cou pour laisser ses lèvres s’y promener.
- Pablo RiveraThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : @//
Messages : 430
Points : 176
Faceclaim : pedro charming pascal.
Crédits : @tag pour l'avatar, @oldmoney pour la sign.
Date d'inscription : 25/01/2021
Âge : 41 yo.
Situation financière : très loin de rouler sur l'or ; né dans la pauvreté, l'opulence relève plus de la légende pour lui. mais personne ne l'a jamais entendu se plaindre, se contentant de peu, existant au travers de ce que la vie peut lui offrir et de ce qu'il possède déjà.
Situation amoureuse : chaos est-il un statut marital ? ses relations amoureuses ne sont qu'une suite d'échec cuisant ; ce n'est pas les efforts qui manquent pourtant mais c'est à croire qu'aphrodite se joue continuellement de lui. célibataire ; espoir, doux espoir demeure cependant intact au creux de son coeur, continuant à battre inlassablement.
Orientation sexuelle : sans concession hétérosexuel, les femmes sont les plus belles créatures terrestres à ses yeux ; aimant leur plaire et ne se lassant pas de les courtiser, elles tombent dans ses bras mais n'atteignent que rarement son coeur.
Emploi/études : collectionneur de petits boulots en tout genre depuis la fin de l'adolescence. école arrêtée à quatorze ans pour aider la mamá. il a finir par entamer une formation d'ambulancier et c'est encore le métier exercé par l'homme aujourd'hui.
Multicomptes : nicholas (h. cavill), gillian (m. otto) et junon (zendaya) aka les trois autres meilleurs persos du fofo.
Rps en cours :
Cover me in sunshine, shower me with good times ; tell me that the world's been spinning since the beginning, and everything will be alright.
(5/6) : SANTANA — LES MISÉRABLES#1 — MAEVA#2 — SINÉAD — LA VILLA DES SECOURISTES — you ?
Terminés : ZACH — MARNIE#1 — ELENA — MAEVA#1
À venir : Milo.
Surprise honey ;
Outfit – La jeune femme attise de plus en plus sa curiosité ce qui s’explique par le fait qu’en toute franchise, l’hôte ne sait pas grand chose sur sa convive. Son instinct lui murmure qu’elle n’a pas non plus particulièrement envie de s’étendre sur ce qui fait d’elle ce qu’elle est, comme une sorte de barrière infranchissable ; raison pour laquelle l’homme ne prend pas la peine de lui retourner la question concernant son activité professionnelle. C’est pour dire, le soir de leur rencontre, l’homme n’a connu le nom de sa conquête qu’après avoir consommé avec elle ; cette dernière a par ailleurs disparu peu de temps après et il était certain de ne plus jamais la revoir en premier lieu. Seulement le destin, les dieux, le hasard ? Ou qu’importe qui puisse avoir en sa possession les fils du destin ; il a apparement été décidé que les deux amants devaient se revoir tôt ou tard. Et c’est ce qu’ils ont fait à plusieurs reprises ; il ne croit pourtant pas avoir tenu une aussi longue conversation avec son invitée qu'avant ce soir.
La jeune femme prend donc note de son métier tandis que lui se mord la langue pour ne pas se montrer déplacé en posant quelques questions indiscrètes. Son esprit plus ou moins fertile pourrait lui faire imaginer à peu près n’importe quel scénario concernant la suédoise, à ses yeux elle demeure un véritable mystère, d’un charme inaccessible et en quelque sorte fascinante ; dans ses yeux d’un bleu perçant se cache cependant quelque chose de triste, abritant peut-être la mélancolie, l’affliction ou un malheur dans son sillage. La brusquer serait à coup sûr un moyen de briser cet étrange lien que les unis, aussi préfère-t-il pour l’instant ignorer cette sorte d’évidence à propos d’elle, par facilité ; et peut-être un peu par égoïsme aussi car après tout, devrait-il vraiment s’inquiéter d’une presque parfaite inconnue ? « Je n’ai rien brisé, à part le nez de quelques abrutis. » Finit-elle par lui confier ce qui arrache un autre sourire tandis qu’il lui caresse gentiment l’épaule. Ses espérances se portent alors sur l’optimisme de ne jamais passer pour un abruti auprès de sa convive ; un nez cassé, ça serait assez embêtant pour lui.
Puis la jeune femme lui pose ensuite diverses questions à propos des fameux rituels pratiqués au Mexique pour chasser le mauvais oeil. Il souffle du nez, bien vite remplacé lorsque le doute s’empare de lui ; demande-t-elle ça vraiment sérieusement ? « Eau chaude ou eau froide, peu importe. Dans mon pays natal on y croit dur comme fer en tout cas. Mais je ne sais pas si ça fonctionne véritablement pour tout t’avouer. » Ça ne l’a pas empêché d’avoir une vie semée d’embuche lorsque sa mère exécutait ce petit rituel chez eux ; mais peut-être n’y a-t-il pas cru assez fort ? La suédoise confie ensuite une petite anecdote à propos de sa mère, irlandaise qui elle aussi avait ses propres croyances et superstitions. « Nous aussi nous avons l’habitude de poser des bougies un peu partout, mais c’est lors de la fête des morts, pour guider les âmes vers les tombes. » Dit-il, presque nostalgique de ces années d’ataraxie où ils ne possédaient rien mais pourtant, avaient encore tout à offrir à ce monde.
Sinéad trouve que son hôte a l’air fatigué et endormi et elle reconfirme ses propos une fois que l’homme lui avoue qu’il s’endormait devant la télévision avant qu’elle n’arrive. « Tu veux dire que j’ai l'air moins beau que d’habitude ? » Demande-t-il alors, jouant les faux vexés pour l’amuser. Le sujet dérive sur des sujets moins guillerets que la jeune femme balaye rapidement d'un revers de main ; soit, une nouvelle fois son interlocuteur ne cherche pas à en savoir plus et rapidement elle se retrouve collée à lui, s’échangeant quelques mots entre attentions et baisers. « Continue de me parler en espagnol, c’est tellement exotique, j’adore. » Finit-elle par lui balancer de but en blanc et l'homme balance légèrement sa tête en arrière, son rire se brisant dans les airs. Sa spontanéité est presque désoeuvrante mais surtout rafraichissante ; combien de femmes aurait joué les jeunes effarouchés dans cette situation ? « Tus deseos son órdenes, cariño.* » Lui dit-il tout en l’accueillant à califourchon sur lui, avant de demander si c'est son charme naturel qui l’attire autant et la femme aux cheveux blonds évoque alors sa moustache comme étant peut-être la raison d'un tel engouement à son égard. « Tout est dans la moustache justement. C’est le secret de ma réussite auprès des femmes. La preuve en est, tu vois. » Ses mains tombent sur ses cuisses, relevant lentement le bas de la robe pour caresser la peau laiteuse qui s’y trouve en dessous. Sa respiration commence un peu à s’accélérer et il déglutit, perdant petit à petit patience tandis que la jeune femme le chauffe de manière délibérer et joue avec lui. « Il y a du laisser aller, Señor Rivera. Ça ne va pas du tout. » L’entend-il dire lorsqu'elle évoque les tâches présentes sur son pull qui ne sont ni plus ni moins que de l'expertise de sa fille qui a joué avec sa nourriture quelques heures plus tôt. Il rit légèrement, une râle finissant par s’échapper de sa gorge tandis qu’elle lui ôte son pull et que les lèvres de la suédoise se retrouvent soudainement dans son cou ; un frisson parcourt l’intégralité de son corps, l'engourdissant jusque dans ses jambes. « Du laisser-aller, hein ? » Puis il marque une pause, remontant ses mains de plus en plus haut sous sa robe, ses doigts finissant par heurter sur les coutures d’un sous-vêtement. « Je n’avais pas vraiment prévu que tu viennes, sinon je t’aurais directement attendu en caleçon, devant la porte. » La taquine-t-il tout en essayant de conserver son calme et sa voix stable. De ses doigts habiles il commence à tirer la discrète fermeture éclair de sa robe vers le bas et d’un geste chevronné, la lui retire entièrement. « Et voilà qui est encore mieux. » Dit-il avec un sourire coquin.
Il attrape ensuite l’arrière de ses cuisses pour la soulever et échanger leur position ; flottant à présent au dessus d’elle en position allongé sur le canapé, il l’embrasse avec engouement, traçant la ligne de ses lèvres avec sa langue, s’y attardant un instant, sa bouche continuant ensuite sa route sur la peau exposée, mordant et léchant au gré des soupirs de la suédoise. Il aurait aimé la conduire jusqu’à son lit, question de confort, mais l’urgence et la frénésie semblent avoir pris le dessus sur la situation. Il la veut ; par sa propre initiative, le tricot de peau porté initialement sous son pull vole lui aussi et leur deux corps à moitié nus se retrouvent ainsi collés l’un contre l’autre. Un instant ses mouvements se stabilisent et il l’embrasse tendrement. « Tu trouves qu’il y a toujours du laisser-aller là ? » Chuchote-t-il contre ses lèvres avec un sourire méchant, laissant l’une de ses mains gambader sur son corps, franchissant les dernières fines barrières de vêtement restantes ; de ses doigts experts sur sa peau de porcelaine il l’observe, les traits de son jolis minois se déformant. Et puis il entend des sanglots aigus provenir d’une autre pièce de son appartement et l’homme se redresse presqu’aussitôt, les sourcils relevés et l’air abasourdi ; prenant conscience qu’il ne s’agit ni plus ni moins de sa fille venant de se réveiller dans sa petite chambre à quelques mètres d’eux.
(* Tes désirs sont des ordres, chérie)
codage par aqua
- Sinéad SörvikYou're a little late
I'm already torn - Pseudo : Elina
Messages : 544
Points : 45
Faceclaim : Katheryn Winnick
Crédits : awona
Date d'inscription : 23/12/2020
Âge : 36 ans depuis le 17 novembre
Situation financière : Moyenne, elle ne roule pas sur l'or mais elle ne manque de rien
Situation amoureuse : Célibataire, tutrice de sa nièce de 20 ans
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Habitation : Adams Morgan, appartement 12 avec sa nièce, Soraya
Emploi/études : Mécanicienne dans un garage, elle donne également des cours de self-defense
Multicomptes : Elijah Collins (Bill Skarsgård), Maeva Espinosa (Jenna Ortega) & Mateo Redfield (Travis Fimmel)
Rps en cours :
Soraya ღ Sorën ღ Pablo ღ Serena ღ Sörvik ღ Sean ღ Kieran(2) ღ Nicholas(2)
Terminés : Nicholas(1) ღ Kieran(1)
Abandonnés : Amalrik ღ
Pablo & Sinéad
Surprise Honey
Sa propre mère étant elle-même plutôt superstitieuse, ça intéresse vraiment Sinéad de connaitre les croyances un peu mystiques d’une autre culture. Elle est plutôt bien placée pour savoir que chaque pays a ses propres rituels et autres moyens de conjurer le mauvais sort, étant elle-même le fruit de deux cultures différentes. Malheureusement, elle n’a encore jamais mis les pieds au Mexique, ne parlant absolument pas la langue. C’est pourtant un pays qui l’attire mais elle n’a jamais eu l’occasion de s’y rendre. Un jour, peut-être. « Que ça fonctionne ou non, je testerai quand même. Sait-on jamais. » Tout est bon à prendre. Le karma est tellement mauvais ces derniers temps que Sin est prête à tout essayer. Peut-être qu’à force, quelque chose fonctionnera enfin.
La remarque de Pablo sur sa beauté entachée par son état de fatigue lui arrache un petit rire. « T’en fais pas, même quand tu dors tu es tout mignon. » Oui, elle l’a déjà vu endormi. La toute première fois notamment, juste avant qu’elle ne s’enfuit comme une voleuse. Mais bien vite, l’espagnol s’élève dans l’air. S’il y a des langues qui agressent les tympans, certaines sont au contraire plutôt agréables à l’oreille. L’espagnol notamment, et même si Sinéad n’en comprend pas un traitre mot, elle aime le son mélodieux qu’il produit. Assise à califourchon sur lui, elle n’hésite pas à le taquiner. D’abord avec sa moustache puis avec la tâche qu’elle découvre sur ses vêtements. Rien de bien exceptionnel en soit, la plupart des hommes ne sont pas vraiment soigneux. Sin n’est certes pas la patience incarnée, pourtant elle sait se montrer joueuse dans ce genre de moment. L’attente en vaut toujours la peine et il faut savoir faire monter la tension. Les doigts de Pablo sur ses cuisses lui arrachent quelques frissons mais elle ne baisse pas les armes pour autant. Pas tout de suite. C’est également son petit plaisir de laisser le désir grimper et grignoter chaque parcelle de son corps.
La petite attaque qu’elle lui lance semble le piquer au vif. « Oui, du laisser aller. » Son sourire s’agrandit alors qu’elle réitère ses propos. « Je ne l’avais pas prévu non plus, mais je le note pour la prochaine fois, je veux voir ça. » Si elle voulait réellement pousser le bouchon, elle lui demanderait même de glisser une rose entre ses dents pour l'accueillir. Mais inutile d’en faire trop. Pablo perdant visiblement patience plus vite que Sin, il ne lui faut pas longtemps pour lui retirer sa robe. Ainsi, elle n’est plus couverte que par ses sous-vêtements. « Je vais attraper froid, alors dépêche-toi de me réchauffer. » Sourire taquin sur le visage, elle a pourtant déjà bien plus chaud qu’à l’ordinaire. En deux temps trois mouvements, le mexicain renverse la situation et la blonde se retrouve allongée dans le canapé, ses jambes encerclant la taille de Pablo. La chaleur s’intensifie, tout comme le brasier qui brûle au fond de ses entrailles. Pas le temps de faire dans la dentelle. Pas le temps de rejoindre la chambre. Peut-être plus tard pour un second round. Après tout, n’ont-ils pas toute la nuit devant eux ? La respiration s’accélère, les soupirs se multiplient et Pablo ne tarde pas à retirer une couche supplémentaire. Sin n’en perd pas une miette, bien évidemment, et c’est avec le désir brûlant au fond de ses prunelles qu’elle le dévore des yeux. « Je ne sais pas, prouve-moi que je me trompe. » Lance-t-elle d’un air provocant, coinçant sa lèvre inférieure entre ses dents. Pousser les autres à bout, dans ce genre de situation, c’est quelque chose qu’elle aime faire. En général ça fonctionne bien sur l’ego masculin. Preuve en est ce soir encore.
Les jambes de Sin se resserrent autour de sa taille afin qu’il n’y ait plus aucun espace entre leurs corps. Ses doigts parcourent son dos jusqu’à atteindre son pantalon toujours présent. C’est au moment où ils glissent sous le tissu qu’elle l’entend. Ce bruit. Ces cris. Ces pleurs. Elle se fige et Pablo se redresse vivement. Incrédule, elle ne comprend pas immédiatement de quoi il s’agit. Pourtant, son subconscient a en parfaitement reconnu l’origine. Surprise, elle se redresse pour s’asseoir et jeter un œil en direction du bruit. « Euh… » N’est-ce pas les pleurs d’un enfant ? « C’est… Ça vient de chez toi ? » Non parce qu’on ne dirait pas que ça vient des voisins. Les cris sont bien trop audibles et ne paraissent pas si éloignés. Merde alors, Pablo est-il père ? Depuis quand ? Pourquoi n’a-t-elle jamais prêté attention à ce genre de détail ?
- Pablo RiveraThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : @//
Messages : 430
Points : 176
Faceclaim : pedro charming pascal.
Crédits : @tag pour l'avatar, @oldmoney pour la sign.
Date d'inscription : 25/01/2021
Âge : 41 yo.
Situation financière : très loin de rouler sur l'or ; né dans la pauvreté, l'opulence relève plus de la légende pour lui. mais personne ne l'a jamais entendu se plaindre, se contentant de peu, existant au travers de ce que la vie peut lui offrir et de ce qu'il possède déjà.
Situation amoureuse : chaos est-il un statut marital ? ses relations amoureuses ne sont qu'une suite d'échec cuisant ; ce n'est pas les efforts qui manquent pourtant mais c'est à croire qu'aphrodite se joue continuellement de lui. célibataire ; espoir, doux espoir demeure cependant intact au creux de son coeur, continuant à battre inlassablement.
Orientation sexuelle : sans concession hétérosexuel, les femmes sont les plus belles créatures terrestres à ses yeux ; aimant leur plaire et ne se lassant pas de les courtiser, elles tombent dans ses bras mais n'atteignent que rarement son coeur.
Emploi/études : collectionneur de petits boulots en tout genre depuis la fin de l'adolescence. école arrêtée à quatorze ans pour aider la mamá. il a finir par entamer une formation d'ambulancier et c'est encore le métier exercé par l'homme aujourd'hui.
Multicomptes : nicholas (h. cavill), gillian (m. otto) et junon (zendaya) aka les trois autres meilleurs persos du fofo.
Rps en cours :
Cover me in sunshine, shower me with good times ; tell me that the world's been spinning since the beginning, and everything will be alright.
(5/6) : SANTANA — LES MISÉRABLES#1 — MAEVA#2 — SINÉAD — LA VILLA DES SECOURISTES — you ?
Terminés : ZACH — MARNIE#1 — ELENA — MAEVA#1
À venir : Milo.
Surprise honey ;
Outfit – Sinéad le provoque délibérément et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça fonctionne plutôt bien ; une fois en sous-vêtement, elle requiert ses attentions pour la réchauffer, prétextant risquer d’attraper froid dans le cas contraire. Le mexicain n’a pas besoin d’excuse supplémentaire pour lâcher totalement prise et il envoie bien rapidement à des millions de kilomètres dans le cosmos tous ses tracas quotidiens ; il n’y a plus que la suédoise qui compte à ce moment-là, ses yeux azurs mi-clos et ses courbes envoutantes sous ses mains, désireuses de parcourir l’entièreté de son corps. Son torse nu collé au sien, il embrasse chaque parcelle de sa peau de porcelaine exposée sous lui ; lorsqu’il la taquine à propos du fait qu’elle trouve du laisser-aller chez lui, elle lui répond qu’il n’a qu’à lui prouver le contraire. Chose pour laquelle il se dévoue corps et âmes, passant l’une de ses mains sous sa lingerie pour lui arracher quelques soupirs de plus tout en l’embrassant profondément.
Puis des petits cris et sanglots retentissent dans la pièce d’à côté et la brume se dissipe bien rapidement lorsque le mexicain en comprend la provenance. Il relève la tête et frotte sa bouche tandis que son invitée se rassoit sur le canapé. « C’est… Ça vient de chez toi ? » Sûrement ont-ils été trop bruyants ; l’homme se lève instinctivement pour prendre la direction de la chambre. Quelques pas plus loin, il se retourne pour observer la suédoise, une main au niveau de sa nuque trahissant sa gêne. « Je-ouais. C’est Frida, ma fille. Attends-moi là je reviens. » Il ouvre la porte et s’engouffre dans la pièce. Dans son petit lit l’enfant pleure à plein poumons ; son père l’attrape délicatement pour la placer contre son cœur. « Shhhh, c’est fini mi amor. Tout va bien. » Lui dit-il tout en faisant des petits pas comme si ses pieds étaient montés sur des suspensions. Le bébé se calme automatiquement dans les bras de l’ambulancier tandis que ce dernier rejoint le salon pour retrouver sa convive nocturne. « J’suis désolée cariño. D’habitude quand je sais que tu vas passer je l’amène chez l’un de mes frères et soeurs pour qu’ils s’en occupent et qu’on ne soit pas dérangé. En plus elle fait ses dents en ce moment, elle se réveille tout le temps. » Les yeux encore brillants, la petite observe avec une certaine insistance la femme aux cheveux blonds à proximité tout en se mordillant les doigts. Le mexicain les lui retire de la bouche pour effectuer un « coucou » avec sa petite main. « Dis bonjour à Sinéad. » Ajoute-il avec tendresse en scrutant sa fille. Il embrasse ses petits doigts et sa joue puis l'enfant détourne son visage de l’inconnue pour se recroqueviller dans les bras de son père, certainement un peu timide et déstabilisée par la présence de cette dernière au beau milieu de la nuit. Le regard brun de l’homme se dirige ensuite vers la mécanicienne et il fronce légèrement les sourcils, soudainement inquiet. « Ça va ? T’as l’air… un peu pâle. » Demande-il un peu inquiet. A-t-il dit ou fait quelque chose de mal ? Certes ils ont été interrompus et il ne lui avait jamais parlé de Frida avant, mais l’occasion ne s’était jamais vraiment présentée jusque lors.
codage par aqua
- Sinéad SörvikYou're a little late
I'm already torn - Pseudo : Elina
Messages : 544
Points : 45
Faceclaim : Katheryn Winnick
Crédits : awona
Date d'inscription : 23/12/2020
Âge : 36 ans depuis le 17 novembre
Situation financière : Moyenne, elle ne roule pas sur l'or mais elle ne manque de rien
Situation amoureuse : Célibataire, tutrice de sa nièce de 20 ans
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Habitation : Adams Morgan, appartement 12 avec sa nièce, Soraya
Emploi/études : Mécanicienne dans un garage, elle donne également des cours de self-defense
Multicomptes : Elijah Collins (Bill Skarsgård), Maeva Espinosa (Jenna Ortega) & Mateo Redfield (Travis Fimmel)
Rps en cours :
Soraya ღ Sorën ღ Pablo ღ Serena ღ Sörvik ღ Sean ღ Kieran(2) ღ Nicholas(2)
Terminés : Nicholas(1) ღ Kieran(1)
Abandonnés : Amalrik ღ
Pablo & Sinéad
Surprise Honey
Quand le sort s’acharne, il ne lâche décidément pas l’affaire. Sinéad pensait trouver un peu de réconfort et de positif dans sa journée chaotique en débarquant chez Pablo. Après tout, avec lui, il n’y a pas besoin de mots, pas de discussion inutile, leurs corps parlent pour eux. Rien de mieux que de s’envoyer en l’air pour oublier tous ses tracas, même pour quelques minutes – voire quelques heures si la partie se renouvelle pour durer toute la nuit. C’était le plan de base. Le plan qui lui a traversé l’esprit lorsqu’elle s’est inconsciemment dirigée vers on immeuble. Sur le papier, ça devait parfaitement fonctionné. N’a-t-elle pas mérité un peu de répit après une dure journée ? En théorie, oui. En pratique en revanche, c’est une autre paire de manches.
Un élément perturbateur se fait entendre. Il ne faut pas avoir le QI d’Einstein pour comprendre d’où – et surtout de quoi – le bruit provient. Ce sont des pleurs d’enfant. S’ils viennent de chez Pablo, il semblerait qu’il ait oublié de révéler un détail important à Sin. Surprise, la blonde se redresse et lorsque l’ambulancier se lève pour s’éloigner, elle replie ses jambes contre elle, soudainement prise d’une angoisse qu’elle ne peut contrôler. Avant de disparaitre de son champ de vision, Pablo se tourne vers elle pour confirmer qu’il s’agit bel et bien de sa fille. Ah. Il ne manquait plus que ça. Non pas qu’elle n’aime pas les enfants, bien au contraire. Mais être confrontée à des enfants en bas âge lui brise irrémédiablement le cœur. Instinctivement, elle pense à son propre bébé qu’elle n’a jamais pu prendre dans ses bras. Le plus gros drame de sa vie. Le temps que son amant règle le problème et soudain prise de frissons, elle se lève du canapé pour se rhabiller et remettre sa robe. Après ça, elle n’a plus envie, autant voir la vérité en face.
Alors qu’elle s’apprête à renfiler ses chaussures, la voix de Pablo résonne dans son dos. Sin glisse ses cheveux derrière son oreille et elle se retourne pour lui faire face. Dans la manœuvre, elle stoppe son mouvement lorsque ses prunelles claires se posent sur la petite fille. Aussitôt, son cœur se serre douloureusement et un poids vient s’échouer sur son estomac. Tant bien que mal, un sourire un peu crispé se dessine sur son visage. « Ce n’est rien. » Il n’a pas à se justifier. Il est père de famille, c’est ainsi. Sa fille passera automatiquement avant tout le reste. Mal à l’aise, elle les regarde s’approcher avec une certaine appréhension. Pablo attrape la main de Frida devant Sin pour la saluer. Pour n’importe qui, ce geste serait absolument adorable. Pour la suédoise, c’est difficile à supporter. Elle doit fournir un effort surhumain pour retenir ses quelques larmes qui commencent à lui piquer les yeux. Après un moment de flottement à les observer en silence, Pablo semble enfin remarquer que quelque chose ne va pas. C’est peu de le dire. Reprends-toi Sin. Elle se redresse un peu et glisse ses doigts dans sa chevelure blonde. « Oui ! » Lance-t-elle un peu trop précipitamment pour que ça paraisse convaincant. « Je… Oui, ça va. » Un peu plus naturelle si possible ? Elle se force à sourire même si le cœur n’y est pas vraiment. Soudainement, elle ne sait pas quoi faire de ses dix doigts alors elle joint ses mains derrière son dos. N’est-il pas temps de glisser un compliment ? N’est-ce pas ce que les gens normaux font ? Sin prend une grande respiration, plus ou moins discrète et jette un œil à la petite dans les bras de son père. « Elle est magnifique. » Elle l’est, c’est vrai. Comme la plupart des enfants de cet âge. Bien que Sinéad n’ait pas réellement pris le temps de l’observer en détail. Son père est canon alors forcément, sa fille aussi. Sa voix se brise légèrement mais pour le moment elle parvient encore à cacher ses émotions derrière un masque. « Elle a quel âge ? » Elle sait qu’elle ne devrait pas poser de question. Surtout pas celle là alors qu’elle sait pertinemment que si son bébé avait vu le jour, il aurait quasiment le même âge que la petite Frida. Mais dans la panique et cette volonté de ne pas laisser le silence s’installer, elle a posé la première question qui lui est venu en tête.
- Pablo RiveraThere's nothing you can't say
nothing you can't do - Pseudo : @//
Messages : 430
Points : 176
Faceclaim : pedro charming pascal.
Crédits : @tag pour l'avatar, @oldmoney pour la sign.
Date d'inscription : 25/01/2021
Âge : 41 yo.
Situation financière : très loin de rouler sur l'or ; né dans la pauvreté, l'opulence relève plus de la légende pour lui. mais personne ne l'a jamais entendu se plaindre, se contentant de peu, existant au travers de ce que la vie peut lui offrir et de ce qu'il possède déjà.
Situation amoureuse : chaos est-il un statut marital ? ses relations amoureuses ne sont qu'une suite d'échec cuisant ; ce n'est pas les efforts qui manquent pourtant mais c'est à croire qu'aphrodite se joue continuellement de lui. célibataire ; espoir, doux espoir demeure cependant intact au creux de son coeur, continuant à battre inlassablement.
Orientation sexuelle : sans concession hétérosexuel, les femmes sont les plus belles créatures terrestres à ses yeux ; aimant leur plaire et ne se lassant pas de les courtiser, elles tombent dans ses bras mais n'atteignent que rarement son coeur.
Emploi/études : collectionneur de petits boulots en tout genre depuis la fin de l'adolescence. école arrêtée à quatorze ans pour aider la mamá. il a finir par entamer une formation d'ambulancier et c'est encore le métier exercé par l'homme aujourd'hui.
Multicomptes : nicholas (h. cavill), gillian (m. otto) et junon (zendaya) aka les trois autres meilleurs persos du fofo.
Rps en cours :
Cover me in sunshine, shower me with good times ; tell me that the world's been spinning since the beginning, and everything will be alright.
(5/6) : SANTANA — LES MISÉRABLES#1 — MAEVA#2 — SINÉAD — LA VILLA DES SECOURISTES — you ?
Terminés : ZACH — MARNIE#1 — ELENA — MAEVA#1
À venir : Milo.
Surprise honey ;
Outfit – La suédoise accrochée à sa nuque, ses mains parcourant ses jolies courbes ; il en avait presque oublié que sa fille dormait dans la chambre juste à côté. Ils n’ont pas fait particulièrement de bruit pourtant mais l’enfant ayant un sommeil léger ces derniers temps à cause de ses dents qui poussent, il n’en a pas fallu plus pour qu’elle se réveille et exprime son mécontentement. Le père dévoué s’est tout de suite rendu à son chevet pour la calmer, laissant sa convive nocturne seule quelques minutes dans le salon. Lorsqu’il y revient finalement, il trouve cette dernière pratiquement rhabillée de la tête au pied, comme si elle était prête à s’enfuir dans la seconde. L’ambulancier se sent alors obligé de se justifier, ce à quoi la mécanicienne répond que ce n’est rien même si l’intonation de sa voix laisse présager qu’elle est tout de même assez mal à l’aise. Tentant de détendre l’atmosphère, l’homme joue de la mignonnerie de sa fille pour essayer d’au moins réussir à faire décrocher un sourire à son interlocutrice ; mais il lui semble que cela ne fait qu’aggraver la situation. Les yeux de la belle blonde deviennent brillants, comme si elle était sur le point de pleurer. A-t-il dit ou fait quelque chose de mal ?
C’est la question qu’il finit par se poser devant la mine déconfite de la suédoise et qui le pousse à lui demander si elle va bien. Elle lui répond à la positive, presque un peu trop précipitamment d’ailleurs. « Je… Oui, ça va. » Ajoute-t-elle l’instant d’après comme pour confirmer ses premières paroles. Le mexicain n’est pas totalement convaincu mais il n’ose pas vraiment creuser davantage ; elle cache quelque chose il en est certain. Mais son instinct lui murmure que ça n’est pas directement lié à lui alors il n’insiste pas. Et puis le sujet de conversation change radicalement de toute façon, il n’aurait pas vraiment eu l’occasion de rebondir sur quoi que ce soit même s’il l’avait voulu ; surtout que cela concerne sa fille, que la mécanicienne décrit comme étant magnifique. « Merci. » répond-il non sans une once de fierté ; c’est aussi ce qu’il pense après tout. Il embrasse à nouveau le front du bambin puis son interlocutrice reprend la parole pour demander l’âge de la petite. Il relève les yeux vers elle, plongeant son regard brun dans les siens et arquant un sourire de plus. « Elle va bientôt avoir un an. » C’est fou ce que le temps passe vite ; il se rappelle encore le jour de sa naissance, la première fois qu’il l’a tenu dans ses bras et ce sentiment d'avoir son cœur qui se gonfle dans sa poitrine. Des larmes lui étaient même venues aux yeux car elle était parfaite et il savait déjà à cette époque qu’il décrocherait la lune et bien plus encore pour cette enfant.
Son attention se concentre sur la suédoise lorsque ses iris s’arrêtent sur les chaussures qu’elle a toujours dans ses mains. « Tu… Tu t’en vas du coup ? » La questionne-t-il non sans une once de déception dans la voix. Le charme est rompu c’est certain mais Frida ne devrait pas tarder à se rendormir ; il la sent déjà s’alourdir contre son épaule, signe qu’elle ne résistera pas longtemps à l’appel des bras de Morphée. « J’comprends que ça t’ait coupé l’envie qu’on ait été interrompu, mais tu peux quand même rester dormir là s’tu veux. Ça me rassure pas forcément que tu reprennes la route ce soir. Sauf si t’y tiens vraiment, j’vais pas te forcer non plus. » Ajoute-t-il simplement d’un ton franc tout en continuant à bercer l’enfant dans ses bras.
codage par aqua
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum